Charles-Eugène Pénaud

amiral français

Charles Pénaud
Charles-Eugène Pénaud
Charles Pénaud, gravure d'après une photographie de Léon Crémière.

Naissance
à Brest
Décès (à 63 ans)
à Toulon
Origine Drapeau de l'Empire français Empire français
Arme Pavillon de la Marine du Premier Empire Marine impériale française
 Marine nationale
Grade Vice-amiral
Années de service 1814/18171864
Commandement 1819 la Reconnaissance
1821 le Sylphe
1822 la Vénitienne
1824 le Colibri
1827 l'Amazone
1833 le Chamois
1834 la Béarnaise
1839 la Triomphante
1843 la Charte
1843 la Didon
1845 le Neptune
1847 l'Iéna
1850 division navale de l'Ouest des côtes de l'Afrique
1855 division navale de la Baltique
1863 1re escadre de cuirassée
1864 escadre d'évolutions de la Méditerranée
Conflits Combat du Tage
Guerre de Crimée
Distinctions 1855 Grand officier de la Légion d'honneur[1]
1856 Chevalier-commandeur de l'ordre du Bain
Famille (Frère) Pierre-Alphonse Pénaud
(Frère) André-Édouard Pénaud
(Fils) Francis-Eugène Pénaud
(Fils) Charles-Alphonse Pénaud

Charles-Eugène Pénaud, né le à Brest, et mort le à Toulon, est un officier de marine français du XIXe siècle, promu au grade de vice-amiral.
Il effectue des missions dans les différentes mers du globe, de l'Amérique centrale et du Sud, d'Afrique, dans la Baltique, océan Indien, Océanie, pendant lesquelles il est nommé seize fois au commandement de bâtiments.

Famille modifier

Issu d'une famille de marins, Charles Pénaud est le fils de Pierre Pénaud, lieutenant de vaisseau de la marine impériale, et d'Élisabeth de Kerdisien Trémais[1]. Il a deux frères, Édouard Pénaud, vice-amiral, et Pierre Pénaud, inspecteur en chef.

Biographie modifier

Antilles modifier

Afin de tester son goût pour la navigation, son père le fait embarquer sur le vaisseau le Lys comme mousse, sous le commandement de son ami le capitaine de vaisseau Milius, chef de la 1re division navale, qui fait route vers les Antilles françaises, après la signature de la paix (traité de Paris, 30 mai 1814). De retour début 1815, il poursuit ses études et passe l'examen d'entrée dans la marine en .

Le 1er juillet, il est reçu élève de la marine de 2e classe. Vers la fin de l'année 1817, il quitte la France sur la frégate-flûte la Revanche, sous le commandement du capitaine de frégate Jacques Pelleport (1775-1827), frère de Pierre de Pelleport, qui a pour mission de transporter des colons déportés, des vivres, et du matériel à Fort-Royal en Martinique[2].

Mer des Indes modifier

Le [3], il embarque sur la flûte le Golo, sous le commandement du capitaine M. le baron de Mackau, en route pour l'île Bourbon, avec à bord le gouverneur de l'île, le Baron Milius. Le , il est élève de 1re classe[4].

18 ans et commandant modifier

 
L'île Bourbon (La Réunion) sous Bonaparte, dessinée par Bory de St-Vincent

Arrivé à la station locale de l'île Bourbon (La Réunion), il a successivement le commandement de quatre petits bâtiments, en mer des Indes, chargé d'effectuer des relevés topographiques des côtes de Madagascar[5].

Le , c'est celui de la goélette la Reconnaissance. Il est de retour le [3].

Vers le , il quitte la rade de Saint-Denis comme commandant de la goélette du roi le Sylphe, pour une expédition scientifique d'échanges de plantes, de La Réunion, Madagascar et d'Europe, avec Colombo, Pondichéry et le Bengale[6]. En août, le naturaliste du roi Jean-Baptiste Leschenault de La Tour monte à bord, chargé de nombreuses découvertes (des roches et des minéraux, dont la pierre de lune de Ceylan, des plantes dont l'herbe de Guinée de Coromandel et des canneliers, collections d'animaux...)[7]. La goélette est de retour dans la rade de l'île Bourbon le [8] ;

Du au , il commande la Vénitienne, sur laquelle il est nommé enseigne de vaisseau le . Il est de nouveau sur le Sylphe, du au . Et enfin, le Colibri, du 1er avril au [3].

