Discussion:Neuroleptique

Dernier commentaire : il y a 1 an par 2A01:E34:ECAD:7380:819C:EC9D:B8C6:400D dans le sujet Article partial
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J'ai retiré ca de l'article: "Certains patients rapportent que l'effet de ces médicaments est désagréable.Les neuroleptiques peuvent induire des dysfonctionnements familiaux graves: le patient néglige les soins affectifs et éducationnels envers sa parentèle, travaille avec difficulté. Sous neuroleptiques, les facettes de sa personnalité peuvent être modifiées (exemple, le patient peut être avare sous neuroleptiques et dépensier naturellement). Enfin, notons que les neuroleptiques peuvent avoir des effets paradoxaux (psychose de rebond).[réf. nécessaire]"

En effet, ca me semble peu utile comme information, les effets secondaires cités sont toujours moins pénible que la pathologie psychiatrique qui a entrainé la prescription de ce médicament. En effet, les différentes maladies psy qui entrainent sa prescription, particulièrement les psychoses, modifient elles aussi la personnalité et entrainent de façon bien pire des "négligence(s) envers les soins affectifs et éducationnels envers la parentèle". Il en est de même pour les autres effets indésirables cités.

Les articles scientifiques de Robert Whitaker peuvent-ils être référencés sur Wikipédia? modifier

L'histoire des neuroleptiques ne peut être écrite uniquement par ceux qui les vendent, ou qui en profitent indirectement. Il y a aussi des historiens, et parmi les historiens, des historiens critiques.

"Un des principes fondateurs de Wikipédia, le principe de neutralité (Wikipédia:Neutralité de point de vue) impose de présenter les différents points de vue sur tout sujet traité sans prendre parti (qu'ils soient partiaux, démodés, franco-centrés ou anthropocentrés) et en accordant à chaque point de vue un poids proportionnel à sa reconnaissance.

Pour satisfaire à cette exigence, il est nécessaire d'indiquer d'où proviennent les informations données dans les articles pour savoir qui les met en avant, quelle importance leur accorder et pour que chacun puisse vérifier si l'article les rapporte correctement."

Wikipédia:Citez vos sources

Pour que l'article de Robert Whitaker puisse être cité, il doit remplir les conditions suivantes:

1) l'auteur doit satisfaire une certaine notoriété, être pertinent dans son domaine, présenter un point de vu indépendant.

Cette condition est satisfaite: Robert Whitaker est tout simplement une sommité en histoire des sciences: il a été fait Knight Science Journalism fellow au MIT, il a reçu le George Polk Award for Medical Writing et le Science in Society Journalism Award de la National Association for Science Writers, et nominé pour le prix Pulitzer. Autre indice de notoriété: il a un article wikipédia dans plusieurs langues.

2) la source doit elle-même être de qualité: ici, qualité du travail scientifique d'un historien.

Cette condition est satisfaite: l'article ne contient aucune opinion bizarre, et s'appuie exclusivement sur des articles scientifiques, qui sont sourcés. L'auteur y exprime son opinion, mais de manière argumenté et mesuré: il présente les arguments de ses adversaires de manière loyale et les critique de façon loyale, il n'a rien de "militant". L'article original a été publié dans Medical Hypotheses, une revue publiée par Elsevier et référencée sur PubMed et d'autres agrégateurs du même type.

3) Annoncer la couleur.

Cela n'avait pas été fait bien que le titre de l'article soit suffisamment clair. Puisque Whitaker fait parti du courant anti-psychiatrique, je reconnais que cela doit être indiqué.

