Discussion:Interculturalisme

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Modification: Lien défectueux

Modifications: Neutralité modifier

Ce fil de discussion a été déplacé sur la page Discussion:Interculturalisme/Neutralité pour permettre de mieux suivre les propositions de modifications sur la page Discussion:Interculturalisme.--Isilmien (discuter) 26 novembre 2022 à 00:21 (CET)Répondre

Résumé introductif - Propositions de modifications modifier

Définition claire et synthèse du contenu


À faire : Réduire l'ambiguïté, ne pas laisser place à l'interprétation selon les intérêts de ceux qui cherchent à employer le terme.

- Distinction avec l'interculturel

- S'applique à l'international *améliorer au fur et à mesure

Pour l'article en général, diviser l'article en plusieurs parties proposant différentes analyses sociologiques/politiques de ce terme et de ses emplois

(En date du 25 novembre 2022)

L'interculturalisme est un modèle de gestion de la diversité culturelle[1] où les groupes ethno-culturels minoritaires s'intègrent à une société d'accueil majoritaire en établissant de relations d'échanges culturels réciproques[2]. La communication interculturelle est possible grâce à l'adhésion à un ensemble de principes et de valeurs communes qui donnent un cadre de référence autour duquel les particularités du groupe majoritaire et des groupes minoritaires peuvent s'articuler, entrer en dialogue, et voir émerger de nouvelles conceptions, valeurs et pratiques partagées par tous[3]. + Précisions sur le cadre de référence?

La société d’aujourd’hui se définit par la pluralité des aspects de la socialisation, de l’éducation, mais aussi par la diversité des langues et des modes de communication. L’approche entre les civilisations et les différences culturelles s’impose dans les faits : l’étranger appartient au monde quotidien[réf. nécessaire]. Il en découle donc beaucoup de questions quant à notre aptitude à vivre ensemble. D’où le terme de l’interculturalisme, qui peut se définir comme une construction, un ensemble de relations entre les diverses cultures. Ce phénomène découle des échanges réciproques entre les civilisations tous en préservant un respect mutuel afin de protéger l’identité culturelle de chacun.[à recycler]

Un certain nombre de films évoquent l'interculturalisme, comme le film Entre les murs de Laurent Cantet, sorti en 2008, qui raconte l’histoire de François, un jeune professeur de français dans un collège difficile. Il n'hésite pas à affronter ses élèves d’une classe de quatrième, dans des débats stimulants, comme si la langue elle-même était un véritable enjeu. Isilmien (discuter) 22 novembre 2022 à 19:46 (CET)Répondre

--Isilmien (discuter) 25 novembre 2022 à 23:30 (CET)Répondre

Beaucoup trop long et partiellement TI àmha. Seule la première partie, sourcée, a du sens en tant que définition + RI. Le reste est de la prose personnelle --> par exemple les films et adaptations traitant d'un sujet n'ont rien à faire en RI. Lebrouillard demander audience 24 novembre 2022 à 08:59 (CET)Répondre
Je suis d'accord. Mais on ne peut rien faire Isilmien a pris le contrôle de la page en s'alliant à un bénévole et ils bloquent toute modification du contenu.
Isilmien est probablement lié à un auteur ou simplement un amateur qui ne connaît rien au sujet. On est bloqué il faut le signaler aux administrateurs il fait de la propagande pas de la recherche sérieuse. Là il cite un film mais plus loin il citait deux auteurs au début de la trentaine qui manipulent leurs sources abondamment et citent n'importe comment des textes disant le contraire de ce qu'ils prétendent.
C'est un vrai shit show cette page..... Intervenez , Lebrouillard il faut sauver ce qui peut encore l'être. Fool88 (discuter) 24 novembre 2022 à 19:56 (CET)Répondre
Par rapport au contenu de cette section, je suggère de complètement supprimer le troisième paragraphe et le quatrième paragraphe. Toutefois, je crois que certains éléments méritent d'être retenus, mais reformulés/améliorés.
À lui seul, le premier paragraphe laisse sous-entendre que tout dans le « cadre de référence » pourrait être négocié, alors que l'interculturalisme demande à ce qu'il y ait une adhésion à un ensemble de valeurs et de droits enchâssé dans une constitution. En gros, je crois qu'il est important de préciser que le cadre de référence ne sort pas de nulle part.
Le caractère réciproque des échanges me semble aussi pertinent à mentionner dans l'introduction, mais en le mettant en relation avec l'interculturel, parce que c'est dans la littérature de ce concept qu'on retrouve cette définition. Une phrase ou deux qui explique la différence entre « interculturel » et « interculturalisme » serait de mise.
Donc je propose de garder le premier paragraphe et d'ajouter des précisions:
  1. sur le cadre de référence préétabli qui représente le point de départ de la négociation, et
  2. comment la notion d'« interculturalisme » se distingue de la notion d'« interculturel » (l'interculturalisme correspondrait à une institutionnalisation du concept de l'interculturel).
Je réitère encore une fois que je ne suis pas un auteur de ces textes. Ma contribution à cette section est le premier paragraphe : j'ai gardé les paragraphes 2., 3. et 4. parce qu'ils étaient déjà là. J'ai ajouté la mention [référence nécessaire] au paragraphe 3, mais j'ai davantage de notes de révision que je n'ai pas publié. Je suis d'accord avec la suppression de ces paragraphes, car les améliorer me semble une tâche plutôt ardue, mais comme mentionné plus tôt, je crois que certains éléments des contributions précédentes sont utiles pour réduire l'ambiguïté de l'introduction. Isilmien (discuter) 25 novembre 2022 à 23:15 (CET)Répondre

