Châtenois-les-Forges

commune française du département du Territoire de Belfort

Châtenois-les-Forges
Châtenois-les-Forges
La mairie.
Blason de Châtenois-les-Forges
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Territoire de Belfort
Arrondissement Belfort
Intercommunalité CA Grand Belfort
Maire
Mandat
Marie-Josée Baillif
2022-2026
Code postal 90700
Code commune 90022
Démographie
Gentilé Chatenais
Population
municipale
2 616 hab. (2021 en diminution de 5,11 % par rapport à 2015)
Densité 302 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 33′ 31″ nord, 6° 51′ 00″ est
Altitude Min. 328 m
Max. 415 m
Superficie 8,67 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Châtenois-les-Forges
(ville-centre)
Aire d'attraction Belfort
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Châtenois-les-Forges
(bureau centralisateur)
Législatives 2e circonscription du Territoire de Belfort
Localisation
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Châtenois-les-Forges
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Châtenois-les-Forges
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Châtenois-les-Forges
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Châtenois-les-Forges
Liens
Site web https://chatenoislesforges.fr

Châtenois-les-Forges est une commune française située dans le département du Territoire de Belfort, la région culturelle et historique de Franche-Comté et la région administrative Bourgogne-Franche-Comté.

Ses habitants sont appelés les Chatenais.

Géographie modifier

Description modifier

 
Vue aérienne.

Châtenois-les-Forges est un bourg périurbain franc-comtois, situé au sud-est du département, à mi-chemin entre Belfort et Montbéliard, à treize kilomètres de la frontière franco-suisse.

Il est desservi par l'ex- RN 437 (actuelle RD 437) et est aisément accessible par l'Autoroute A36

 
Champs au-dessus de Châtenois-les-Forges.

Communes limitrophes modifier

  Brevilliers
(Haute-Saône)
Bermont  
N Trévenans
O    Châtenois-les-Forges    E
S
Bethoncourt
(Doubs)
Grand-Charmont
(Doubs)
Nommay
(Doubs)

Hydrographie modifier

La commune est limitée à l'est par le cours de la Savoureuse, un sous-affluent du Rhône par le Doubs, la Saône et l'Allan.

A proximité se trouvent deux grands étangs.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 277 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 10,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Dorans », sur la commune de Dorans à 3 km à vol d'oiseau[3], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 974,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −16 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Statistiques 1991-2020 et records DORANS (90) - alt : 401m, lat : 47°35'30"N, lon : 6°50'13"E
Records établis sur la période du 01-04-2009 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −0,2 −0,3 2,3 5,5 8,7 12,6 14,4 14,1 10,7 7,1 3,6 0,6 6,6
Température moyenne (°C) 2,2 2,9 6,8 10,8 13,8 18 20,1 19,7 15,9 11,1 6,6 3,3 10,9
Température maximale moyenne (°C) 4,6 6,2 11,3 16,1 19 23,4 25,8 25,4 21,2 15,2 9,6 6,1 15,3
Record de froid (°C)
date du record
−11
07.01.17
−13,8
05.02.12
−7,5
01.03.18
−3,7
06.04.21
−1,3
06.05.19
5,2
21.06.10
7,2
03.07.11
6,4
30.08.09
2,8
20.09.12
−3,7
29.10.12
−8,7
30.11.10
−16
20.12.09
−16
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
18,4
01.01.23
21,4
24.02.21
25,2
31.03.21
27,7
21.04.18
32
25.05.09
35
19.06.22
38,1
24.07.19
37,8
07.08.15
33,4
11.09.23
29,5
02.10.23
23,1
07.11.15
16,8
24.12.13
38,1
2019
Précipitations (mm) 94,5 71 66,1 66,3 97,8 82,5 70,3 87,1 60,1 79,4 84,1 114,8 974
Source : « Fiche 90035001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
4,6
−0,2
94,5
 
 
 
6,2
−0,3
71
 
 
 
11,3
2,3
66,1
 
 
 
16,1
5,5
66,3
 
 
 
19
8,7
97,8
 
 
 
23,4
12,6
82,5
 
 
 
25,8
14,4
70,3
 
 
 
