Discussion:Conseil culturel de Bretagne
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>> Certaines associations, que ce soient les cercles de danseurs et sonneurs ou les associations d'enseignement de breton, sont qualifiées de "nationalistes" par les opposants à la culture bretonne, pour la simple fait d'avoir critiqué la politique linguistique de la France, largement en retrait sur ce sujet par rapport aux autres États européens. <<
C'est très vague, tout ça : Qui qualifie quelle association ? Où et quand ? Cette accusation est suffisamment importante pour que les sources soient précisées. Par ailleurs, la fin de la phrase est un argumentaire pour réfuter cette accusation. Même question : qui affiche cet argumentaire ? Les associations accusées ? Des personnalités publiques ? Ou plus probablement le contributeur de l'article qui nous fait part de son point de vue ? Gwalarn 2 avril 2006 à 03:01 (CEST)
La politique au Conseil Culturel de Bretagne vue par Sammy Moreau modifier
Certaines associations, que ce soient les cercles de danseurs et sonneurs ou les associations d'enseignement de breton, sont (selon les participants aux mouvement breton) qualifiées de "nationalistes" par les opposants à la culture bretonne, pour la simple fait d'avoir critiqué la politique linguistique de la France, largement différente sur ce sujet par rapport aux autres États européens.
Ces associations sont à examiner comme relevant du nationalisme, ou fondées et animées sur la base de ce qui est appelé nationalisme breton.
- Il faut d'urgence faire examiner ces associations par des commissaires politiques, des flics de la pensée, des psychiatres d'états, et organiser leur déplacement vers la Nouvelle Calédonie ou la Guyane.
On peut considérer par exemple Identité bretonne fondé à partir du POBL, Kuzul ar Brezhoneg, et l'analyse faite dans l'article Nationalisme breton :
- "Analyse" faite par qui? Par vous-même comme d'habitude? Faites donc supprimer la liberté d'association.
« À la fin des années 1940, le militantisme politique étant complètement condamné par les autorités françaises, l'engagement des nationalistes bretons se fait sur le terrain de l’action culturelle (...) Ce sont les lieux de rencontre, de réflexion, de recrutement pour les nationalistes. C'est par ce biais que vont être maintenus et transmis le nationalisme breton à une nouvelle génération au cours des années 40 et 50. »
- Que des "politiques" d'après 1945 aient fait dans la "culture", et vlan! toute la culture (qui n'est pas dans la ligne officielle ni dans la langue de l'état) est suspecte de dissidence politique. C'est du plus pur stalinisme. Si vous avez le pouvoir, les bretonnants auront droit au Goulag?
Sont cités dans cette analyse la BAS, Kendalc'h, etc.
- Et pour mon neveu de dix ans qui joue de la bombarde dans un groupe de BAS, c'est le camp de rééducation idéologique comme chez Pol Pot? Shelley Konk 18 avril 2006 à 16:06 (CEST)