Catherine Zeta-Jones

actrice, danseuse et chanteuse britannique
Catherine Zeta-Jones
Description de cette image, également commentée ci-après
Catherine Zeta-Jones au festival du film de Tribeca le .
Nom de naissance Catherine Zeta Jones
Naissance (54 ans)
Swansea, Pays de Galles (Royaume-Uni)
Nationalité Drapeau du Royaume-Uni Britannique
Profession Actrice
Chanteuse
Films notables voir Filmographie
Séries notables The Darling Buds of May
Feud (saison 1)
Site internet Site officiel de l'actrice

Catherine Zeta-Jones[N 1] (prononcé en anglais : /ˈkæθ(ə)ɹɪn ˈziːtə d͡ʒəʊnz/)[N 2] est une actrice et chanteuse[N 3] britannique, née le à Swansea (Pays de Galles).

Elle débute sur scène dans les années 1980, puis elle obtient son premier rôle au cinéma dans Les Mille et Une Nuits () de Philippe de Broca[1]. Elle poursuit ensuite sa carrière à la télévision, notamment avec la série The Darling Buds of May ( - ), qui la fait connaître en Grande-Bretagne[2]. Mais c’est en , avec son interprétation d'Elena de la Vega dans Le Masque de Zorro de Martin Campbell, qu’elle devient mondialement connue[3].

L'actrice enchaîne ensuite plusieurs productions à gros budget et voit sa carrière évoluer grâce au film Traffic () de Steven Soderbergh, qui lui offre sa première nomination aux Golden Globes[4]. En , elle remporte l'Oscar de la meilleure actrice dans un second rôle pour son interprétation de Velma Kelly dans Chicago () de Rob Marshall, obtenant ainsi la consécration de la profession[5]. En , ses débuts à Broadway aux côtés d'Angela Lansbury dans A Little Night Music ( - ) sont salués par l'octroi du Tony Award de la meilleure actrice dans une comédie musicale[6]. À partir du milieu des années 2010, elle délaisse le cinéma au profit d’un retour à la télévision.

Par ailleurs, l'actrice a souvent collaboré avec des réalisateurs de renommée mondiale comme Martin Campbell, Stephen Frears, Steven Soderbergh, Steven Spielberg, les frères Coen et Tim Burton[N 4] pour ne citer qu’eux. À l'écran, elle est connue pour avoir donné la réplique à Antonio Banderas, George Clooney, Brad Pitt, Tom Hanks ou encore Tom Cruise.

Depuis , elle est l'épouse de l'acteur américain Michael Douglas avec lequel elle a deux enfants.

Biographie modifier

Jeunesse et formation modifier

 
Le quartier de Mumbles à Swansea où l'actrice a grandi.

Catherine Zeta-Jones naît le à Swansea au sein du Pays de Galles méridional d’un père confiseur, David James Jones[7],[8],[9], et d’une mère couturière d'origine irlandaise, Patricia Fair[10], de religion catholique[11]. Elle est ainsi prénommée en hommage à ses grands-mères Catherine Fair (du côté maternel)[12],[13] et Zeta Jones (du côté paternel), à qui elle doit son deuxième prénom qu'elle ajoute à son nom de scène[14],[15]. Deuxième d'une fratrie de trois enfants, elle grandit dans le quartier de Mumbles et décrit son éducation comme « stricte », avec une mère « sévère mais gentille »[16],[17]. Son frère aîné, David Jones (né en ), est responsable de développement dans le cinéma et son frère cadet, Lyndon Jones (né en ), est producteur pour la société Milkwood Films[18],[19].

C'est parce qu'elle est une enfant hyperactive que ses parents l'inscrivent à des cours de danse à la Hazel Johnson School of Dance dès l'âge de quatre ans[A 1],[20]. Elle y rencontre brièvement la célèbre chanteuse Shirley Bassey[21]. À l’âge de neuf ans, elle est choisie pour jouer July, l’une des orphelines de la comédie musicale Annie, qui est jouée dans le West End de Londres[22]. Deux ans plus tard, elle décroche le rôle principal de cette même comédie musicale, qui est cette fois jouée au Grand Théâtre de Swansea[9]. Au début de son adolescence, ses capacités en danse lui permettent de devenir championne nationale de claquettes[23],[24]. S'ensuivent plusieurs participations dans d'autres productions théâtrales. En , elle retrouve le West End et devient Tallulah, le personnage féminin principal de la pièce de théâtre Bugsy Malone[A 2],[25].

Durant sa jeunesse, ses parents gagnent 100 000 livres sterling à un jeu d'argent (le Bingo), leur permettant notamment de financer les études de leur fille[26],[27]. C'est ainsi que Catherine Zeta-Jones est scolarisée à la Dumbarton House School, une école privée de Swansea, mais elle prend la décision de la quitter avant d’obtenir son O-level, soit avant d’obtenir un diplôme lui permettant d’aller en classe de première[28].

Ensuite, elle part étudier dans une école d’arts à Chiswick, à l’ouest de Londres, où elle reste trois ans[24]. Elle est alors engagée pour faire partie de la troupe de The Pajama Game[22]. L'actrice se confiera plus tard sur cette période de sa vie[20] : « Je faisais la queue pour les auditions, puis je changeais de costume ou je mettais un justaucorps différent et j'auditionnais à nouveau. Cela me prenait peut-être deux essais, mais j'ai toujours eu le rôle. J'ai compris ce qu'ils voulaient »[C 1].

