Discussion:Antoine Béchamp

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Scandaleux modifier

Il me parait vraiment scandaleux de laisser cet article en l'état. J'imagine les pauvres gens qui n'y connaissent rien se dire "ah bon?" en lisant cet article. Le conditionnel serait vraiment la MOINDRE des choses... (Note : ce commentaire non signé a été ajouté le 3 juin 2008 à 19:28 par Humakt. Marvoir (d) 3 juin 2008 à 19:55 (CEST))Répondre

"Adeptes", "médecines parallèles", "dogmes", "allopathiques"... modifier

Le mot "adepte" rajouté par je ne sais qui est de trop ainsi que "médecines parallèles" ..Mieux vaut parler de médecines naturelles..La médecine chinoise par exemple a une tout autre vision de l'homme et de la maladie que l'Allopathie.. La plupart des gens ne sont absolument pas informés des travaux de Bechamp...

"mais les dogmes allopathiques restent contestés par d'autres chercheurs passés et présents et par des praticiens de médecines naturelles"

ce genre de phrases est contestable à plusieurs titres :

"dogmes" : les sciences n'ont pas de dogmes ; ce mot relève d'autres domaines et est particulièrement partisan ici

"allopathique" : ce mot provient du jargon des homéopathes et ne désigne la médecine rationnelle qu'en opposition avec l'homéopathie

"contestés par d'autres chercheurs passés et présents et par des praticiens de médecines naturelles" : heureusment... (les sciences sont remises en cause en permanence, de par leur nature) mais la contestation des "dogmes" n'implique pas qu' Antoine Béchamp avait raison. Il y a ici une erreur de logique flagrante

Jules Tissot modifier

Texte effacé : "Jules Tissot , professeur de physiologie générale au Muséum d'Histoire Naturelle, confirma ces thèses par des photographies de haute précision de cellules végétales et animales. Il montra que les organismes vivants, quand ils se dérèglent, produisent eux-mêmes bactéries pathogènes et virus."

A sourcer SVP et à exprimer plus neutrement. Les seules références trouvées sur ce chercheur proviennent toutes de la même source un peu spéciale: ce bouquin. C'est un peu léger. Bradipus bla 14 mai 2006 à 18:36 (CEST) Faux ! Léger ou pas, nous n'avons pas à cacher l'existence de contradicteurs à Pasteur .L'existence d'une autre pensée que les théories officielles sur certains problémes est digne d'intérêt.Une encyclopédie doit rendre compte des faits ,que cela plaise ou non . Ce livre que vous citez est écrit par un médecin .D'autres livres parlent de Jules Tissot .Par exemple celui de Pierre Lance.SoCreate 15 mai 2006 à 03:07 (CEST)Répondre

Eh bien nous n'avons justement pas de fait, mais un livre écrit par un auteur un peu spécial. Pour ce que j'en sais, Jules Tissot pourrait être une créature aussi imaginaire que les trucmuches, là. Je trouve en tout cas ahurissant que des gens croient encore à la génération spontanées. Bradipus Alex 30 mai 2006 à 23:53 (CEST)Répondre

"qu'il accuse d'avoir repris ses propres théories en dénaturant leur sens profond" c'est quoi cette histoire? Les truczymas, c'est la génération spontanée dont Pasteur a démontré l'inanité. En quoi aurait-il repris les thèese de Béchamp? Bradipus Alex 30 mai 2006 à 23:57 (CEST)Répondre

Théorie dont il est démontré la complète inanité. Devrait être réécrit complétement au conditionnel passé. :Jules Tissot , professeur de physiologie générale au Muséum d'Histoire Naturelle, pensa confirmer ces thèses par des photographies de haute précision de cellules végétales et animales. Il crut montrer que les organismes vivants, quand ils se dérèglent, auraient produit eux-mêmes bactéries pathogènes et virus."Bigomar 31 mai 2006 à 00:03 (CEST)Répondre
Démontré par qui? En fait je crois que le problème ici est que ce n'est même pas faux, c'est tout. Ce brave homme représente une époque révolue. Nous faire le coup de la découverte révolutionnaire pour un type qui représente tout simplement une époque morte...Bradipus Alex 31 mai 2006 à 00:29 (CEST)Répondre
démontré par un siècle de bactériologistes, la microscopie électronique, la découverte du génome etc. Le site donné en lien externe présente les théories de Béchamp Tissot el al. comme une vérité, c'est quand même un mensonge dont les conséquences (pas d'antibiotiques, c'est la mort(sic.) ) sont graves. Cet article doit signifier clairement que ces théories sont erronées et d'une autre époque, d'accord avec Bradypus. Bigomar 31 mai 2006 à 01:35 (CEST)Répondre

liens externes modifier

un des liens externes, présenté comme oeuvre scientifique est celui d'un site marchand de bouquins et produits biologiquement corrects! Bigomar 31 mai 2006 à 01:52 (CEST)Répondre

Il faudrait peut-être aller au dela des apparences (et du racisme anti-bio)....La suite ici *http://www.amessi.org/-Professeur-Bechamp- SoCreate

"La MICROBIOLOGIE DES "RÉSISTANCES" ou LE MICROBE, CET INNOCENT."

