Chapelle-lez-Herlaimont
Chapelle-lez-Herlaimont (prononcé [ʃapɛl le ɛʁlɛmɔ̃] Écouter ; en wallon El Tchapele) est une commune francophone de Belgique située en Région wallonne, dans la province de Hainaut, à l’ouest de la ville de Charleroi et qui fait partie de Charleroi Métropole[1].
Chapelle-lez-Herlaimont | |||||
La place communale de Chapelle-lez-Herlaimont. | |||||
Héraldique |
Drapeau |
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Administration | |||||
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Pays | Belgique | ||||
Région | Région wallonne | ||||
Communauté | Communauté française | ||||
Province | Province de Hainaut | ||||
Arrondissement | Charleroi | ||||
Bourgmestre | Karl De Vos (PS) | ||||
Majorité | PS | ||||
Sièges PS Go!Chapelle (MR/cdH) Action Citoyenne (AC) Ecolo |
23 17 4 1 1 |
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Section | Code postal | ||||
Chapelle-lez-Herlaimont Godarville Piéton |
7160 (avant 6168) 7160 (avant 6168) 7160 (avant 6158) | ||||
Code INS | 52010 | ||||
Zone téléphonique | 064 071 |
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Démographie | |||||
Gentilé | Chapellois(e) | ||||
Population – Hommes – Femmes Densité |
14 839 () 48,27 % 51,73 % 815,05 hab./km2 |
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Pyramide des âges – 0–17 ans – 18–64 ans – 65 ans et + |
() 19,19 % 60,57 % 20,24 % | ||||
Étrangers | 13,74 % () | ||||
Taux de chômage | 20,35 % (2022) | ||||
Revenu annuel moyen | 17 807 €/hab. (2021) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 28′ nord, 4° 17′ est | ||||
Superficie – Terr. non-bâtis – Terrains bâtis – Divers |
18,21 km2 (2021) 68,07 % 14,98 % 16,95 % |
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Localisation | |||||
Situation de la commune dans l'arrondissement de la Louvière et la province de Hainaut | |||||
Géolocalisation sur la carte : Belgique
Géolocalisation sur la carte : Belgique
Géolocalisation sur la carte : Région wallonne
Géolocalisation sur la carte : Hainaut
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Liens | |||||
Site officiel | www.chapelle-lez-herlaimont.be | ||||
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À la suite de la fusion des communes en 1977, Chapelle-lez-Herlaimont a été fusionné avec Piéton et Godarville.
Géographie
modifierSituation
modifierChapelle est un village à moitié urbanisé mais assez développé situé entre deux villes : Charleroi et La Louvière. Il est traversé par le ruisseau Piéton, affluent de la Sambre, qui trace la limite ouest avec la commune de Trazegnies.
Communication - Autoroute (E42-E19), R3 (gd. ring de Charleroi), gares de Piéton et Godarville
Sections de la commune
modifier# | Nom | Superf. (km²)[2] |
Habitants (2020)[2] |
Habitants par km² |
Code INS |
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1 | Chapelle-lez-Herlaimont | 8,23 | 10.008 | 1.216 | 52010A |
2 | Godarville | 2,88 | 2.380 | 826 | 52010B |
3 | Piéton | 7,08 | 2.417 | 342 | 52010C |
Communes limitrophes
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Histoire
modifierAu commencement
modifierLe village est à la base pendant l'antiquité une Forêt Charbonnière. Après la conquête de la gaule une chaussée romaine traverse le territoire de l'actuel Commune.
En l'an 1000 PCN, une supposition voudrait que la commune se soit formée à cette époque. Cependant au XIIe siècle un document de la seigneurie de Trazegnies atteste l'existence du village[3]
Prieuré et histoire féodale
modifierEn 1136, le Seigneur de Trazegnies fit abandon à l'Abbaye de Floreffe de la terre située entre la Chaussée romaine et la rivière le Piéton au lieu-dit "Herlaymon". Un prieuré, sous la direction des Prémontrés y fut érigé et l'Evêque de Liège ( Raoul de Zähringen ) assista à l'inauguration de l'Eglise en 1184.
En 1140 l’évêque de Cambrai ( Nicolas Ier de Chièvres ) donna le prieuré à l'abbaye de Floreffe
En 1222, le Seignieur de Trazegnies ( Othon de Trazegnies ) donna à Chapelle une charte d’affranchissement qui fît de chapelle une commune à part entière. Cette dernière stipule que les corvées seront remplacées par des redevances fixes. De plus, l'abbaye de Floreffe possède le droit seignieurial de nommer le Maïeur, les échevins et les forestier[4].
