Discussion:Roger Peyrefitte

Dernier commentaire : il y a 5 ans par Daehan dans le sujet Bibliographie
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Où Roger peyrefitte est-il enterré ? modifier

Roger Peyrefitte est enterré dans la tombe de ses parents au cimetière d'Alet-les-Bains dans l'Aude.

Souhaitons-lui d'avoir eu droit à une messe traditionnelle, célébrée par un jeune prêtre tout couvert de dentelles... et tournant le dos au public, évidemment.

^^ C'est joliment dit, mais je ne suis pas certain que ce soit très encyclopédique :-) .: Guil :. causer 18 jan 2005 à 10:56 (CET)


J'ajoute que d'une manière générale cet article aurait besoin d'un petit coup de neutralisation :-) Je le ferais peut être quand j'aurais un bout de temps. .: Guil :. causer 18 jan 2005 à 10:59 (CET)

Sans doute, mais le remaniement complet de la partie rédigée de l'article ne peut se faire qu'en supprimant le ton littéraire particulier employé. Aucunes contre-vérités ne sont dites, la forme pour mon compte me plaît assez. Je supprime évidemment la dernière phrase qui va trop loin dans l'effet littéraire. Siren 18 jan 2005 à 20:04 (CET)

Vous trouvez que « c'est joliment dit », merci. Est-ce donc la peine de châtrer mon article ? Il y aura toujours suffisamment de contributeurs qui écrivent mal pour vous satisfaire. (Gustave Graetzlin)

Wikipédia est une encyclopédie et par là même la première des contraintes à observer est le caractère encyclopédique des articles. S'il peut y avoir un bon style et des phrases bien tournées c'est encore mieux évidemment, mais ça reste secondaire par rapport à la premiere exigence... .: Guil :.Texte en gras causer 19 jan 2005 à 01:25 (CET)


L'informateur de Roger Peyrefitte pour Les Clés de saint Pierre modifier

Dans Propos secrets Roger Peyrefitte donne comme son principal informateur concernant le Vatican un certain Léon Gromier. Or j'ai retrouvé ce personnage dans La Maçonnerie noire ou la Vérité sur l’Intégrisme, opuscule hors-commerce où Mgr Ducaud-Bourget prend la défense du Sodalitium Pianum. En 1954, écrit-il:

«J'entendis parler du procès de béatification de Pie X, où la question de l'intégrisme avait été forcément traitée. Je m'en fus visiter le P. Antonelli (aujourd'hui Cardinal) qui dirigeait la section historique du procès. Il me reçut aimablement et me répondit: “Le texte... il est là...” et il me montrait un livre dans un tiroir. “Mais, ajouta-t-il, vous ne l'aurez pas: c'est un document secret.” Je remerciai, malgré le refus, et m'en fus au Vatican parler à mon vieil ami, Mgr Léon Gromier, Chanoine de Saint-Pierre, Consulteur à la S.C. des Rites et Protonotaire Apostolique. “La disquisitio? me dit-il. Vous la voulez? La voilà.” Et il me passa un livre pris dans sa bibliothèque.»

Ce Mgr Gromier semble donc avoir été suffisamment à même de conseiller Roger Peyrefitte. Gustave G. 2 jun 2005 à 08:11 (CEST)

Augmentation et objectivité modifier

Ayant connu Roger Peyrefitte il y a plus de quarante ans, j'ai entretenu avec lui une correspondance de plusieurs années - bien entendu, la quasi-totalité de son oeuvre figure dans ma bibliothèque. Espérons donc que cela m'a donné la compétence nécessaire pour compléter cet article - suffisamment étoffé ce soir pour le sortir de la catégorie "ébauches".

J'ai fait de mon mieux aussi pour lui donner un style plus neutre. Non seulement c'est la règle du jeu de toute encyclopédie qui se respecte, mais c'est également plus efficace : un ton trop personnel, voire "militant", lasse vite et n'inspire nullement confiance au lecteur ; alors que l'objectivité scientifique est généralement respectée. L'excellent article Pédérastie (et encore plus le Pederasty anglophone) en est un exemple flagrant.