Interculturalisme et multiculturalisme - Propositions de modifications modifier

Interculturalisme au Québec (section) - Propositions de modifications modifier

Selon Gérard Bouchard (2011), une des particularités de l'interculturalisme au Québec réside dans la reconnaissance explicite de cultures fondatrices, c'est-à-dire majoritaires sur un territoire donné sur une période assez significative pour avoir un sentiment d'appartenance et un imaginaire collectif — le terme « fondateur » renvoyant à un processus étalé dans le temps ayant des effets structurant sur la culture majoritaire, plutôt qu'à un acte fondateur. Bouchard leur reconnaît une légitimité et des droits :

En résumé, l’interculturalisme reconnaît le statut de la majorité culturelle (sa légitimité, le droit de perpétuer ses traditions, ses valeurs, son héritage et le droit de se mobiliser pour assurer son développement) tout en l’encadrant afin de réduire les risques de débordements auxquels sont sujets toutes les majorités à l’égard de leurs minorités, comme l’histoire ancienne et récente nous l’enseigne.

Les minorités établies depuis longtemps peuvent également détenir le statut de culture fondatrice : Bouchard donne l'exemple des minorités autochtones, dont l'occupation du territoire est antérieure à celle de la majorité, ainsi que celle des minorités anglophones, qui y sont aussi établies depuis longtemps.

Brouillon :Les Québécois d'origine canadienne française évoluent aussi dans un contexte particulier°: majoritaires sur leur territoire, ils sont aussi minoritaires dans le contexte nord-américain. Dans le contexte de l'interculturalisme, ce double statut entraîne à la fois des responsabilités


Valeurs principales : L'interculturalisme au Québec reposerait sur trois valeurs principales°: la langue française, la séparation entre la religion et l'État, ainsi que l'égalité entre les hommes et les femmes (Lampron, 2021, p. 326, dans le contexte de la CBT, mais non approprié pour définir les valeurs, car ce serait de mal représenter ce que Lampron dit. Placeholder en attente d'une source plus appropriée). Isilmien (discuter) 22 novembre 2022 à 00:26 (CET)Répondre

Lampron dit clairement que cette idéologie n'est plus applicable dans l'état actuel des choses parce que ça constituerait une attaque à la démocratie comme principe d'égalité de tous les citoyens devant la loi. Non on ne peut pas faire ce que vous suggérez. Votre histoire de canadiens français c'est une idéologie raciale ça n'existe pas. Les vagues successives de colons étaient beaucoup trop diversifiés pour qu'on puisse faire décendre 4 à 6 millions de personnes de seulement 70 000 individus. C'est de la propagande que vous écrivez encore une fois vous tentez de légitimer le concept alors qu'il n'a aucune légitimité d'aucune façon. Le rapport bouchard taylor a été commandé par Jean Charest et visant à réunir un canadien dit français et un canadien dit anglais pour statuer sur le droit des minorités.
Je ne m'appuie pas là dessus dans le texte mais on m'a enseigné cette histoire en classe à l'université parce que mon professeur était le rédacteur du fameux rapport. La petite histoire est la suivante Bouchard voulait interdire tous les signes religieux, Taylor aucun. Le compromis a été d'en interdire certain. Puis il a fallu justifié ce choix qui s'attaque clairement à des signes religieux mais aussi culturels. Donc Bouchard a ressorti l'interculturalisme qu'il avait déjà tenté de proposer (sans succès parce que c'est discriminatoire). Il a ensuite passé 15 ans à tenter de définir le concept (toujours sans succès). Et la seule définition qu'on ait sort d'une loi morte au feuilleton... Bref la définition de l'interculturalisme selon Bouchard et sa bande c'est celle de la personne qui tiens le crayon.... Ce n'est pas un concept sérieux. Cette section traite de l'interculturalisme au Québec selon moi on devrait dédier la plus grande partie de l'espace au concept générique qui a eu cours pendant toute l'histoire de l'usage du mot et laisser les délires racialistes et culturalistes pour faire une page spécifique.
Vous devriez ajouter votre contenu dans la page sur Gérard Bouchard ce serait plus approprié. Ici c'est juste du hijacking clair et évident. Encore une fois M. Lamy on vous reconnait! Fool88 (discuter) 22 novembre 2022 à 03:04 (CET)Répondre


Histoire de l'interculturalisme au Québec - Propositions de modifications modifier

Brouillon. Certaines sources qui apparaissent présentement dans le texte n'apparaissent pas ici, le copier-coller ne les ayant pas conservées.