--Ascax (discuter) 2 mai 2018 à 23:16 (CEST)Répondre

Je ne sais pas trop quoi en penser. Comme vous avez indiqué qu'il fait partie du courant antipsychiatrique, ça a au moins le mérite d'être clair. D'un autre côté, on évite au maximum de mettre des liens externes. J'ai lu le texte et je ne suis pas convaincue de sa grande utilité : il est (mal) traduit de l'anglais et toutes les références ont près de 20 ans. A mon avis, ça aurait plus de sens de mettre son nom sous une liste "articles connexes". Comme ça les lecteurs pourraient connaître son parcours et le titre de ses livres en français. A part ça, ce monsieur est plutôt journaliste qu'historien et il n'a pas publié dans des revues d'histoire. Clairement, on n'a pas affaire au "travail scientifique d'un historien". Medical Hypotheses n'est pas une revue peer-reviewed. Par ailleurs,en tout cas en ce qui concerne ce lien, il s'abstient entièrement de présenter les arguments de ses adversaires...il ne peut y avoir de présentation "loyale" en l'absence de toute présentation. Braveheidi (discuter) 3 mai 2018 à 02:43 (CEST)Répondre
Un des soucis de l'histoire de la psychiatrie, c'est qu'elle est remplie de mythes et non d'histoire véritable. Et ces mythes sont justifiés par l'usage de corrélations, par un silence sur les preuves vérifiables. Par exemple, le mythe selon lequel les neuroleptiques auraient permis de vider les hôpitaux aux USA est contredit par: Golmann (1983), qui prouve par les statistiques officielles de NIMH, que le nombre d'admissions était supérieur au nombre de décharges jusqu'en 1970, soit 15 ans après l'introduction des neuroleptiques, et que le nombre de résidents a diminué à partir de 1955 en raison d'un taux de mortalité très élevé (8 à 10%). A priori ce n'est pas de la faute des neuroleptiques, car à cette époque, il n'y avait pas beaucoup de maisons de retraite médicalisée (EHPAD en France), et les HP accueillaient des déments et des infirmes dont l'espérance de vie était très réduite. Warner (1997), déjà cité dans l'article sur la schizophrénie, le confirme p. 87 de son livre: "Thus, although the number of patients in US state and county mental hospitals declined from 505,000 in 1963 to 370,000 in 1969, the number of patients with mental disorders in nursing homes increased to such an extent that the total institutionalized population of the mentally ill was actually higher in 1969. Mentally ill residents of mental hospitals and nursing homes combined rose from 726,000 in 1963 to 797,000 in 1969." Ainsi, ce qu'on observe à partir de 1963 aux États-Unis, lors de la baisse massive de la population des HP, c'est un transfert de la population gériatrique dans les nouveaux établissements (transfert indirect cependant: on n'accueillait plus de nouveaux patients gériatriques en psychiatrie, et on laissait mourir les anciens). Mais ce n'est pas tout, il y a eu énormément de recherche sur l'histoire statistique et démographique de la psychiatrie: sur le taux de réadmission, sur le rapport entre le nombre de patients internes et externes, sur la durée moyenne des hospitalisations, sur la prévalence des différents diagnostics, etc. etc. c'est passionnant. Le problème est que les articles wikipédia sur la psychiatrie rassemblent beaucoup de préjugés, de mythes, colportés par des autorités, mais faux.
Par exemple les fameux 1% des schizophrènes... Eh bien ça vient du DSM IV, si je ne m'abuse. Mais le DSM IV ne cite pas ses sources, on ne sait pas d'où vient ce chiffre, alors que la recherche scientifique dit qu'on est plutôt à 0,4%, entre 0,3 et 0,7%, mais certainement pas 1%. Dès lors, une source autorisée peut contenir des erreurs, il faut vérifier les sources, comparer les sources et s'en tenir à ce qui est prouvé scientifiquement. Pour revenir à Whitaker, il n'a pas fait les recherches statistiques lui-même, mais il compile les données scientifiques d'autres auteurs, ce qui est très utile et même indispensable dans la mythologie ambiante. C'est une source secondaire ou tertiaire de très bonne qualité.
Goldman, H, H, Adams,N, FL, Taube, C, A, (1983). Deinstitutionalization: The Data Demythologized Hospital and Community Psychiatry, Vol. 34, No. 2. DOI 10.1176/ps.34.2.129
Warner, Richard (1997) Recovery from Schizophrenia: Psychiatry and Political Economy Brunner-Routledge.
--Ascax (discuter) 3 mai 2018 à 11:40 (CEST)Répondre

Ajout de paragraphe modifier

A la lecture de cet article et au moment des jeux olympiques, je me demande si un paragraphe sur le dopage ne devrait pas etre inclus, les neuroleptiques comptant en effet parmi les substances utilisées par les tireurs notamment, afin d'améliorer leur concentration lors des épreuves. Quel est votre avis ?

Suppression de paragraphe modifier

Je supprime le paragraphe sur le Tiapride (Tiapridal) comme antalgique. En effet le tiapride appartient à la classe des neuroleptiques à part entière. Ce n'est pas un antalgique comme c'était dit. Mais en effet le tiapride est utilisé dans certaines douleurs (comme celle du membre fantôme) au même titre que les autres neuroleptiques. Voila une petite erreur corrigée.--Jean (jsvdoc) (d) 23 mai 2010 à 18:03 (CEST)Répondre


Réponse et avis modifier

Bonjour,

Pour Erika, http://www.unige.ch/cyberdocuments/theses2005/KhanAN/these.pdf, bien tardivement, une thèse sur les associations d'antipsychotiques.

Je n'ai pas souhaité faire de modification à l'article, notamment l'historique axé sur un article particulièrement "anti" antipsychotiques et sur la biographie citant pourquoi et comment arrêter le traitement...

Connaître les effets secondaires c'est bien pour pouvoir en parler avec son médecin et adapter son traitement... mais il ne faut pas oublier que l'instauration du traitement est censée atténuer les difficultés des patients. Cet article ne développe pas assez les aspects positifs.