Sans doute reviendrai-je rapidement pour compléter la biographie et la bibliographie de Peyrefitte. Un choix de citations serait également bienvenu...

Ensuite, on pourra éventuellement envisager de "sortir" certains passages pour en faire des articles autonomes (surtout pour Les Amitiés particulières).

Pontalley 18 jul 2005 à 02:20 (CEST)

Bonjour, agréable et précieux de converser avec qqun qui a connu R.Peyrefitte. J'ai tiqué un peu sur la qualification d'autobiographique pour Les A.P. Sans doute un fond autobiographique, mais pas assez précis pour être affirmé sans détour, rien à voir avec "Les Garçons" de Montherlant qui lui, est vraiment autobiographique, Serge a existé, alors qu'Alexandre (je peux me tromper) est assez fantasmé. J'attends avec impatience vos prochaines contibutions sur le sujet. - Siren 19 juillet 2005 à 01:12 (CEST)Répondre

Appel à témoins modifier

Je suis heureux, Pontalley, qu'une personne ayant bien «connu» Roger Peyrefitte accepte d'en parler ici, et je reconnais que là-dessus vous êtes beaucoup plus compétent que moi, qui n'ai jamais été amoureux que de son art d’écrire à l'exclusion de toute autre chose. Mais je ne vois pas du tout où j'ai pu employer un «style militant», je ne faisais que dire mon admiration devant un écrivain incomparable; n'est-ce pas ce que vous faites vous-même en parlant d'«histoire émouvante», de «composition rigoureuse» etc.?

Etant parpaillot et n'ayant aucun souvenir d'une scolarité dans un internat de Jésuites, j'avoue que, pour certains aspects, je n'ai pas pu comprendre le livre «du dedans» et que j'ai surtout été sensible à la magie de la langue. Quelquefois il m'arrive de sentir une angoisse derrière le rire, mais j'arrive mal à la cerner; l'atmosphère étouffante du collège, par exemple, ne m'avait pas frappé.

Vous comprenez donc que j'ai beaucoup apprécié votre article et je souhaite que vous le développiez car nous n'avons encore, que je sache, aucune étude sur l'art de ce grand écrivain. Et pourtant, on atteint la perfection avec des passages comme celui-ci:

«Soudain, il y eut dans la salle comme un rayon céleste: Pie XII venait d'entrer. Un sourire bienveillant éclairait son visage émacié. Il s'avançait d'un pas juvénile, léger, aérien, dans le frou-frou des prélats qui le suivaient. Sur sa soutane blanche pendait le long rochet de dentelle; la mozette en velours rouge bordée d'hermine lui couvrait les épaules. Lentement, il passa devant les visiteurs qui s'étaient mis à genoux, disant quelques mots à chacun, faisant baiser son anneau et bénissant. Ses gestes étaient d'une suprême élégance, ses longues mains semblaient diaphanes. Un visiteur, qui avait apporté une calotte neuve, la lui offrit respectueusement et lui demanda la sienne. Sa Sainteté retira sa calotte et la troqua avec affabilité. Un autre sachant qu'Elle avait des manchettes en celluloïd lui en avait apporté une paire. Elle retira ses manchettes et les troqua avec une égale affabilité après en avoir fait retirer les boutons. Un troisième avait apporté des mules blanches dans l'espoir du même échange; mais le saint-père se borna à faire recevoir le cadeau par un des prélats qui l'accompagnaient. Sans doute voulait-il mettre un terme à ce déshabillage qui pouvait ne plus avoir de limites.»

C'est à décourager tout le monde d'écrire.

Roman autobiographique, style, vie privée modifier

Je pensais enfoncer une porte ouverte en qualifiant Les Amitiés particulières de roman autobiographique. Mais puisque des doutes ont été émis, expliquons quelque peu...

Tout d'abord, un roman autobiographique reste un roman. C'est-à-dire qu'il montre une adaptation de la réalité vécue, et non pas exactement cette réalité-là.