L’idée d’interculturalisme au Québec a subi de nombreuses transformations au cours des dernières décennies. Une première phase d’éclosion du vocabulaire de «°l’interculturel°» apparaît dès les années 1960 dans les milieux communautaires, suite à la volonté de Vatican II de favoriser le développement des relations interreligieuses (Lamy et Mathieu, p. 793). Le Centre Monchanin, plus tard connu comme l'Institut interculturel de Montréal [archive] (IIM), développe une approche interculturelle, qui cherche à favoriser la réciprocité des échanges entre groupes culturels tout en maintenant une continuité identitaire, même si celle-ci est transformée [4] (source secondaire : Gratton, 2014, p.179) . Dès 1972, le Centre développe des programmes d'éducation interculturelle, qui deviennent fortement en demande dans les milieux scolaires (Gratton, p. 181).

Une deuxième phase s'observe dans les années 1978-1988, où l’interculturel s’installe dans les politiques ministérielles et dans le langage des pédagogues et enseignants travaillant avec les enfants issus de la diversité à Montréal. La première mention officielle de l'interculturalisme apparaît dans le premier plan d'action du gouvernement en matière d'immigration, Autant de façons d'être Québécois [à développer][5]. Malgré que le terme employé soit différent de celui utilisé par le gouvernement fédéral, le sens d'interculturalisme n'est pas encore distinct de celui de multiculturalisme°: il réfère, tout comme au fédéral, à la politique d'immigration du gouvernement (Gratton, 2014, p.183).

Une troisième phase apparaît en 1988 avec la mise à jour de la Loi canadienne sur le multiculturalisme [archive] et à la suite de l’abandon définitif tant au Québec qu’au Canada de la vision biculturaliste de la commission Laurendeau-Dunton. C'est durant les années 2000, lorsque la notion d'« interculturel » est reprise par les institutions publiques, que le terme « interculturalisme » est adopté. Selon Kalpana Das [archive], une des trois pionnières de l'IIM, cette institutionnalisation aurait donné lieu à un glissement de sens : la portée de l'« interculturalisme » aurait été réduite par rapport à la notion de l'interculturel, s'appliquant davantage à la gestion de la diversité liée à l'immigration plutôt qu'à celle, plus large, des relations entre personnes et communautés[6] .

De 1988 à 2007, un certain consensus est observable au Québec, autant dans le monde intellectuel, universitaire que politique, au sujet de cette matrice identitaire québécoise (à désacadémiser / expliquer la matrice identitaire) qui est alors préférée par les acteurs politiques de l’époque au multiculturalisme canadien. Une dernière période débute à partir de 2007 alors que se lèvent au Québec les politiques identitaires11 concernant les accommodements raisonnables et les controverses au sujet de la laïcité12. À partir de ce moment, le Parti québécois, auparavant favorable à l’interculturalisme, l’abandonne au profit de la convergence ou concordance culturelle13, un modèle considéré par ce parti comme plus affirmatif et plus éloigné du modèle canadien. Quant au Parti libéral du Québec et Québec solidaire, tous deux souhaitent l'officialiser. Sous Philippe Couillard, le gouvernement libéral souhaite reconnaître formellement l'interculturalisme comme modèle d'intégration fournissant un cadre civique commun pour tous les Québécois [7] (p. 72)

Québec solidaire souhaite adopter une loi officialisant l'interculturalisme en tant que modèle d'inclusion du Québec[8]. Dans ce livre orange (2021), l'interculturalisme y apparaît comme un outil qui, une fois formalisé, permettrait de renforcer la place du français ainsi que de faciliter l'inclusion.

Cependant, l'interculturalisme ne fait toujours pas l'objet d'une loi l'encadrant formellement en tant que politique d'intégration. Ainsi, la portée d'une telle politique au Québec serait limitée, puisque ses effets concrets ne pouvant être concrètement observés sans balises juridiques. De plus, l'absence de législation et de définition formelle viendrait fausser l'impression selon laquelle il existe un consensus autour de l'interculturalisme : d'ailleurs, la controverse entourant la Loi sur la laïcité de l'État, qui propose d'interdire le port de signes religieux pour certaines personnes en fonction d'autorité afin de respecter des principes fondamentaux comme celui de la séparation des religions et de l'État, la neutralité de l'État, ou l'égalité entre tous les citoyens, aurait révélé de nombreux désaccords au sein de la population, particulièrement en ce qui a trait au respect des droits et libertés. [9] .