"Claude Bernard, père de la médecine moderne (dite scientifique parce qu’expérimentale) a laissé, à sa mort, des protocoles d’expériences contraires aux conclusions de Pasteur. Le dogme pastorien, malheureusement, est devenu « vérité officielle ». Posez à 100 personnes la question : « Quelles sont les causes des maladies ? » 90% d’entre eux vous répondront sans hésiter : « Les microbes ». Toute l’hygiène officielle, toute la pathologie, toute la thérapeutique sont axées sur cette idée et sur les notions d’antiseptie qui en découlent. Bien du temps et des efforts seront nécessaires pour rétablir une vérité, plus conforme aux faits. Les travaux de Béchamp, Tissot, Lumière Dès le début de ses recherches, Claude Bernard avait nettement orienté ses travaux dans le sens des mutations cellulaires. Plus tard, A. Béchamp reprit cet enseignement. Enfin, le Docteur Tissot, dont nous avons exposé la thèse, continua ce travail ; enfin, le biologiste A Lumière a apporté son immense contribution à l’oeuvre commune. La brèche était ouverte ; le Russe Poulov allait achever de démolir l’édifice pastorien. Le dogme du microbe, micro-organisme étranger aux êtres vivants et sains, a fait naître des méthodes dangereuses et abusives, en particulier celle des vaccins qui est aujourd’hui presque entièrement abandonnée dans la plupart des pays (sauf en France). Nous fabriquons un grand nombre de microbes ; et ces « microbes autogènes » ne sont pas les causes de nos maladies mais tout simplement leurs effets. Nous avons vu que non seulement certains microbes ne sont pas étrangers à l’organisme, mais encore qu’ils prennent naissance dans nos propres cellules. Ils sont, donc, autogènes. Il n’y a pas, à proprement parler, génération spontanée, mais formation d’éléments nouveaux en partant d’éléments anciens. En résumé chaque cellule vivante est composée de petits granules (microbes bienfaisants) qui édifient la vie cellulaire ; et ces granules peuvent se transformer en éléments malfaisants à la suite d’une altération du terrain (le liquide nourricier). Cela conduit à penser que le réglage alimentaire doit être une des premières méthodes de traitement pour éviter l’altération du terrain, suite à la fermentation anormale de matériaux alimentaires inutilisés. Nous sommes loin, ici, des données de l’École Pastorienne (germes répandus dans l’air, pénétrant dans les corps et déterminant les maladies) et des conséquences qu’on en tire (piqûres, vaccins, médicaments pour détruire les hôtes indésirés !). Quant aux autres microbes, d’origine externe (dont l’existence n’est pas niée par les « mutationnistes »), ils proviennent de mutations cellulaires qui se sont produites dans les tissus lésés d’animaux ou de végétaux. Ils sont donc autogènes pour les espèces qui les produisent, mais hétérogènes pour l’homme. Les agriculteurs et les éleveurs ont, de ce fait, le devoir de faire des végétaux et des animaux aux tissus indemnes de lésions mutatives, afin que l’homme puisse avoir des aliments sains, sur le plan cellulaire. Nous sommes (encore) bien loin de cette optique, malgré les efforts méritoires des « paysans biologiques ».


Les lacunes de la médecine officielle L’école officielle enseigne que toute maladie du type infectieux a pour cause un microbe ou un virus. Cela n’est pas exact. Les germes sont seulement des témoins ; ainsi les moustiques prospèrent sur les marécages, mais n’en sont pas la cause. D’autre part, la doctrine officielle ne sait pas expliquer les maladies infectieuses « sans microbes » (cas des tuberculeux non bacillaire) ; pas plus qu’elle ne donne une explication satisfaisante de la Santé parfaite de certains porteurs de microbes très virulents. Enfin, contagions et épidémies ne sont pas ce qu’affirme l’enseignement classique. La contagion ne peut se réaliser que sur un terrain favorable (un grain de blé ne pousse pas au Sahara) ; quant à l’épidémie, elle ne se manifeste que sur des groupes d’êtres vivants en commun et victimes de mêmes erreurs biologiques (encore ne sont-ils pas tous atteints !). La notion de contagion subsiste cependant dans notre système, mais combien atténuée ! Il ne peut y avoir contagion que lorsque le terrain est en quelque sorte en état de réceptivité (étincelle sur du bois sec) ou fin prêt (dernière goutte qui fait déborder le vase). Ainsi s’expliquent les expériences des hommes-cobayes : Fulton Parandel et autres, acceptant d’avaler des bouillons de microbes, sans aucun accident, la résistance de certains individus aux épidémies et la faiblesse de certains autres, même vis-à-vis des virus atténués (vaccins). L a grande leçon du petit enfant à qui on fait tout bouillir et qui ramasse et suce tout ce qu’il trouve, est à retenir. Il est heureux qu’il en soit ainsi, car si la théorie officielle était vraie, nous serions déjà tous morts. Quant aux épidémies qui ne jouent que sur des groupes préparés par des souffrances communes et qui présentent des altérations collectives de terrain, elles se limitent suivant les mêmes principes, faute de quoi aucune épidémie ne pourrait s’arrêter ou, comme le feu qui brûle dans la forêt jusqu’au dernier arbre, elle ne prendrait fin qu’au dernier homme, ce qui ne s’est encore jamais vu.../...( Source : AMESSI (Alternatives Médecines Evolutives Santé et Sciences Innovantes - Vers le Progrès du Bien-être de la Santé et des Sciences -[[1]])- Lien direct :[2]*http://www.amessi.org/La-MICROBIOLOGIE-DES-RESISTANCES