Mais Peyrefitte a lui-même avoué (en plusieurs endroits me semble-t-il) qu'il était absolument incapable d'imaginer et d'écrire de la fiction. Tous ses ouvrages, même Mademoiselle de Murville ou L'Oracle, sont presque entièrement inspirés de faits réels.

Pour ce qui est des Amitiés particulières, leur caractère autobiographique a été affirmé par l'auteur à plusieurs reprises. Il faudrait relire en particulier les passages des Propos secrets qui abordent ce sujet. Il faudrait aussi que je fasse des recherches dans la trentaine de lettres qu'il m'avait écrites... Il en avait également parlé, lorsque nous nous étions rencontrés en Italie. Je me souviens encore de ces confidences : le modèle d'Alexandre Motier s'appelait en réalité Georges Guéret , il ne s'est pas suicidé comme dans le roman puisqu'il est mort le 18 Mars 1928, soit a 20 ans.Une enquête intêressante a était menée dont je vous donne le lien : http://www.lesdiagonalesdutemps.com/2015/10/a-la-recherche-d-alexandre.html.

Quant au style du Maître, cela mériterait certes un long développement. Contrairement à ce qu'on a souvent dit, sa qualité ne tient pas au seul purisme. La prose de Peyrefitte, jusqu'à peu près L'Exilé de Capri inclus, avait une élégance inimitable. Pourquoi ensuite a-t-il peu à peu perdu ce charme délicat – tout en restant aussi farouchement puriste ? La trilogie d'Alexandre le Grand, si elle est un monument d'érudition, n'a plus, hélas, la qualité stylistique, la grâce de ses premières oeuvres. Qualité que l'on retrouve, en revanche, dans son tout premier ouvrage, bien que publié très tardivement, Le Dernier des Sivry.

Il faudrait aussi écrire tout un chapitre sur la vie personnelle de Peyrefitte : ses années de collège, sa découverte de la sexualité (à dix-sept ans !), son passage dans la Carrière diplomatique, ses innombrables dragues de garçons, seul ou avec divers compagnons (parmi lesquels Montherlant), ses affaires de justice (contre le Quai d'Orsay, contre les Rothschild, contre des éditeurs, etc., sans compter parfois des problèmes de moeurs), ses collections de livres et d'oeuvres d'art, son grand amour pour Alain-Philippe Malagnac, qui l'a quasi ruiné ; et la fin de sa vie, dont à vrai dire je ne sais pas grand chose...

Pontalley, 20 jul 2005


Je vous trouve bien sévère, Pontalley, lorsque vous écrivez: «La prose de Peyrefitte, jusqu'à peu près L'Exilé de Capri inclus, avait une élégance inimitable.» Il est évident qu'un grand auteur ne peut être toujours égal à lui-même; vous savez que Kléber Haedens avait trouvé plat le style des Juifs et Peyrefitte est entré alors dans une colère digne de l'archevêque de Grenade. Mais après Les Juifs il nous a donné Des Français, un sommet de l'esprit dans notre littérature. Même L’illustre Écrivain contient des passages savoureux. Disons que pour moi, qui suis lecteur et rien d’autre, je n’ai pas trouvé qu’il eût perdu son charme. Gustave G. 20 juillet 2005 à 20:08 (CEST)Répondre

Article cité sur une quatrième de couverture modifier

Les auteurs ayant contribué à cet article seront surement heureux d'apprendre qu'une récente ré-édition des "Amitiés particulières" aux éditions gays et érotiques "Textes Gais" cite un passage de l'article en quatrième de couverture :-) Enfin pour être exact un passage d'une ancienne version de l'article. On peut lire le passage en question sur cette page. Pour info, le bouquin est en vente à la FNAC des halles (c'est là que j'ai repéré ça :-)) .: Guil :. causer 1 octobre 2005 à 01:17 (CEST)Répondre

Le passage auquel on fait allusion avait été sabré par un neutralisateur sans gout comme il y en a trop. Un site du CRDP Aix-Marseille, meilleur juge en la matière, l’avait cependant sauvé et on le retrouvera ici. Amazon ne l’a pas dédaigné, non plus que la FNAC qui le publie sous la rubrique Le mot de l’éditeur. J’aime mieux évidemment que ce passage ne soit pas signé, qu’imaginerait-on ? Gustave G. (d) 11 février 2012 à 15:06 (CET)Répondre

ménage à faire modifier

Hello!