Voyage d'exploration scientifique modifier

Il quitte définitivement l'océan Indien, en embarquant sur la corvette l'Espérance, commandée par Paul de Nourquer du Camper, qui a été rejointe le par la frégate la Thétis pour un tour du monde (voyage d'exploration scientifique 1824-1826) sous les ordres de Hyacinthe de Bougainville, chef d'expédition[9], où il effectue des observations astronomiques et météorologiques. Le récit de l'expédition est publié par Edmond Bigot de La Touanne (1796-1863), lieutenant de vaisseau sur la Thétis, dans l'Album pittoresque de la frégate la Thétis et de la corvette l'Espérance. En , les bateaux quittent Rio de Janeiro et arrivent à Brest le , après huit années passées loin de la France.

Guerre d'Alger modifier

En , il est sur la frégate la Vestale en Méditerranée, sur les côtes de la régence d'Alger[6], dans la division navale du capitaine de vaisseau Joseph Collet (1768-1828), composée de treize bâtiments partis de Toulon pour venger l'insulte faite au représentant de la France, le consul Deval[10].

 
Attaque d'Alger par mer, le , par la Provence (en) du vice-amiral Duperré. Léon Morel-Fatio, 1836

En septembre, il prend le commandement de l'Amazone, avec laquelle il se dirige vers la station des Antilles. Il est promu lieutenant de vaisseau[9] le .

Expédition d'Alger modifier

Début 1830, il embarque sur la Couronne à Brest pour Toulon, où il est appelé par le vice-amiral baron Duperré comme officier d'ordonnance sur le vaisseau la Provence (en), commandé par Alexis Jean Marie Villaret de Joyeuse (1788-1873), fils de Louis Thomas Villaret-Joyeuse. Il assiste à la prise d'Alger, avec la charge de réunir les embarcations du débarquement de la première division du corps expéditionnaire[6].

Expédition contre le Portugal modifier

Il est second sur la frégate l'Armide[9], puis en 1831 et 1832, sur la Ville de Marseille, l'un des vaisseaux de la flotte de l'amiral Roussin, où il se distingue dans le combat du Tage. Il est décoré de la croix de chevalier de la Légion d'honneur[11].

Guyane et Martinique modifier

En 1833, il commande à Toulon le chébec le Chamois, et se rend en Corse, à l'île d'Elbe, puis à Alexandrie[6]. De 1834 à 1837, son pavillon sur la corvette la Béarnaise, il navigue vers la Guyane[5], où il fait des relevés hydrographiques. Il quitte Cayenne, en , pour rejoindre le contre-amiral de Mackau et prendre le commandement de la station en Martinique[6].

De retour en France, il occupe un poste au Dépôt des cartes et plans de la Marine. Il est promu capitaine de corvette le , et appelé comme aide de camp auprès de Duperré, ministre de la Marine[6].

Blocus de Buenos Aires modifier

Le , il prend le commandement de la corvette la Triomphante et fait route vers la division du Brésil, et vers La Plata, pour rejoindre son supérieur le contre-amiral Dupotet[6]. Celui-ci lui confie une division composée de six bâtiments, pour protéger le général Lavalle contre les troupes de Rosas, qu'il mène pendant huit mois dans le Rio Paraná[9]. Il est de retour à Brest le . Chargé de mission, il repart le pour le Sénégal, Cayenne, et la Guadeloupe, et rentre le .

À son retour, il est nommé capitaine de vaisseau de 2e classe, le [12], et reprend ses fonctions d'aide de camp de Duperré, à Paris[9].

Le , il est nommé commandant de la frégate la Didon[13].

Campagne de l'Océanie modifier

Le , c'est comme commandant de la frégate la Charte qu'il quitte Brest pour rejoindre le contre-amiral du Petit-Thouars, avec à son bord quatre sœurs de Saint-Joseph de Cluny (elles s'installeront à Papeete à l'endroit qui deviendra l'hôpital Vaiami)[14], passe le Cap Horn, et direction la Polynésie française, où il fait un rapport descriptif de la rade de Talou (Opounohou) à Émeo (Moorea).
Le à Mangareva, il signe avec le Révérend Père Liausu, en présence du roi et des grands chefs des îles Mangareva (îles Gambier), l'acte d'Acceptation du protectorat par la France. Le , il arrive à Tahiti, alors en état de siège, avec la 26e compagnie d'infanterie embarquée aux îles Marquises pour assurer la défense du fort, sur l'isthme de Taravao[15]. Il prend part à des opérations menées par le capitaine de vaisseau Bruat, et opère dans le combat de Mahahena (Mahaena) du , dans la discipline et l'organisation[6].

