Courbillac

commune française du département de la Charente

Courbillac
Courbillac
La mairie de Courbillac.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté de communes du Rouillacais
Maire
Mandat
Gilles Ripoche
2020-2026
Code postal 16200
Code commune 16109
Démographie
Gentilé Courbillacais
Population
municipale
740 hab. (2021 en augmentation de 3,21 % par rapport à 2015)
Densité 63 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 46′ 07″ nord, 0° 10′ 46″ ouest
Altitude Min. 25 m
Max. 70 m
Superficie 11,83 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Val de Nouère
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Courbillac
Liens
Site web www.courbillac.com

Courbillac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine) formée des deux anciennes paroisses de Courbillac et d'Herpes.

Ses habitants sont les Courbillacais et les Courbillacaises[1].

Géographie modifier

Localisation et accès modifier

Courbillac est une commune située à l'ouest du département de la Charente, limitrophe de la Charente-Maritime. C'est la plus occidentale des communes du canton de Rouillac.

Elle est à 9 km à l'ouest de Rouillac, 10 km au nord de Jarnac, 14 km au nord-est de Cognac et 29 km d'Angoulême[2].

À l'écart des grandes routes, la commune de Courbillac est traversée du sud au nord par la D.1, de Sigogne à Neuvicq-le-Château[3].

Le bourg de Courbillac est situé dans une large plaine traversée par le Tourtrat.

Hameaux et lieux-dits modifier

Le village d'Herpes est situé sur une hauteur, à deux kilomètres au nord du bourg. Il s'est créé à proximité du croisement de deux voies antiques, celle allant de Brioux-sur-Boutonne à Jarnac qui croisait au sud la voie romaine d'Agrippa de Saintes à Lyon.

Le hameau du Bourg des Dames est situé sur la route de Sigogne à Neuvicq; son nom vient de ce qu'il était une ancienne dépendance d'un couvent de femmes.

On peut encore citer : Petit Beauvais, sur le Tourtrat, le Pont d'Herpes et le Souterrain[3].

Communes limitrophes modifier

Géologie et relief modifier

La commune occupe une plaine calcaire datant du Portlandien (Jurassique supérieur). Dans une grande moitié à l'ouest du Tourtrat, débute la plaine du Pays Bas, ancienne zone lagunaire du Purbeckien (fin du Jurassique), plus riche en gypse et en argile. La vallée du Tourtrat est occupée par des alluvions du Quaternaire[4],[5],[6].

Le relief de la commune est celui d'une plaine légèrement inclinée vers le sud-ouest, avec de légères hauteurs au nord-ouest et à l'est. La vallée du Tourtrat qui traverse la commune du nord au sud est faiblement marquée.

Le point culminant de la commune est à une altitude de 70 m, situé sur la limite orientale. Le point le plus bas est à 25 m, situé sur la limite occidentale. Le bourg est à environ 40 m d'altitude[3].

Hydrographie modifier

Réseau hydrographique modifier

 
Réseaux hydrographique et routier de Courbillac.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le Tourtrat et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Un ruisseau relativement long mais à sec en été, le Tourtrat, qui rejoint la Soloire, affluent de la Charente, à Nercillac, traverse la commune. Ce ruisseau est formé par la réunion de trois sources principales : celle qui sort du Gouffre de Neuvicq, en Charente-Maritime, rejoint, avant d'entrer en Charente, la Garonne de Sonneville, qui vient du hameau du Petit Bordeaux, et se grossit un peu plus bas de la Fontaine de Mareuil[9].

Quelques sources sont situées dans la commune : la fontaine à Brisson, la fontaine des Pierrières, la fontaine Rouillouse, la fontaine Carrée[3].

Gestion des eaux modifier

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[10]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].

Climat modifier

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Courbillac est une commune rurale[Note 1],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14]. La commune est en outre hors attraction des villes[15],[16].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,7 %), zones agricoles hétérogènes (32,2 %), cultures permanentes (18,3 %), forêts (4 %), zones urbanisées (3,9 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Courbillac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité modérée)[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Courbillac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 70 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 315 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 200 sont en aléa moyen ou fort, soit 63 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2014. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[18].