--Isilmien (discuter) 26 novembre 2022 à 01:40 (CET)Répondre

Tout ça est encore basé sur Mathieu et Lamy ce n'est pas validé c'est de lampropagande. Vous reprenez exactement le même contenu. Je suis contre l'idée d'ajouter ceci c'est totalement opposé à ce que dit le rapport d'ailleurs plus personne ne s'en réclame. Vous tentez de présenter le processus comme évolutif et par phase or c'est faux. Le propagande identitaire n'est pas un fait transhistorique au Québec et l'interculturel a été fourvoyé par l'interculturalisme. C'est ce que disent grattom fozzini et lomomba. Vous tentez d'imposer vos opinions personnelles M. Lamy. Or vous avez rédigé ce texte et c'est interdit par wikipédia! Fool88 (discuter) 21 novembre 2022 à 22:16 (CET)Répondre
Je ne suis pas monsieur Lamy ni monsieur Mathieu... D'ailleurs, il n'est pas interdit pour un auteur de réutiliser son propre contenu sur Wikipédia. Il faut qu'il soit présenté de façon neutre. J'ai aussi enlevé la première phrase qui présentait la nature de l'étude de Mathieu et Lamy, puisque je la trouvais non pertinente.
Même si on enlevait Mathieu et Lamy en référence, le texte resterait pratiquement le même juste en utilisant le chapitre de Gratton. On y parle effectivement de plusieurs « phases » (voir le fil de discussion plus haut). Toutefois, puisque le chapitre de Gratton est une entrevue, l'ajout d'une source utilisant une méthode plus quantitative permet de présenter un texte plus solide.
Par rapport au passage de l'interculturel à l'interculturalisme, juste vous mentionner que le texte proposé (et celui de la dernière version que j'ai publiée) en parle. Isilmien (discuter) 22 novembre 2022 à 00:48 (CET)Répondre
Si vous voulez faire des ajouts il faut s'entendre sinon je les retire jusqu'à ce qu'il y ait un accord. Le passage sur le texte de Mathieu a été supprimé il n'est pas sérieux vous persistez à le publié sans aucune forme de critique à son endroit alors que chacune de mes phrases une critique.
J'ai signalé votre comportement aux administrateurs et je leur ai signalé que vous êtes probablement l'auteur du texte. C'est une violation flagrante des politiques du site. Je vais demander votre blocage ça suffit la propagande raciste! Fool88 (discuter) 21 novembre 2022 à 22:28 (CET)Répondre
Je fais les propositions ici, sur la page de discussion, justement pour obtenir un consensus. Isilmien (discuter) 22 novembre 2022 à 00:50 (CET)Répondre
En passant je suis citoyen du Québec m'accuser d'être non-neutre concernant ma propre société est fort de café M. Lamy. Fool88 (discuter) 21 novembre 2022 à 22:28 (CET)Répondre
Bonjour. On dirait qu'on est un peu dans le règlement de compte personnel... Alors, si je puis me permettre, si de colporter des propagandes identitaires est heureusement interdit, menacer quelqu'un d'annuler ses contributions sous prétexte de non consensus l'est tout autant. Sur le fond (je me donne de l'importance), à lire la section, l'interculturalisme a l'air d'être un truc assez institutionnalisé, du moins au Québec (dont j'ignore à peu près tout). Il viendrait de Vatican II, il y a des lois qui l'organisent, "interculturel" ça serait mieux que "multiculturel", etc. L'ensemble des sources me parait assez important, mais je n'ai aucune idée de leur valeur. Est-il déjà possible d'être d'accord sur les sources présentes dans l'article ? Les classer "sources primaires" / "sources secondaires" / "notes" ? (dans les contextes institutionnalisés, il y a souvent pléthore de sources, malheureusement ce sont surtout des sources primaires). Y a-t-il d'autres sources qui seraient intéressantes ? Avec quelles réserves ?... Voilà, peut-être que ça aiderait ?... Touam (discuter) 29 novembre 2022 à 06:36 (CET)Répondre

Différentes analyses socio/polito du terme et de ses emplois - Propositions de modifications modifier

Au lieu d'une section Critiques, diviser l'article en plusieurs parties proposant différentes analyses socio/polito de ce terme et de ses emplois (merci à contributeur externe pour l'idée) Isilmien (discuter) 26 novembre 2022 à 00:41 (CET)Répondre

(mise en contexte de l'interculturalisme avec les recommandations sur la laïcité de l'État) Ce ne sont les institutions qui sont laïques, et non les individus. (voir intervenants sur le reportage « Commission Bouchard-Taylor » de Second Regard sur Youtube. Pas une source à utiliser, juste pour donner un point de départ à cette critique).

