Coulommiers-la-Tour

commune française du département de Loir-et-Cher

Coulommiers-la-Tour
Coulommiers-la-Tour
La Tour.
Blason de Coulommiers-la-Tour
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Loir-et-Cher
Arrondissement Vendôme
Intercommunalité Communauté d'agglomération Territoires Vendômois
Maire
Mandat
Alain Souvrain
2020-2026
Code postal 41100
Code commune 41065
Démographie
Gentilé Columériens[1]
Population
municipale
575 hab. (2021 en augmentation de 7,08 % par rapport à 2015)
Densité 47 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 47′ 02″ nord, 1° 08′ 39″ est
Altitude Min. 87 m
Max. 131 m
Superficie 12,12 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Vendôme
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montoire-sur-le-Loir
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Coulommiers-la-Tour
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Coulommiers-la-Tour
Liens
Site web http://www.coulommiers-la-tour.fr/

Coulommiers-la-Tour est une commune française située dans le département de Loir-et-Cher, en région Centre-Val de Loire.

Localisée au nord-ouest du département, la commune fait partie de la petite région agricole « la Beauce », une vaste étendue de cultures céréalières, oléagineuses (colza) et protéagineuses (pois, féverolle, lupin), avec également de la betterave sucrière, et de la pomme de terre.

L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces agricoles et naturels qui occupent la quasi-totalité du territoire communal. Un espace naturel d'intérêt est présent sur la commune : un site natura 2000. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est la culture des céréales et des oléoprotéagineux. À l'instar du département qui a vu disparaître le quart de ses exploitations en dix ans, le nombre d'exploitations agricoles a fortement diminué, passant de 7 en 1988, à 15 en 2000, puis à 9 en 2010.

Le patrimoine architectural de la commune comprend un bâtiment porté à l'inventaire des monuments historiques : le domaine d'Huchigny.

Géographie modifier

Localisation et communes limitrophes modifier

La commune de Coulommiers-la-Tour se trouve au nord-ouest du département de Loir-et-Cher, dans la petite région agricole de la Beauce[2],[3]. À vol d'oiseau, elle se situe à 25,7 km de Blois[4], préfecture du département, à 5,7 km de Vendôme[5], sous-préfecture, et à 21,1 km de Montoire-sur-le-Loir, chef-lieu du canton de Montoire-sur-le-Loir dont dépend la commune depuis 2015[6]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Vendôme[7].

Les communes les plus proches sont[8] : Villetrun (1,6 km), Rocé (2,8 km), Faye (3,5 km), Areines (4,1 km), Meslay (4,5 km), Périgny (4,8 km), Sainte-Anne (4,9 km), Selommes (5 km) et Saint-Ouen (5,1 km).

Coulommiers-la-Tour est située à 6 km au sud-est-nord-ouest de Vendôme.

Communes limitrophes de Coulommiers-la-Tour
Areines Meslay Rocé
Vendôme   Villetrun
Crucheray Périgny Selommes

Lieux-dits et écarts modifier

La commune compte 138 lieux-dits administratifs[Note 1] répertoriés consultables ici[9] (source : le fichier Fantoir) dont :

  • le Méteau
  • le Petit Moulin
  • la Roche
  • la Touche
  • la Touzerie
  • la Vallée aux Fourches
  • Huchigny
  • Moulineuf
  • Vaupéreuse
  • Véteuil
  • Villejumard

Paysages et relief modifier

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage, adoptée le et entrée en vigueur en France le , un atlas des paysages de Loir-et-Cher a été élaboré en 2010 par le CAUE de Loir-et-Cher, en collaboration avec la DIREN Centre (devenue DREAL en 2011), partenaire financier[10]. Les paysages du département s'organisent ainsi en huit grands ensembles et 25 unités de paysage[Note 2],[11]. La commune fait partie de l'unité de paysage de « la Beauce »[12].