A la lecture de cet article, je me demande quelles sont les intentions de l'auteur de certains paragraphes : certaines affirmations ne peuvent que conduire à considérer -à tort à mon avis- ces médicaments comme plus nuisibles qu'utiles et souvent dangereux (voir par exemple le syndrome malin, qui toucherait 1% des patients sous neuroleptique!?!), et conduire donc ceux à qui ils sont prescrits à les refuser ou à abandonner leur traitement. Certaines formules (par exemple : "(...) peuvent être une atteinte à la santé (...) se révélent par exemple négatifs pour la prise de poids") laissent à penser qu'il s'agit de la traduction en français d'un texte anglo-saxon. A mon sens, et comme tous les articles dont le contenu peut abuser les lecteurs, les tromper et les inciter prendre des décisions inappropriées par défaut d'information, cet article devrait être revu et son contenu modéré, dans un sens plus objectif. MC

Ben il ne tient qu'à vous ! Un conseil : ouvrez-vous un compte -c'est mieux mais pas indispensable- et commencez à réviser l'article, en apportant des sources pour vos apports. Cordialement --Ouicoude (Gn?) 6 décembre 2008 à 17:00 (CET)Répondre

Je persiste à penser que cet article est globalement malhonnête, parce qu'excessivement partial (manifestement écrit par les opposants systématiques aux traitements psychotropes) Parmi la suite des assertions pour la plupart tout à fait invraisemblables, ou tout du moins contraire à l'opinion générale sur les neuroleptiques, j'en ai relevé quelques unes qui mériteraient d'être retirées si les références ne sont pas précisées ("il est prouvé", "on découvre", "des chercheurs", "une équipe"...) :

1962 Le département d’hygiène mentale de Californie établit que la chlorpromazine, parmi d’autres neuroleptiques, prolonge la durée moyenne d’hospitalisation. !!! Références de l'étude qui aboutit à une telle conclusion ?

1965 Une étude menée après un an de suivi par le NIMH démontre que les patients traités par les neuroleptiques sont davantage susceptibles d’être hospitalisés à nouveau que les patients sous placebo. !!! Références de l'étude qui aboutit à une conclusion aussi paradoxale ?

1974 Une équipe de chercheurs de Boston signale que les taux de rechute étaient inférieurs avant la période de traitement par les neuroleptiques, et que les patients traités par neuroleptiques sont plus susceptibles d’être dépendants socialement. !!! Références de l'étude qui aboutit à une telle conclusion ?

1977 Une étude randomisée du NIMH, comparant un groupe de patients schizophrènes sous traitement neuroleptique à un autre groupe de patients sous placebo a permis d’établir que seuls 35% des patients sans traitement rechutaient dans l’année suivant leur sortie d’hôpital, alors que 45% des patients sous neuroleptiques rechutaient dans l’année. !!! Références de l'étude qui aboutit à une telle conclusion ?

1978 Le Dr Maurice Rappaport, ancien président de la California Psychiatric Society, a signalé de bien meilleurs résultats au terme de trois ans de soins chez les patients qui n’étaient pas sous traitement neuroleptique. Seuls 27% des patients sans traitement médicamenteux rechutaient dans les trois ans suivant leur sortie d’hôpital, comparé aux 62% des patients sous traitement médicamenteux. Méthodologie suivie ? Tous les patients présentaient-ils la même pathologie ?

1978 Il est prouvé que les neuroleptiques sont à l’origine d’une perte cellulaire de 10% dans les cerveaux des rats. Références de l'étude qui aboutit à une telle conclusion ?

1979 Il est démontré qu’entre 24 et 56% des patients traités par neuroleptiques développent une dyskinésie tardive. !!!!! Références de l'étude ? (les taux sont à l’évidence extraordinairement exagérés)

1979 On découvre que la dyskinésie tardive est associée à une détérioration cognitive. Qui ? Comment ? Références de l'étude qui aboutit à une telle conclusion ?

1979 Le Dr Loren Mosher, directeur du département d’études sur la schizophrénie au NIMH, signale des résultats supérieurs, à un an et à deux ans, des patients traités sans neuroleptiques dans sa clinique de Soteria. Tous les patients présentaient-ils la même pathologie ? Références de l'étude qui aboutit à une telle conclusion ?

1980 Des chercheurs du NIMH ont découvert que les patients sous traitement neuroleptique qui ne rechutaient pas souffraient d’un taux de retrait émotionnel supérieur. Par ailleurs, ils ont établi que les neuroleptiques n’amélioraient pas les capacités sociales des patients sous neuroleptiques. Méthodologie et Références de l'étude ?

1982 On découvre que les traitements anticholinergiques utilisés pour contrer les symptômes parkinsoniens induits par les neuroleptiques sont source de détérioration cognitive. Méthodologie ? Références de l'étude ?

1985 Le lien entre l’akathisie provoquée par les psychotropes et les suicides est établi. Par qui ? de l'étude ?

1985 Le lien entre l’akathisie provoquée par les psychotropes et les homicides commis avec violence est mis en avant. Par qui ? Références ?