En , sa carrière au théâtre prend une autre tournure par un coup de hasard. Alors qu'elle sert de doublure dans la comédie musicale 42nd Street, Catherine Zeta-Jones remplace au pied levé l'actrice principale qui est tombée malade[22],[29]. Elle se voit ainsi propulsée en haut de l'affiche[30]. Le producteur est tellement impressionné qu’il lui offre définitivement le rôle-titre pour les représentations suivantes[29] : « Il se trouve que David Merrick, le dieu de Broadway […] faisait le tour du monde pour voir si ses productions étaient à la hauteur. J'ai donc été choisie pour le rôle principal, et je l'ai joué pendant deux ans »[C 2]. À cette occasion, elle fait la rencontre du chanteur Freddie Mercury, qui vient l'encourager régulièrement, et lui donne comme conseil « Garde juste ta tête sur tes épaules »[31]. En , elle s'illustre dans le rôle de Mae Jones dans Street Scene, un opéra de Kurt Weill, qu'elle joue avec l'English National Opera[32].

Carrière modifier

Révélation et premiers succès (années 1990) modifier

« Littéralement, après une heure de télévision ma vie a complètement changé. Je ne pouvais aller nulle part. »
L'actrice interviewée par USA Weekend sur sa célébrité en Angleterre grâce à la série The Darling Buds of May[33].
 
Catherine Zeta-Jones au festival de Cannes 1999, pour la présentation de Haute Voltige.

Elle fait ses débuts au cinéma en dans Les Mille et Une Nuits de Philippe de Broca, où elle incarne Shéhérazade auprès de Gérard Jugnot et Thierry Lhermitte[1]. Mais c'est en , avec son rôle de Mariette Larkin dans The Darling Buds of May, une adaptation télévisée d'un des romans de H. E. Bates, qu'elle commence à se faire un nom[2]. Elle est alors choisie parmi trois cents autres prétendantes pour le rôle[34].

L'actrice part ensuite pour Los Angeles afin de percer à Hollywood[24]. Elle tourne sa première production internationale, Christophe Colomb : La Découverte, sous la direction de John Glen en , dans laquelle elle côtoie Marlon Brando et Tom Selleck[35]. Elle enchaîne par la suite une série de seconds rôles, notamment dans Les Aventures du jeune Indiana Jones () pour la télévision. Au cinéma, elle s'illustre aussi en tant que femme vénale, prête à tout pour devenir Duchesse, dans le film Grandeur et Descendance () ; une prestation qualifiée de « très amusante » par le New York Times[36]. En , Catherine Zeta-Jones est d'abord la vedette d'une adaptation télévisuelle du roman Le Retour au pays natal de Thomas Hardy[37], puis dans celle du roman The Cinder Path de Catherine Cookson[A 3].

Elle tient ensuite le rôle-titre d'un téléfilm sur Catherine la Grande diffusé en . Dans sa critique pour le journal Variety, Lisa Nesselson trouve que l'actrice « communique une certaine grâce et une énergie à ce personnage de souveraine en devenir »[38]. La même année, elle seconde Ewan McGregor et Sean Pertwee dans Blue Juice (), une production estampillée comme le premier film de surf britannique[39].

En , elle joue les antagonistes dans Le Fantôme du Bengale, un film d'action réalisé par Simon Wincer. Ce dernier est un flop à sa sortie mais finit avec le temps par acquérir le statut de film culte[40]. Une critique de Variety considère notamment la comédienne comme « remarquable » dans son rôle[41]. Catherine Zeta-Jones tourne ensuite en dans un téléfilm retraçant le naufrage du Titanic, aux côtés de George C. Scott, Peter Gallagher et Tim Curry. Elle est alors repérée par Steven Spielberg, intéressé par sa prestation[12],[24].

En effet, croyant au potentiel de l'actrice, il propose son nom au réalisateur Martin Campbell pour incarner le rôle féminin principal de sa prochaine production, Le Masque de Zorro ()[A 4],[42]. Aux côtés des acteurs Antonio Banderas et Anthony Hopkins, avec qui elle partage l'affiche, elle prépare son rôle au Mexique sous la supervision du maître d'armes Bob Anderson qui la forme aux scènes de combat[43]. Avec des recettes mondiales de près de 250 000 000 de dollars, ce film lui offre son premier succès au box-office et fait d'elle une actrice mondialement connue[3],[44]. La journaliste Janet Maslin du New York Times apprécie sa prestation et déclare que « Mme Zeta-Jones fait de son premier grand rôle au cinéma un moment inoubliable »[45]. Sa performance est saluée par deux nominations lors des MTV Movie Awards en . L'actrice reviendra plus tard sur ses débuts aux États-Unis[22] :

« Je suis en quelque sorte venue à Hollywood pour être une star de cinéma. Mais c'est vrai, je n'ai pas fait la version du Titanic de James Cameron, […]. Je me suis tout de même lancée dans cette aventure en me disant qu'au final j'aurais au moins quelque chose d'américain à mon actif, où je parle avec un accent américain. Mais ce fut un catalyseur qui a changé mon parcours, parce que Steven Spielberg m'a vu dedans et m'a demandé de faire un bout d'essai pour Zorro[C 3]. »

— Catherine Zeta-Jones

Forte de cette nouvelle notoriété, elle devient une actrice demandée, comme en témoignent ses confessions dans le quotidien The Daily Mirror : « Il y avait des moments où je ne voyais même pas un script pendant des mois. Maintenant, j'en reçois et ils me disent : Oh, au fait, tu es en compétition avec Julia Roberts et Nicole Kidman »[46]. Elle enchaîne donc les tournages et c'est ainsi qu'en , Catherine Zeta-Jones est à l’affiche de deux longs métrages. Le premier est le film de casse Haute Voltige, réalisé par Jon Amiel – présenté hors compétition au festival de Cannes 1999 – et pour lequel elle se glisse dans la peau d'une employée d'une compagnie d'assurance. Elle partage alors l'affiche avec Sean Connery et négocie un cachet de 5 000 000 de dollars[47]. Pour les besoins de cette production, elle réalise la plupart des cascades sans doublure[48]. Son succès grandissant, elle est primée lors de la ShoWest Convention par la National Association of Theatre Owners (Association nationale des propriétaires de salles de spectacle)[49]. Son deuxième film à l'affiche est Hantise, un film d’horreur mis en scène par Jan de Bont. Malgré un succès commercial correct[50], il subit un échec critique[51],[52]. « Zeta-Jones semble être moins une actrice qu'un joli visage, et elle n'est même pas intéressante dans ce registre » peut-on lire dans les colonnes du San Francisco Chronicle à la sortie du film[53].