Proposition de bouger Lampron de la sous-section « Critiques » à la section « Interculturalisme au Québec » afin d'ajouter des précisions à la notion de « consensus » mentionnée dans Lamy et Mathieu. Isilmien (discuter) 21 novembre 2022 à 21:51 (CET)Répondre

Non ce n'est pas un critique. Il a tenté de construire le concept et a fini par reconnaître que c'est impossible c'est tout. Arrêtez de tenter de marginaliser les gens qui sont en désaccord avec vous M. Lamy c'est vous qui êtes à la marge pas eux. Fool88 (discuter) 22 novembre 2022 à 03:05 (CET)Répondre
Ce n'est pas une tentative de marginalisation, mais une tentative d'introduire progressivement les idées pour permettre à quelqu'un qui ne connaît pas le sujet de devenir familier. Présenter l'interculturalisme au Québec requiert d'abord de le définir dans ses propres termes, pour ensuite pouvoir en faire la critique de manière impartiale. Dire qu'un certain point de vue est une critique n'est pas une tentative de marginalisation : c'est souvent la partie la plus intéressante d'un texte, car c'est là que les concepts et les enjeux peuvent être mobilisés. Il faut cependant bien définir le concept au préalable pour bien contextualiser la critique.
Je préfère répondre à votre commentaire dans la section Interculturalisme au Québec (section) - Propositions de modifications ici, question de pertinence. Lampron dit entre autres que l'interculturalisme, dans le contexte juridique actuel et tel que définit par la Commission Bouchard-Taylor ne peut être mis en oeuvre sans faire une rupture avec la Charte canadienne des droits et libertés (p.328). C'est très pertinent d'en parler, mais la place idéale serait après la présentation du concept en ses propres termes. Dans le contexte d'une section qui présente l'interculturalisme au Québec, Lampron fait effectivement une critique de celui-ci. Si la position est bien étayée et qu'elle respecte les critères de neutralité et d'impartialité, elle n'est aucunement diminuée par le fait qu'elle soit présentée comme étant une critique.
Encore une fois, pas monsieur Lamy! Isilmien (discuter) 22 novembre 2022 à 03:47 (CET)Répondre
Le problème c'est qu'il n'y a pas de définition claire personne n'en a proposé d'uniforme dans le temps. C'est un concept plurivoque. La seule définition possible c'est de partir de l'idée que l'interculturel c'est ce qui mets en lien deux cultures ou plus en général. Ce n'est pas une politique publique ou un modèle de quoi que ce soit.
Gérard Bouchard reprend le concept ensuite pour justifier l'interdiction du hijab dans l'espace public. Mais il n'y arrive pas donc il propose avec Taylor de le restreindre dans certains emplois. Finalement le projet tombe à l'eau. 10 ans passent et ensuite on a un autre gouvernement conservateur cette fois qui propose non pas l'interculturalisme mais simplement l'interdiction de signes religieux.
Tout ce débat est basé sur l'islamophobie en fait c'est juste la volonté de justifier l'interdiction du hijab qui a mené à la reprise de l'interculturalisme pour donner un verni d'ouverture culturelle alors qu'en fait on faisait le contraire non pas simplement de ce qu'on a fait jusqu'à ce jour mais aussi du principe même d'égalité culturelle. Je ne vois pas comment vous pouvez arriver à la conclusion qu'on a une histoire linéaire de l'interculturalisme comme on parlait de la destinée manifeste à une autre époque et ce en vous basant sur un seul et unique texte!
Rien de ce que je vous dis n'est pris en compte dans vos modifications. Aucun auteur mal cité par Lamy et Mathieu ne suffit à vous faire comprendre que ces idées sont simplement fausses factuellement. C'est désolant qui que vous soyez.
Taylor a renié son rapport et a dénoncé l'islamophobie à la base de toute cette histoire à répétition depuis 10 ans. Bouchard a appelé à la fin de la discrimination à l'embauche massive et à l'ouverture en dénonçant les lois de la CAQ sur le voile. Comment vous faites pour dire que tout ce beau monde est sur la même ligne en promouvant l'interculturalisme comme "modèle de gestion de la diversité" ou quoi que ce soit d'autre qui puisse avoir une définition claire? Fool88 (discuter) 22 novembre 2022 à 04:06 (CET)Répondre
Le but de présenter l'évolution du terme « interculturel » vers « interculturalisme » n'est pas de le présenter comme destinée manifeste, mais de donner des repères temporels. Pour la troisième fois, cette évolution est basée sur deux textes, une entrevue et une analyse de contenu. Pour l'instant, car plusieurs textes de la revue InterCulture en discutent.
Ce n'est pas ma conclusion. Je ne tente pas de promouvoir l'interculturalisme comme modèle de gestion de la diversité. Je ne tente pas d'imposer un point de vue. Je ne cherche pas à dire que tout ce beau monde est d'accord. Je ne suis pas pour ou contre. Je cherche simplement à écrire un bon article Wikipédia. C'est tout. Isilmien (discuter) 22 novembre 2022 à 04:31 (CET)Répondre
Une entrevue et un texte ne font pas une politique nationale ou un modèle interculturel "québécois" voyons donc soyons minimalement sérieux.
Les textes de Interculture vont probablement parler d'interculturalisme ou d'interculturel en effet, de là à "donner des repères temporelles" en se basant sur un seul texte qui contredit ses propres sources quand il ne cite pas le mauvais texte c'est limite. Justement c'est un article wikipédia pas une thèse il faut que le lecteur comprenne que le concept a été détourné par ces auteurs (que condamne Lampron dans leur volonté de faire des coups de force politique liberticides).
Vous refusez de décrire ce courant comme il est en tentant de vous drapper dans une neutralité qui est contredite par vos écrits. Ce qu'on avait au départ c'était le texte rédigé par une personne dont on ne sait toujours pas si vous êtes ou non liée à elle (de toute évidence vous l'êtes) et qui parlait de 4 temps de l'interculturalisme mais qui était plein d'erreurs. Maintenant on a un texte clair, qui décrit la polémique dans ses grandes lignes.
Vous proposez de remodifier le texte de la page pour revenir à Mathieu et Lamy avec leur vision linéaire plutôt que de sources les faits. Ce n'est pas compliqué de voir les interventions publiques de Gérard Bouchard sur le racisme ou les conférences de Taylor sur la dérive identitaire. Bizarrement tous les citoyens du Québec qui pensent autrement de ces deux jeunes auteurs que vous nous imposez (sans qu'on comprenne trop pourquoi) et incluant Bouchard lui-même et Taylor lui-même semblent devoir être écartés sitôt qu'ils ne vont pas dans le sens des jeunes.