1987 Des chercheurs établissent que la dyskinésie tardive est associée à une aggravation des symptômes négatifs de la schizophrénie, à des difficultés à marcher et à parler, à une détérioration psychosociale et à une perte de mémoire. Ils en concluent que la dyskinésie tardive est un trouble moteur dont les symptômes sont proches de la démence. Les symptômes du trouble moteur seraient proches de la démence ? Quel est le sens de cette assertion ?

1992 Les chercheurs reconnaissent l’existence d’une pathologie identifiable, causée par les neuroleptiques, qu’ils appellent syndrome neuroleptique. Outre la maladie de Parkinson, l’akathisie, le retrait émotionnel et la dyskinésie tardive, les patients sous traitement neuroleptique souffrent d’un risque plus important de cécité, de caillots sanguins mortels, d’arythmie, de coups de chaleur, de gonflement des seins, d’écoulement des seins, d’impuissance, d’obésité, de dysfonctionnements sexuels, de troubles sanguins, d’éruptions cutanées, de convulsions et de mortalité précoce. Ne serait-ce pas là un catalogue d’effets secondaires présenté de manière à faire peur…

1994 On découvre que les neuroleptiques causent une hypertrophie de la région caudale du cerveau.

1994 Une équipe de chercheurs de Harvard conclut, dans un rapport, que l’évolution de la schizophrénie chez les américains a empiré ces vingt dernières années et que la situation n’est pas meilleure aujourd’hui que dans les premières décennies du vingtième siècle. Relation avec les neuroleptiques ?

1995 Le taux de rechute des patients schizophrènes sous traitement neuroleptique, dans les deux années suivant la sortie d’hôpital, est supérieure à 80%, ce qui est un taux beaucoup plus élevé qu’à l’époque où les patients n’étaient pas traités par neuroleptiques. Du temps où très nombreux étaient ceux qui vivaient leur vie à l'hôpital psychiatrique ? Références de l’étude ?

1995 Il est signalé que la qualité de vie des patients sous traitement est très médiocre. Par qui ? Méthodologie de l’étude ?

1998 Il est prouvé que l’usage de neuroleptiques peut causer une atrophie du cortex cérébral. Par qui ?

1998 Des chercheurs de Harvard concluent que l’usage des neuroleptiques produit un stress oxydant, à l’origine des dégâts neuronaux observés dans le cerveau. Référence de l'étude ?

etc.

MC

Merci de l'avoir signalé, voir Discuter:Neuroleptique/Droit d'auteur. En cas de non neutralité, d'absence de source, ou de texte qui semble copié-collé d'un site web partisan, on peut utiliser ces modèles :Modèle:Référence nécessaire/Documentation, [[Modèle:Copie à vérifier]], [[Modèle:Désaccord de neutralité]] Apokrif (d) 25 décembre 2008 à 20:03 (CET)Répondre

Une précision : je ne pense pas qu'il s'agisse d'une violation de copyright, mais d'une suite d'assertions sans fondement sérieux (le moins que pourraient faire les auteurs du texte serait de préciser les références de l'étude ou des études qui permettraient d'affirmer de telles conclusions. MC

28 12 2008 modifier

Pour ma part j ai lu il y a des années un livre écrit par des psychiatres américain, une version traduite peut-être, qui signalait un grand nombre de travaux de recherche au sujet des neuroleptiques et il y avait effectivement beaucoup d'opinions défavorables. Voila. Ces recherches ont probablement été menées, leurs résultat peut être discuté mais il ne faut pas nier sans avoir au préalable vérifié. C est long c'est souvent difficile et ingrat mais d'abord vérifier. Avant de dire qu'ils n'existent pas.

Le consensus n'a pas toujours été le même qu' aujourd'hui au sujet des médicaments à effet "psychiques".
Je me souviens d'article dans les journaux. Quel sujet délicat au demeurant.

Bonjour, Effectivement , les effets secondaires cités sont un catalogue .Il est rare que l'on les ait tous.Par ailleurs , je crois en particulier pour le solian et le tercian que les effets secondaires sont dose-dépendant. De plus, en ce qui concerne l'amisulpride , si les symptômes positifs ne disparaissent pas à une dose de 1g par jour, il semble qu'il faille trouver un autre médicament (tercian).Une étude à été réalisée par l'unité INSERN du Cea dirigée par le Pr Jean-Luc Martinot. Mon expérience personnel me permet de dire que sans neuroleptiques ni antidépresseurs ,je n'aurai pas fait le beau cheminement que j'ai fait et dont je suis fier.