La fertile Beauce, qui couvre pas moins de six cent mille hectares, est un vaste plateau, essentiellement consacré aux grandes cultures (céréales, colza, betterave sucrière). En Loir-et-Cher, la Beauce s'avance jusqu'à Blois, bordée au nord par le Loir et au sud par la Loire, couvrant un septième du département. Ses paysages épurés et ouverts sur le ciel contrastent avec les vertes collines Percheronnes au nord et surtout avec les grandes forêts Solognotes au sud[13].

L'altitude du territoire communal varie de 87 mètres à 131 mètres[14],[15].

Hydrographie modifier

 
Réseau hydrographique de Coulommiers-la-Tour.

La commune est drainée par la Houzé (3,737 km), le Pont aux Chevaux, le Flammesec et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 7,44 km de longueur totale[16].

La Houzé traverse la commune en s'écoulant de l'est vers l'ouest. D'une longueur totale de 20,8 km, elle prend sa source dans la commune de Oucques la Nouvelle (Loir-et-Cher) et se jette dans le Loir à Saint-Ouen (Loir-et-Cher), après avoir traversé 7 communes[17]. Sur le plan piscicole, ce cours d'eau est classé en première catégorie, où le peuplement piscicole dominant est constitué de salmonidés (truite, omble chevalier, ombre commun, huchon)[18].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[19]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[20].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 660 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[19]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Blois », sur la commune de Villefrancœur à 11 km à vol d'oiseau[21], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 641,4 mm[22],[23]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[24].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Sites Natura 2000 modifier

 
Une partie du territoire communal est incluse dans le site Natura 2000 la « Petite Beauce ».

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles. L'objectif est de promouvoir une gestion adaptée des habitats tout en tenant compte des exigences économiques, sociales et culturelles, ainsi que des particularités régionales et locales de chaque État membre. Les activités humaines ne sont pas interdites, dès lors que celles-ci ne remettent pas en cause significativement l'état de conservation favorable des habitats et des espèces concernés[25]. Une partie du territoire communal est incluse dans le site Natura 2000[26] : la « Petite Beauce », d'une superficie de 52 565 ha[27].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Coulommiers-la-Tour est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[28],[29],[30].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vendôme, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 57 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[31],[32].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces agricoles et naturels (96,8 %). La répartition détaillée ressortant de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover millésimée 2012 est la suivante : terres arables (11,6 %), cultures permanentes (0,6 %), zones agricoles hétérogènes (15,4 %), prairies (3,5 %), forêts (65,2 %), milieux à végétation arbustive ou herbacée (0,7 %), zones urbanisées (1 %), espaces verts artificialisés non agricoles (0,5 %), zones industrielles et commerciales et réseaux de communication (1,7 %), eaux continentales (0,5 %)[16].

Le territoire présente une identité forte autour de l'eau : le paysage est riche d'une diversité de points de vue liés aux vallées (Cisse et Loire), et d'ouvrages liés à l'eau. À l'échelle de l'unité géographique « Veuzain-sur-Loire / Chaumont-sur-Loire», qui regroupe sept communes, dont Rilly-sur-Loire, la consommation d'espaces agricoles et naturels pour répondre aux besoins de développement a été soutenue : 81 % des aménagements (logements, équipements, entreprises) ont été réalisés sur de nouveaux terrains, soit 112 hectares entre 2002 et 2015[33].

Planification modifier

La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d'un établissement public, pour déterminer les partis d'aménagement de l'espace au sein d'un SCoT, un document essentiel d'orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCOT des Territoires du Grand Vendômois, approuvé en 2006 et dont la révision a été prescrite en 2017, pour tenir compte de l'élargissement de périmètre[34],[35].

En matière de planification, la commune disposait en 2017 d'une carte communale approuvée[36]. Par ailleurs, à la suite de la loi ALUR (loi pour l'accès au logement et un urbanisme rénové) de mars 2014, un plan local d'urbanisme intercommunal couvrant le territoire de la communauté d'agglomération Territoires Vendômois a été prescrit le [37].