Consécration (années 2000) modifier

L’année marque un tournant dans sa carrière, mais également dans sa vie personnelle. Avec le thriller choral Traffic, qu’elle tourne enceinte de son premier enfant d'avec Michael Douglas, sous la direction de Steven Soderbergh, l’actrice est particulièrement plébiscitée par la critique[54]. Edward Guthmann du San Francisco Chronicle écrit à propos de sa prestation qu'elle se « démarque dans ce rôle d'épouse privilégiée devenue maman lion »[55]. Catherine Zeta-Jones se montre très investie dans ce projet et suggère au réalisateur de faire réécrire le scénario afin que celui-ci prenne en compte sa grossesse[56],[57],[58]. Bien qu’elle échappe à la nomination aux Oscars[54], elle est nommée pour plusieurs prix, notamment lors des Golden Globes 2001[4]. Avec ses partenaires du film, elle remporte le SAG Award de la meilleure distribution[59]. On la voit ensuite chez Stephen Frears pour le film indépendant High Fidelity, qui est très bien reçu par la critique[60].

En , elle joue de son image de nouvelle star dans la comédie satirique Couple de stars – qui la voit jouer Gwen Harrison, une actrice narcissique – dans laquelle elle donne la réplique à Julia Roberts et John Cusack. Avec presque 140 000 000 de dollars générés au box-office international, le film obtient un certain succès commercial[61]. Dans sa critique, Roger Ebert se montre négatif envers cette production mais salue les acteurs et trouve Zeta-Jones « froide et manipulatrice » dans son rôle[62].

Désireuse de jouer dans une comédie musicale[N 5], elle se voit offrir par le producteur Martin Richards un rôle dans Chicago ()[A 5], adapté de la comédie musicale homonyme par le réalisateur Rob Marshall, et qui fait l'ouverture de la Berlinale 2003[63],[64]. Initialement approchée pour jouer le rôle de Roxie Hart, l'actrice insiste pour incarner celui de Velma Kelly à cause de la célèbre chanson All That Jazz[65]. Pour mieux se glisser dans la peau de son personnage, elle entame un long processus de préparation, travaillant jusqu’à quatorze heures par jour pendant deux mois avant le début du tournage[66]. Elle s'évertue particulièrement à transmettre à l'écran la « flamboyance » et le « désespoir » que demande le personnage[67]. Le film est celui de la consécration pour Catherine Zeta-Jones, le critique David Edelstein du magazine Slate écrivant : « Zeta-Jones a une confiance incandescente à vous en faire perdre la tête »[68]. Lors de la 75e cérémonie des Oscars le , Chicago décroche six Oscars, notamment celui du meilleur film[69]. La comédienne, alors enceinte de son deuxième enfant, est quant à elle primée avec celui du meilleur second rôle féminin, qu'elle reçoit des mains de Sean Connery, son partenaire de Haute Voltige[70]. Elle gagne aussi le SAG Award de la meilleure actrice dans un second rôle[71], celui de la meilleure distribution[71] ou encore le BAFTA de la meilleure actrice dans un second rôle[72].

Son nouveau statut de star oscarisée lui permet de tourner sous la direction d'autres grands cinéastes. En effet, Joel et Ethan Coen lui confient le rôle féminin principal de la comédie loufoque Intolérable Cruauté (). Ce rôle de femme fatale lui permet de partager l'affiche d'égal à égal avec George Clooney. La critique applaudit cette guerre des sexes au vitriol[A 6],[73],[74], qui est présentée à la Mostra de Venise 2003[75] et qui fonctionne bien au box-office international[76]. Parallèlement, elle s’essaye au film d'animation en prêtant sa voix au personnage de Marina dans Sinbad : La Légende des sept mers, œuvre à laquelle participent également Brad Pitt et Michelle Pfeiffer. Lors de la promotion, elle déclare avoir été attirée par ce projet afin de permettre à ses enfants, alors en bas âge, de pouvoir « l'entendre dans un film »[77].

Elle retourne à la Mostra l'année d'après avec Le Terminal de Steven Spielberg. Pour cette comédie dramatique dans laquelle elle évolue aux côtés de Tom Hanks, elle joue de nouveau de sa séduction en incarnant une hôtesse de l'air faisant la rencontre d'un immigré ayant élu domicile dans un aéroport. Le succès commercial est une nouvelle fois au rendez-vous, avec plus de 218 000 000 de dollars générés au box-office[78]. Le critique Anthony Oliver Scott regrette toutefois qu'elle soit utilisée « pour son apparence plutôt que pour son sens de l'autodérision qui est pourtant sa force en tant qu'actrice comique »[79].