En 1770 Le prieuré est nommé : "Prieuré et Chapelle d'herlaymon". Quelque petite rue relie le prieuré au village[5].
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Prieuré de Chapelle.
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Prieuré d'Herlaymon en 1770.
Pays Mineur
modifierEn 1766, sous le règne de Marie-Thérèse et de Charles de Lorraine, des concessions sont accordées à certains exploitant de houille. Peu après, une société charbonnière se constitue sous la dénomination "Mariemont-Bascoup-Chaud-Buisson" Deux sièges miniers s’installent à Chapelle : Sainte-Catherine et Sainte-Victoire. L'exploitation du charbon fera de chapelle un centre industriel non négligeable. L'exploitation de cedit charbon cessera en 1961[3].
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Charbonnage Sainte-Catherine.
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Charbonnage Chapelle, Bascoup Fosse N°7.
Seconde Guerre mondiale
modifierDurant la Seconde Guerre mondiale, Chapelle connaît un triste épisode de son histoire. En effet, François Lamarche, alors bourgmestre de Chapelle depuis 1921, est démis de ses fonctions par les Allemands, lesquels imposent un bourgmestre rexiste, Alexandre Want, en 1943. Cela malgré une opposition farouche du Collège et du Secrétaire communal.
La résistance fut active dans la commune jusque la libération[3].
Patrimoine
modifier- Eglise Saint-Germain. Bâtie au XVIIIe siècle et conservant en partie un chœur du XVIe siècle, l'église est restaurée en remaniée en 1849[6].
- Ancien moulin d'Herlaimont. Ancienne dépendance de prieuré du même nom et situé au nord-est de celui-ci, bâtiment du XVIIIe siècle actuellement converti en habitations. Logis daté de 1783 à la clé de porte[7].
- Chapelle Notre-Dame de Lourdes. De style néo-roman édifice construit en 1908 selon l'architecte F. Boury[8].
- Ferme d'Herlaimont. Dépendant du prieuré du même nom, construit principalement aux XVIIIe et XIXe siècles, fortement dénaturé par deux hangars récents remplacement deux ailes anciennes[8].
- Prieuré d'Herlaimont. Fondé grâce à une donation des seigneurs de Trazegnies au XIIe siècle, l'ancien prieuré norbertin dépendant de l'abbaye de Floreffe fut détruit à la fin du XVIe siècle et reconstruit en 1776 sur les plans de Dewez. Vendu en 1798 et réaffectée vers le milieu du XIXe siècle puis tomba progressivement en ruine[9].
Armoiries
modifierBlason de Chapelle-lez-Herlaimont. Ces armoiries lui ont été octroyées le 20 décembre 1904 et à nouveau le 14 mai 1982. Ce sont les armoiries des Marquis de Trazegnies, seigneurs de Chapelle-lez-Herlaimont jusqu'à la fin du XVIIIe siècle.
Blasonnement : Bandé d'or et d'azur à l'ombre de lion brochant sur le tout et à la bordure engrêlée de gueules.
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Démographie
modifierDémographie: Avant la fusion des communes
modifier- Source: DGS recensements population
Démographie : Commune fusionnée
modifierEn tenant compte des anciennes communes entraînées dans la fusion de communes de 1977, on peut dresser l'évolution suivante :
Les chiffres des années 1831 à 1970 tiennent compte des chiffres des anciennes communes fusionnées.
- Source: DGS , de 1831 à 1981=recensements population; à partir de 1990 = nombre d'habitants chaque 1 janvier[10]
Année | Population | Évolution 1992=index 100 |
---|---|---|
1992 | 14 191 | 100,0 |
1993 | 14 204 | 100,1 |
1994 | 14 191 | 100,0 |
1995 | 14 191 | 100,0 |
1996 | 14 091 | 99,3 |
1997 | 14 113 | 99,5 |
1998 | 13 974 | 98,5 |
1999 | 13 977 | 98,5 |
2000 | 13 909 | 98,0 |
2001 | 13 971 | 98,4 |
2002 | 14 025 | 98,8 |
2003 | 14 137 | 99,6 |
2004 | 14 015 | 98,8 |
2005 | 13 940 | 98,2 |
2006 | 14 022 | 98,8 |
2007 | 14 121 | 99,5 |
2008 | 14 160 | 99,8 |
2009 | 14 212 | 100,1 |
2010 | 14 385 | 101,4 |
2011 | 14 420 | 101,6 |
2012 | 14 561 | 102,6 |
2013 | 14 650 | 103,2 |
2014 | 14 685 | 103,5 |
2015 | 14 726 | 103,8 |
2016 | 14 810 | 104,4 |
2017 | 14 923 | 105,2 |
2018 | 14 900 | 105,0 |
2019 | 14 737 | 103,8 |
2020 | 14 805 | 104,3 |
2021 | 14 735 | 103,8 |
2022 | 14 672 | 103,4 |
2023 | 14 816 | 104,4 |
2024 | 14 839 | 104,6 |
Politique et administration
modifierConseil et collège communal 2024-2030
modifierListe des bourgmestres
modifier- Lucien Devos, de 1988 à 19??.