Heu j'ai pas pigé ton diff là... En quoi Roger Peyrefitte est homonyme de garçonnière? :-) Cet homme était certes pédéraste, mais le lien est un peu plus flou qu'une homonymie quand même! :-) Serait-ce une erreur?

A+!

.: Guil :. causer 2 juin 2006 à 11:34 (CEST)Répondre

Comme l'a dit Siren à l'instant (ligne de résumé de l'article principal), l'homonymie, que j'avais mis provisoirement en attendant de trouver mieux, n'est donc pas la meilleure façon de mettre en valeur le fait que Roger Peyrefitte avait traduit une compilation pédérastique (sic) qui n'est pas (encore ?) comme entrée entière dans wikipédia mais que l'on peut cependant retrouver en grec via la page d'homonymie. briling 2 juin 2006 à 12:51 (CEST)Répondre
Heu je ne comprend pas votre problématique à toi et Siren?! Vous pouvez mettre un lien vers un article inexistant, le lien apparaitra en rouge dabord et bleuira quand l'article sera crée: ça se fait souvent, c'est pas un pb. .: Guil :. causer 2 juin 2006 à 13:12 (CEST)Répondre

m Spike Milligan; 13:14 . . Guil (Discuter | Contribs) (Revert: brilling, je pense que tu as mal compris le système des pages d'homonymie :-))

J'utilise très souvent les bandeaux d'homonymie simples mais j'ai voulu me lancer sur le bandeau homon , avec, je m'en excuse, une certaine maladresse. briling 2 juin 2006 à 14:39 (CEST)Répondre

Cousinage avec Alain Peyrefitte modifier

Il me semble bien avoir lu dans Propos secrets que Roger Peyrefitte parle d'Alain Peyrefitte comme de son cousin. La chose étant d'ailleurs généralement admise, c'est à l'I.P. qui doute de cette parenté de fournir une référence ; il n'a pas à affirmer le contraire d'autorité. Gustave G. 25 janvier 2007 à 22:08 (CET)Répondre

Je vous renvoie à l'ouvrage de Joseph Valynseele et de Denis Grando, "A la découverte de leurs racines" (éd. de l'Intermédiaire des Chercheurs et Curieux, 1988), où ces éminents généalogistes montrent qu'il n'existe pas d'ascendant commun actuellement connu entre Alain et Roger Peyrefitte. Cette parenté est supposée, et n'est pas postérieure au XVIIIe siècle si elle existe. Elle est actuellement basée sur une homonymie et sur un terroir commun d'origine. Cela ne crée pas une parenté prouvée. L'homonymie a quand même justifié que le normalien, qui se prénommait également Roger à l'origine, ait choisi le prénom d'Alain pour se distinguer de son "sulfureux cousin".

J'avais immédiatement reverté puisque je n'avais vu aucune justification sur le résumé après modification de l'article. Il faut, en pareil cas, y écrire : « Voir discussion ». Comme d'autres wikipédiens sérieux je perds assez de temps à lutter contre les vandales et je n'ai pas le temps de vérifier si l'intervenant anonyme n'a pas oublié cette précision. Par ailleurs l'expression « putative » ne me semble pas adaptée ici. Gustave G. 5 février 2007 à 06:41 (CET)Répondre
Roger Peyrefitte a, en tout cas, fait plusieurs fois référence à cette parenté et il ne semble pas que cela ait été une galéjade. J'ai rajouté comme source un article de presse où une membre de la famille confirme le rapport de cousinage. Cependant, il semble que les Peyrefitte soient une grande et vieille famille, avec des cousinages éloignés, donc le lien de parenté pourrait en effet remonter assez loin (surtout vu la date de naissance de Roger). Cela n'a rien d'aberrant, j'ai moi-même une "cousine" éloignée dont la parenté avec moi remonte à la fin du XIXe siècle. Jean-Jacques Georges (d) 6 décembre 2011 à 20:02 (CET)Répondre