  • en particulier celle des vaccins qui est aujourd’hui presque entièrement abandonnée dans la plupart des pays (sauf en France).
    • Avant la vaccination existaient des maladies disparues, tels la variole (éradiquée aujourd'hui), le tétanos (on n'en meurt plus que dans les pays n'ayant pas le moyens de déveloper la vaccination). On a donc massacré ces pauvres microbes bienfaisants?
  • Nous avons vu que non seulement certains microbes ne sont pas étrangers à l’organisme, mais encore qu’ils prennent naissance dans nos propres cellules
    • Je mets quiconque au défi de produire une seule expérience incontestable le prouvant. Il s'agit d'une thèorie fumeuse.
  • les moustiques prospèrent sur les marécages, mais n’en sont pas la cause :
    • certes mais le rapport avec la microbiologie?
  • D’autre part, la doctrine officielle ne sait pas expliquer les maladies infectieuses « sans microbes »
    • Le cas de la tuberculose vient du fait que le Bacille de Koch est fragile et difficilement mis en évidence sur divers prélévements. Le fait de ne pouvoir le mettre en culture n'empêche pas le diagnostic (réactions immunologiques, biopsies, radiographies) et n'est nullement un obstacle à une explication "pastorienne".
  • Ainsi s’expliquent les expériences des hommes-cobayes : Fulton Parandel et autres, acceptant d’avaler des bouillons de microbes
    • Quand on mange un yaourt, on avale des milliards de microbes, idem quand on mange une fraise qu'on vient de cueillir etc. L'ingestion de microbes est en général parfaitement anodine, car ils sont détruits dés l'entrée du rube digestif par la salive, puis dans l'estomac. Les infections digestives sévères ne sont pas de nature microbienne mais liées à la production avant l'ingestion de toxines bactériennes (botulisme, staphylocoque doré). La réaction est uniquement d'ordre toxique et non bactérienne ou virale.
  • si la théorie officielle était vraie, nous serions déjà tous morts
    • Exemple type de phrase POV et non sourcée. Quelle théorie officielle? quel est le prémisse de la théorie officielle qui aménerait cette conclusion?
  • Quant aux épidémies qui ne jouent que sur des groupes préparés par des souffrances communes
    • Racontez ça aux populations des pays sous développés (je ne cause pas politiquement correct) décimées par le choléra en raison de la faiblesse de la "médecine pastorienne", vous vous ferez des amis...

Quand vous aurez vu, comme moi, une gamine de 16 ans mourir d'un purpura fulminans faute de traitement antibiotique suffisament précoce, vous comprendrez mon irritation à voir ce tissu d'inepties propulsée par la magie du net au rang de théorie scientifique. Absolument pas cordialement, Bigomar   Onkôse 9 août 2006 à 22:58 (CEST)Répondre

Ras le bol aussi modifier

de voir wp pollué par des articles obscurantistes au nom de la neutralité. --Ouicoude 24 septembre 2006 à 16:58 (CEST)Répondre

Ras le bol aussi de voir des obscurantistes (fait de censurer le savoir) censurer le savoir parallèle au nom du scientisme. On peut aimer les sciences et tolérer les sciences parallèles. recyclage 7 octobre 2006 à 12:02 (CEST)Répondre
Non, on ne peut pas. Par définition, il ne peut y avoir aucun point commun entre deux parallèles. Et ça c'est de la science! Bigomar   Onkôse 7 octobre 2006 à 13:33 (CEST)Répondre

Rajout des travaux de Béchamp sur les maladies des vers à soie modifier

Je me suis permis de faire un travail d'histoire des sciences sur les travaux de Béchamp : il n'est pas défenseur de la génération spontanée. Il a postulé le premier la nature parasitaire de la pébrine et a également travaillé sur une autre maladie des vers à soie (la maladie des morts flats ou flacherie). Il a proposé un traitement à base de créosote. L'histoire l'a un peu laissé dans l'oubli... Certains auteurs pensent parce qu'il a été plagié par Pasteur. Après avoir lu les comptes rendus de l'Académie des sciences, je pense qu'il est juste de le reconnaître et de lui laisser une place digne de ce nom sur une encyclopédie... A cet effet, j'ai mis les références de Comptes rendus de l'Académie des Sciences de l'époque... Ces comptes rendus sont consultables gratuitement et vérifiables. J'ai mis les liens internet. Cordialement. Al7 27 novembre 2006 à 16:50

