Dampierre-en-Yvelines

commune française du département des Yvelines

Dampierre-en-Yvelines
Dampierre-en-Yvelines
La mairie.
Blason de Dampierre-en-Yvelines
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Rambouillet
Intercommunalité Communauté de communes de la Haute Vallée de Chevreuse
(siège)
Maire
Mandat
Valérie Palmer
2020-2026
Code postal 78720
Code commune 78193
Démographie
Gentilé Dampierrois
Population
municipale
1 000 hab. (2021 en diminution de 3,85 % par rapport à 2015)
Densité 90 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 42′ 24″ nord, 1° 59′ 15″ est
Altitude Min. 85 m
Max. 178 m
Superficie 11,17 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Maurepas
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Dampierre-en-Yvelines
Liens
Site web mairie-dampierre-yvelines.fr

Dampierre-en-Yvelines est une commune française située dans le département des Yvelines, en région Île-de-France.

Géographie modifier

 
Position de Dampierre-en-Yvelines dans les Yvelines.

Situation modifier

Dampierre-en-Yvelines est un village d'Île-de-France situé à une quarantaine de kilomètres de Paris, dans la Vallée de Chevreuse, entre Versailles et Rambouillet. C'est une commune du parc naturel régional de la Haute Vallée de Chevreuse.


Hydrographie modifier

Communes limitrophes modifier

Communes limitrophes de Dampierre-en-Yvelines
Lévis-Saint-Nom Mesnil-Saint-Denis Saint-Forget
Essarts-le-Roi  
Senlisse Choisel

Transports et voies de communications modifier

Réseau routier modifier

L'axe de circulation principal qui traverse la commune est la route départementale 91 qui mène au nord à Saint-Quentin-en-Yvelines et Versailles et au sud à Cernay-la-Ville. La route qui vient de Chevreuse, à l'est, est la route départementale 58 qui poursuit son tracé vers le nord-est, vers Lévis-Saint-Nom et au-delà Élancourt.

Desserte ferroviaire modifier

Les gares SNCF les plus proches sont la gare de La Verrière (ligne N du Transilien) et la gare de Saint-Rémy-lès-Chevreuse (ligne B du RER d'Île-de-France).

Bus modifier

La commune est desservie[Quand ?] par les lignes 39.003, 39.103, 39.27 et 39.35A du réseau de bus Centre et Sud Yvelines[réf. nécessaire].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 656 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Choisel à 3 km à vol d'oiseau[3], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 709,1 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Statistiques 1991-2020 et records CHOISEL (78) - alt : 176m, lat : 48°41'04"N, lon : 2°00'01"E
Records établis sur la période du 01-01-1974 au 31-08-2019
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,3 1 3,1 5 8,4 11,4 13,2 13 10,1 7,4 4,1 1,6 6,6
Température moyenne (°C) 4 4,4 7,5 10,1 13,8 17 19,2 19 15,4 11,6 7,2 4,2 11,1
Température maximale moyenne (°C) 6,7 7,7 11,9 15,3 19,2 22,6 25,1 25 20,8 15,8 10,4 6,9 15,6
Record de froid (°C)
date du record
−14,2
14.01.1979
−13,5
07.02.1991
−10,4
13.03.13
−4,5
15.04.19
−1
07.05.1997
2,2
04.06.1991
4,9
19.07.1974
4,3
21.08.14
1,8
30.09.12
−4
30.10.1997
−9,5
24.11.1998
−10,6
29.12.1996
−14,2
1979
Record de chaleur (°C)
date du record
15,5
27.01.03
18,5
24.02.1990
24
29.03.1989
28
21.04.18
31,6
28.05.17
36,4
27.06.11
37,5
01.07.15
39,5
06.08.03
33
05.09.13
28,5
03.10.11
21
08.11.15
16,5
07.12.00
39,5
2003
Précipitations (mm) 61,4 51,7 51,5 48,9 67,8 61,5 52,4 56,3 51,6 65,8 64,7 75,5 709,1
Source : « Fiche 78162001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme modifier

Typologie modifier

Dampierre-en-Yvelines est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10],[11].

Occupation des sols simplifiée modifier

Le territoire de la commune se compose en 2017 de 90,05 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 5,99 % d'espaces ouverts artificialisés et 3,95 % d'espaces construits artificialisés[12].