Habitat et logement modifier

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Coulommiers-la-Tour en 2016 en comparaison avec celle du Loir-et-Cher et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (3,7 %) par rapport au département (18 %) et à la France entière (9,6 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 88,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (87,8 % en 2011), contre 68,1 % pour le Loir-et-Cher et 57,6 pour la France entière.

Le logement à Coulommiers-la-Tour en 2016.
Coulommiers-la-Tour[38] Loir-et-Cher[39] France entière[40]
Résidences principales (en %) 88,5 74,5 82,3
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 3,7 18 9,6
Logements vacants (en %) 7,8 7,5 8,1

Risques majeurs modifier

Le territoire communal de Coulommiers-la-Tour est vulnérable à différents aléas naturels : ), climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicité très faible)8 avril 20208 avril 2020 Il est également exposé à un risque technologique : le transport de matières dangereuses[41],[42].

Risques naturels modifier

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés au retrait-gonflement des argiles[41]. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[43]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Georisques[44].

Risques technologiques modifier

Le risque de transport de marchandises dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une canalisation de transport de gaz. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d'avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu'à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d'urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[45].

Toponymie modifier

La seconde partie fait honneur à son patrimoine architectural du Moyen Âge, la tour de défense construite à l'époque des comtes.

C'est au début du XXe siècle que la commune adopta, pour se différencier de la commune homonyme d'où est originaire le fromage éponyme[Note 5], le nom unique de Coulommiers-la-Tour, en vertu du décret du [46].

Histoire modifier

Avant la Révolution modifier

Révolution française et Empire modifier

Nouvelle organisation territoriale modifier

Le décret de l'Assemblée nationale du décrète qu'« il y aura une municipalité dans chaque ville, bourg, paroisse ou communauté de campagne »[47], mais ce n'est qu'avec le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II () que la paroisse de Coulommiers-la-Tour devient formellement « commune de Coulommiers-la-Tour »[47],[48].

En 1790, dans le cadre de la création des départements, la municipalité est rattachée au canton de Selommes et au district de Vendôme[48]. Les cantons sont supprimés, en tant que découpage administratif, par une loi du , et ne conservent qu'un rôle électoral, permettant l'élection des électeurs du second degré chargés de désigner les députés[49],[50]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, considérés comme des rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquièrent dès lors plus d'importance en retrouvant une fonction administrative[49]. Enfin, sous le Consulat, un redécoupage territorial visant à réduire le nombre de justices de paix ramène le nombre de cantons en Loir-et-Cher de 33 à 24[51]. Coulommiers-la-Tour est alors rattachée au canton de Selommes et à l'arrondissement de Vendôme par arrêté du 5 vendémiaire an X ()[52],[48],[53]. Cette organisation va rester inchangée pendant près de 150 ans.

Époque contemporaine modifier

Politique et administration modifier

 
Mairie de Coulommiers-la-Tour.

Découpage territorial modifier

La commune de Coulommiers-la-Tour est membre de la communauté d'agglomération Territoires Vendômois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le [54].

Elle est rattachée sur le plan administratif à l'arrondissement de Vendôme, au département de Loir-et-Cher et à la région Centre-Val de Loire[7], en tant que circonscriptions administratives[7]. Sur le plan électoral, elle est rattachée au canton de Montoire-sur-le-Loir depuis 2015 pour l'élection des conseillers départementaux[55] et à la troisième circonscription de Loir-et-Cher pour les élections législatives[56].

Politique et administration municipale modifier

Conseil municipal et maire modifier

Le conseil municipal de Coulommiers-la-Tour, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal[57] avec listes ouvertes et panachage[58]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges au conseil municipal est de 15. Le maire, à la fois agent de l'État et exécutif de la commune en tant que collectivité territoriale, est élu par le conseil municipal au scrutin secret lors de la première réunion du conseil suivant les élections municipales, pour un mandat de six ans, c'est-à-dire pour la durée du mandat du conseil[59].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001   Albert Jacques Esnault - Maire
mars 2014 En cours Alain Souvrain[60],[61]   Cadre de la fonction publique
Les données manquantes sont à compléter.