Je vous ai montré comment le concept est fondamentalement problématique dans toute la littérature sérieuse y compris celle citée par les jeunes. Je vous ai montré comment la loi dit le contraire de ce qu'avait défini Bouchard dans son livre. Je vous ai montré que l'idée même de modèle québécois n'est pas corroboré par les faits puisque tout est financé par le fédéral (pour la partie effectivement dépensée). Bref toute cette histoire de modèle c'est de la poudre aux yeux, un concept vide, sans réalité concrète ni en droit ni dans la société ni dans le monde politique. C'est une tentative de justifier la restriction des droits des minorités qui a échoué et qui sert maintenant aux auteurs du courant identitaire à faire semblant de faire de la science pour se faire nommer à la tête de revues pous la simple et bonne raison que personne ne lit ces textes.
C'est le genre de travail qui gagne des prix nationalistes (assemblée nationale, x, y ou z organisation) mais qui n'est certainement pas pris au sérieux par les gens qui publient dans des cadres plus rigoureux. Fool88 (discuter) 22 novembre 2022 à 05:12 (CET)Répondre
L'entrevue et l'analyse de contenu sont là comme références quand il est question des différents stades de l'évolution du concept d'interculturalisme tel qu'on le connaît aujourd'hui. Il n'est pas question d'une politique nationale. Il n'est que question de l'évolution du terme.
Je ne suis pas lié à Lamy et Mathieu et je ne suis pas eux non plus. Cependant, je sais que leur texte est valide, car il a passé par un comité de révision par les pairs. Si vous voulez prouver le contraire, faites les démarches nécessaires avec les gens en charge d'enlever le statut de publication scientifique à la revue.
Les modifications que je propose ne sont pas « basées » sur le texte de Lamy et Mathieu. Celui-ci est utilisé comme référence pour donner des repères temporels dans l'évolution du concept. Ce n'est pas une tentative de faire la promotion du nationalisme identitaire.
Les références à Bouchard et Taylor sont là parce qu'elles sont les plus connues. Ça ne veut pas dire que c'est un consensus. Ça veut simplement dire que ce sont celles à laquelle la grande majorité des publications suivantes sur l'interculturalisme au Québec réfèrent à ces auteurs. Il faut la définir si on veut pouvoir la critiquer par la suite. Décrire Ce n'est pas une tentative de légitimer la restriction des droits des minorités.
Pour voir pourquoi votre référence au financement de l'immigration est incorrect, veuillez vous référer à la section Discussion : Neutralité (mentionnée plusieurs fois dans le fil de discussion).
Il ne s'agit pas de me convaincre que le concept est fondamentalement problématique. Vous n'avez pas besoin de me répéter que c'est vide, que la définition n'est pas claire, etc. Je suis au courant. Le but est de présenter les points de vue avec neutralité et impartialité. Isilmien (discuter) 22 novembre 2022 à 05:31 (CET)Répondre
Ce texte n'est pas un essai c'est une page wikipédia sur un concept usuel. Le texte est bourré de fautes, d'erreurs factuelles, de détournement de sources, etc. Si tout ce que vous avez à part ça c'est une entrevue désolé ce n'est pas fiable. Un article de revue ce n'est pas suffisant pour soutenir toutes ces affirmations sur des phases historiques, des définitions universalisables et la plus grande partie de ce que vous faites dire à ces textes. En somme tout doit être dans la ligne de Mathieu et Lamy sinon c'est faux. Désolé la science ne fonctionne pas comme ça et les auteurs sont tous unanimes, il n'y a pas de définition de l'interculturalisme qui soit acceptée ne serait-ce que par une majorité des auteurs s'en réclamant. Si on calcule toute la population et tous les experts alors là on parle d'une infime partie de l'opinion sur la question qui est sur cette ligne.
D'ailleurs, ce que dit Lampron c'est que toute modification devrait se faire en se soustraiyant à la Charte Canadienne, or ça ne pourrait se faire qu'avec une clause de type non-obstant. Et il se trouve qu'un sondage est sorti pas plus tard qu'hier (publié par Léger) et montrant que l'écrasante majorité de la population au Québec (près de 60%) est contre l'idée de laisser au politique le pouvoir de faire ce genre de chose. Seulement 20% de la population approuverait l'option proposée par Lampron qui imposerait la primauté du politique (Assemblée Nationale) sur le juridique (tous les tribunaux).
En d'autres termes vous avez tort. Ce que vous prétendez n'est ni l'opinion des gens que vous citez (sauf 2 jeunes auteurs), ni celle de la majorité des spécialistes, ni celle de la majorité des universitaires, ni celle de la majorité de la population et ce n'est pas non-plus ce que disent les lois. Bref mais pour qui vous prenez vous de vouloir imposer une idéologie comme un fait en vous drappant dans la sagesse et en prétendant que le traitement des minorités (comme le racisme, l'islamophobie, les meurtres de masse commis au nom de la "culture") sont des passages "non pertinents".... SVP votre juppon dépasse beaucoup prenez donc une pause! Fool88 (discuter) 22 novembre 2022 à 06:03 (CET)Répondre
https://legermarketing.wpenginepowered.com/wp-content/uploads/2022/11/Tracker-Nord-Americain-de-Leger-14-Novembre-2022.pdf
Le sondage en question. Fool88 (discuter) 22 novembre 2022 à 06:04 (CET)Répondre
Mathieu et Lamy sont des militants idéologiques. Mathieu a publié dans les médias pour soutenir son idéologie (on a vu le contenu de la loi mais vous n'avez pas commenté....bizarre). Il a collaboré avec une parlementaire indépendante pour pousser une loi qui est morte au feuilleton....
Comment pouvez vous prétendre que c'est de la science neutre et objective avec tout ce que je vous est montré depuis le début? Vous êtes de mauvaise foi. Ma plainte a été logée c'est fait on verra ce que dira wikipédia. Si vous voulez faire des modifications suivez les règles du consensus et deux sources contradictoires et mal fiscelées ce n'est pas un consensus. Fool88 (discuter) 22 novembre 2022 à 06:09 (CET)Répondre