En , elle retrouve ensuite Soderbergh pour Ocean's Twelve, deuxième opus de la trilogie initiée en . Elle joue le rôle d'Isabel Lahiri, une inspectrice coriace d'Europol. Cette participation est couronnée de succès au box-office puisque le film réalise presque trois millions d’entrées dans l'Hexagone et engendre des recettes mondiales de plus de 360 000 000 de dollars[80],[81]. Pour Paul Clinton de CNN, le sex appeal que dégage la comédienne est l'un des points forts du film[82]. À cette période, elle fait partie, selon le magazine Forbes, des actrices les mieux payées à Hollywood avec 18 000 000 de dollars[83].

 
L'actrice à Cambridge en février 2005, année de sortie de La Légende de Zorro.

En , elle retrouve l’acteur espagnol Antonio Banderas et le cinéaste Martin Campbell pour la suite des aventures de Zorro, avec La Légende de Zorro. Pour ce film, elle reçoit un salaire estimé à 10 000 000 de dollars[84]. Le long métrage déçoit la critique, bien que l'alchimie du couple qu'elle forme avec Antonio Banderas soit saluée[85],[86], et réalise un score plutôt faible au box-office[87],[88]. Sa prestation lui vaut néanmoins une nomination aux People's Choice Awards. Cette même année, elle reçoit le prix de la « Femme de l'Année » remis par l'association Hasty Pudding Theatricals de l'université Harvard[89].

À la suite de ce semi-échec, la comédienne retrouve le chemin des tournages pour deux films, sortis tous deux en . On la voit d’abord dans Le Goût de la vie, une comédie romantique où elle incarne une cheffe de haute cuisine. Pour préparer son rôle, elle travaille comme serveuse dans un restaurant new-yorkais et suit également des cours de cuisine avec son partenaire Aaron Eckhart[90],[91]. Ce long métrage rapporte presque 100 000 000 de dollars de recettes mondiales[92]. Bien qu'il n'ait pas apprécié le film, le critique Roger Ebert qualifie Catherine Zeta-Jones de « convaincante »[93].

La même année, on la retrouve avec Guy Pearce à l'affiche de la romance fantastique Au-delà de l'illusion, présentée au festival international du film de Toronto. Dans cette œuvre, librement inspirée de la vie de l'illusionniste Harry Houdini, elle campe le rôle de Mary McGregor, une femme dotée de supposés dons de voyance[94].

Après ce film, elle entre en négociation avec Rob Marshall, qui rêve de la diriger à nouveau, pour faire partie de la distribution de Nine ()[95]. L'actrice, souhaitant un rôle plus conséquent, lui propose de développer son personnage[96]. Elle quitte finalement le projet au profit de Nicole Kidman, n'arrivant pas à s'entendre avec le réalisateur[A 7]. En , elle n'est donc à l'affiche que d'un seul film, une comédie romantique intitulée Mon babysitter, dans laquelle elle côtoie Justin Bartha. Cette œuvre légère, signée du réalisateur Bart Freundlich, la fait se glisser dans la peau d'une divorcée qui refait sa vie avec le babysitter de ses enfants. Le distributeur américain du film fait cependant faillite et le film ne sort que dans les salles étrangères, où il connait un succès très modéré[97].

Fin , l'actrice retourne vers ses premières amours, le chant et la danse, le genre qui lui a valu les honneurs, mais cette fois sur la scène de Broadway[98]. Dirigée par le metteur en scène Trevor Nunn dans la comédie musicale A Little Night Music, elle prête ses traits au personnage de Desiree Armfeldt, une actrice autrefois très prisée mais désormais sur la sellette. Elle explique avoir été attirée par les complexités de cette pièce et son absence d’artifice[20] : « Il n'y a pas de mains jazzy, pas de high kicks, pas de bas résille. […] Il faut creuser, creuser et creuser davantage »[C 4]. Son interprétation lui vaut le Tony Award de la meilleure actrice dans une comédie musicale[99], ainsi qu'un prix aux Drama Desk Awards[100] et aux Outer Critics Circle Awards[101], après avoir été très largement saluée par la critique[102],[103],[104].

Seconds rôles et retour à la télévision (années 2010) modifier

 
En , avec son Drama Desk Award de la meilleure actrice pour sa performance sur scène.

En , Catherine Zeta-Jones est distinguée par la reine Élisabeth II comme Commandeur de l'Empire britannique (CBE) en remerciement de ses services rendus à l’art dramatique et de ses engagements caritatifs[105]. Le prince Charles lui remet en personne sa décoration le à Buckingham Palace en présence de son époux Michael Douglas et de ses deux enfants[106].

À la même période, elle est approchée par les dirigeants de la Weinstein Company pour incarner Vivien Leigh dans le film My Week With Marilyn (). Elle finit par décliner l'offre, préférant passer son temps aux côtés de son époux, alors atteint d'un cancer[107],[108]. Elle révèle par la suite sa bipolarité[109] et décide de s'éloigner des plateaux de cinéma[110],[111],[112], confiant que « [ses] priorités ont considérablement changé »[111].

En , après trois ans d'absence cinématographique, l'actrice revient avec trois films, uniquement pour des rôles féminins secondaires. Sans même avoir lu le scénario, elle accepte tout d'abord de participer à Rock Forever, une comédie musicale réalisée par Adam Shankman[113]. Elle y campe le rôle fictif de la première dame de Los Angeles, s'inspirant de la femme politique Michele Bachmann[114]. Le film ne rencontre le succès escompté ni auprès de la presse[115] ni auprès des spectateurs[116],[117]. Elle enchaîne avec la comédie romantique Love Coach de Gabriele Muccino, où elle incarne une ex-présentatrice de télévision, devenue mère au foyer. Le film obtient des critiques défavorables[118]. Le sort réservé à Lady Vegas : Les Mémoires d'une joueuse, œuvre pour laquelle elle retrouve Bruce Willis et le cinéaste Stephen Frears, est similaire, le film passant inaperçu[119].