L'homosexualité de Pie XII modifier

J'apprécie presque toujours la pertinence des corrections de Necrid Master, c'est pourquoi je suis étonné de voir qu'il a supprimé sans daigner donner la moindre explication la partie où étaient évoquées les allusions de Roger Peyrefitte à l'homosexualité de Pie XII ; que ce pape ait eu ou non ces mœurs, c'est une autre question, et il faut remarquer que l'article se gardait bien de trancher ; mais enfin on ne peut nier que Peyrefitte l'en ait bel et bien accusé, discrètement dans Les Clés de saint Pierre et ouvertement dans Propos secrets. C'est un fait que François Mauriac en a été outré et a menacé L'Express de suspendre sa collaboration s'il continuait à laisser paraître de la publicité pour ce livre. C'est un fait que Peyrefitte a traité Mauriac de Tartuffe et l'a accusé de pratiquer lui-même les mœurs grecques (là encore je ne saurais me prononcer sur l'exactitude du fait, mais l'accusation a bien été faite ; la phrase ne semble guère dubitative mais elle n'est pas de moi. Je ne l'avais pas changée car je ne suis pas au courant de la vie privée de cet auteur que je n'aime guère)

Je souhaiterais donc que Necrid Master justifiât sa suppression. Vu mon âge cet épisode ne fait pas pour moi partie des lectures historiques mais des souvenirs, et tout cela est encore frais dans ma tête. Gustave G. 29 janvier 2007 à 12:29 (CET)Répondre

Je n'ai pas du tout supprimé les allusions de Roger Peyrefitte à l'homosexualité de Pie XII ! Je me suis contenté de corriger des fautes de forme. Necrid Master 29 janvier 2007 à 12:58 (CET)Répondre

L'homosexualité de Mauriac modifier

Petite remarque sur le phrase "n'hésita pas à mettre sur la place publique les mœurs d'homosexuel caché de Mauriac" : Cette phrase est inacceptable si la prétendue homosexualité de F.Mauriac n'est pas avérée. Quelque chose comme "n'hésita pas à accuser publiquement Mauriac de cacher des moeurs homosexuelles" semble plus adapté. Je ne connais pas franchement la biographie de Mauriac, quelques recherches sur internet relatent des anecdotes qui montreraient que Mauriac serait un "homosexuel refoulé", ce qui n'est pas tout à fait la même chose que d'avoir des moeurs homosexuelles... Pour garder la phrase telle qu'elle est, il me semble qu'une référénce bibliographique serait nécessaire.

Ta proposition ne va pas non plus, le verbe "accuser" n'est pas bon: on accuse quelqu'un de quelquechose de négatif, pas de quelque chose de positif ou de neutre. Certes à l'époque ça l'était, négatif, mais une formulation plus neutre me semble néanmoins importante ici. Par exemple: "... n'hésita pas à affirmer publiquement que Mauriac aurait des moeurs homosexuelles cachées." .: Guil :. causer 25 février 2007 à 18:39 (CET)Répondre

Expliquer ses changements modifier

Mayeul est inscrit depuis plus d'un an mais il ne contribue que fort peu ; il aurait pu au moins apprendre qu'on ne supprime pas brutalement et d'autorité des informations, on doit dire pourquoi dans la page de discussion. Sur Mgr Gromier, j'avais bien précisé que je rapportais les informations de Peyrefitte : « Tel que nous le décrit Peyrefitte... », pourquoi donc supprimer le paragraphe ? Mayeul aurait-il lu les Propos secrets en y trouvant le contraire ? J'avais bien précisé : « il y multipliait les allusions voilées à l'homosexualité du Souverain Pontife (ou au moins à celle qu'il lui prêtait) », pourquoi donc se sentir obligé de défendre lourdement Pie XII ? J'avais un peu tiqué devant la « militance courageuse et assidue » mais, comme cette expression avait été ajoutée par une I.P. qui semblait fort au courant et dont j'attendais des développements supplémentaires, je m'étais gardé de rien toucher.