- Patrick Moriau, de 2007 à 2012, (Parti Socialiste).
- Karl De Vos, de 2013 à aujourd'hui, (Parti Socialiste).
Jumelages
modifier- Boğazlıyan (Turquie) ;
- Bulancak (Turquie) ;
- Châtillon-sur-Indre (France) ;
- Calascibetta (Italie) ;
- Santa Elisabetta (Italie) ;
- Zagora (Maroc).
Enseignement
modifier- 4 écoles communales sur 11 sites (dont l'Athénée Warocqué).
- 1 école libre sur 3 sites.
- 1 école provinciale sur 1 site[11].
Culture et sport
modifier- Centre culturel[12].
- Salle des fêtes.
- Bibliothèques[13].
- Multiples associations[14].
- Chorale[14].
- Troupe théâtrale[14].
- Salles privées pour arts martiaux et affinitaires[14].
Sport
modifierÉconomie
modifier- « La Valériane » (ensemble de PME),
- « Le Chêne au bois » (complexe commercial).
Santé/sécurité/social
modifierCPAS, asbl Symbiose, police, crèche, services sociaux, polyclinique, maisons de repos, ONE, Maison de la Solidarité, Comité Solidarité, Proxemia.
Emploi
modifier- Maison de l'emploi.
- Agence locale pour l'emploi.
- Agence de développement local.
Logement
modifierSociété d'habitations sociales La Ruche, Agence Immobilière Sociale Prologer.
Tourisme et folklore
modifier- Centre de délassement de Claire Fontaine (Godarville).
- Le terril n°7 des charbonnages de Mariemont-Bascoup: On y planta, au début des années 1970, un authentique vignoble exploité jusqu'en 2014 par la société Tervigne. Poussant dans le schiste de résidus de charbon. Ce vignoble était situé rue de l'abbaye, entre Chapelle et Piéton; On y cultivait un vin labellisé « château de Trazegnies ». Aujourd'hui cependant, le site est gravement menacé de disparition après sa vente en 2016.
- Le Carnaval de Laetare: en 25 ans, le carnaval de Chapelle s'est forgé une réputation dépassant largement les frontières de la région. Chaque année, ces festivités carnavalesques attirent plusieurs dizaines de milliers de personnes qui aiment venir se plonger dans son ambiance particulière, ce qui en fait, d'après les autorités communales, le deuxième carnaval le plus populaire du Hainaut, après Binche. Il est l'un des seuls à inviter des sociétés étrangères et son célèbre feu d'artifice (Prestige des Tchats), tiré par les Maîtres Artificiers Van Cleemput (artificiers du Roi), attire plusieurs dizaines de milliers de personnes venant des quatre coins de la Belgique mais aussi de l'étranger.
- Les premiers géants: Inconnus avant 1940 dans nos carnavals[Lesquels ?], les géants éclosent après 1950; ce sont d'abord cinq petits qui se présentent en 1951 et puis 16 en 1953. En 1958, deux géants, Djan d'l'Abî et Fine du P'tit Gowy, représentatifs d'une population essentiellement ouvrière, sont créés. Au fil des ans, la structure des géants s'est fragilisée et a fini par se casser.
- Les nouveaux géants : L'idée de créer de nouveaux êtres mythiques à Chapelle provient avant tout d'une rencontre avec Xavier Pourbaix.
Après avoir mis en place l'Ordre des Tchats, le Collège des Bourgmestre et Echevins approuva le projet de mise en valeur du patrimoine et des traditions et c'est ainsi que débuta la mission de Xavier Pourbaix. Il a ainsi donné vie à Batisse du Sec Pachy et à Philomène du Bos des Més. Leur mariage fut célébré à la Laetare de l'an 1997. Amoureux des Tchats, les géants ont reçu l'édilité communale du Grand Conseil de l'Ordre des Tchats solennellement invité pour la circonstance. Lors de cette cérémonie, leur animal fétiche, le gros Poupous est venu ronronner de bonheur. Ils prirent la tête du cortège sous la direction de Pierre Champenois en étant accompagnés par une fanfare hollandaise.