Imbitable modifier

Cet article est impossible à lire. Il y a beaucoup trop de détails qui n'intéressent personne. Il faut d'urgence réduire par 3 ou 4 la taille de ce texte de mon point vue. Kelson 29 novembre 2006 à 16:51 (CET)Répondre

Niveau de neutralité: zéro modifier

Cet article a enfin atteint le degré zéro de la neutralité. C'est du délire complet. Le problème fondamental est qu'il oscille entre le procès de Pasteur parce qu'il a piqué les idées de Béchamp, et le procès de Pasteur parce qu'il a tort contre Béchamp. L'article ne choisit pas, il fait les deux procès, et ignore superbement plus d'un siècle de recherche médicale. La référence au livre "Vaccination : erreur médicale du siècle" nous éclaire sur le message sous-jacent de l'article: la médecine moderne est un grand complot. Bradipus Bla 23 décembre 2006 à 00:49 (CET)Répondre

Bonjour. J'ai beaucoup participé à l'article sur Béchamp, surtout pour la partie concernant ses travaux sur les maladies des vers à soie. Je trouve qu'il est objectif : Béchamp a émis d'emblée la bonne hypothèse étiologique. Pasteur, pendant longtemps, s'est trompé. C'est objectif de le dire : les sources des comptes rendus de l'Académie des sciences sont consultables gratuitement et les références sont là.... Dire qu'il y a eu plagiat de la part de Pasteur, c'est historique et légal. Plusieurs auteurs le disent et c'est vérifiable par les sources historiques. D'autres auteurs ont été plagiés par Pasteur, ce n'est pas un comportement isolé de la part de Pasteur... Dire la vérité peut faire mal, mais faut-il toujours taire la vérité ?. Dire la vérité, c'est une attitude neutre. Wikipédia peut servir à éclairer à cela. Les références sont là pour le prouver.
Quant à la référence enlevée par un correspondant anonyme "Vaccination : erreur médicale du siècle", elle a été insérée parce que ce livre parle de Béchamp. Cela ne change pas fondalement le fait que Béchamp a été pillé par Pasteur. Le mot "microzyma" utilisé par Béchamp a été remplacé par microbe ou micro-organismes. Le mot "zymase" également utilisé par Béchamp fut changé en enzyme. Cordialement. Al7 le 24 décembre 2006 à 11:24
En l'état l'article parle autant de Pasteur que de Béchamp, ce qui montre bien qu'il y a un problème. La série de date fait vraiment enquête criminelle.--Aliesin 30 décembre 2006 à 23:42 (CET)Répondre

Traitement de la pébrine par la créosote modifier

Dans l'article, on lit : « Pour combattre cette maladie parasitaire [= la pébrine, une maladie des vers à soie], Béchamp suggère l’emploi de la créosote, connue comme puissant antiseptique par la présence de phénol et de crésol qu’elle contient. Dans son article, il prouve l’action et l’innocuité de la créosote sur le ver à soie : il a donc trouvé le traitement de cette maladie. D’emblée, Béchamp propose la bonne hypothèse sur l’étiologie et le bon traitement de la maladie des vers à soie, et ceci en 1866… »

D'accord que Béchamp a compris avant Pasteur le caractère "parasitaire" de la pébrine, mais n'est-ce pas s'avancer beaucoup de dire que la créosote est un remède efficace ?

Dans son livre de 1870, p. 50, Pasteur écrit : « M. Béchamp, professeur à la Faculté de médecine de Montpellier, conseilla l'emploi de fumigations de créosote avec une telle insistance et une si grande abondance d'arguments, tous fondés, il est vrai, sur des idées préconçues, que les provisions de cette substance, faites par les pharmacies du Midi, en augmentèrent le prix. Mais deux années après ces publications spécieuses, il n'était plus question du fameux spécifique. » (sur Gallica).

Je ne crois pas Pasteur sur parole quand il déprécie ses concurrents, mais une recherche Google sous "pébrine" et "créosote" ne fournit que l'affirmation de Béchamp, répercutée par ses admirateurs. J'ai donc l'impression que l'effet curatif de la créosote sur la pébrine n'a pas été confirmé. Il me semble donc qu'il faudrait rendre l'article moins affirmatif sur ce point. Marvoir (d) 28 décembre 2007 à 18:51 (CET)Répondre

Pour une évaluation de Béchamp modifier

Il est difficile de trouver sur Internet des travaux sur Béchamp qui n'émanent pas de ses admirateurs.

1° Le texte suivant me semble assez objectif :

[3]

UN HEMATOLOGISTE MECONNU ?
Antoine Bechamp (1816-1908)
T. LAVABRE-BERTRAND,
dimanche 18 avril 2004

(Est-ce un texte de T. LAVABRE-BERTRAND ou un résumé d'un livre à lui par "amessi2012" ?)

Tout en signalant les erreurs et inaptitudes de Béchamp qui l'ont discrédité, ce texte réaffirme la priorité de Béchamp sur Buchner :
"Dans des domaines plus théoriques, son apport a été notoirement sous-estimé : il ne fait guère de doute, par exemple, qu’il est l’un des premiers à arriver au concept d’enzyme, dont on fait plus généralement gloire à Buchner."