Historique détruit modifier

Les 7 versions détruites suite copyvio :

  1. (diff) 23 janvier 2009 à 15:23 . . Padawane (Discuter | Contributions | Bloquer) (24 605 octets) (a renommé Neuroleptique en Neuroleptique/copyvio)
  2. (diff) 24 décembre 2008 à 18:51 . . 88.174.100.196 (Discuter | Bloquer) (24 605 octets)
  3. (diff) 16 décembre 2008 à 13:06 . . Sbracq (Discuter | Contributions | Bloquer) (24 445 octets)
  4. (diff) 16 décembre 2008 à 11:05 . . 58.34.125.15 (Discuter | Bloquer) (24 401 octets) (Une histoire des neuroleptiques)
  5. (diff) 9 décembre 2008 à 23:02 . . 86.200.111.49 (Discuter | Bloquer) (24 406 octets) (Une histoire des neuroleptiques)
  6. (diff) 29 novembre 2008 à 15:05 . . 86.213.140.163 (Discuter | Bloquer) (23 733 octets) (La découverte des neuroleptiques classiques)

Effets secondaires modifier

Un nouveau paragraphe est apparu sur les effets secondaires, aussi "objectif" que ce qui avait été naguère supprimé. La référence principale en est un ouvrage du docteur Peter R. Breggin, dont on peut lire sur le site du CCDH (Eglise de Scientologie) un article où il affirme que, naturellement, il n'en fait pas partie... Pourquoi les auteurs de ces affirmations (qui ont manifestement comme but, non pas d'informer le public mais de dissuader de prendre des neuroleptiques) très hasardées, excessives sinon tout à fait infondées ne vont-ils pas au bout de leur logique et n'expliquent-ils pas ce qu'ils proposent comme alternative aux patients? Au moins, les choses seraient claires pour tout le monde. MD

Le paragraphe effets secondaires ne me parait en effet absolument pas objectif et insiste de façon bien curieuse sur les effets secondaires graves et rares (syndrome malin) , les NL ont en effet pas mal d'effets secondaires mais l'aspirine et le paracétamol aussi sont potentiellement mortels , n'importequel pharmacologue vous dira que tous les médicaments sont potentiellement des poisons et que c'est pour cela que les études de médecine sont relativement longues ... Les effets secondaires les plus gênants sont en fait ceux qui font arrêter le traitement ( prise de poids , fatigue ...) et donc rechuter . Il me semble possible de publier quelquechose de plus neutre basé en partie sur le Vidal .



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On ne peut pas laisser tel quel ce paragraphe fantaisiste et inexact sur les effets secondaires. Je me propose de le modifier pour donner une vue plus réelle des effets secondaires de cette classe de médicaments.--Jean (jsvdoc) (d) 23 mai 2010 à 18:36 (CEST)Répondre


Nouvelles références modifier

Pour faire suite à la question évoquée ci-dessus : deux nouvelles assertions ont été ajoutées (notamment le nombre de morts dus aux neuroleptiques atypiques). Une piste : pour avoir une idée de ce qui est derrière l'Alliance for human research protection, voir en particulier la liste des "ASSOCIATIONS SERVANT DE PARAVENT A LA SCIENTOLOGIE" sur le site http://www.antisectes.net/index-liens.htm

62.000 morts par an... modifier

Dans cet article sur les neuroleptiques, on peut lire, parmi bien d’autres de la même eau, une affirmation référencée :

« Le Dr David Graham (FDA), qui a sonné l'alarme sur le Vioxx, a déclaré au Congrès que les neuroleptiques atypiques comme le Zyprexa tuent quelque 62000 personnes par an dans les utilisations non approuvées [15] »

La référence 15 = "les neuroleptiques atypiques comme le zyprexa tuent quelques 62000 personne (sic) par an dans des utilisations non approuvées [archive]"

Le lien renvoie sur un blog : neuroleptique.sosblog.fr

Sur ce blog, un texte est proposé, très mauvaise traduction d’un article anglo-saxon (sans référence) issu d’un site am.novopress.info

Ce site am.novopress.info est inaccessible…

De tout ceci, on pourrait dire simplement que ce n’est pas sérieux, si ce n’était pas une accusation gravissime. Qu’en pensent les modérateurs de Wikipédia ?

ce 23 novembre 2010

Bonjour, tout à fait, mais il faudrait à mon sens dire aussi des choses positives sur ces médicaments. La scientologie se pare d'un masque de vérité, on ne peut enlever à la scientologie tous ces procès (aux USA par exemple). Donc c'est à "nous" de parler en bien autant que ce peu de ces médicaments qui pour ma part m'ont sauvés la vie.--Persouille (d) 10 janvier 2011 à 23:29 (CET)Répondre
Un blog n'est pas une source acceptable en pharmacologie. L'assertion peut être enlevée à défaut de sources plus probantes. --Laurent N. [D] 10 janvier 2011 à 23:35 (CET)Répondre
merci, nous avons supprimé ce passage--Persouille (d) 11 janvier 2011 à 11:48 (CET)Répondre
Bonjour, je viens de tombé sur cet article, et j'ai été surpris du ton employé, surtout sur la fin, c'est un article clairement à charge, je possède plusieurs médicament décrit comme dangereux et potentiellemnt mortels, mon psychiatre est donc un salaud ?.