Commission Bouchard-Taylor - Proposition d'ajout de section /modifications modifier

Contexte, déroulement : crise des accommodements raisonnables,

Conclusion : Dans leur rapport final, Bouchard et Taylor soulignent la responsabilité de la majorité Québécoise d'origine canadienne française quant à l'intégration des minorités culturelles, puisque c'est elle qui a la plus grande influence sur les institutions. Bien que sa position soit majoritaire sur le territoire québécois, elle est minoritaire en Amérique : la crainte de voir son héritage disparaître peut être à la source de doutes, de repli et de méfiance envers l'Autre. D'ailleurs, le rapport final met en garde contre la récupération de cette crainte par les médias, qui auraient fait preuve de sensationnalisme en utilisant des événements conjoncturels montréalais, alimentant l'inquiétude et les tensions entre groupes culturels[1] (p. 241-243).

La Commission n'aboutit pas à un consensus : [expliquer]@Fool88(il est pertinent de parler de la Commission, car elle marque un tournant important dans la définition du concept d'interculturalisme au Québec. Pourquoi Bouchard et Taylor sont-ils en désaccord?)

À développer : Comment la définition de l'interculturalisme a-t-elle changé suite à la Commission? Comment les conclusions / résultats du rapport ont-ils été mis en oeuvre dans les institutions?

Sources: Gérard Bouchard et Charles Taylor. (2008). Rapport « Fonder l'avenir : le temps de la conciliation ». Commission de consultation sur les pratiques d'accommodement reliées aux différences culturelles. https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/66284?docpos=243 Isilmien (discuter) 21 novembre 2022 à 21:27 (CET)Répondre

FAIT UN PLAN AVANT DE LANCER DES SECTIONS PAR PITIÉ APPRENDS À ÉCRIRE!!!! 206.253.64.61 (discuter) 26 novembre 2022 à 05:39 (CET)Répondre

Supprimer toute référence au texte Les 4 temps de l'interculturalisme modifier

Je propose de supprimer toutes les références à ce texte et de fusionner toute la section sur l'interculturalisme au Québec en un seul bloc.