(Edit : je crois savoir que Buchner a réussi quelque chose à quoi Béchamp n'était pas parvenu : la fermentation alcoolique sans ferment vivant. Sur la question de la prétendue priorité de Béchamp sur Buchner, voir section plus bas. Marvoir (d) 7 novembre 2008 à 17:09 (CET))Répondre

2° Milton Wainwright, dans Advances in applied Microbiology, vol. 52, Academic Press, 2003 (partiellement consultable sur Google Books) dit lui aussi que c'est Béchamp qui a fait la découverte qu'on attribue à Buchner. (Edit : même remarque sur la prétendue priorité de Béchamp sur Buchner. Marvoir (d) 7 novembre 2008 à 17:09 (CET))Répondre

3° Il faudrait peut-être lire :
Manchester, Keith L., Antoine Béchamp : Père de la biologie. Oui ou non?, Reproduction d'un article, SOURCE : Endeavour (English ed.), publié en 2001, N° 2, (vol. 25, pp. 68-73); LANGUE : Français

Résumé There is an alternative medicine lobby that, in conjunction with antivivisectionists, believes Louis Pasteur to have been a fraud [R. Bottomley's You Don't Have to Feel Unwell! (Newleaf, 1994) is a recent example]. They frame their accusations around a rivalry between Pasteur and a contemporary, Antoine Béchamp, from whom they suggest Pasteur stole his ideas and then distorted them for his own purposes. This article explores some aspects of the controversies between Béchamp and Pasteur.

(Voir ici.)

Plan de l'article :
1. Antoine Béchamp
2. Béchamp or Pasteur?
3. Inversion of sucrose
4. Pasteur's work on fermentation
5. Controversy between Béchamp and Pasteur in the Academies
6. Études sur la Bière versus Les Microzymas
7. The microzymes
8. Summary
References
Vitae

(Voir ici.)

Du même auteur, il y a :
Louis Pasteur, fermentation, and a rival : history of science, Authors: Manchester, K.L., ISSN: 00382353, Volume 103, Issue 9 & 10, Publication Date:2007, Pages:377-380
Abstract: Accusations of plagiarism, probably unjustified, concerning two eminent scientists over the first demonstration of fermentation by living organisms, still persist after a century and a half

Si je ne me trompe, l'ISSN indiquée est celle du South African Journal of Science.

4° Sur le caractère "parasitaire" de la pébrine (maladie des vers à soie), il semble que Béchamp ait aussi vu clair avant Pasteur, mais Béchamp n'était pas le premier et il me semble que Balbiani ne faisait pas beaucoup plus de cas des idées de Béchamp en la matière que de celles de Pasteur. (Mais je ne retrouve pas le jugement de Balbiani sur Béchamp.)

Marvoir (d) 4 juin 2008 à 09:46 (CEST)Répondre

Béchamp et la flacherie modifier

Dans l'article, on lit "Dans la deuxième communication, Béchamp parle de ses expériences avec Estor et consacre une partie de son article à la flacherie, qu’il ne faut pas confondre avec la pébrine".
La référence est : "Béchamp, Comptes rendus de l’Académie des sciences, 1867, tome 64, p. 1045". (Voir Gallica.) Or, dans cette communication, Béchamp n'écrit ni le mot "flacherie", ni les mots "morts-flats". Aux pp. 1044-1045, il parle des vers restés petits. Il ne dit pas qu'il voie là une autre maladie que la pébrine.
Marvoir (d) 6 juillet 2008 à 18:01 (CEST)Répondre

Aux pp. 1185-1186 du même volume, il semble considérer la maladie des vers "restés petits" comme distincte de la pébrine, mais il ne parle toujours pas de la flacherie.
Marvoir (d) 13 juillet 2008 à 20:11 (CEST)Répondre

Explication : dans le t. 66, 1868, pp. 1160-1161, Béchamp dit que pour lui, la maladie des vers "restés petits" et la flacherie ne font qu'une.
Marvoir (d) 13 juillet 2008 à 20:28 (CEST)Répondre

Béchamp a-t-il vraiment devancé Buchner ? modifier

On pourrait peut-être remplacer l'actuelle section « Antoine Béchamp et ses études polarimétriques sur les ferments solubles (les "zymases") » par une section qu'on intitulerait : « Antoine Béchamp et les ferments solubles, ou zymases, ou enzymes » et qui ressemblerait à ceci :

En 1854[1], Antoine Béchamp utilise des mesures polarimétriques pour observer l'interversion du sucre de canne. À cette époque, il croit encore que le phénomène est purement chimique.

Dans un mémoire publié en 1858[2], il revient sur cette opinion et montre que l'interversion du sucre de canne a pour cause les moisissures dont on avait noté avant lui la présence concomitante au phénomène. Il assimile[3] cette action des moisissures à celle de la diastase, un des « ferments solubles »connus à l'époque.

