Discussion:Agence internationale de l'énergie atomique
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critiques de l'AIEA modifier
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1) la censure de l'AIEA sur certains travaux de recherche sur les dangers du nucléaire pour la santé publique et le pouvoir de pression de l'AIEA auprès de l'Organisation mondiale de la Santé.
2) les erreurs de l'AIEA au sujet du bilan de Tchernobyl : Les perles des directeurs de l'AIEA
- Genève, lundi 2 juin 1986 (AFP). Hans Blix, Directeur général de l'AIEA, (avant Mohamed ElBarradei), a déclaré à Genève, à l'ouverture de la conférence ENC'86 (European Nuclear Conference, congrès quadriennal des industries nucléaires européennes) que " Tchernobyl n'avait pas causé plus de morts que le match de football du Heysel, il y a un an ". Les violences au cours de ce match à Heysel (Hollande) entre supporters locaux et ceux de Liverpool ont causé 39 morts..
- Le Monde, 28 août 1986, M. Rosen, directeur de la sûreté nucléaire de l'AIEA, a déclaré à la conférence de Vienne en août 1986 " Même s'il y avait un accident de ce type tous les ans, je considérerais le nucléaire comme une énergie intéressante "
- Moscou, 16 janvier 1987 (AFP) " (...) La zone située entre 10 et 30 km autour de la centrale pourra commencer à être repeuplée de ses habitants cette année, a indiqué dans une conférence de presse M. Hans Blix, directeur général de l'AIEA, qui vient de passer une semaine en Ukraine avec deux de ses adjoints, MM. Morris Rosen et Léonard Konstantinov ".
en ce qui concerne Tchernobyl modifier
Il semble attesté par l'OMS que le nombre immédiat de décès survenus lors de l'accident de Tchernobyl soit effectivement de l'ordre de 30 à 40 personnes. La lecture du site de Jean-Marc Jancovici, ingénieur civil, est à ce titre très intéressante (http://www.manicore.com/documentation/articles/idee_nucleaire.html) voir la section "Mais Tchernobyl aurait tué des dizaines de milliers de personnes..."
- sans tomber dans la nucléophobie, le nombre de décès est largement supérieur à 30 ou 40 personnes, d'autant plus si l'on tient compte des effets secondaires sur la durée : voir catastrophe de Tchernobyl--Enr-v 19 janvier 2006 à 01:50 (CET)
20 ans après, un rapport d’institutions des Nations Unies donne des réponses définitives et propose des moyens de reconstruire des vies
5 SEPTEMBRE 2005 | GENEVA -- Jusqu’à 4 000 personnes au total pourraient à terme décéder des suites d'une radio‑exposition consécutive à l'accident survenu il y a une vingtaine d'années dans la centrale nucléaire de Tchernobyl : telles sont les conclusions d’une équipe internationale de plus d'une centaine de scientifiques.
Toutefois, à la fin du premier semestre de 2005, moins d'une cinquantaine de décès avait été attribuée directement à cette catastrophe. Pratiquement tous étaient des membres des équipes de sauvetage qui avaient été exposés à des doses très élevées : un grand nombre sont morts dans les mois qui ont suivi l'accident, mais d'autres ont survécu jusqu’en 2004.
http://www.who.int/mediacentre/news/releases/2005/pr38/fr/
Rien a rajouter, je pense que le site de l'oms est suffisament fiable.