Toponymie modifier

Une forme ancienne est Corbilhaco au XIVe siècle[22],[Note 2].

L'origine du nom de Courbillac remonterait à un personnage gallo-romain Corbellius, Corbelius ou Corbius, issu de Corbus, auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Corbilliacum, ou « domaine de Corbellius »[23],[Note 3].

Le nom Herpes est vraisemblablement d'origine germanique.

Histoire modifier

En 416, Patrice Constance promet des terres aux Wisigoths qui s'établissent en Aquitaine, en partie dans le territoire des Santons.

D'où la création du village d'Herpes sur une voie antique allant de Brioux-sur-Boutonne à Jarnac qui croisait la voie romaine Agrippa de Saintes à Lyon, dite Chemin chaussé ou chemin des Romains, située à 3 km au sud. Ils sont chrétiens mais ariens. On leur doit le baptistère octogonal. Le cimetière mérovingien atteste la présence de guerriers francs, arrivés au VIe siècle et remplaçant les Wisigoths dans toute l'Aquitaine.

La commune de Courbillac formait autrefois deux paroisses : Courbillac et Herpes. Sur la paroisse de Courbillac se trouvaient le fief de la Vallade, et une partie importante du fief de la Courade. Ces deux fiefs appartenaient à la famille Horric de la Courade.

Une autre seigneurie, située dans la paroisse de Courbillac, était celle de Pont d'Herpes, qui, aux XVIIe et XVIIIe siècles, appartenait à une famille Laisné, de la robe de Cognac, anoblie par lettres patentes de novembre 1491. Cet anoblissement concernait Jean Laisné, juge-prévôt d'Angoulême, et son frère Jacques Laisné, juge-prévôt royal de Cognac et Merpins, tous deux fils de Guillaume Laisné, juge-prévôt de Cognac et Merpins, et de Sibille Boutaud. Cette famille est aujourd'hui éteinte.

En 1692, la paroisse d'Herpes constituait une seigneurie, membre de celle de Neuvicq, avec droits de haute, moyenne et basse justice, comprenant une métairie et des prés, avec des cens, rentes et agriers. Elle relevait de la baronnie de Thors, en Saintonge, qui, à cette époque, était possédée par le marquis de Pons[24].

L'état des paroisses de 1686 nous informe que le marquis de Montespan est « à présent » le seigneur de la paroisse d'Herpes de 37 feux dont la terre ne produit que peu de grains et de vin[25].

Après la Révolution, Herpes a été commune à part entière avant d'être rattaché à Courbillac en 1837.

En 1886, Philippe Delamain, négociant en cognac chez Delamain à Jarnac, fouilla à Herpes un cimetière de l'époque franque du VIe siècle. Il y trouva une exceptionnelle collection d'armes, fibules, bijoux, vases datant de cette époque où les Francs s'étaient installés à Herpes. Cette collection a malheureusement été dispersée. Une partie se trouve au British Museum à Londres[26],[27],[28]

En 1999, le village a souffert quelque peu de la tempête ayant traversé la France à ce moment-là.

Administration modifier

La commune de Courbillac a été créée en 1793 dans le canton de Rouillac et l'arrondissement d'Angoulême puis est passée dans l'arrondissement de Rouillac en 1801, et a absorbé Herpes en 1845.

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2001 2008 Francis Vincent   Agriculteur-viticulteur-éleveur
2008 2014 Bernard Cote SE Viticulteur retraité
2014 En cours Gilles Ripoche[29]   Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Le 1er janvier 2008, Courbillac passe de l'arrondissement d'Angoulême à l'arrondissement de Cognac[30].

Fiscalité modifier

La fiscalité est d'un taux de 23,04 % sur le bâti, 52,84 % sur le non bâti, et 11,41 % pour la taxe d'habitation (chiffres 2007).