Plus tard, dans un livre publié en 1883[4], Béchamp relatera comme suit des réflexions et des expériences qu'il aurait faites en 1857, après être venu, comme dit plus haut, à l'idée que l'action des moisissures était assimilable à celle de la diastase : « Mais la diastase est ce que l'on nomme un ferment soluble; or les moisissures, en tant qu'organisées, sont insolubles : si elles agissent par un ferment soluble, celui-ci doit être excrété par elles et tout formé en elles. Il résultait de cette remarque que l'organisme des moisissures étant détruit, elles n'en agiraient pas moins si vraiment le ferment soluble était tout formé dans leur tissu. Dans ces sortes d'expériences, la quantité de moisissure formée étant peu considérable, voici comment j'opérais : La moisissure, bien lavée et égouttée, était broyée avec une quantité environ vingt fois plus grande de sucre de canne solide, de façon à déchirer son tissu : de cette manière les produits solubles de la matière organisée s'imbibaient dans le sucre. (...) bientôt, on pouvait constater le commencement de l'interversion (...). La démonstration, je l'ai alors généralisée, en démontrant que les moisissures qui naissent dans le sucre et dans certaines fermentations, la levûre de bière elle-même, qui est aussi une moisissure, sont dans le même cas. » (Note : la levure de bière est considérée ici dans son effet d'interversion du sucre de canne, et non de fermentation.) Béchamp, dans le même livre[5], dit qu'il appela zymase le « ferment soluble » qu'il avait ainsi découvert.

Même si on s'en tient à l'époque où Béchamp publia ces expériences (1883) et non à celle où il dit les avoir faites (1857), elles préfigurent celles que Buchnner publiera en 1897. Des auteurs comme Philippe Decourt et Milton Wainwright[6] en concluent que Buchner usurpe une gloire qui revient à Béchamp.

Mais il faut noter que Buchner obtenait la fermentation alcoolique, comme l'indique le titre de son article (Buchner E, « Alkoholische Gährung ohne Hefezellen : vorlaüfige Mitteilung », Berichte der Chemischen Gesellschaft 1897 ; 30 : 117-24.) et ce sans cellules de levure, comme le montre l'introduction de l'article (« Il n’avait pas été possible jusqu’ici d’obtenir une activité de fermentation en dehors des cellules vivantes de levure. Cet objectif est atteint par le procédé expérimental décrit ci-dessous. »), traduite et citée par Pierre Thuriaux « Eduard Buchner, ou un siècle d’enzymologie », Med Sci. (Histoire de la médecine et des sciences), vol. 14 (1998), 248-251, en ligne. Or Béchamp dit explicitement que la « zymase » qu'il extrait de la levure produit l'interversion du sucre de canne, mais non la fermentation alcoolique : « Comme ferment, la levûre possède donc deux fonctions : celle d'intervertir le sucre de canne et celle de produire l'alcool. Ces deux phénomènes sont-ils du même ordre ? » Et, après avoir rappelé que la « zymase » de la levure peut à elle seule intervertir le sucre de canne, Béchamp ajoute : « Or, on peut laisser la zymase en contact avec le sucre, aussi longtemps qu'on le veut, sans qu'il se forme aucune trace d'alcool, ou se manifeste aucun indice de fermentation »[7].

  1. A. Béchamp, « Note sur l'influence que l'eau pure et certaines dissolutions salines exercent sur le sucre de canne », Comptes rendus de l'Académie des sciences, séance du 19 février 1855, t. 40, 1855, pp. 436-438, consultable sur Gallica.
  2. « De l'influence que l'eau pure ou chargée de divers sels exerce à froid sur le sucre de canne». Extrait dans les Comptes rendus de l'Académie des sciences, séance du 4 janvier 1858, t. 46, 1858, pp. 44-47, consultable sur Gallica; texte complet dans Annales de chimie et de physique, 3e série, t. 54, 1858, pp. 28-42, consultable sur Gallica.
  3. Annales de chimie et de physique, 3e série, t. 54, 1858, p. 40, point 27.
  4. Antoine Béchamp, Les microzymas, Paris, 1883 (réimpr. photogr., Paris, 1990), pp. 68-70.
  5. Antoine Béchamp, Les microzymas, Paris, 1883 (réimpr. photogr., Paris, 1990), p. 73.
  6. M. Wainwright, après avoir rapporté les observations et expériences de Béchamp sur le rôle de la « zymase » dans l'interversion du sucre de canne, fait ce commentaire ; « Pourtant, nos manuels nous disent erronément que Buchner fut le premier à extraire une enzyme de la levure, et à l'appeler zymase, « percée » accomplie en 1897, environ 35 ans après les expériences de Béchamp ! (Milton Wainwright, « Early history of microbiolgy », Advances in applied microbiology, vol. 52, 2003, pp. 333-355, partiellement consultable sur Google Books, spéc. p. 341-342.
  7. Antoine Béchamp, Les microzymas, Paris, 1883 (réimpr. photogr., Paris, 1990), p. 286. Pp. 287-288 et p. 289, Béchamp insiste et théorise.

