Discussion:Surprise de Meaux
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Enchaînement de la surprise de Meaux et de la Michelade modifier
Ci-dessus les deux dernières phrases du premier paragraphe de la section « Histoire ». Il me semble qu'une reformulation énergique, mais sans occulter la moindre bribe d'information présente, serait utile.
Le lecteur pressé ou inattentif pourra penser que la surprise de Meaux aurait pu constituer un prétexte au déclenchement de la Michelade. Sauf que le calendrier, et le développement des télécommunications dans la seconde moitié du XVIe siècle rendent assez hypothétique la scène des chefs huguenots de la ville de Nîmes, le 29 septembre 1567, jour de la Saint-Michel [(*)], constatant l'émeute au sein de la plèbe de la Religion, et ne faisant rien pour l'apaiser mais accompagnèrent en l'aiguisant.
Sachant que :
- la surprise de Meaux survint le 28 septembre 1567 à Meaux (Seine-et-Marne),
- la Michelade le lendemain 29 septembre 1567 à Nîmes (Gard),
- que les deux villes sont distantes de plus de 700 km,
- que seuls de rares chevaucheurs atteignaient ou dépassaient les trente lieues dans la journée,
- que la nouvelle de Meaux a difficilement pu être annoncée avant six jours, soit aux environs du 4 octobre,
la succession des deux phrases de l'encadré semble maladroite.
Des suggestions de reformulation seraient les bienvenues. — Hégésippe (Büro) [opérateur] 29 septembre 2018 à 15:37 (CEST)
- Hégésippe Cormier : bonjour. Proposition : Le lendemain, jour de la Saint-Michel, sans rapport avéré avec la surprise de Meaux, des prêtres ...
- Cordialement. Père Igor (discuter) 30 septembre 2018 à 11:29 (CEST)
Franchement on comprend rien... Ça manque de contexte.
"Sentant monter les périls, Condé décida de monter une action préventive malgré les réserves de Coligny."
Quels périls ? — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 82.66.147.146 (discuter), le 21 décembre 2022 à 22:23 (CET)