Ce texte est mauvais, non neutre et plein d'erreurs. Les sources qu'il cite pour sa métholodogie n'ont rien à voir avec la méthodologie qu'il propose. Les références sont fausses et ne servent qu'à donner l'illusion d'une recherche. Ce texte est aussi nuisible parce qu'il donne l'impression d'une suite continue dans l'évolution d'un concept d'interculturalisme or c'est faux et les auteurs que ce texte cite le disent à répétition.

L'auteur du texte a probablement manipulé le contenu de Wikipédia ou fait manipuler ce contenu pour se présenter comme la seule source. Or d'autres sources (non pas critiques mais universitaires) sont disponibles et ne sont pas utilisées. Même Gérard Bouchard, Lampron et de nombreux autres sont dans la section "critiques" alors qu'ils ont écris longtemps avant que Mathieu et Lamy ne lancent leur carrière.... C'est ridicule.


Les bénévoles du site web sont visiblement complices de ceci. (Il faut vraiment avoir plus de diversité dans la composition des équipes Wikipédia c'est indécent!). On ne doit pas laisser une telle chose passer sans réagir. Le contenu de cette page constitue actuellement de la propagande raciste. Fool88 (discuter) 24 novembre 2022 à 19:53 (CET)Répondre

Bonjour, vous dites "Les bénévoles du site web"... À quel "site web" faites-vous référence? Merci Kirham qu’est-ce que c’est? 24 novembre 2022 à 19:59 (CET)Répondre
Un bénévole (qui n'a pas pris la peine de lire les échanges) a décidé de prendre parti pour Isilmien sous des prétextes fumeux..... On est pris avec ça. Wikipédia dispose de bénévoles qui peuvent visiblement intervenir sans y être habilités. Je les ai contacté pour me plaindre mais le bénévole était déjà en contacter avec Isilmien et avait pris parti pour lui sans lire la discussion.
Résultat on est pris avec ce texte nul jusqu'à ce que quelqu'un chez wikipédia réagisse et remette les chose à l'endroit pour qu'on puisse continuer à travailler sans avoir des militants identitaires dans les pattes. Fool88 (discuter) 24 novembre 2022 à 20:05 (CET)Répondre
C'est bien ce que je craignais. Je passe sur votre page de discussion, le reste ne concerne pas cette discussion. Kirham qu’est-ce que c’est? 24 novembre 2022 à 20:18 (CET)Répondre
Le bénévole s'appelle John Newton8... Il dit clairement qu'il a déjà donné des conseils à Isilmien (il n'est pas neutre) et qu'il n'a pas lu les échanges.... On est dans une manipulation totale du contenu de la page par 2 personnes sans consultation de qui que ce soit et sans discussion sérieuse. Fool88 (discuter) 24 novembre 2022 à 20:08 (CET)Répondre
  1. Lomomba Emongo (dir.) et Bob B. (dir.), L'interculturel au Québec : rencontres historiques et enjeux politiques,, Presses de l'Université de Montréal, (lire en ligne), p. 9
  2. Conseil de l'Europe, Livre blanc sur le dialogue interculturel, Strasbourg, (lire en ligne), p. 20-21
  3. Margalit Cohen-Emerique, Pour une approche interculturelle en travail social. Théories et pratiques, Presses de l’EHESP, (lire en ligne), p. 146
  4. Kalpana Das, « Éducation et interaction sociale en société pluraliste : lignes directrices », InterCulture, cahier 90, vol. XIX, no 1,‎ , p. 15-27 (lire en ligne)
  5. François Rocher, Micheline Labelle, Ann-Marie Field et Jean-Claude Icart, Le concept d'interculturalisme en contexte québécois : généalogie d'un néologisme. Rapport présenté à la Commission de consultation sur les pratques d'accomodement reliées aux différences culturelles, (lire en ligne), p. 8
  6. Danielle Gratton, Lomomba Emongo (dir.) et Bob B. White (dir.), L'interculturel au Québec : rencontres historiques et enjeux politiques, Presses de l'Université de Montréal, (lire en ligne), chap. 8 (« Le destin d'une terminologie : de l'interculturel à l'interculturalisme »), p. 186
  7. Gouvernement du Québec, Québécois, notre façon d'être Canadiens : Politique d'affirmation du Québec et de relations canadiennes., (lire en ligne), p. 72
  8. Aile parlementaire de Québec solidaire, « Québec solidaire présente un livre orange sur la langue française »,
  9. Louis-Philippe Lampron, « La Loi sur la laïcité de l’État et les conditions de la fondation juridique d’un modèle interculturel au Québec », Canadian Journal of Law and Society / La Revue Canadienne Droit et Société, vol. 36, no 2,‎ , p. 323–337 (DOI 10.1017/cls.2021.19, lire en ligne, consulté le )
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