Occupation des sols détaillée modifier

Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 8,0% 90
Terres arables hors périmètres d'irrigation 34,4% 389
Prairies et autres surfaces toujours en herbe 3,2% 36
Forêts de feuillus 54,5% 617
Source : Corine Land Cover[13]

Hameaux et écarts modifier

La commune est composée de plusieurs parties :

  • le village de Dampierre, situé près du château, le long du ru des Vaux de Cernay ;
  • le village de Maincourt-sur-Yvette, situé le long de l’Yvette ;
  • les hameaux de Champ Romery et du Mousseau, situés sur le plateau ;
  • le hameau de Fourcherolles, situé au fond d’un vallon, le vallon de Valence.

Dans le village de Maincourt, se trouve un « sentier découverte » des marais.

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Domna petra, Donna petra au XIIIe siècle, Dampna petra en 1458[14].

Dommus Petrus (le « domaine de Pierre »), masculin, pour une raison obscure, a été orthographié au féminin dans toutes les archives : Domna petra et Donna petra au XIIIe siècle, Dampna petra en 1458[15].

Si l'on se rapporte à l'étymologie supposée du château de Dampierre-sur-Boutonne, on peut penser à Dame Pierre (Doma Petra) ou monseigneur Pierre (Dominus Petrus), dans la plupart des cas, Dom- a évolué en Dam- (cf. Dammartin, etc.), tout comme DOMNA a donné dame, forme féminine. Le développement particulier du o s'explique par le fréquent emploi proclitique du mot, notamment devant les noms propres[16].

Dampierre-en-Yvelines depuis 1974, marquant ainsi son attachement à la région naturelle de l'Yveline[Note 3],[Note 4].

Histoire modifier

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[22], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Rambouillet, après un transfert administratif effectif au . Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la deuxième circonscription des Yvelines.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Chevreuse[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Maurepas.

Intercommunalité modifier

La commune est membre de la communauté de communes de la Haute Vallée de Chevreuse, créée en 2012.

Administration municipale modifier

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 500 et 1 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 15[24].

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs de Dampierre puis Dampierre-en-Yvelines[25]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mai 1925 ? M. Jalabert    
         
1969[26] ? Claude Dumond DVD puis UDF-Rad. Médecin
Conseiller général de Chevreuse (1970 → 2001)
Vice-président du conseil général des Yvelines[Quand ?]
Conseiller régional d'Île-de-France[Quand ?]
         
mars 2001 mars 2014 Nicolas Thieffry SE  
mars 2014 mai 2018[27] Jean-Pierre de Winter SE Agriculteur[28], Démissionnaire
mai 2018[29] En cours Valérie Palmer SE  

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

En 2021, la commune comptait 1 000 habitants[Note 5], en diminution de 3,85 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
687578559620605658698745747
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
730669653626641644666677676
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
680660664595596587502467552
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
5916017409991 0301 0511 1281 1621 125
2014 2019 2021 - - - - - -
1 0401 0221 000------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,5 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 519 hommes pour 511 femmes, soit un taux de 50,39 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,68 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,0 
90 ou +
0,8 
8,5 
75-89 ans
8,7 
21,4 
60-74 ans
20,7 
23,9 
45-59 ans
23,5 
16,5 
30-44 ans
16,8 
13,4 
15-29 ans
13,2 
15,3 
0-14 ans
16,4 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2020 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
5,8 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,7 
20,7 
45-59 ans
20,2 
19,7 
30-44 ans
19,9 
18,4 
15-29 ans
16,9 
21,3 
0-14 ans
19,3 

Enseignement modifier

La commune dispose d'une école[35]

Sports modifier

Le 4 mars 2012, Dampierre-en-Yvelines est la ville-départ de la course cycliste Paris-Nice 2012.

Économie modifier

Les principales activités sont[Quand ?] le tourisme (hôtellerie, restauration) et le commerce de proximité. Trois agriculteurs sont[Quand ?] installés sur le territoire communal.