Désaccord de neutralité modifier

Nous sommes en difficulté. Nous avons cru, et je fait partie de ceux-là, qu'il était possible de modifier cette page. Mais sa structure est à revoir, puisque entièrement organisée pour convaincre de s'opposer à l'usage médical normal des neuroleptiques. Bien entendu, il est utile et souhaitable qeu les positions de ceux qui s'y opposent, soient écrites, argumentées, nommées ainsi que les "groupes" qui prônent cette idée. Il faudra donc réserver un ou plusieurs paragraphes à ces idées, et même un paragraphe "Justice". Mais étant donné la fréquence, l'importance et les résultats modestes qui en découle un un paragraphe au même niveau que Action des Neuroleptiques" Effets Secondaires" ne reflète pas la réalité quotidienne de ceux qui prescrivent et ceux qui reçoivent des neuroleptiques. On retrouve ce même genre de paragraphe pour la paroxetine. Si nous sommes coincés, il faut réécrire cette page, en gardant les paragraphes intéressants, et il y en a. Il faudra trouver des auteurs capables en pharmacologie.--Jean (jsvdoc) (d) 24 février 2011 à 18:23 (CET)Répondre


Doxylamine et neuroleptiques cachés modifier

Sur cet article nous pouvons lire que de la doxylamine est un neuroleptique, une source est proposée pour le justifier. Le problème est évidemment que cette source (que l'on peut considérer comme sérieuse puisqu'il s'agit d'un réseau pédagogique d'une université de pharmacie) dit le contraire... (un antihistaminique H1 dérivé de l'éthanolamine) Ne tenant pas à m'engager du fait de "contributions" limitées sur une page qui semble avoir des problèmes conséquents de neutralité, je me permet de le signaler ici. Outre cela, la dénomination neuroleptiques cachés semble relever de la théorie du complot et c'est quand même un problème majeur de neutralité... Il est mentionné pour un de ces neuroleptiques cachés que la propriété neuroleptique est faible et n'est pas suffisante pour les psychoses,, or c'est le cas pour presque tous aux doses thérapeutiques dans leurs indications respectives, ainsi ne vaudrait il mieux pas le mentionner de manière générale avant cette liste ? --Pomme47 (d) 1 avril 2011 à 04:58 (CEST)Répondre

Neutralité...? modifier

Dimanche 16 octobre 2011. On peut lire dans l'article : « Les opposants placés en psychiatrie en URSS] dans les années 70 ont su décrire leur supplice qui est le même que celui des malades.» Faut-il en inférer que l'on fait subir un supplice aux malades lorsqu'on leur prescrit des neuroleptiques, comme on a pu le faire en URSS chez des opposants (non malades, peut-on supposer) ? C'est là une des multiples assertions malveillantes que l'on peut y lire. D'autres sont évidemment plus subtiles ou allusives. Mais le problème de fond demeure : les militants de la lutte contre la psychiatrie médicale ne désarmeront jamais, et continueront inlassablement à dénigrer les psychotropes, et inquiéter ceux qui en prennent.

Le traitement desdits opposants politiques était effectivement très similaire à une hospitalisation d'office. Encore actuellement les pratiques douteuses dans la prise en charge des patients de ce secteur sont monnaie courante : "menaces" de retarder fortement la sortie au moindre refus de traitement qui sera de toute façon "infligé" qu'on le veuille ou non (qu'il ait ou non un rapport avec l'affection supposée) voire obligation de signer pour un traitement pour avoir son bon de sortie, raisonnements absurdes pour justifier du refus d'une période de surveillance sans médication, mise en place d'un "traitement" à l'insu du patient sur la base d'un diagnostic incomplet... le "malade" est effectivement souvent traité comme un détenu.--83.196.124.6 (discuter) 18 décembre 2017 à 22:07 (CET)Répondre

Affirmations non sourcées modifier

J'ai retiré un médicament de la liste des neuroleptiques cachés : l'information n'est pas référencée, douteuse voir fausse.

Tant qu'une référence n'est pas spécifiée, cette mention risque d'induire en erreur.

La neutralité est un leure modifier

Les personnes qui parlent ici de neutralité n'ont aucune connaissance quotidienne et réelle du neuroleptique sur l'esprit humain. Un tel article critique ne peut qu'être salutaire, car il va à l'encontre des discours officiels psychiatriques et pharmaceutiques, souvent mensongers et couvert d'une pseudo rationalité monstrueuse.

Il faut distinguer la nécessité qui se présente au patient de prendre un neuroleptique des dommages causés par ce dernier. La maladie mentale aussi grave soit-elle est un paradis comparée au désert intellectuel et émotionnel que nous "offre" cette cochonnerie médicamenteuse, dont le seul but n'est pas de soigner le patient, mais de le normaliser, de l'encadrer artificiellement dans une cage sans contour.