Catherine Zeta-Jones consacre l'année à des films dramatiques, notamment avec le polar Broken City d'Allen Hughes, aux côtés des stars Mark Wahlberg et Russell Crowe. Une fois encore, le film déçoit la critique[120]. Todd McCarthy du magazine The Hollywood Reporter salue toutefois son interprétation : « Zeta-Jones est la classe incarnée »[121].

C'est finalement sa troisième collaboration avec le réalisateur Steven Soderbergh, le thriller psychologique Effets secondaires, qui lui permet de renouer avec un projet de premier ordre. Présenté à la Berlinale 2013, le long métrage est reçu avec des critiques positives[122] et fonctionne correctement au box-office[123]. Ce rôle de psychiatre vénéneuse se distingue de ses dernières partitions et lui permet de proposer un aspect plus sombre de l'image séductrice qui l'avait menée au sommet[124].

L'actrice conclut l'année en participant au blockbuster Red 2, la suite de la comédie d'action à succès Red (), où elle retrouve pour la troisième fois Bruce Willis, mais également Anthony Hopkins pour la seconde fois (15 ans après Le Masque de Zorro). Elle y joue Katya Petrokovich, une agent double travaillant pour les services secrets russes. Cette comédie, qui joue de l'âge légèrement avancé de ses acteurs, ne convainc pas vraiment la critique[125] et rapporte un peu moins que le premier opus[126]. Dans sa critique pour The Hollywood Reporter, Justin Lowe juge positivement sa prestation et déclare qu'elle « réussit bien à faire ressortir le mélange de séduction et de menace de Katja »[127].

Catherine Zeta-Jones se fait ensuite de nouveau discrète, préférant passer du temps avec ses enfants, comme elle l'a confié au journal Daily Telegraph[128] : « Donc si je dois quitter ma famille pendant un certain temps, il vaut mieux que ce soit pour un rôle que je n'ai jamais joué avant, avec des gens formidables. Il vaut mieux que ce soit amusant. Sinon, pour être honnête avec vous, je préfère rester chez moi »[C 5].

Après une nouvelle pause de trois ans, elle retrouve le chemin des plateaux de cinéma pour la comédie britannique La British Compagnie (), réalisée par Oliver Parker[129],[130]. Elle y campe le rôle de Rose Winters, une journaliste chargée d’écrire un article sur les exploits d’un petit groupe de soldats. Cette dernière connaît un certain succès dans les salles britanniques[131], mais sort directement en DVD dans l'Hexagone[132]. Catherine Bray de Variety se montre critique envers cette production qu'elle qualifie de « résurrection grinçante » et trouve l'actrice « sous-utilisée »[133]. Après ce film, la comédienne amorce un retour à la télévision.

C’est ainsi qu’en , vingt-et-un ans après son dernier rôle pour le petit écran, l'actrice fait son retour en incarnant Olivia de Havilland dans la série télévisée d'anthologie Feud créée par Ryan Murphy[134]. Elle travaille son rôle en écoutant notamment les anecdotes de son beau-père Kirk Douglas sur sa vie d'acteur durant l'Âge d'or de Hollywood[135],[136]. Cette dernière est très favorablement accueillie par la critique et reçoit quatre nominations lors des Golden Globes 2018[137]. La comédienne évolue par ailleurs aux côtés des actrices Jessica Lange et Susan Sarandon. Sonia Saraiya de Variety estime que Zeta-Jones apporte « le meilleur tournant de la série »[138] et Dominic Patten de Deadline Hollywood trouve qu’elle est « merveilleusement bien choisie » pour le rôle[139].

Toujours à la télévision, Catherine Zeta-Jones incarne en le rôle de Griselda Blanco, qu'elle convoite depuis [140],[141], dans un téléfilm intitulé La Reine des cartels[142]. Durant la promotion, elle confie avoir voulu jouer cette partition pour le courage de son personnage et sa capacité à se démarquer dans un monde dominé par les hommes[143]. Son interprétation est accueillie sévèrement par Hanh Nguyen d'Indiewire qui juge qu'elle « n'est pas seulement peu convaincante, elle est extravagante »[144]. En fin d’année, elle s'illustre comme premier rôle d'une série télévisée développée par Facebook Watch, la comédie noire et satirique Queen America, qui s’intéresse aux coulisses des concours de beauté[145]. Pour mieux se plonger dans la peau de son personnage, qui souffre de boulimie, la comédienne s'est servie de ses souvenirs de jeunesse[146]. Dans une critique positive, Jen Chaney de Vulture écrit que « Zeta-Jones est toujours à son meilleur niveau quand elle est fougueuse, et ce rôle lui donne de nombreuses opportunités de le montrer »[147].

Progression télévisuelle (années 2020) modifier

 
Catherine Zeta-Jones et Michael Douglas auprès de leur fille Carys au festival de Cannes 2023.

L'actrice, qui confie être devenue sélective dans ses choix de rôle[148], rejoint ensuite la distribution de la dernière saison de la série policière Prodigal Son (), diffusée en France sur TF1, face au « Chirurgien » joué par Michael Sheen[149]. Elle prête ses traits au Dr. Vivian Capshaw, une médecin légiste qui cache de lourds secrets[150]. La nature sombre de ce personnage l'a intriguée : « Personnellement, je suis toujours attirée par le côté le plus sombre de la nature humaine. J'ai pu inculquer ça en elle »[151]. Elle révèle aussi avoir été attirée par ce projet afin de pouvoir jouer aux côtés de Michael Sheen, avec qui elle souhaitait travailler depuis des années[152].