La Charte retourne à Toulon, le capitaine de frégate Pénaud fait son rapport le [16].

Escadres modifier

Le , il est nommé officier de la Légion d'honneur, le capitaine de vaisseau[17] Pénaud part avec le commandement du vaisseau le Neptune (en), chargé de rejoindre une division contre Madagascar sous les ordres de Duvivier, mais à la suite de l'annulation de la mission, il rallie l'escadre d'évolutions du prince de Joinville[9], partie de Toulon en .

En , commandant du vaisseau l'Iéna[5], il quitte Brest pour Toulon, où il dirige l'escadre d'évolutions, composée de deux vaisseaux et deux frégates à vapeur, en route pour une mission de surveillance des côtes de Tunisie[9], avec escales à Naples, les îles d'Hyères, Gênes, La Spezia. Il est de retour à Toulon le .

Pendant deux ans, il fait partie du conseil des travaux de la Marine[9].

Station d'Afrique modifier

Nommé le commandant de la division navale des côtes occidentales d'Afrique, il part à bord de la frégate à vapeur l'Eldorado sur laquelle il effectue une expédition dans la Casamance, il est alors chef de la station navale à Gorée au Sénégal. Successeur de Édouard Bouët-Willaumez, il est chargé de protéger les comptoirs coloniaux (Sénégal, Côte d'Ivoire et Gabon), soutenir le gouverneur du Sénégal Auguste-Léopold Protet, et faire appliquer la convention du [18], pour la répression de la traite des noirs, signée à Londres, par Louis-Clair de Beaupoil, comte de Saint-Aulaire et Victor, duc de Broglie pour la France, George comte d'Aberdeen et le Dr Stephen Lushington pour le Royaume-Uni, Grande-Bretagne et Irlande[19].

La même année, il crée le jardin de la station de Libreville, au Gabon, qui sera continué par Eugène-Auguste Bouët[20] (1806-1858), frère cadet d'Édouard Bouët-Willaumez, et lieutenant de vaisseau sur l'aviso à vapeur de l'État du Sénégal le Serpent, avec lequel il avait effectué un voyage d'exploration des cours d'eau du Grand-Bassam, en 1849.

Le à Elinkine, au nom du gouverneur Auguste-Léopold Protet, Pénaud signe avec Marques de Diaté, chef de Samatite et de Sicobito, un traité d'amitié et de reconnaissance de la suzeraineté française du territoire. Ce jour, il signe également avec Marques de Badiocoline, roi de Cagnut, un traité de cession du territoire de l'île de carabane à la France[21].

Arrivé à Lorient en , il rapporte un jeune gorille des bords de la rivière du Gabon, espèce découverte en 1847 par Thomas Staughton Savage, missionnaire protestant de New York, et un jeune chimpanzé. Tous deux sont destinés à la Ménagerie, mais morts pendant la traversée, ils sont conservés entiers dans de l'alcool, et seront donnés au Muséum national d'histoire naturelle.

Il est promu contre-amiral le [1], et le 29, directeur de cabinet et chef d'État-major de Théodore Ducos, ministre de la Marine et des Colonies[6].

Guerre de Crimée modifier

Escadre française de la Baltique modifier

La guerre est déclarée à la Russie, et une expédition dans la Baltique est constituée, commandée par le vice-amiral Alexandre Ferdinand Parseval-Deschênes sur l'Austerlitz. Le , au départ de Brest, Pénaud prend le commandement en sous-ordre de l'escadre de la Baltique, son pavillon sur le Duguesclin, et par la suite, le Trident[6]. Il prend part au siège de Bomarsund[22].