Je précise que je ne marche pour aucune méthode, thérapie ou secte quelconque, mais les gens doivent savoir que le neuroleptique est la pire invention qu'on ai jamais créé pour prétendre rétablir l'équilibre psychique de l'être humain. Le neuroleptique tue l'intellect, le neuroleptique tue les pulsions, le neuroleptique réduit le patient à une survie biologique. Alors arrêtons de se faire berner avec l'argument "C'est mieux que rien" ou "C'est nécessaire, on a pas le choix" ; les gens qui tiennent ce discours ont la faiblesse immense de prétendre que la vie peut être déductible à une platitude mentale, une cessation du relief psychique. Mais vivre sans l'esprit c'est pire que la mort. Prenez ces médocs pendant quelques mois vous comprendrez de quoi je parle, et arrêtez avec vos prétentions de merde sur la neutralité. La neutralité est une prise de position déguisée, c'est la pire des lâchetés.

Notez que je ne suis pas contre un débat, je force la radicalité pour faire avancer les choses.

Cordialement.


Stupéfiant... Si j'ose dire. L'article n'est pas plus correct que le propos "militant" précédent. Mais ça arrive souvent sur wikipedia.fr, à ce que je vois. Lexicog. >>>>>>NB : Ces deux dernières phrases ne sont pas de moi. Merci de ne pas modifier mon commentaire.

Débat ? modifier

« Les personnes qui parlent ici de neutralité n’ont aucune connaissance quotidienne et réelle du neuroleptique sur l’esprit humain (…) Arrêtez avec vos prétention de merde sur la neutralité. La neutralité est une prise de position déguisée, c’est la pire des lâchetés.» peut-on lire ci-dessus. Ainsi donc, ceux qui ne sont pas d’accord avec l’auteur de ces lignes et les sottises lues dans cet « article » sont des ignares, prétentieux et lâches… Drôle de manière d’enrichir le débat ! Mais au fond, peut-on débattre avec quelqu’un qui sans doute préfère condamner un malade, prenons l’exemple d’une personne qui présente un délire de persécution, à souffrir plutôt que de l’apaiser ? A moins qu’il ne pense préférable de l’enfermer, comme autrefois, sa vie durant, dans un asile… et, pour le coup, le « réduire » « à une survie biologique ».

Fusion neuroleptique et antipsychotique modifier

Discussion transférée depuis Wikipédia:Pages à fusionner
C'est la même chose, seul le wikipedia français fait la différence. --Keynote (d) 31 juillet 2012 à 22:57 (CEST)Répondre

  1.   Pour, c'est vrai ! A.BourgeoisP (d) 1 août 2012 à 10:47 (CEST)Répondre
  2.   Pour, idem. Cherche [Trouve] 2 août 2012 à 20:58 (CEST)Répondre
  3.   Pour !-- Ofix (d) 17 août 2012 à 18:53 (CEST)Répondre
Ok, mais sous quel titre? Jerome66 (d) 17 août 2012 à 22:07 (CEST)Répondre
L'étymologie de neuroleptique est sité : "(du grec neuron, nerf et leptos, qui affaiblit)" ainsi que l'autre nom "ou antipsychotiques" , je sugère donc de garder neuroleptique. A.BourgeoisP (d) 18 août 2012 à 10:12 (CEST)Répondre

antipsychotique sous entend qu'il existe des psychoses. Ce terme trop compliqué est de plus en plus abandonné dans les classification internationales. De plus Neuroleptique est bcp plus utilisé -- Ofix (d) 18 août 2012 à 22:24 (CEST)Répondre

Je vais fusionner. Je vais aussi renommer Antipsychotique typique et Antipsychotique atypique en Neuroleptique typique et Neuroleptique atypique. Je vais aussi supprimer la catégorie Antipsychotique. Jerome66 (d) 20 août 2012 à 10:59 (CEST)Répondre

Neuroleptique (h · j · ) : 291 révisions sur 7 ans
Antipsychotique (h · j · ) : 24 révisions sur 7 ans
La fusion des 2 historiques entraînera 22 changements d'articles (7%) sur 315 révisions (2 ignorées).
Méthode suggérée pour respecter la licence (en cas de transfert de contenu) : utiliser {{Crédit d'auteurs|interne|titre de la source}} sur l'article et optionnellement {{auteurs crédités après fusion}} sur la page de discussion.

Neuroleptiques et antipsychotiques modifier

Le terme de Neuroleptique a été inventé en 1955 par Jean Delay et Pierre Deniker, les découvreurs en 1952 du premier produit (la chlorpromazine) ayant un effet thérapeutique sur les troubles psychotiques.

Mais aux Etats-Unis, à Neuroleptic a alors été préféré le terme de major tranquillizer (tranquillisant majeur), d' ataractic drug, puis d' antipsychotic.

Depuis quelques années "anti-psychotique" tend à s'imposer en France, suivi généralement de l'adjectif atypique  : les "anti-psychotiques atypiques" désignent les produits de 2e génération, qui ont des effets secondaires neurologiques moindres que les neuroleptiques proprement-dits (phénothiazines, butyrophénones, etc.).