- Chapelle Festival: le Chapelle Festival, organisé par l'asbl Solidarité, créée dans la foulée de la révolution[non neutre] roumaine afin de venir en aide à la population roumaine (et qui a aujourd'hui "diversifié" ses activités dans tout ce qui a trait à l'entraide aux populations en difficultés (exemple: tremblement de terre en Turquie, en Iran, etc.), a lieu chaque année aux alentours du 15 août. Lors des deux premières éditions, sous l'égide de Monsieur Robert Deligne, il était nommé Chapelle Celtic Festival, mais il a ensuite été renommé Chapelle Festival. Pour la première fois en 2006, il durera deux jours et drainera plusieurs milliers de festivaliers, appréciant la qualité de son organisation et son caractère familial et convivial (dès le matin, le public peut profiter des activités de loisirs et détentes du Domaine de Claire Fontaine et des différentes animations organisées à cette occasion (marché artisanal, fanfares, théâtre de rue, etc.).
Historique du Festival :
- 2003: Perry Rose, Urban Trad, Cré Tonnerre, Tri Yann (6 000 personnes)
- 2004: Carlos Nuñez, Alka Celtes Airs, Merzhin, Dan Ar Braz (officieusement 3 000 personnes)
- 2005: Bernard Lavilliers, Jimmy Cliff, Sinsemilia, Urban Trad, Renzo Gotto, Gang of Love (nombre de personnes non communiqué, mais record dépassé)
- 2006 :
- Jour 1: Les Gauff' (ex-Gauff' au Suc'), Kraj, Melchior, Gang of Love, R. Calvin
- Jour 2: Michel Fugain, La Grande Sophie, Eté 67, Aldo Granato, Cré Tonnerre et leurs invités.
Chapelle, cité des Tchats
modifierConnue comme « cité des Tchats », Chapelle-lez-Herlaimont se réclame d'une forte référence identitaire héritée de son passé de terre franche tour à tour revendiquée et partagée entre le duché de Brabant et le comté de Hainaut. Ce statut « d'entre deux » s'est maintenu jusqu'à nos jours puisque l'entité se trouve à la fois dans la zone d'influence du pays de Charleroi et la région du Centre. Cette situation se répercute d'ailleurs très concrètement dans la vie quotidienne: partage du réseau TEC, de la zone téléphonique, du territoire des intercommunales.
Cette situation particulière présente donc à la fois des avantages et des inconvénients, mais elle ne semble en tous cas pas avoir altéré l'identité locale, bien au contraire, puisque d'aucun prétendent qu'elle a favorisé l'éclosion d'un certain esprit frondeur et indépendant. Quoi qu'il en soit, à l'origine, le terme Tcha est l'abréviation de Tchaploû, habitant de èl Tchapèl, traduction de Chapelle en wallon local. Le surnom de Tcha a été transformé en Tchat (« chat » en wallon local) par la volonté de l'ancien député-bourgmestre, Patrick Moriau, d'associer ce petit félin réputé pour son indépendance, à l'image et à la symbolique de la localité. Très concrètement, cette nouvelle forme identitaire se traduit dans la désignation de l'espace puisque le site de l'ancien terril n°7, en voie de réaffectation, a été rebaptisé « zoning de la Valériane », du nom de cette herbe très prisée des chats.
Personnalités
modifier- Georges Wasterlain : dessinateur, peintre et sculpteur.
Notes et références
modifier- « Chapelle-lez-Herlaimont », sur Charleroi Métropole (consulté le )
- https://statbel.fgov.be/fr/open-data/population-par-secteur-statistique-10
- « Histoire Chapelle »
- « Histoire chapelle »
- « Carte ferrari »
- Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 20, p. 63.
- Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 20, p. 64.
- Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 20, p. 65.
- Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 20, p. 66.
- https://view.officeapps.live.com/op/view.aspx?src=https%3A%2F%2Fstatbel.fgov.be%2Fsites%2Fdefault%2Ffiles%2Ffiles%2Fdocuments%2Fbevolking%2F5.1%2520Structuur%2520van%2520de%2520bevolking%2FPopulation_par_commune.xlsx&wdOrigin=BROWSELINK
- « Enseignement », sur Chapelle-lez-Herlaimont (consulté le )
- « Centre culturel », sur Chapelle-lez-Herlaimont (consulté le )
- « Bibliothèque du T'chatpitre », sur Chapelle-lez-Herlaimont (consulté le )
- « Culture », sur Chapelle-lez-Herlaimont (consulté le )
- « Sports », sur Chapelle-lez-Herlaimont (consulté le )
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 20 : Wallonie, Hainaut, Arrondissement de Charleroi, Liège, Pierre Mardaga, éditeur, , 602 p. (ISBN 2-87009-588-0, lire en ligne)