Chef de la division navale de la Baltique modifier

 
Bombardement de Sveaborg, mer Baltique,

Le , il quitte Brest, en tant que chef d'escadre de la division navale de la Baltique, composée des vaisseaux mixtes, Tourville, sur lequel il hisse le pavillon, Duquesne, Austerlitz, et des vapeurs D'Assas et Aigle. Il fait une escale à Cherbourg, où le contre-amiral Odet-Pellion, préfet maritime de Cherbourg, lui remet les documents de la dernière campagne laissés par Parseval, et lui confie son fils, Fortuné (1837-1863), sorti au début de l'année de l'École navale, pour parfaire sa formation au combat.
En mai, après quelques escales pour des ravitaillements en vivres et charbon, ainsi que l'embarquement de pilotes connaissant la région, la division navale arrive à Fårösund, point de rendez-vous avec la flotte britannique de Richard Saunders Dundas. Les deux bateaux Tourville et Duquesne arrivent en remorquant les deux autres, Austerlitz et D'Assas, en avarie matériel. La baie déserte, ils louvoient vers Kronstadt, et le lendemain, les chaudières rallumées, rejoignent la flotte de Dundas. Le , Pénaud embarque avec Fortuné sur la corvette à vapeur britannique Merlin pour une mission de reconnaissance, évitant tir de canon et mines sous-marines « Jacobi ». En juillet, le Merlin embarque les deux amiraux, Pénaud et Dundas, pour une nouvelle reconnaissance[23].
Pendant deux nuits, Pénaud fait installer six mortiers, protégés par des sacs de terre, de sable et gabions, sur l'îlot Abraham, lieu situé à un peu plus de deux kilomètres où aucun navire ne peut approcher. Durant les deux jours de bombardement, les russes n'y firent ni blessé ni dégât matériel, cet îlot fut une position stratégique d'attaque dans la bataille sur Sveaborg[24]. Cette action lui vaut la décoration de grand-officier de la Légion d'honneur, ainsi qu'une lettre de satisfaction de l'empereur Napoléon III, par l'intermédiaire de l'amiral Hamelin.

Rentré en France, il assiste, en , au conseil de guerre réunit au palais des Tuileries. En février, il est décoré chevalier-commandeur de l'ordre du Bain par la reine d'Angleterre, Victoria.

Il repart en mer, avec un commandement en sous-ordre, aider au rapatriement de l'armée d'Orient.

Le , il devient membre titulaire du Conseil d'Amirauté, à Paris, jusqu'en 1860. Entre-temps, le , il est promu vice-amiral.

Escadre de cuirassée modifier

En , il commande la 1re escadre de cuirassée, dont les vaisseaux cuirassés Solferino et Magenta, les frégates cuirassées Normandie, Couronne et Invincible, les vaisseaux à vapeur Napoléon et Tourville, et l'aviso à vapeur Talisman. Il part de Cherbourg le , reste une dizaine de jours dans la rade de Brest, puis direction Madère et les îles Canaries. Il est de retour après six semaines avec son mémoire pour le ministre de la marine, les résultats des tests de navigation effectués sous voile et vapeur.

Escadre d'évolutions de la Méditerranée modifier

 
L'escadre d'évolutions avec les bâtiments, Ville de Paris, Algésiras et Gloire

Il accepte le commandement en chef de l'escadre d'évolutions de la Méditerranée le , il quitte Paris et hisse son pavillon, en , sur la Ville de Paris à Toulon.

Décès modifier

Atteint d'une hépatite aiguë, il décède à bord de la Ville de Paris dans le port de Toulon, le .
Ses obsèques ont lieu à l'église de la Madeleine le , sans les honneurs militaires dus au grade de vice-amiral commandant en chef, selon ses souhaits, pour ne pas priver financièrement sa femme Marie-Antoinette-Charlotte Huard de La Mare (-1893)[25] et ses enfants, Alphonse et Eugène, de son modeste revenu.

Il reposait au cimetière du Père-Lachaise (32e division) dans une sépulture de famille qui a disparu[26].