Fin , elle apparaît dans deux nouvelles séries télévisées. Dans un premier temps, elle incarne en tant qu'actrice invitée la matriarche gothique de la Famille Addams, Morticia Addams, dans Mercredi – produite pour la plateforme Netflix – où elle est notamment dirigée par le cinéaste Tim Burton[153]. Sa transformation en ce personnage iconique, qu'elle décrit comme « une figure féminine absolument mythique »[154], l'a laissée avec « la chair de poule et les larmes aux yeux »[155]. Pour cette prestation, elle reçoit des critiques globalement positives[156],[157], notamment de la part de Josh Stephenson de Metro UK qui la trouve « brillante »[158]. Dans un avis plus nuancé, le magazine Empire considère sa Morticia « fidèlement interprétée » avant de préciser qu'elle « ne se glisse pas aussi magnifiquement qu'Anjelica Huston » dans le rôle[159].

Elle part ensuite à la chasse au trésor pour les besoins de la série Trésors perdus : le secret de Moctezuma ( - ), dérivée de la franchise cinématographique Benjamin Gates, produite pour la plateforme Disney+[160]. Dans cette production, elle campe le rôle de la grande méchante, Billie Pearce, une antiquaire malveillante[161],[162]. Pour cette série, elle reçoit une nomination aux Emmy Awards[163].

Vie privée modifier

 
Catherine Zeta-Jones et Michael Douglas au festival du film de Tribeca en .

Après avoir fréquenté l'acteur Angus Macfadyen[164], Catherine Zeta-Jones rencontre l'acteur américain Michael Douglas, de 25 ans son aîné, au festival du cinéma américain de Deauville en [165]. Il lui déclare sa flamme dès le premier soir en lui affirmant « Je veux être le père de vos enfants »[166],[167],[168]. Le couple se fiance par la suite à Aspen au Colorado lors du Nouvel an en [169]; puis se marie le au Plaza Hotel de New York en présence de plus de 250 invités dont Sharon Stone, Jack Nicholson, Brad Pitt et Bonnie Tyler qui assure d'ailleurs le spectacle musical[170],[171]. Sa robe de mariée est créée par le couturier français Christian Lacroix[172] et le coût du mariage s'est élevé à 1 500 000 dollars[173]. Ils ont deux enfants : Dylan Michael Douglas (né le )[174] et Carys Zeta Douglas (née le )[175].

En , après avoir été harcelé pendant des mois via des lettres et coups de fil anonymes, le couple assigne en justice Dawnette Knight, que l'enquête de police révèle être l'auteure des faits. La prévenue souhaitait notamment « découper en morceaux Catherine Zeta-Jones pour la donner à manger à ses chiens »[176]. À la suite d'un procès médiatisé, Dawnette Knight est condamnée à une peine de trois ans de prison[177].

En , Catherine Zeta-Jones déclare qu'elle est atteinte d'une maniaco-dépression, également appelée trouble bipolaire[178]. Le , son manager annonce qu'elle a subi un traitement de cinq jours dans la clinique spécialisée de Silver Hill Hospital à New Canaan (Connecticut)[109]. Elle est alors l'une des premières personnalités à révéler ouvertement sa bipolarité[179]. Bien qu'elle n'ait initialement pas voulu que sa maladie soit connue de tous, elle déclare « qu'en rendant cela public j'espère que les autres malades sauront que c'est contrôlable »[180]. En , l'actrice se fait de nouveau hospitaliser pour un traitement préventif de 30 jours[181].

En , après des mois de rumeurs, les agents de Michael Douglas et Catherine Zeta-Jones annoncent que le couple souhaite faire une pause et se séparer quelque temps pour « travailler sur leur mariage »[182]. En , après avoir été aperçus à de nombreuses reprises ensemble, une rumeur circule selon laquelle les deux époux voudraient renouveler leurs vœux de mariage[183]. En juin de la même année, réconciliée avec son époux, elle célèbre la Bar Mitzvah de son fils Dylan à Jérusalem[184].

Durant les années 2000, elle réside en famille à Warwick dans les Bermudes avant de déménager dans la région de New York en [185]. Depuis , le couple habite dans un manoir au sein du comté de Westchester, qu'ils ont acquis pour 4 500 000 dollars[186], après avoir vécu pendant plusieurs années à Bedford[187].

Interrogée en par Andy Cohen dans son émission Watch What Happens Live, diffusée sur la chaîne Bravo, Catherine Zeta-Jones se déclare royaliste[188]. Elle réaffirme ses convictions à la suite de la mort de la reine Élisabeth II en , se disant « royaliste convaincue » et « très fière de [son] héritage »[189],[190].

Image publique modifier

Jeu d'actrice modifier

Au début de sa carrière, elle est perçue par la critique comme une actrice dont le principal attrait repose sur son apparence physique[20],[53], avant d'être appréciée par la suite pour sa polyvalence[24],[54],[55]. Le critique Roger Ebert la voit comme une interprète de la trempe d'Ava Gardner et de Deborah Kerr[191]; et Sean Connery, avec qui elle a joué dans Haute Voltige, la décrit comme une « professionnelle incroyable »[48].

Catherine Zeta-Jones, qui a joué aussi bien sur les planches qu'au cinéma et à la télévision, se considère davantage comme « une actrice de théâtre que de cinéma ou de télévision »[C 6],[148]. Elle affectionne particulièrement les comédies musicales[67] et considère qu'elle n'est pas née à la bonne époque[22] : « Toute ma vie je me suis dit que j'étais née à la mauvaise période. J'aurais dû danser avec Gene Kelly. J'aurais dû travailler avec Fred [Astaire]. J'aurais dû être avec Judy [Garland]. Ces jours sont révolus »[C 7].