Équipements et services modifier

Eau et assainissement modifier

L'organisation de la distribution de l'eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La compétence eau et assainissement des communes est un service public industriel et commercial (SPIC)[62].

Alimentation en eau potable modifier

Le service d'eau potable comporte trois grandes étapes : le captage, la potabilisation et la distribution d'une eau potable conforme aux normes de qualité fixées pour protéger la santé humaine[63]. En 2019, la commune est membre du syndicat intercommunal d'adduction d'eau potable de Villetrun qui assure le service en régie[64].

Assainissement des eaux usées modifier

En 2019, la commune de Coulommiers-la-Tour gère le service d'assainissement collectif en régie directe, c'est-à-dire avec ses propres personnels, avec le statut de régie à autonomie financière[65]. Deux stations de traitement des eaux usées sont en service au sur le territoire communal[66] :

  • « L'Arche », un équipement utilisant la technique du lagunage naturel, dont la capacité est de 430 EH, mis en service le [67] ;
  • « Villejumard », un équipement utilisant la technique des filtres plantés, dont la capacité est de 50 EH, mis en service le [68].

L'assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[69]. La communauté d'agglomération Territoires Vendômois assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l'entretien des installations[70].

Sécurité, justice et secours modifier

La sécurité de la commune est assurée par la brigade de gendarmerie de Selommes qui dépend du groupement de gendarmerie départementale de Loir-et-Cher installé à Blois[71].

En matière de justice, Coulommiers-la-Tour relève du conseil de prud'hommes de Blois, de la Cour d'appel d'Orléans (juridiction de Blois)[72], de la Cour d'assises de Loir-et-Cher, du tribunal administratif de Blois, du tribunal de commerce de Blois et du tribunal judiciaire de Blois[73].

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[74]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[75].

En 2021, la commune comptait 575 habitants[Note 6], en augmentation de 7,08 % par rapport à 2015 (Loir-et-Cher : −1,36 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
302266351375367354361405403
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
421398411406400448439431438
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
441416393356343351340374375
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
351333329440455476516522510
2017 2021 - - - - - - -
557575-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[76] puis Insee à partir de 2006[77].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,7 % la même année, alors qu'il est de 31,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 282 hommes pour 277 femmes, soit un taux de 50,45 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,55 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[78]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,1 
90 ou +
1,5 
6,8 
75-89 ans
8,4 
17,8 
60-74 ans
16,0 
23,1 
45-59 ans
25,7 
18,8 
30-44 ans
17,0 
13,5 
15-29 ans
10,1 
18,8 
0-14 ans
21,3 
Pyramide des âges du département de Loir-et-Cher en 2020 en pourcentage[79]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,1 
90 ou +
2,6 
9,1 
75-89 ans
11,8 
19,4 
60-74 ans
20,1 
21 
45-59 ans
20,2 
16,6 
30-44 ans
16,2 
15,3 
15-29 ans
13,2 
17,5 
0-14 ans
16 

Économie modifier

Secteurs d'activité modifier

Le tableau ci-dessous détaille le nombre d'entreprises implantées à Coulommiers-la-Tour selon leur secteur d'activité et le nombre de leurs salariés[80] :

Établissements actifs par secteur d'activité au .
total % com (% dep[81]) 0 salarié 1 à 9 salarié(s) 10 à 19 salariés 20 à 49 salariés 50 salariés ou plus
Ensemble 35 100,0 (100) 24 11 0 0 0
Agriculture, sylviculture et pêche 11 31,4 (11,8) 9 2 0 0 0
Industrie 1 2,9 (6,5) 0 1 0 0 0
Construction 6 17,1 (10,3) 3 3 0 0 0
Commerce, transports, services divers 12 34,3 (57,9) 10 2 0 0 0
dont commerce et réparation automobile 7 20,0 (17,5) 5 2 0 0 0
Administration publique, enseignement, santé, action sociale 5 14,3 (13,5) 2 3 0 0 0
Champ : ensemble des activités.