Si je comprends bien, Buchner a donc réussi quelque chose que Béchamp croyait impossible. J'ai donc l'impression qu'il n'est pas très sérieux de prétendre que Buchner usurpe la gloire de Béchamp. Serait-on d'accord avec la nouvelle rédaction de la section ? (La fin serait à styler, évidemment.)

Marvoir (d) 6 novembre 2008 à 20:48 (CET)Répondre

Procédé Béchamp modifier

Il semble qu'on parle encore d'un procédé Béchamp de réduction ("Béchamp reduction process").

"Le procédé Béchamp. Cette technique ancienne, faisant appel pour la réduction du nitrobenzène en aniline à un mélange de limaille de fer et d'acide chlorhydrique, n'est plus guère employée que pour produire des pigments à base d'oxydes de fer, l'aniline étant alors un sous-produit."
Alain Chauvel et al., Procédés de pétrochimie: caractéristiques techniques et économiques, Editions TECHNIP, 1986, p. 394, consultable sur Google Books.

Marvoir (d) 9 novembre 2008 à 13:34 (CET)Répondre

Zymase ou invertase ? modifier

Béchamp appela "zymase" une substance qu'il extrayait de la levure et qui provoquait l'interversion du sucre de canne (et ne provoquait pas la fermentation alcoolique). Buchner, lui, appela "zymase" une substance qu'il extrayait de la levure et qui provoquait la fermentation alcoolique. L'identité des mots utilisés par les deux auteurs est peut-être pour quelque chose dans l'opinion, assez répandue mais, me semble-t-il, fausse (voir article) selon laquelle Béchamp aurait devancé Buchner. La "zymase" de Béchamp ne serait-elle pas l' invertase ?
Marvoir (d) 22 avril 2009 à 14:48 (CEST)Répondre

Eh bien, je crois que la réponse est oui, vu ce résultat Google :

"Antoine Béchamp: père de la biologie. Oui ou non? - Elsevier - [ Traduire cette page ]de KL Manchester - 2001 - Autres articles In 1864, Béchamp felt moved to present a memoir [26] in which he suggested that only soluble ferments (like invertase, to which he gave the name zymase) ... linkinghub.elsevier.com/retrieve/pii/S0160932700013612 - Pages similaires"
(Il s'agit de l'article de Keith L. Manchester : « Antoine Béchamp: père de la biologie. Oui ou non? », Endeavour, Volume 25, Issue 2, 1 June 2001, Pages 68-73.) Marvoir (d) 9 avril 2010 à 12:48 (CEST)Répondre

lien inopérant modifier

Dans Liens externes - liens d'histoire des sciences , le lien intitulé Anne de Saint Romain - Pasteur, les vraies raisons d'une gloire (article d'une historienne sur Pasteur) renvoie à un site ...de télésecrétariat pour les professionnels : http://www.efficience-contact.fr/ . Je n'arrive pas à trouver l'adresse de ce document .J'attends avant de supprimer le lien Trente7cinq (d) 16 janvier 2012 à 13:29 (CET).Répondre

On dirait en effet qu'il y a une redirection d'un site Epidaure vers le site que vous indiquez, et que l'article n'est plus en ligne. D'après une notice sur Anne-Marie Moulin, cet article a paru dans le numéro 74 de L'Histoire (numéro dirigé par Anne-Marie Moulin), p. 40-41 (1984). Voir aussi ici. Je donnerais la référence à la revue et je supprimerais le lien. Marvoir (d) 16 janvier 2012 à 14:47 (CET)Répondre

date de la mort de Béchamp !? modifier

Dans Bechamp or Pasteur: A Lost Chapter in the History of Biology ,p 14 ,Douglas Hume donne le 15 ( ou 13 :difficile à lire ) avril 1908 et non pas le 31 mars !??? - peut-être est-ce là la date des funérailles ? ; mais il est écrit passed awayTrente7cinq (d) 16 janvier 2012 à 13:49 (CET)Marie Nonclercq donne elle aussi le 15 avril : je rectifie .Trente7cinq (d) 16 janvier 2012 à 21:43 (CET)Répondre

Prétendue rétractation de Pasteur modifier

L'article contient cette citation :

  • « Béchamp avait raison, le microbe n'est rien, le terrain est tout » aurait dit Pasteur durant les derniers jours de sa vie. Il aurait même ajouté : « C'est Claude qui a raison », en parlant de Claude Bernard. (Pour en finir avec Pasteur, Dr Eric Ancelet Ed. Marco Pietteur (ISBN 2-87211-025-9))

Je crois savoir que cette prétendue rétractation de Pasteur est une légende. Les conditionnels dont use Ancelet sont d'ailleurs significatifs. Malheureusement, je n'ai ni le temps ni le goût d'enquêter sur l'origine de cette histoire. Marvoir (d) 26 septembre 2012 à 21:36 (CEST)Répondre

Oui c'est très probablement une citation apocryphe, et la source ne me semble pas fiable lorsqu'on voit ce que publie cette maison d'édition [4], que des trucs pseudo-scientifiques, négationnisme du Sida... –Akeron (d) 26 septembre 2012 à 22:58 (CEST)Répondre
Le site Les sceptiques du Québec me semble avoir trouvé l'origine de la légende. J'ai mis un lien. Marvoir (d) 27 septembre 2012 à 08:55 (CEST)Répondre

Le Centre international de recherches Antoine Béchamp (CIRAB) modifier

Bonjour,

A la fin de la section Biographie, on lit: "Le Centre international de recherches Antoine Béchamp (CIRAB) assure le suivi de son œuvre pour les générations futures", accompagné de la référence [1].