25,4
14,1
87,1
 
 
 
21,2
10,7
60,1
 
 
 
15,2
7,1
79,4
 
 
 
9,6
3,6
84,1
 
 
 
6,1
0,6
114,8
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Châtenois-les-Forges est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Châtenois-les-Forges, une agglomération inter-départementale regroupant 3 communes[11] et 4 752 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Belfort, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 91 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (51,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,9 %), zones agricoles hétérogènes (32,4 %), zones urbanisées (11,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3 %), eaux continentales[Note 4] (1,8 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement modifier

En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 1 454, alors qu'il était de 1 360 en 2014 et de 1 298 en 2009[I 1].

Parmi ces logements, 90,3 % étaient des résidences principales, 0,6 % des résidences secondaires et 9,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 67,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 31,9 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Châtenois-les-Forges en 2019 en comparaison avec celle du Territoire de Belfort et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,6 %) inférieure à celle du département (1,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 69,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (70,3 % en 2014), contre 55,7 % pour le Territoire de Belfort et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Châtenois-les-Forges en 2019.
Typologie Châtenois-les-Forges[I 1] Territoire de Belfort[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 90,3 88,3 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,6 1,5 9,7
Logements vacants (en %) 9,2 10,2 8,2

Toponymie modifier

Le nom de Châtenois est cité pour la première fois en 1098.

  • Ecclesiam de Casteneyaco (1147), Ecclesiam de Castiney (1177), Schehteney (1241), Chastenois (1655), Priour de Chastenoy (1303), Prioratus de Chateneyo/Chatenajo ordinis S. Augustini (1435), Meigertum Schatheney (1427).
  • En allemand : Kestenholtz[17].

Histoire modifier

Moyen Âge modifier

En 1147, Casteneyaco (Kestenholz en allemand) abritait alors un prieuré de l’ordre de Saint Augustin dont la chapelle aurait servi d’église paroissiale.

En 1300, un différend entre le prieur de Châtenois et celui de Lanthenans donna lieu à un procès dont on retrouve les traces dans les archives. Cet établissement religieux, qui a cessé en 1435 de dépendre du prieuré de Lanthenans pour être rattaché au chapitre de Montbéliard, disparait à la fin du XVIe siècle. L’église actuelle est consacrée le à saint Étienne.

En 1282, le seigneur du village était Alard de Châtenois, vassal du comte Renaud de Bourgogne. Châtenois était alors le chef-lieu d’une « mairie » importante du comté de Montbéliard et devient, vers 1350, une possession autrichienne. Le village d’Oye, situé entre Châtenois et Bermont fait alors partie de cette seigneurie.

Au moment de la guerre de Trente Ans vers 1633, Oye fut ravagé par les troupes du roi de Suède, allié des Français, et ne s'est pas relevé de ses ruines. Aujourd’hui, il ne reste d’Oye que le bois qui porte son nom, au nord de Châtenois.

Temps modernes modifier

Au XVIIIe siècle, se développe l’industrie sidérurgique avec l’établissement de hauts-fourneaux et de forges destinés au traitement et à la transformation du minerai de fer en grain extrait des mines d’Andelnans, Chévremont, Châtenois, Danjoutin, Roppe, Vézelois… Après avoir successivement appartenu aux descendants de Mazarin, à la famille Viellard puis à la Compagnie des forges d’Audincourt.

Époque contemporaine modifier

Le dernier haut-fourneau s’éteint au XIXe siècle mais la tradition industrielle se poursuit jusqu’à aujourd’hui.

Le bourg a été desservi par la ligne de Belfort à Sochaux de la compagnie des Chemins de fer d'intérêt local du Territoire de Belfort de 1913 à 1938.

Les chemins de fer d'intérêt local du Territoire de Belfort.
 
Horaires de la ligne en mai 1914.
 