Il y a donc bien une différence, et pas seulement historique.

Cordialement Dr Caire site Histoire de la psychiatrie en France

PS. J'ajoute que le terme neuroleptique typique n'existe pas. Personne dans le milieu psychiatrique ne l'utilise et le l'a jamais utilisé. J'espère que vous ne mettrez pas votre proposition à exécution...

PS2. Quant à anti-psychotique, il faut tout de même reconnaître qu'il est curieusement construit : aurait-on pensé parler pour les médicaments de la dépression d' anti-déprimés (au lieu d'antidépresseurs) ?

Je pense que ce serait intéressant de le mentionner dans la partie terminologie de l'article. Si possible utilisez des références de qualité. Pour moi les deux termes se valent. Je préfèrent le terme neuroleptique car c'est le terme utilisé à l'origine lors de la découverte (cocorico). Je ne connaissais pas cette connotation négative en anglais.

Effectivement, la version anglaise de wikipédiails préfère utiliser le mot antipsychotique. Les termes psychose et névrose étant de plus en plus obsolète avec les nouvelles classifications mais aussi dans les enseignements de la psychiatrie en faculté de médecine (suppression progressive des objectifs de deuxième cycle : disparition de ). Je trouve que antipsychotique ne fait que raviver ce terme.

Bienvenue sur wikipédia ! Il est d'usage de créer une page utilisateur et d'utiliser le bouton signature quand vous donnez votre avis sur les pages discussions ou sur les pages projets. VOus pouvez utiliser votre nom réel mais ce n'est pas nécessaire. -- Ofix (d) 11 novembre 2012 à 21:49 (CET)Répondre

controverses de neutralité modifier

Il ne s'agit de dire que les neuroleptiques n'ont pas d'effets secondaires ; il en ont même beaucoup. Ce qui m'a mis la puce à l'oreille, est la référence 14 qui ne mène à rien ("Your drug may be your problem"). La dyskinésie tardive, bien que très invalidante, ne fait pas constamment souffrir ; les patients s'en plaignent peu.— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 31.38.109.30 (discuter), le 21 novembre 2012 à 20:49 (CEST)Répondre

  • Je ne comprends pas votre demande. La référence 14 est un livre. Je n'ai personnellement pas vérifié son contenu.

-- Ofix (d) 21 novembre 2012 à 21:58 (CET)Répondre

Mea culpa modifier

En effet, la référence 14 est un livre. Mais je maintiens que la section sur les effets secondaires a un sérieux manque de neutralité.— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 31.38.109.30 (discuter), le 22 novembre 2012 à 23:01 (CEST) Plus précisément quels effets indésirables manquent ils ? Je vais le regarder en détail-- Ofix (d) 23 novembre 2012 à 09:11 (CET)Répondre

Seroplex modifier

Fut-ce un temps où le Seroplex était indiqué comme NL caché, pourquoi n'est-ce plus le cas ? y a-t-il un complot de l'industrie pharmaceutique ?!--212.194.47.49 (d) 13 mai 2013 à 18:47 (CEST)Répondre

Une réponse est apportée dans ce diff et son commentaire.--BonifaceFR (d) 13 mai 2013 à 20:11 (CEST)Répondre
L'IP qui a fait cette modif n'a apporté aucune référence pour affirmer ses dires. C'est de la censure visant à masquer le pouvoir de contrôle de l'industrie sur la société. S'il le faut, je lirai des livres sur les NL. Je pense, vu le titre, que la vérité est dans celui-ci : (ISBN 978-2294019227). Ou contacter La revue Prescrire pour voir s'ils n'ont pas déjà alertés le public sur les ISRS.--212.194.47.49 (d) 14 mai 2013 à 17:26 (CEST)Répondre

Article partial modifier

On a le sentiment d’un argumentaire serré contre l’emploi des neuroleptiques qui ne laisse la place à aucune nuance. 86.199.69.71 (discuter) 22 août 2022 à 01:02 (CEST)Répondre

Je valide complètement cette position. Le paragraphe sur l'impact social des neuroleptiques me fait bondir. L'utilisation des références pour justifier cet article est largement abusive.
J'invite les contributeurs à lire l'article de Moilanen et al (reference 70), et notamment les paragraphes 5.6, 6.1, 6.2, 6.4 pour comprendre les biais de l'article. Pour les non-médecins qui seraient tentés de lire cet article, vivre en couple, avoir fait des études longues et travailler sont des facteurs protecteurs connus de la schizophrénie, permettant de limiter le recours au traitement. Donc dire que les traitements provoquent chomage et isolement social c'est inverser (malhonnêtement ?) le raisonnement.
Par ailleurs, la conclusion dudit article se borne à valider les pratiques actuelles en matière de prescription des neuroleptiques chez le patient schizophrène. 2A01:E34:ECAD:7380:819C:EC9D:B8C6:400D (discuter) 19 octobre 2022 à 15:55 (CEST)Répondre
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