Elle cite à plusieurs reprises Anne Bancroft comme une source d'inspiration dans son parcours d'actrice[192],[193] et regrette qu'il n'y ait pas plus de rôles pour les actrices de plus de 40 ans[194] : « Ce n'est pas qu'il n'y a pas de belles histoires à raconter sur les femmes quadragénaires, c'est juste que les grands patrons de Hollywood ont le sentiment que la population des cinéphiles est moins intéressée »[C 8].

En , interrogée sur sa vision de l'industrie du divertissement, elle déclare[195] : « Le cinéma d'aujourd'hui est concurrentiel, laborieux, un combat permanent pour s'améliorer. Ce n'est pas glamour »[C 9].

Médiatisation modifier

 
Catherine Zeta-Jones lors des Golden Globes en .

Considérée comme l'une des personnalités les plus glamours de Hollywood[166],[196],[197], Catherine Zeta-Jones fait souvent la couverture de magazines comme Allure[198], Vanity Fair[199], People[200] ou encore Vogue[201] depuis les années 1990. Le journal Daily Telegraph la décrit en comme « l'ultime autodidacte » qui a « constamment pris des décisions audacieuses »[C 10],[9]. En , le magazine Vogue loue son attitude « cool et qu'on ne peut imiter »[202].

Les films qu'elle tourne à la fin des années 1990 renvoient au public une image d'elle plutôt séductrice[48]. En , elle figure pour la première fois dans le classement annuel des plus belles femmes du monde établi par le magazine américain People. Elle figurera par ailleurs dans ce classement à cinq reprises (respectivement en , , , et ), dont une fois comme plus belle femme du monde en [203],[204]. En , c'est au tour du magazine Esquire de la consacrer comme plus belle femme du monde[205].

En , la version américaine du magazine Glamour la récompense du prix Killer Talent Award lors de son gala annuel des Women of the Year Awards[206]. Trois ans plus tard, elle est considérée selon un sondage effectué auprès de plus de huit-mille personnes dans le monde, comme étant internationalement la plus belle femme, toutes générations confondues, juste devant la française Brigitte Bardot[207]. Malgré cette médiatisation, Zeta-Jones admet, quant à elle, qu'elle ne se considère pas comme « une grande beauté »[110],[208].

L'actrice n'est pas non plus exempte de critiques. Elle est sujette à plusieurs reprises à des parodies, comme par Chris Rock lors des Oscars 2005[A 8],[A 9]. Dawn French et Jennifer Saunders l'ont aussi parodiée dans un des numéros de leur émission French and Saunders à cause de son accent gallois[A 10]. Par ailleurs, elle est accusée en par l'association PETA de « crime contre la mode » et se voit décerner le prix de « la personnalité la plus mal habillée »[209].

Catherine Zeta-Jones est aussi connue pour contrôler son image. Fin , elle attaque en justice le magazine Hello! et lui réclame 2 000 000 de livres sterling pour avoir divulgué dans la presse, sans son autorisation, des photos de son mariage[210]. L'actrice et son époux gagnent leur procès en [211],[A 11]. La même année, elle fait annuler via ses avocats la publication d'une biographie sur sa vie, qu'elle n'a pas autorisée, écrite par Cliff Goodwin[212]. Par ailleurs, fin , elle menace la société de cosmétiques Caudalie d'une action en justice après que cette dernière a « utilisé son nom sans son accord »[213].

Dans la culture populaire modifier

De par sa notoriété dans les années 2000, elle a vu son nom être utilisé au cinéma et à la télévision dans plusieurs œuvres de fiction. À cet effet, une partie de l’intrigue de Thank You for Smoking () est centrée sur la production d’un film avec Catherine Zeta-Jones et Brad Pitt en vedettes[214],[215]. Dans l’épisode 7 de la saison 22 de la série Les Simpson, Marge, qui se plaint de son fournisseur d’accès à Internet, réplique « Je l’ai acheté parce que Catherine Zeta-Jones me l’a conseillé. Quelle idiote je fais ! »[216]. Elle est aussi citée dans l’épisode 7 de la saison 2 de The Office sous le nom de Catherine Zeta-Scarn[217]. La série Workaholics fait également référence à l’actrice dans l’épisode 3 de sa première saison lorsque le personnage joué par Adam DeVine entonne « Catherine Zeta-Jones she dips beneath lasers »[218].

En outre, Catherine Zeta-Jones prête parfois son image pour des publicités télévisées, comme pour Alfa Romeo[219],[220], Elizabeth Arden (en)[221], LUX[222],[223] ou encore pour l'opérateur T-Mobile[224],[225]; ce dernier contrat signé en faisant d'elle la célébrité la mieux payée par une marque en son temps[226]. Plus rarement, l'actrice accepte de se mettre en scène bien qu'elle se décrive elle-même comme « timide en société »[227]. Aux côtés de son époux, elle est en la maîtresse de cérémonie du concert du prix Nobel de la paix à Oslo[228]. Sur la scène des Oscars en , aux côtés de la chanteuse et actrice Queen Latifah, elle chante I Move On, une chanson extraite du film Chicago[229]. Elle réitère l'expérience dix ans plus tard lors de la 85e cérémonie des Oscars, le temps d'un hommage rendu aux films musicaux de la dernière décennie, en interprétant la chanson All That Jazz devant près de quarante millions de téléspectateurs[230],[231]. Elle qualifie cette expérience de « terrifiante »[232]. L'année suivante, Catherine Zeta-Jones participe à l'émission Jimmy Kimmel Live! en se mettant en scène dans un clip parodique intitulé David After Dentist et diffusé juste après les Oscars. Elle y incarne le personnage de Tooth Fairy, aux côtés des acteurs Samuel L. Jackson, Joseph Gordon-Levitt et Seth Rogen[233].