A ce propos, une information intéressante trouvée sur le site http://www.alain-scohy.com/syndicat.htm d'Alain Scohy, voir ici ci-dessus. On y lit:

SYNDICAT ANTOiNE BECHAMP

(Association loi 1901 n°W661001604)

Cette association a pour objet de promouvoir et prolonger les travaux et découvertes fondamentales du Pr. Antoine Béchamp sur la VIE et les MICROZYMAS en particulier, et de faire le lien avec la dimension psychosomatique des pathologies et des maladies.

Avec l’aide de tous, nous pourrons acheter du matériel adapté (microscope optique permettant des grossissements de 20.000 au moins comme celui de Kurt OLBRICH) pour poursuivre les recherches sur le VIVANT* !

Il nous faut étudier l'influence du psychisme, de la musique et de multiples autres facteurs sur les microzymas...

Il nous faut étudier la structure interne du microzyma.

Il faut déterminer la nature du CRISTAL présent au cœur de chaque microzyma et essayer de comprendre s'il est effectivement le responsible de la transmission des informations génétiques.

Toutes les personnes compétentes en biologie – à la retraite ou ayant du temps disponible – sont invitées à nous aider dans ces recherches !

Membres du Bureau : Cédric MANNU président, Brigitte SCOHY trésorière, Alain SCOHY secrétaire.

Cotisation annuelle : 50 € + dons… Vous pouvez payer par chèque à l'ordre du Syndicat Antoine Béchamp et nous faire parvenir votre courrier à l'Institut Paracelse : notre trésorière, Brigitte, se chargera de l'encaisser.

Fin de l'extrait du site de Mr Alain Scohy, médecin radié de l'ordre.

Puis chacun peut constater que les deux associations celle de Scohy et celle du CIRAB ont la même adresse, celle de Cédric Mannu http://www.journal-officiel.gouv.fr/association/index.php?ctx=eJwlyTEOgzAMQFHPPQVi7YDtxIlTqWtP0D1CKahIlNAQev4iMf7*4gxjgfhboN!2nCB!oXn1dVj7stcpL2MunyPvxB1Kx0h8aVIuay7H7WoZhlv7zGsLMcGViANTMIzGa*DoVd0JxloSZKfi1JAqeTrBMYk4koDeoA0uGA*xPdXHPs*AAn!YaipM&cref=%2B9970844391287112139&ACTION=refine .

Je ne prétends pas que Mr Scohy soit le seul intéressé à faire de la publicité pour les microzymas chers à son coeur et à sa cause, et par conséquence à Béchamp. Il y a aussi tous les tenants de la Médecine Nouvelle Germanique et de la Biologie Totale, voir les sites amis du CIRAB http://www.cirab.org/sites-amis.html où sont cités La revue belge NéoSanté, L'Association AMESSI, le site Aristra de Jacqueline Bousquet, mais cela aide à comprendre pourquoi l'article est polémique, manque de neutralité et enfle de façon démesurée par rapport à l'importance de Béchamp.

C'est volontairement que je ne retire pas moi-même la phrase incriminée "Le Centre international de recherches Antoine Béchamp (CIRAB) assure le suivi de son œuvre pour les générations futures" ainsi que le lien qui lui est associé, afin qu'il en reste trace et que chacun puisse comprendre qui sont vraiment les personnes qui font ici la promotion d'Antoine Béchamp, ainsi que le genre de manoeuvres auxquelles wikipedia a à faire face.

C'est aussi, plus ou moins, un appel aux administrateurs de wikipédia à faire le ménage un peu plus viguoureusement, car cette page n'est la la seule à poser problème, j'en connais d'autres qui sont de la pure promotion de personnes ou de groupes pour et par eux-mêmes.

--Avoye (d) 21 février 2013 à 21:24 (CET) --Avoye (d) 21 février 2013 à 21:43 (CET)Répondre

Il serait peut-être bon que quelqu'un qui en a le goût et le courage lise les deux articles de Keith L. Manchester (mentionnés dans notre article) et en résume le contenu. À ma connaissance, Manchester est le seul adversaire des idolâtres de Béchamp qui se soit donné la peine d'argumenter contre leurs positions. Ceci dit, il me semble indéniable que Béchamp a compris avant Pasteur la nature "parasitaire" de la pébrine. (Béchamp n'était d'ailleurs pas le premier.) Marvoir (d) 22 février 2013 à 09:08 (CET)Répondre

À relire modifier

À relire complètement, l'article a été peu à peu modifié par des tenants de pseudo-trucs. Hyméros --}-≽ 14 décembre 2022 à 19:48 (CET)Répondre

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