Un restaurant renommé, l'auberge Saint-Pierre, est tenu par l'ancien chef étoilé Pierre Marchesseau depuis 2017[36].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Construit dans le dernier quart du XVIIe siècle, de 1675 à 1683, par Jules Hardouin-Mansart, sur les ordres du duc de Chevreuse, Louis Charles d'Albert de Luynes, gendre de Jean-Baptiste Colbert. Il est entouré d’un grand parc, dessiné par André Le Nôtre.
Dans la salle de musique du château est exposée l’Âge d’Or, une fresque peinte par Ingres.
À l'initiative d'Honoré de Luynes qui habitait le château, le transept méridional fut aménagé en 1862 en nécropole pour les membres de sa famille et descendants de la famille des Luynes. On y trouve un gisant de sa première épouse Françoise de Dauvet-Maineville (1802-1824), décédée à l'âge de 21 ans. L'inscription porte : « D.O.M. et memoriae aeternae amicae [Francisca] a Davvet coniugis dulcissimae quae vixit annos xxi menses vii et de qua nemo suorum unquam dolvit nisi mortem Honoratus dux a Luynes maritus desolatus A.D. MDCCCXXIV » [A Dieu très bon, très grand, et à la mémoire éternelle de [Françoise] de Dauvet, très douce épouse qui vécut 21 ans et 7 mois, et personne parmi les siens ne souffre plus de sa mort que son mari Honoré, duc de Luynes, l'an du Seigneur 1824].
La seigneurie de Valence[C'est-à-dire ?] fut accordée en janvier 1510, par dom Pierre Pichonnat[Passage problématique], abbé de Saint-Denis[réf. nécessaire], qui baille à vie à Adam de Baillon, notaire et secrétaire du roi, le fief de Valence. Ce bail est fait moyennant 36 livres. Une autre version plus ancienne du bail datant de 1502 était établie pour 12 livres.
Située sur le plateau au-dessus du village de Dampierre. C’est un prototype de petite maison démontable dû à l'ingénieur Duclos[Note 6] ; fabriquée en fer, elle était destinée à être utilisée comme habitation coloniale. Cet exemplaire a servi de billetterie lors de l’Exposition universelle de 1889, avant d'être remonté à Dampierre. Entourée d'un jardin et restaurée, elle sert désormais de gîte d'étape pour randonneurs.

Dampierre et le cinéma modifier

Personnalités liées à la commune modifier

 
La tombe d'Henri Pélissier.

Héraldique modifier

  Blason
Parti, au premier d'or à la bande de gueules chargée de trois alérions d'argent, au second aussi d'or au lion de gueules couronné d'or, le tout surmonté d'un chef de France ancien.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Sous l'Ancien Régime, le nom de Pays d'Yveline est donné à une subdivision du Gouvernement général d'Île-de-France. Le Gouvernement de l'Isle de France par Damien de Templeux, 1663.[1]
  4. Le nom de Pays d'Yveline apparaît également dans plusieurs ouvrages de l'époque comme le Dictionnaire universel de la France ancienne & moderne, publié en 1726.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. La maison de fer faisait l'objet d'un brevet obtenu en 1890.

Références modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Dampierre-en-Yvelines et Choisel », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Choisel » (commune de Choisel) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Choisel » (commune de Choisel) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. [PDF]« Occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) », sur cartoviz.iau-idf.fr (consulté en ).
  13. « Données statistiques sur les communes de Métropole ; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
  14. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  15. Dans le cartulaire blanc de Saint-Denis.
  16. Site du CNRTL : étymologie de dom.
  17. http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Chevreuse.pdf
  18. « Racines & Histoire : Lignages », sur racineshistoire.free.fr (consulté le ).
  19. « heraldique-europeenne.org/regi… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  20. « ensemble.paroissial.free.fr/eg… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  21. « Wayback Machine », sur chateau-de-dampierre.fr via Internet Archive (consulté le ).
  22. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  23. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  25. « Les maires de Dampierre-en-Yvelines », sur francegenweb.org (consulté le ).
  26. Alain Auffray, « Un élu CDS des Yvelines dort en prison. Claude Dumond est le premier politique écroué dans l'affaire des collèges », Libération (journal),‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « Dampierre-en-Yvelines : le maire démissionne pour raisons de santé : Élu en 2014, Jean-Pierre de Winter reste conseiller municipal », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ) « La première adjointe, Valérie Palmer, semble la mieux placée pour succéder à Jean-Pierre de Winter ».
  28. « Ina et Jean-Pierre de Winter », Agriculteurs du mois, (consulté le ).
  29. « Election de Madame Valérie Palmer au poste de Maire de Dampierre en Yvelines », Actualités, sur mairie-dampierre-yvelines.fr, (consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Dampierre-en-Yvelines (78193) », (consulté le ).
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
  35. L'école sur le site de la commune
  36. a et b Laurent Mansart, « Le chef étoilé relance l’auberge et l’emploi à Dampierre-en-Yvelines : Le chef étoilé à la retraite, Pierre Marchesseau, 70 ans, vient relancer bénévolement l’Auberge Saint-Pierre à l’aide d’un seul commis pour le moment. Il espère embaucher des jeunes et les former à la cuisine, et créer ainsi 18 emplois », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ).

Voir aussi modifier

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Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier