Discussion:Louis Marie Stanislas Fréron
Cet article est indexé par les projets Histoire, Politique française et Presse écrite.
Les projets ont pour but d’enrichir le contenu de Wikipédia en aidant à la coordination du travail des contributeurs. Vous pouvez modifier directement cet article ou visiter les pages de projets pour prendre conseil ou consulter la liste des tâches et des objectifs.
| Avancement | Importance | pour le projet | |
|---|---|---|---|
| B | Faible |  | Histoire (discussion • critères • liste • stats • hist. • comité • stats vues) |
 | Politique française (discussion • critères • liste • stats • hist. • comité • stats vues) | ||
 | Presse écrite (discussion • critères • liste • stats • hist. • comité • stats vues) | ||
Cet article comporte une liste de tâches suggérées :
Votre aide est la bienvenue pour corriger les arguments inconnus dans les appels de modèle, présents dans l'article :
- Modèle {{ Ouvrage }} : l'argument «
passage 28» ne fait pas partie des arguments gérés par le modèle {{ Ouvrage }} (dans « Le journaliste d'extrême-gauche ») -- 21 avril 2024 à 00:56 (CEST)
- Modèle {{ Ouvrage }} : l'argument «
Une partie bibliographie serait bienvenue Pedro Lassouras 9 mai 2006 à 09:36 (CEST)
NOTICE DE PLAGIAT modifier
Cet "article" est (mal) plagié de Jean Tulard, Jean-François Fayard, Alfred Fierro, Histoire et dictionnaire de la Révolution française 1789-1799, Paris : R. Laffont, 1987, p. 832. Les passages incompréhensibles tels que « bandes de Muscadins qui armés de solides gourdins, pourchassent les sans-culottes : c'est la jeunesse dorée de Louis-Marie-Stanislas Fréron. » ne peuvent se comprendre que par une référence à l’original de MM. Tulard, Fayard, Fierro : « voyous se baptisant “jeunesse dorée de Fréron”, parcourant Paris armés de bâtons et rossant tous les passants ayant un air “jacobin”. »
- Historique et article nettoyés Le gorille Houba 27 juillet 2006 à 14:57 (CEST)
Fréron a deux dates de décès différentes...
Fréron a connu deux missions en tant que représentant du peuple, l'une où il exerça ses talents de massacreurs jacobins, que l'on appelle "excès de zèle" puis une seconde plus spécifiquement, dans la ville de Marseille, dite de pacification. Fréron n’ayant pas été réélu, ce poste avait été créé par Bonaparte. Il joua d'ailleurs honnêtement ce rôle sans exactions. Il courtisa Paulette qu'il demanda en mariage en allant jusqu’à fixer les dates. Bonaparte ne voulait pas faire rentrer cet assassin dans sa famille et s'y est opposé. Il a appelé sa famille en Italie et Paulette se consola en épousant Leclerc.
Il ne devient pas amant de Paulette/Pauline après le 18 brumaire mais bien avant lorsqu'elle était encore à Marseille. Voir ci-dessus, départ pour l'Italie et mariage avec Leclerc. Un autre passage peut prêter à sourire "jaune" - Robespierre écoeuré par ses massacres...Daniel 1er septembre 2008
Fréron pére et Voltaire modifier
fils d'Élie Fréron, le propriétaire de L'Année littéraire qui a été la cible d'épigrammes de Voltaire.
Si Voltaire s'était limité à des épigrammes... Le Grand Philosophe des Lumières a usé de son influence pour faire supprimer les publications d'Elie Fréron et a réussi à le faire embastiller. Voltaire "rampant dans toutes ses actions" disait papa Elie. La liberté d'expression, Voltaire[1] n'en connaissait qu'une seule, la sienne. Fréron fils devait sûrement se souvenir des injustices faites à papa, qui ont probablement formé ses idées révolutionnaires. Riyadi (discuter) 16 octobre 2014 à 01:00 (CEST)
- Voltaire, qui n'a jamais écrit "je déteste ce que vous écrivez, mais je donnerai ma vie pour que vous puissiez continuer à écrire"