L'ancienne gare du tramway, en 2017.
Villemont

Villemont était un village situé entre Châtenois-les-Forges, Grand-Charmont, Bethoncourt et Nommay. En 1150, il est mentionné dans un titre par lequel le chapitre de Montbéliard donnait à l'abbaye Notre-Dame de Belchamp « sa terre de Villemont » ainsi que la forêt proche en échange de deux « collonges » et trois « meix[Note 5] » dans les villages proches. La dénomination de Villemont disparaît dès le début du XIVe siècle pour être remplacée par le nom de Villers-le-Sec où le prieuré de Châtenois possédait des terres. Après la mort du comte Renaud de Bourgogne et le partage de sa succession, Villers-le-Sec est compris dans la part de sa fille Jeanne qui offre aux habitants leurs franchises de la mainmorte. Villers-le-Sec disparaît dans la première moitié du XVe siècle car un acte de 1429 en parle comme d'un village « ruiné dans les dernières guerres »[18].

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement de Belfort du département du Territoire de Belfort.

Elle était le chef-lieu du canton de Châtenois-les-Forges, créé en 1967 par scission du canton de Belfort[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune est depuis 2014 le bureau centralisateur d'un nouveau canton de Châtenois-les-Forges

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription du Territoire de Belfort.

Intercommunalité modifier

Châtenois-les-Forges était membre de la communauté de l'Agglomération Belfortaine, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1999 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Cette intercommunalité a fusionné avec la communauté de communes du Tilleul et de la Bourbeuse pour former, le , la communauté d'agglomération dénommée le Grand Belfort, dont Châtenois-les-Forges est désormais membre.

Tendances politiques et résultats modifier

Lors des élections municipales de 2014 dans le Territoire de Belfort, la liste UMP menée par Florian Bouquet est la seule candidate et est donc élue en totalité avec 968 suffrages exprimés.
Lors de ce scrutin, 37,48 % des électeurs se sont abstenus et 23,66 des votants ont choisis un bulletin blanc ou nul[20].

Lors des élections municipales de 2020 dans le Territoire de Belfort, la liste SE menée par Mélanie Welken-Haoatai est la seule candidate et est donc élue en totalité avec 512 suffrages exprimés.
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 69,47 % des électeurs se sont abstenus et 16,88 % des vitants ont choisis un bulletin blanc ou nul[21].

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
Maire en 1836   François Grosjean    
Maire en 1851   Laurent Albert    
Maire en 1863   Antoine Vautherin   Médecin
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981   Franco Zandonin PS  
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1983 mars 2001 Robert Enggist   Maire honoraire
mars 2001 mars 2014 Jean-Claude Mathey    
mars 2014[22] avril 2015 Florian Bouquet UMPLR Attaché parlementaire[23]
Vice-président de la CA Belfortaine ( ? → 2016[23])
Conseiller général puis départemental de Châtenois-les-Forges (2011 → )
Président du conseil départemental du Territoire de Belfort (2015 → )
Démissionnaire à la suite de son élection comme président du conseil départemental
avril 2015[24] mai 2020[25] André Brunetta LR Retraité de l'enseignement
mai 2020[26],[27] octobre 2022[28] Mélanie Welklen-Haoatai SE Professeure des écoles
Démissionnaire
13 décembre 2022[29],[30] En cours
(au 19 décembre 2022)
Marie-Josée Baillif   Assistante maternelle agréée

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

En 2021, la commune comptait 2 616 habitants[Note 6], en diminution de 5,11 % par rapport à 2015 (Territoire de Belfort : −3,34 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
5656468178731 1281 1311 0491 0151 004
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9009489649741 0201 0791 1281 2501 516
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6061 8152 1411 9162 0532 2312 1601 8662 167
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
2 5482 4682 7042 6912 5172 6802 7282 7602 696
2015 2020 2021 - - - - - -
2 7572 6252 616------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

L’importance de Châtenois est directement liée à son activité économique. De 752 habitants en 1803, elle passe à 1 131 en 1836. Baissant légèrement ensuite jusqu’à 974 en 1872 pour doubler pendant les quarante ans qui ont suivi et atteindre 2 141 habitants en 1911, comme la plupart des centres industriels du Territoire de Belfort accueillant la main d'œuvre alsacienne optant pour la nationalité française. Actuellement, Châtenois est aussi lieu de résidence pour des travailleurs employés aussi bien à Belfort qu’à Sochaux-Montbéliard.