La communauté de communes de Rouillac prélève 10,80 % de taxe professionnelle.

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].

En 2021, la commune comptait 740 habitants[Note 4], en augmentation de 3,21 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
535613598612680920950965990
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 034961946884814761706689691
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
653640528553518516457423411
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
400426456473502551685727740
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,5 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,1 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 375 hommes pour 372 femmes, soit un taux de 50,2 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,9 
6,2 
75-89 ans
7,0 
12,9 
60-74 ans
11,6 
17,1 
45-59 ans
18,3 
23,9 
30-44 ans
21,5 
15,3 
15-29 ans
16,7 
24,1 
0-14 ans
23,0 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Remarques modifier

Courbillac absorbe Herpes en 1845[33].

  • Herpes
Évolution démographique
1793 1800 1806 1821 1831
267248282285264

Courbillac et Herpes puis les deux communes réunies ont fait preuve d'une grande stabilité démographique jusqu'au dernier quart du XIXe siècle. La perte de population a duré jusqu'aux années 1960 avec un minimum à moins de 400 habitants soit 39 % de sa population maximale en 1861. Mais depuis la commune a inversé cette tendance et voit sa population augmenter à nouveau constamment.

Économie modifier

Il existe un centre équestre ainsi que des exploitations agricoles et viticoles. Il y existe aussi un champ de panneaux solaires.

Agriculture modifier

Courbillac est située sur une terre de polyculture. La viticulture occupe une grande partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[37]. Aussi, au cours du XXe siècle des élevages (de chèvres par exemple) existaient dans le hameau d'Herpes notamment.

Équipements, services et vie locale modifier

 
La poste.

Enseignement modifier

L'école est un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) entre Courbillac, Sonneville, Plaizac et Mareuil. Courbillac accueille l'école élémentaire et Mareuil l'école primaire[38].

Présence de l'ESAT la Merci.

Culte catholique modifier

Courbillac est rattaché à la paroisse de Sigogne[39]. Deux églises ouvertes au public et aux célébrations : une église dans le bourg de Courbillac et une église à Herpes.

Lieux et monuments modifier

  • L'église d'Herpes dont le baptistère est du VIe siècle.
  • Le cimetière des Francs d'Herpes.
  • L'église paroissiale de Courbillac.
  • Fontaine d'Herpes.

De l'ancien logis des Courades il ne reste qu'une tour coiffée d'un toit conique, la seule restant des cinq mentionnées comme existant à l'origine Le logis est plus récent que la tour[40].

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. On reconnaît la graphie occitane. Avant les repeuplements du XVe siècle à la suite des ravages de la guerre de Cent Ans en Aquitaine, Angoumois et Saintonge étaient en langue d'oc.
  3. Comme Courbiac, en Lot-et-Garonne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Courbillac » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Matha », sur Infoterre, (consulté le ).
  7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Courbillac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  9. Sandre, « le Tourtrat »
  10. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  11. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Courbillac », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Courbillac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  22. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 131
  23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 219.
  24. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 146-147
  25. Histoire passion
  26. Trésor du cimetière des Francs d'Herpes
  27. (en) « Collection Herpes », sur British Museum (consulté le ).
  28. « Histoire Passion - Saintonge Aunis Angoumois », sur histoirepassion.eu (consulté le ).
  29. « Charente Libre : l'actualité de la Charente en direct », sur CharenteLibre.fr (consulté le ).
  30. Code Officiel Géographique-Modifications des communes de la Charente
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Courbillac (16109) », (consulté le ).
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  37. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
  38. Site de l'inspection d'académie de la Charente
  39. Paroisse de Sigogne
  40. Association Promotion Patrimoine, Philippe Floris (dir.) et Pascal Talon (dir.), Châteaux, manoirs et logis : La Charente, Éditions Patrimoines & Médias, , 499 p. (ISBN 978-2-910137-05-2 et 2-910137-05-8, présentation en ligne), p. 195