Discussion:Économies d'énergie

Dernier commentaire : il y a 1 an par Vega dans le sujet Citation sur les pertes de chaleur
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Un article à retravailler sérieusement dans la forme modifier

le 16 juillet 2008

cet article part d'un bon fond, vraiment. mais il n'a pas sa place dans une encyclopédie, comme dit ci dessous, Il fait exclusivement état d'une réflexion personnelle argumentée par quelques éléments pris ça et la dans l'actualité et l'information. Il serait nécessaire entre autre de ne pas faire de jugement de valeur, mais des constats, chiffres a l'appui. Ce commentaire n'a pas vocation de démonter l'article, car le sujet est intéressant et apporte une grosse réflexion et une recherche d'information. Mais dans un soucis de toucher le maximum de personnes. Il serait bon de formuler un article qui ne soit pas une critique mais un argumentaire détaillé sur les méthodes, techniques et solutions d'économie d'énergie. Sans oublier les causes de cette démarche d'économie: dans une société de plus en plus sophistiquée, pourquoi consomme t'ont autant ? Il faut aussi restructurer l'article de sorte qu'il permette une intégration directe et rapide de toute nouvelle idée concernant l'économie d'énergie. De cette manière, on aboutira a un article complet sur les différents moyens d'économiser l'énergie dans différents secteurs. Mais rien n'empêche de développer les éléments du contexte qui sont aussi importants, et d'ouvrir la réflexion sur l'aspect économique qui est primordial, et tout ce qui gravite autour, tant qu'aucune critique n'est prononcée.

La neutralité absolue à tendance à accroitre l'intérêt des gens tandis qu'une réflexion qui est aboutie mais personnelle interpelle moins. Elle a aussi l'avantage d'être acceptée par les deux partis quand il y a un conflit.

En résumé, un bon article, qui a énormément de potentiel. Il ne faudrait pas s'arrêter la.

L'article "économie d'énergie" figurant ici jusqu'au 12 sept. 2007 modifier

Cet article était fondé sur des présupposés assez conventionnels et discutables, puisque c'est le renchérissement qui apparaissait comme le moteur essentiel des économies à réaliser. L'urgence des économies à faire pour freiner la dégradation de l'environnement (et surtout du climat) n'y figurait qu'en position inférieure. A cette critique ajoutons plusieurs négligences de rédaction. C'est pourquoi j'essaie de refaire l'article en mettant en place les priorités. Pierre2

ceci n'est pas un article encyclopédique! modifier

Le sujet n'est absolument pas traité de façon neutre et encyclopédique. Par exemple, que vient faire la parabole comparant la famille A à la famille B? L'article doit discuter son sujet: les économies d'énergie. Pas parler de bonheur familial et de visites chez le psychologue (sic)! - un visiteur -

Contenu supprimé modifier

Enjeu mondial, enjeu personnel modifier

La question de l’énergie est cruciale pour planète et pour tous et chacun.

1. L’épuisement des ressources fossiles est inéluctable par définition (bien que l’échéance soit retardée par rapport aux prévisions des années 1970 selon lesquelles le pétrole exploitable serait épuisé au début du XXIe siècle) ; l’effet planétaire de la réintroduction dans l’atmosphère de masses de carbone enfouies pendant les ères géologiques précédentes (l’effet de serre d’origine humaine ou réchauffement climatique) a été décrit dès la fin du XIXe siècle., et signalé comme danger global dès les années 1970 ; il apparaît maintenant dans son évidence, avec les catastrophes climatiques, la destruction des milieux naturels du grand Nord, des tropiques, etc..

Or les avertissements depuis trente ans restèrent presque sans effet sur les politiques et les mentalités. Par le protocole de Kyoto (ouvert à ratification en 1998), les États signataires « s’engageaient» à réduire avant 2012 leurs émissions de dioxyde de carbone de 5,2 % par rapport aux émissions de 1990 ! Il est clair que cet objectif, se heurtant à l’inertie économique et à la logique du profit industriel à court terme, ne sera nullement atteint ; au contraire les émissions de CO2 continuent d’augmenter.

2. Les individus et les groupes ne vivent ni mieux ni plus heureux en consommant beaucoup d’énergie : ni un chauffage des chambres incitant à passer l’hiver en vêtements d’été, ni une climatisation dispensant en été de sentir la chaleur, ni des déplacements fréquents et lointains (trajets pendulaires individuels liés à la dispersion de l’habitat en pavillons ; tourisme de masse) n’ont démontré leur nécessité ou leur utilité, sinon pour le profit de ceux qui vendent les technologies dévoreuses d’énergie permettant ces « avantages ». On constate plutôt une fragilisation et un ennui croissant des « bénéficiaires » de ce gaspillage.