États de service modifier

  • Mousse : 1814
  • Élève de 2e classe :
  • Élève de 1re classe :
  • Enseigne de vaisseau :
  • Lieutenant de vaisseau :
  • Capitaine de corvette :
  • Capitaine de vaisseau de 2e classe : [12]
  • Contre-amiral :
  • Vice-amiral :

Décorations modifier

  • Chevalier de la Légion d'honneur :
  • Officier de la Légion d'honneur :
  • Commandeur de la Légion d'honneur :
  • Grand-officier de la Légion d'honneur :
  • Commandeur de l'ordre du Bain :

Références modifier

  1. a b et c Dates des états de service et décorations : « Cote LH/2090/38 », base Léonore, ministère français de la Culture
  2. [PDF] Service historique de la Défense, campagnes ((opérations ; divisions et stations navales ; missions diverses), Fonds Marine, Inventaire de la sous-série Marine BB 4, vol. 1, p. 512 et 520[201-209]
  3. a b et c Bulletin de l'Académie malgache, vol. 49 et 50, 1972, p. 33
  4. Annales maritimes et coloniales Par Ministère de la Marine et des colonies, 1821. Volume 1, page 61
  5. a b et c [PDF] Service historique de la Défense, État général des fonds privés de la Marine : Volume 1, 1 GG² - 150 GG², Archives centrales de la Marine, p. 59[82]
  6. a b c d e f g h i et j Victor Frond, Le panthéon des illustrations françaises au XIXe siècle, Pilon, 1865 ([PDF] p. 203-210)
  7. J. B. Eyriès, Malte-Brun, Nouvelles annales des voyages, de la géographie et de l'histoire, vol. 18, 1823, p. 279
  8. Revue encyclopédique, ou Analyse raisonnée des productions les plus remarquables, dans la littérature, les sciences et les arts, 4e année, vol. 13, Bureau Central de la Revue encyclopédique, janvier 1822, p. 461
  9. a b c d e f g et h L'expédition de Crimée : la marine française dans la mer Noire et la Baltique, vol. 2, 1858, note 1 p. 327 à 329 et p.  suivantes
  10. Camille Leynadier et Clausel, Histoire de l'Algérie française, vol. 2, H, Morel éditeur, 1846, p. 177
  11. Revue maritime et coloniale, vol. 11, 1864, p. 134
  12. a et b Annales maritimes et coloniales, 31e année, 3e série, partie officiel, vol. 94 de la collection, Imprimerie royale, 1846, p. 326
  13. Annales maritimes et coloniales, 28e année, 3e série, partie officielle, vol. 80 de la collection, 1843, p. 97
  14. Les « filles de saint Joseph » et la terre des hommes Patrick Chastel, lycée Saint-Joseph
  15. Fort de Taravao Tahiti héritage. Encyclopédie collaborative du patrimoine polynésien
  16. Frédéric de La Grandville, Edmond de Ginoux, ethnologue en Polynésie française dans les années 1840, Éditions L'Harmattan, 2001, p. 408 (Archives d'Outre-Mer, FM SG OCEAN 3, dossier 28 : Rapport du capitaine de frégate pénaud, 23 août 1845)
  17. A. Fouquier,
    Annuaire historique universel, ou histoire politique pour 1846, A. Thoisnier-Desplaces, 1847, Appendice p. 60
  18. Serge Dadet, La répression de la traite des Noirs au XIXè siècle : l'action des croisières françaises sur les côtes occidentales de l'Afrique, 1817-1850, Karthala Éditions, 1997, p. 583
  19. Nelly Schmidt, Abolitionnistes de l'esclavage et réformateurs des colonies : 1820-1851, analyse et documents, Karthala Éditions, 2000, p. 433
  20. Moniteur du Sénégal et dépendances, Journal Officiel, Impr. du Gouvernement, 1858, p. 49
  21. M. de Clercq, Recueil des traités de la France, vol. 6 (1850-1855), 1866, p. 98
  22. Revue maritime et coloniale, vol. 11, 1864, p. 135
  23. Jean Leduc, D'un Empire à l'autre, les Pellion, cavalier et marins au service de la France, 1809-1868, Éditions du Gerfaut, 2003, p. 357
  24. L'Illustration, 22e année, vol. 43, no 1096, samedi 27 février 1864, p. 129
  25. Numéro 3973 Le Gaulois du dimanche 9 juillet 1893
  26. Registre journalier d'inhumation 13 avril 1864, n°177253, page 13

Annexes modifier

Sources modifier

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Bibliographie modifier

  • Journal d'un voyage sur la côte méridionale de la Guyane française, février, mars et , no 51 dans les Annales maritimes et coloniales, 2e série, vol. 2, 1836, p. 421-467

Liens externes modifier