Discussion:Réaction d'oxydoréduction

Dernier commentaire : il y a 1 an par Ariel Provost dans le sujet Définitions
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Quelques remarques : modifier

- les réactions redox ne s'accompagnent d'un courant électriques que si l'oxydation et la réduction ont lieu au niveau de 2 électrodes séparées ;

- le critére absolue pour détecter une réction redox est celui de la variation du nombre d'oxydation;

- la notion de couple redox est en générale inutile pour les réactions qui n'ont pas lieu dans l'eau (donc qui sont donc réalisées par voie dite sèche.

CB (enseignant de physique/chimie.

Pour la premiere remarque je suis d'accord, l'article ne dit pas le contraire, pour le second je suis d'accord, c'est LE critère. Par contre pour la dernière je le suis moins. Certa pour le programme de lycée, c'est de l'anecdote, mais deja en voie seche, les diagramme d'Ellingham sont très utiles ( sur la posibilité d'une réaction ou non), et d'autre part, en voie "humide", il y a d'utre solvants que l'eau. Paul76 19 janvier 2007 à 23:06 (CET)Répondre


- quand on écrit une équation de réaction il faut privilégier le "=", la flèche etant réserver au réaction total par exemple la réaction 2H2O = HO- +H3O- se fait très mal et n'est pas total alors que HO- +H3O- → 2H2O se fait très bien et est considéré comme total, dans ce cas la flèche est justifier

Bonjour je voudrai savoir qu'il est la difference entre roche oxydé et roche altéré e-mail N_zerhouni03@hotmail.com

Bonjour. Une roche oxydée est alterée par son contact avec l'oxygène (de l'air), qui oxyde les composés réducteurs de la roche en oxydes, hydroxydes, sulfates, etc (par exemple le fer rubanné) ; une roche altérée peut l'être par l'eau, le vent, etc : elle n'est pas forcément oxydée, bien que ce soit souvent le cas. On peut considérer que les roches métamorphiques sont altérées, même si elles n'ont jamais pris l'air. Airelle airelle

Bonjour

Comment éviter une oxydation entre un métal ferreux et un métal argent dans un liquide acide ph 0 merci

Bonjour, j'ai ajouté un mot sur les réactions prébiotiques en atmosphère oxydante et réductrice, car la confusion est commune -- luxorion.

règle du gamma modifier

la règle du gamma n'est pas au programme de première S ni terminale S et doit donc être utilisée officieusement... Un élève de TS

Fusion Oxydation et Réaction d'oxydo-réduction modifier

Les deux articles traitent d'oxydation, de réduction et d'oxydo-réduction. Je recommande de garder le titre Réaction d'oxydo-réduction et de faire des redirections de Réduction et d'Oxydation vers l'article Réaction d'oxydo-réduction. L'article Réaction d'oxydo-réduction est bien écrit et forme une bonne base pour la fusion. Mig 11 septembre 2007 à 22:18 (CEST)Répondre

Oxydation en l'etat fait doublon avec Réaction d'oxydo-réduction, je suis donc pour une fusion, en reportant les info du premier dans le second (enfin il ne devrait pas y avoir grand choses a faire). Cependant, il faudrait garder un article oxydation, tres simplifié (les réaction d'oxydoréduction ne sont pas comprisent par tout le monde). Paul76 14 septembre 2007 à 13:36 (CEST)Répondre
Je comprend ce que paul76 écrit, mais je pense qu'il faut mieux faire une intro simple et explicite dans réaction oxydo-réduction. Vincnet G 14 septembre 2007 à 18:30 (CEST)Répondre

Cas où la conception classique de l'oxydo-réduction est difficile à utiliser modifier

Je trouve que c'est très pratique dans la vie courante d'utiliser la vieille conception que l'oxydation est l'ajout d'oxydant à une espèce et la réduction, la réduction de la teneur en métal d'une espèce. Pouvez-vous donner des exemples dans lesquels ce repère mnémotechnique n'aide plus ? Je trouve ça ridicule que les profs demandent de retenir ces choses par perte ou captation d'électrons, alors que c'est plus simple de le déduire de la conception ancienne de l'oxydo-réduction.

On peut lire : Mais les réactifs H2 et O2, et le produit H2O sont des molécules; aucun ion, qui permettrait une interprétation en termes de transfert d'électrons, n'est présent dans les espèces chimiques impliquées.

Alors que l'on peut parler me semble-t-il de "H+" et "O2-" en terme d'étape +/- intermediaire, au vue de la chaleur dégagé, il est forte possible qu'il y ai ionisation lors de cette oxydation ? — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 82.227.55.233 (discuter), le 22 octobre 2012 à 07:18

Oui, en thermo on calcule les énergies d'ionisation et de réticulation par exemple, et aborder l'oxydoreduction de cette manière dès le lycée permet d'appréhender cette décomposition qui facilite la façon de concevoir les étapes énergétiques dans le cycle de born-haber. Donc ce n'est pas dénué d'intérêt ca représente bien ce qui se passe quelque part Thérapleutre (discuter) 12 avril 2022 à 10:59 (CEST)Répondre

On ne peut certainement pas définir la réduction par la « la réduction de la teneur en métal d'une espèce »: dans le contexte de la corrosion, c'est l'oxydation qui réduit la teneur en métal, pas la réduction. Mais on peut aussi oxyder ou réduire des molécules organiques, qui ne contiennent pas d'éléments métalliques; ou oxyder/réduire des métaux en enlevant/ajoutant des électrons sans changer "la teneur en métal". Voir l'article sur l'histoire des concepts dans la section ci-dessous. --Lewisiscrazy (discuter) 12 avril 2022 à 11:13 (CEST)Répondre

Histoire du concept modifier

Alain Dumon, « L’origine des concepts d’oxydation et de réduction », L'Actualité Chimique, vol. 441,‎ (lire en ligne) --Lewisiscrazy (discuter) 11 juin 2019 à 10:19 (CEST)Répondre

Définitions modifier

Bonjour à tous. La section « Définitions » me paraît à revoir :

  • d'une part (mais ce n'est pas très important), il me semble qu'il vaudrait mieux parler de définition originelle et de généralisations plutôt que de définitions « première » et « plus modernes » ;
  • d'autre part (bien plus critique), le nombre d'oxydation (n.o.) est défini strictement comme correspondant à la charge d'un ion alors que la notion s'applique aussi (et en fait bien plus souvent) à des atomes liés par des liaisons autres que ioniques (covalentes, notamment). Dans ces cas le n.o. correspond au nombre d'électrons de l'atome engagés dans ces liaisons (avec un signe qui peut correspondre à la dissymétrie des liaisons, mais souvent seulement au classement des atomes concernés dans l'échelle d'électronégativité) ;
  • je pense par ailleurs que le nombre d'oxydation devrait bénéficier d'une sous-section propre (mais courte, avec renvoi vers l'article détaillé).

Ariel (discuter) 2 février 2023 à 10:05 (CET)Répondre

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