Le secteur du commerce, transports et services divers est prépondérant sur la commune (12 entreprises sur 35) néanmoins le secteur agricole reste important puisqu'en proportions (31,4 %), il est plus important qu'au niveau départemental (11,8 %). Sur les 35 entreprises implantées à Coulommiers-la-Tour en 2016, 24 ne font appel à aucun salarié et 11 comptent 1 à 9 salariés.

Au , la commune est classée en zone de revitalisation rurale (ZRR), un dispositif visant à aider le développement des territoires ruraux principalement à travers des mesures fiscales et sociales. Des mesures spécifiques en faveur du développement économique s'y appliquent également[82].

Agriculture modifier

En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[83]. Le département a perdu près d'un quart de ses exploitations en 10 ans, entre 2000 et 2010 (c'est le département de la région Centre-Val de Loire qui en compte le moins)[84]. Cette tendance se retrouve également au niveau de la commune où le nombre d'exploitations est passé de 23 en 1988 à 15 en 2000 puis à 9 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 36 ha en 1988 à 90 ha en 2010[83]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Coulommiers-la-Tour, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l'agriculture à Coulommiers-la-Tour (41) entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[83]
Nombre d'exploitations (u) 23 15 9
Travail (UTA) 25 13 10
Surface agricole utilisée (ha) 823 809 810
Cultures[85]
Terres labourables (ha) 761 746 773
Céréales (ha) 573 506 516
dont blé tendre (ha) 303 274 255
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 85 s 12
Tournesol (ha) 110 63 s
Colza et navette (ha) 51 s s
Élevage[83]
Cheptel (UGBTA[Note 7]) 392 155 171

Produits labellisés modifier

Le territoire de la commune est intégré aux aires de productions de divers produits bénéficiant d'une indication géographique protégée (IGP) : le vin Val-de-loire[86], les volailles de l’Orléanais[87] et les volailles du Maine[88],[89].

Culture locale et patrimoine modifier

Voies modifier

57 odonymes recensés à Coulommiers-la-Tour
au 2 février 2014
Allée Avenue Bld Chemin Clos Impasse Montée Passage Place Pont Route Rue Ruelle Sentier Autres Total
1 [N 1] 1 [N 2] 0 4 [N 3] 0 3 [N 4] 0 1 [N 5] 1 [N 6] 0 1 [N 7] 9 1 [N 8] 0 35 [N 9] 57
Notes « N »
  1. Allée de la Gare.
  2. Avenue de la Tour.
  3. Chemin de la Forêt, Chemin des Clôtures, Chemin des Vignes et Chemin du Meteau.
  4. Impasse de la Denielle, Impasse de Malitourne et Impasse du Petit Moulin.
  5. Passage de la Source.
  6. Place du 8-Mai-1945
  7. Route de Moulineuf.
  8. Ruelle des Douves
  9. Autres voies non identifiées en relation avec des écarts, lieux-dits, hameaux, zones industrielles, lotissements, résidences, quartiers, etc.
Sources : rue-ville.info & OpenStreetMap

Lieux et monuments modifier

  • L'église Saint-Jean-Baptiste, du XIIIe siècle[90].
  • La tour.
  • Le Domaine d'Huchigny, manoir médiéval mentionné en 1268, dont plusieurs bâtiments médiévaux subsistent. Le site connaît ensuite une ultime phase de construction aux XVIIIe – XIXe siècles. Le site est en partie protégé par une inscription à l'inventaire des Monuments Historiques depuis 2010[91].

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

Les armoiries de Coulommiers-la-Tour se blasonnent ainsi :

D'azur au château d'argent maçonné de sable, ouvert et ajouré du champ.

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • Michel Provost, Carte archéologique de la Gaule : Le Loir-et-Cher, Paris, Académie des inscriptions et belles-lettres, , 159 p. (ISBN 2-87754-003-0)
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Articles connexes modifier

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Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  2. Une unité de paysage est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Voir Coulommiers (Seine-et-Marne) et Coulommiers (fromage).
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d'espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).

Références modifier

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