Je reviens donc au texte qui précédait son intervention et j'attends de lui qu'il explique ses modifications au lieu d'intervenir comme l'infaillible qui n'a pas à justifier ce qu'il écrit. Gustave G. 5 juillet 2007 à 02:38 (CEST)Répondre

Propos secrets 3? modifier

Qu'en est-il de propos secrets 3? Est-ce quelqu'un sait ce qu'il s'est passé? Personne n'a voulu le publier? Roger ne l'a pas fini? Pourtant il est annoncé comme publication imminente dans propos secrets 2 qui date de 1980...

J'aimerais beaucoup faire des articles dans wikipedia sur Propos secrets 1 et 2 qui m'enchantent à chaque lecture (je dois être une vrai commère), je n'ai jamais écrits d'articles sur wikipedia, comment s'y prendre pour résumer de tels bouqins? ya t'il des personnes qui souhaiteraient participer à cet article avec moi?


Ah ça y est j'ai trouvé ce que je cherchais, effectivement il y a eu un propos secrets 3 que je viens d'acheter aujourd'hui (je suis impatient de le recevoir), il s'apelle L'innominato - Nouveaux propos secrets.--Lovecran2001 3 septembre 2007 à 11:18 (CEST)Répondre

Œuvres mineures à préciser modifier

J'ai créé une rubrique Œuvres mineures (titre qui d'ailleurs aurait fait sourire Roger Peyrefitte...). À chacun de faire des recherches pour la compléter, car il y a sans doute un grand nombre d'articles, de préfaces, etc., à répertorier.

Serait-il possible aussi de préciser les références exactes (titre des textes, pages, dates précises) des contributions de Peyrefitte dans Les Œuvres libres et dans Doucet Louis, raconté par... ?

Diablido (d) 4 mars 2008 à 00:17 (CET)Répondre

Peyrefitte historien ? modifier

Le 18 octobre 2007 à 03:08 l'I.P. 65.206.122.30 a modifié le début en : « Roger Peyrefitte (Castres, 17 août 1907 - Paris, 5 novembre 2000), Ecrivain notable, historien. » Écrivain notable, tant qu'on voudra ; historien, non. Cela ne veut pas dire qu'on ne puisse s'appuyer sur lui en tant que témoin de son époque, mais pour les événements lointains il n'a aucune autorité. Qu'en pensez-vous ? Gustave G. (d) 24 mars 2008 à 04:45 (CET)Répondre

La mention Ecrivain notable me paraît un peu ridicule : qu'est-ce qu'un écrivain "notable" ? Et un qui ne le serait pas ?!...
En revanche, "historien" n'est pas faux, même si cela ne concerne pas l'essentiel de l'œuvre de Peyrefitte. Sa trilogie d'Alexandre est un ouvrage à la fois de littérature et d'histoire, car on y trouve une foule de détails (jamais réunis auparavant) sur la civilisation grecque, ce qui forme un tableau d'ensemble digne des historiens professionnels. Dans la même veine, la série des Voltaire ressuscite une époque autour d'un personnage principal.
La Nature du prince est la chronique d'un événement certes mineur, mais tout à fait historique. De même pour Chevaliers de Malte.
La biographie d'un personnage d'autrefois est-elle de l'histoire ? Dans ce cas, on peut citer aussi L'Exilé de Capri.
Ensuite, on peut discuter pour savoir si Peyrefitte était un bon historien – ce qui est une autre question...
Diablido (d) 12 avril 2008 à 22:46 (CEST)Répondre

Âge d'Alain-Philippe Malagnac modifier

J'ai corrigé l'âge d'Alain-Philippe Malagnac au moment de sa rencontre avec Roger Peyrefitte, en mars 1964 : il avait alors douze ans et demi, et non quatorze, comme en témoignent les références données en note.

Ça le fait naître en 1951, ce qui est confirmé en outre par Propos secrets, p. 291-292, où Peyrefitte dit qu'il avait seize ans l'année de la sortie de Notre amour (1967).

Mais malgré quelques recherches rapides, je n'ai pas pu trouver l'exacte date de naissance d'Alain-Philippe. Quelqu'un aura-t-il plus de succès ?...