Enseignement modifier

Santé modifier

L'hôpital le plus proche est l'hôpital Nord Franche-Comté situé dans la commune voisine de Trévenans[34],[35].

Personnalités liées à la commune modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
D'azur aux trois tours d'or maçonnées de sable.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

  • Charles Duvernoy, Les villages ruinés du comté de Montbéliard : avec quelques autres d'origine moderne, Arbois, A. Javel, , 48 p. (lire en ligne), p. 35-36, sur Google Books.

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Habitation d’un cultivateur, jointe à autant de terre qu’il en faut pour l’occuper et le nourrir
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

Autres sources modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Châtenois-les-Forges et Dorans », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Dorans », sur la commune de Dorans - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Dorans », sur la commune de Dorans - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Châtenois-les-Forges », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Belfort », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Dictionnaire topographique du département du Haut-Rhin - Georges Stoffel (1868)
  18. Charles Duvernoy, Les villages ruinés du comté de Montbéliard, op. cit. en bibliographie
  19. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Résultats officiels pour la commune Châtenois-les-Forges
  21. « Elections municipales 2020 », sur elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Florian Bouquet, candidat à la présidence du conseil départemental du Territoire-de-Belfort : Deux candidats en lice : l'UMP Florian Bouquet, réélu hier soir avec Maryline Morallet sur le canton de Chatenois-les-Forges, est le candidat de la nouvelle majorité de droite pour présider le conseil départemental du Territoire-de-Belfort. Christophe Grudler du MoDem se présente également », France 3 Bourgogne-Franche-Comté,‎ 30/3/2015 mis à jour le 10/6/2020 (lire en ligne, consulté le ) « Il a été attaché parlementaire du député et il est depuis l'année dernière maire de Chatenois-les-Forges. C'est également le porte-parole de l'UMP pour ce département ».
  23. a et b Didier Planadevall, « Florian Bouquet s’explique sur ses revenus : Le président du conseil départemental du Territoire de Belfort, Florian Bouquet, a reconnu hier avoir cumulé pendant onze mois ses fonctions avec un poste d’attaché parlementaire », L'Est Républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Florian Bouquet était également maire de Châtenois-les-Forges, mandat qu’il a abandonné dès son élection au poste de président. Jusqu’au 31 décembre 2016, il était aussi 2e vice-président de la Communauté d’agglomération belfortaine, en charge des fonds de compensation ».
  24. Laurent Arnold, « Châtenois-les-Forges (90) : André Brunetta élu maire », L'Est Républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ) « C’est sans surprise qu’André Brunetta, 72 ans, a été élu maire de Châtenois-les-Forges, en lieu et place de Florian Bouquet, contraint de laisser sa place depuis son élection à la tête du conseil départemental. Lors de la séance du conseil municipal de vendredi soir, il a été le seul candidat en lice. À l’issue du scrutin où il a été élu à l’unanimité, il n’a pas caché « être touché ».
  25. « André Brunetta raccroche l’écharpe de maire », L'Est Républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Mélanie Welklen-Haoatai à la tête de la liste Avenir et intérêt communal », L'Est Républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. L'Est Républicain du 28 mai 2020.
  28. Philippe Piot, « Démission du maire, Mélanie Welklen-Haoatai : Elle a confirmé sa démission de maire et de conseillère municipale ce lundi », L'Est républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. « Marie-Josée Baillif conduit la liste Avenir et intérêt communal : L’unique candidate à l’élection municipale de Châtenois-les-Forges ce dimanche, Marie-Josée Baillif, s’inscrit dans la continuité de Mélanie Welklen-Haoatai, maire démissionnaire. », L'Est républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Marie-Josée Baillif élue maire de la commune : Marie-Josée Baillif succède à Mélanie Welklen-Haoatai. Malgré une candidature de dernière minute, elle a été élue maire de Châtenois-les-Forges par le conseil municipal, vendredi. Les adjoints ont été désignés dans la foulée. », L'Est républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Hôpital Nord Franche-Comté sur le site de la commune de Trévenans.
  35. Site officiel de l'HNFC.