A vit en appartement, se rend à son travail en transport public, à pied ou en vélo (ses enfants aussi, s’il/elle en a), est un(e) habitué(e) des commerces et membre d’associations de son quartier, prend ses vacances sur une côte proche ou dans la montagne voisine ; ses chambres sont à 19 ou 20˚C en hiver, et autour de 30˚C en plein été ; sa nourriture comporte peu de viande, beaucoup de légumes et de fruits produits à proximité. Il/elle éteint ses appareils électriques avec le bouton « off » ou en les débranchant plutôt que de les mettre en veille, etc.

B, lui (ou elle), a son pavillon ou villa à 30 km de son lieu de travail, avec piscine, il y a une voiture par membre majeur de sa famille (les enfants doivent être amenés en voiture à leurs écoles ; l’une des voitures, au moins, est une 4x4) ; ses destinations de vacances sont souvent les îles de l’océan Indien et toujours les mers chaudes ; sa maison a 25˚C en hiver, un peu moins en été grâce à la climatisation ; chez B on mange beaucoup de viande, de produits exotiques, on achète force vêtements mode importés par avion de Chine ; une dizaine d’appareils électriques restent en veille dans sa maison, etc.

En conséquence, B consomme de cinq à dix fois plus d’énergie que A. Sans en savoir plus sur les circonstances individuelles, pourriez-vous parier que B vit plus heureux que A, que B et sa famille rient plus souvent, se passionnent plus pour ce qu’ils/elles font, ont davantage d’amis, sont en meilleure santé, font moins appel aux psychologues ? Poser la question, c’est y répondre. Et si la question est : lequel est le plus «up to date », à la page ? la réponse ne fait pas plus de doute : le mode de vie de A a l’avenir devant soi, alors que B va droit dans le mur.

On peut même dire, curieusement, qu’il y a, dans les pays industrialisés, une corrélation entre une dépense d’énergie inférieure à la moyenne et une bonne santé : l’alimentation surtout végétale, les déplacements « musculaires » (marche et vélo), les loisirs actifs et sociables, tout cela est favorable au bien être (bien entendu, une telle corrélation ne fonctionne pas dans une société pauvre ou archaïque, où consommer encore moins que la moyenne revient à mourir de faim, de froid, etc.)

Or il est remarquable que les articles actuels en langue française sur les questions de l’énergie fossile se placent surtout au point de vue du renchérissement des hydrocarbures, présenté comme une menace. On ne voit guère présentée l’idée que ce renchérissement est une chance, s’il amène à diminuer ou stopper la dégradation en cours de la biosphère, et à ramener les individus à des consommations raisonnables.

Donc la vogue actuelle des « économies d’énergie », qui reste largement au stade des intentions déclarées, n’est que l’amorce d’un retour au bon sens qui préserverait l’avenir de la planète. En fait, se vanter de son taux élevé d’économie d’énergie, c’est surtout révéler l’ampleur du gaspillage qu’on pratiquait jusque là. Alors faisons des économies d’énergie, et faisons pression sur les décideurs pour qu’ils les organisent, mais ne croyons pas qu’il y ait là une innovation remarquable : il s’agit d’un sursaut face à l’inertie et la myopie qui sont, pour le moment, les réalités dominantes de l’économie et de la politique. Comme chaque fois qu’une notion morale s’affirme, on voit l’hypocrisie fleurir à son sujet : ce fut le cas avec la charité chrétienne – voir Tartuffe –, avec la démocratie, les Droits de l’Homme. Actuellement l’hypocrisie écologique se porte fort bien : les compagnies pétrolières, gazières, d’électricité (d’origine fossile) proclament leur souci de l’environnement… tout en vantant la croissance de leurs activités. Elles seront sorties de l’hypocrisie ou de la mauvaise foi quand elles annonceront leur décroissance.

On verra si le « Grenelle de l’environnement », comme on appelle la réunion de décideurs convoquée pour octobre 2007 par le gouvernement français, débouchera sur des mesures concrètes de diminution de l’énergie fossile consommée, ou si on en restera aux bonnes intentions affichées.

Et ne nous faisons pas d’illusions : le CO2 introduit dans l’atmosphère ne va pas disparaître par miracle quand on en aura diminué les émissions ; l’effet de serre dû à la combustion massive des hydrocarbures durera des siècles (jusqu’à ce que les processus biologiques océaniques précipitent de grandes quantités de carbonate de calcium dans les fonds marins). Mais au moins devrions-nous faire tout pour ne pas aggraver encore l’effet de serre et les dégradations du climat auxquelles nous assistons.