Diablido (d) 27 juin 2008 à 00:16 (CEST)Répondre

Biographie modifier

Une biographie basée sur les écrits autobiographiques de Roger Peyrefitte, ainsi que sur de nombreux documents inédits: correspondances, archives du ministère des affaires étrangères et de la préfecture de police, souvenirs de contemporains, témoignages d'amis et de proches...paraîtra en juin 2011 aux éditions H&O. Ce travail restitue l'homme attachant, généreux et désintéressé qu'il fut, trop souvent injustement décrié, et éclaire la genèse de l'oeuvre. Il replace l'écrivain dans le milieu littéraire de son temps. Il démonte plusieurs légendes complaisamment entretenues par des critiques partiaux ou intéressés, notamment sur un Peyrefitte collaborateur, vichyste, antisémite...


PEYREFITTE ET ARNO BREKER

Dans l'article Wikipedia sur le sculpteur Arno Breker ( dont on sait qu'il fut le sculpteur officiel du IIIème Reich) mort en 1991, il est indiqué que son éloge funèbre fut prononcé par R. Peyrefiite. quelqu'un en sait-il plus à ce sujet ? Dans le livre assez décevant, Retour en Sicile, un des derniers de R. Peyrefitte, il est question des obsèques d'A. Breker, mais Peyrefiite ne semble pas y avoir assisté. Un ami lui ramène la couronne de laurier qui a servi lors des obsèques et Peyrefitte la place sur son propre buste ( peut-être du à Breker ?); en tous ca l'anecdote prouve des liens avec le sculpteur allemand, sans doute basés sur une esthétique "néo-classique" commune aux deux hommes .

bandera ross'e bianca 10 2 2012

Les funérailles religieuses de ce monsieur modifier

J'avais écrit, confiant dans mes souvenirs, que Roger Peyrefitte était mort « muni des sacrements de l'Église » mais, pris maintenant de scrupules, je n'ai pu retrouver la trace qu'il eût reçu le saint viatique et l'extrême onction, donnés par je ne sais quel père de Trennes ; nous savons au moins qu'il a eu droit à une cérémonie religieuse le mercredi 7 novembre 2000 en l'église Notre-Dame-de-Grâce de Passy (voir ici). J'essaierai d'en savoir plus. Gustave G. (d) 28 juin 2013 à 21:11 (CEST)Répondre

Dans les dernières pages (p 327) de la biographie écrite par Antoine Délery en 2011, on peut lire : Début novembre, pressentant sa fin, ses amies de la chapelle de la rue Las-Cases font venir un prêtre rue du Maréchal Maunoury. Le vieil homme reçoit les derniers sacrements. Il s'éteint doucement au matin du dimanche 5 novembre. Siren - (discuter) 29 juin 2013 à 00:17 (CEST)Répondre

Bibliographie modifier

Roger Peyrefitte a aussi écrit " Tableaux de chasse, ou la vie extraordinaire de Fernand Legros" Albin Michel 1976. Dans ce livre Julien est le pseudonyme de Raoul Lessard, peintre et faussaire. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par BERNARD13 (discuter), le 16 mars 2019 à 08:37

Bonjour BERNARD13, cet ouvrage apparaît bien dans la section Roger_Peyrefitte#Œuvres_principales. — Daehan [p|d|d] 18 mars 2019 à 13:53 (CET)Répondre

"L'amour des garçons" modifier

Bonjour,

Je souhaite ouvrir une discussion au regard de l'actuelle remontée dans les médias d'un débat entre littérature et pédophilie (autour de Gabriel Matzneff notamment). Il me semblerait justifié de ne plus euphémiser les rapports sexuels entre majeurs et mineurs comme il l'est fait dans le chapitre intitulé "l'amour des garçons", mais bien d'utiliser, au moins une fois dans cet article, le terme de "pédophilie". En effet, le terme "pédéraste" me semble trop daté pour la frange plus jeune de la population, et qui, à moins de faire preuve de curiosité, passerait à côté d'une de ses significations majeures.

Je vous remercie, et bonne après-midi! Julesfred

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