Fusion ou redécoupage entre Économies d'énergie, Efficacité énergétique, Efficacité énergétique (économie) et Efficience énergétique ? modifier

J'ai lancé une proposition de fusion sur Efficacité énergétique (économie) et Efficience énergétique. Toutefois, il me semble qu'il faut aussi englober Efficacité énergétique et Économie d'énergie dans cette fusion ou ce redécoupage, car il y a beaucoup de chevauchements. Merci d'en parler sur Wikipédia:Pages à fusionner#Fusion ou redécoupage entre Économies d'énergie, Efficacité énergétique, Efficacité énergétique (économie) et Efficience énergétique ?. Seudo (d) 27 juin 2011 à 16:33 (CEST)Répondre

Simplification souhaitable modifier

Je confirme que dans sa forme actuelle, cet article n'est pas encyclopédique. Je recommande :

  1. de simplifier l'introduction pour éviter d'y mélanger toutes sortes de choses
  2. de simplifier le corps en attendant que quelqu'un veuille bien développer le coeur du sujet.

--Env2100 () 12 novembre 2011 à 11:33 (CET)Répondre

Bonne initiative, l'introduction est déjà beaucoup mieux centrée sur le sujet. Seudo (d) 12 novembre 2011 à 12:17 (CET)Répondre

introduction et terminologie modifier

Ne peut-on pas déplacer les phrases suivantes dans une sectton terminologie?

Les économies d'énergie s'obtiennent de diverses façons, dont :

  • la suppression ou la limitation d'une activité consommatrice, notamment par des changements de comportement (sobriété énergétique) ;
  • la réduction de consommation d'une activité donnée à service égal, permise notamment par le progrès technique (efficacité énergétique).

2A02:8425:642:D701:BF55:9F65:2A1C:85EB (discuter) 27 août 2022 à 17:21 (CEST)Répondre

Description du Chauffe-eau solaire modifier

Bonjour Pano38, merci pour votre ajout qui précise que ce sont les capteurs (et non le chauffe-eau lui-même) qui collectent la chaleur. Sur la suite, que voulez-vous dire par « avec l'incidence permettant au fluide d’être échauffé efficacement, sans entrave physique (nuage, brouillard, etc.) » ? De même, que signifie « des capteurs solaires avec lesquels l'eau circule » ? Il faut en tout cas préciser ici que ce qui circule n'est pas l'eau utilisée dans le bâtiment, mais un caloporteur (sauf erreur). J'ai résumé les deux variantes, suivant Chauffe-eau solaire. Salutations — Vega (discuter) 9 septembre 2022 à 19:34 (CEST)Répondre

L'angle d'incidence, plutôt que l'incidence. Pour que la chaleur pénètre dans le capteur il faut que les rayon du soleil soient absorbés et non réfléchis. Pour cela un angle doit etre respêcté afin que la chaleur puisse « entrer » dans le capteur et chauffer le fluide caloporteur
concernant l'eau ou le fluide caloporteur tout dépend de la technologie retenue. Un chauffe-eau basique (genre fut d'huile reconditionné) chauffe directement l'eau sanitaire. Je suppose qu'ils ne boivent pas l'eau chaude.
... Pano38 (discuter) 11 septembre 2022 à 21:18 (CEST)Répondre

Citation sur les pertes de chaleur modifier

Bonjour Espandero et Pano38, d'après ce que je comprends de notre échange sur la citation « Les pertes de chaleur au niveau des tuyauteries [...] », le problème est qu'on ne sait pas d'où sort cette valeur de 20 %, n'est-ce pas ? On la retrouve bien dans la référence citée, mais elle n'y est pas attribuée (donc vérifiable). Ça me semble donc être un cas de "Source insuffisante". Ou y a-t-il d'autres manquements, à préciser en commentaire ? — Vega (discuter) 28 février 2023 à 14:04 (CET)Répondre

  vega il me semble évident que, quelle que soit la source, ce ne peut être qu'une estimation ... un chiffre précis me semble totalement illusoire voire aberrant. Si cette phrase vous empêche de dormir supprimez la ... Pano38 (discuter) 28 février 2023 à 15:50 (CET)Répondre
Bonjour, comme je l'ai expliqué en commentaire de modification, le fait que cette citation tombe de nul part me dérange. Comme la chose est faite, j'ai surtout l'impression que la citation a été placée pour éviter de devoir reformuler la référence. Pourquoi pas, mais la phrase doit préciser d'où vient cette citation (qui a dit cette phrase ?). Après le {{Source insuffisante}} pourrait se justifier car je trouve la référence d'une qualité moindre. Il me semble en tout cas curieux de vouloir sourcer un article technique avec une projet de décret. - Espandero (discuter) 28 février 2023 à 16:26 (CET)Répondre
Ok Espandero et Pano38, ce n'est donc pas une question de précision, mais de vérifiabilité. La réf en fin de paragraphe attribue la citation, mais je suis d'accord qu'elle-même devrait citer sa source, donc un "refins" s'imposait. Ensuite, comme la citation est bien tournée, je n'ai pas cherché à reformuler ses deux phrases.
Autre point : « climatisés ou refroidis » me semble redondant, donc j'ai allégé, mais corrigez-moi si nécessaire. — Vega (discuter) 1 mars 2023 à 12:58 (CET)Répondre
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