Engagements et autres activités modifier

 
Catherine Zeta-Jones au Drama League Benefit Gala en .

Catherine Zeta-Jones est connue pour soutenir de nombreuses œuvres caritatives. En , elle vend aux enchères une de ses tenues du film Le Masque de Zorro pour lever des fonds dans le but de venir en aide aux victimes du SIDA en Afrique[234]. En , elle devient l’ambassadrice du National Society for the Prevention of Cruelty to Children et lance dans la foulée le Full Stop appeal au Pays de Galles pour sensibiliser la population sur la maltraitance faite aux enfants[235],[236]. Sur ce même registre, elle contribue au financement des recherches pour retrouver le corps d'April Jones (en), une fillette de cinq ans disparue en [237]. Dans le domaine du cinéma, elle est la fondatrice de A Fine Romance, un programme caritatif annuel qui aide à collecter des fonds pour le MPTF (en)[238].

En , l'actrice participe à une levée de fonds au profit des victimes des ouragans Harvey et Irma survenus en septembre de la même année[239]. Cet événement, auquel assistent également d'autres célébrités comme Leonardo DiCaprio ou Jamie Foxx, permet de récolter 44 000 000 de dollars au profit des victimes[240]. Catherine Zeta-Jones a également offert son soutien à d'autres organismes de bienfaisance pour les enfants tels que le Centre international pour enfants disparus et sexuellement exploités, ainsi que le Noah’s Ark Appeal (un hôpital gallois)[241].

Outre son métier d’actrice, Zeta-Jones entame une courte carrière dans la chanson au début des années 1990. En , elle prête sa voix à l'un des personnages du récit musical Jeff Wayne's Musical Version of Spartacus, retraçant l'histoire du gladiateur Spartacus[242]. Trois ans plus tard, elle sort son premier single, In the Arms of Love. Elle a aussi chanté True Love Ways, un duo avec David Essex[243]. Elle poursuit également une carrière dans l’entrepreneuriat. En effet, passionnée de décoration d'intérieur et d'architecture depuis son enfance, la comédienne lance en sa propre marque de linges et d'accessoires de maison sous la dénomination Casa Zeta-Jones, en partenariat avec QVC[244]. Son entreprise comprend également une collection de prêt-à-porter et une ligne de maquillage[245]. En , sa marque est récompensée par la PETA pour ses engagements végans[246].

Théâtre modifier

Note : À noter que la pièce Au bois lacté a fait l'objet d'une représentation unique en sous la direction d'Anthony Hopkins. Cette dernière avait été filmée pour la télévision mais elle n'a jamais été diffusée[A 12]. La pièce The Children's Monologues a, quant à elle, fait l'objet d'une seule représentation mise en scène par Danny Boyle[247].

Filmographie modifier

  Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par la base de données IMDb.

Cinéma modifier

Années 1990 modifier

Années 2000 modifier

Années 2010 modifier

Télévision modifier

Discographie modifier

Catherine Zeta-Jones entame une brève carrière de chanteuse dans les années 1990 qui comprend les singles suivants[248] :

  • 1992 : For All Time
  • 1995 :
    • In the Arms of Love
    • I Can't Help Myself
    • True Love Ways (duo avec David Essex)

Elle a également enregistré les chansons de plusieurs bandes originales[249],[250],[251] :

Distinctions modifier

  Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par la base de données IMDb.

Catherine Zeta-Jones obtient la reconnaissance de ses pairs au cinéma avec un Oscar gagné en . Sept ans plus tard, son travail au théâtre est récompensé par un prestigieux Tony Award[99].

Parmi ses autres récompenses, elle compte trois SAG Awards (sur trois nominations) ainsi que deux Critics' Choice Movie Awards (sur trois nominations) et un BAFTA Award (sur une nomination). Au cours de sa carrière, elle a en outre été nommée deux fois aux Golden Globes et une fois aux Emmy Awards.

Pour « services rendus au cinéma et [ses] engagements humanitaires », elle est élevée par la reine Élisabeth II au titre de Commandeur de l'Empire britannique (CBE) en [105],[252].

Voix francophones modifier

Au début de sa carrière et jusqu'à la fin des années 1990, Catherine Zeta-Jones est doublée en France de manière non régulière par plusieurs actrices de doublage. Ainsi, Sabine Haudepin la double dans Les Mille et Une Nuits[254], Virginie Ledieu dans Christophe Colomb : La Découverte[254], Dominique Chauby dans Grandeur et descendance[254], Juliette Degenne dans Le Fantôme du Bengale[254], Nathalie Régnier dans Le Titanic[254], Pascale Vital dans Hantise[254] et Marie-Laure Dougnac dans Haute Voltige[254].

À partir de , respectivement avec Catherine la Grande (en) et Blue Juice (en), Rafaèle Moutier et Marjorie Frantz entament leur travail de doublage de l'actrice[254],[255]. Elles deviennent ses voix les plus régulières dans les années 2000, la doublant par alternance, avec une prépondérance pour Rafaèle Moutier (treize doublages)[254],[255]. À titre exceptionnel, Zeta-Jones est cependant doublée par Catherine Hamilty dans Couple de stars[254], Monica Bellucci dans Sinbad : La Légende des sept mers[254], Sandrine Versele dans Au-delà de l'illusion[254] et Catherine Wilkening dans Lady Vegas : Les Mémoires d'une joueuse[254].

En version québécoise, l'actrice est principalement doublée par Élise Bertrand[256] et plus rarement par Isabelle Leyrolles[256], qui la double dans Le Masque de Zorro et Trafic[256],[N 17]. Marie-Andrée Corneille l'a doublée dans Le Fantôme du Bengale[256].

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Son nom de naissance s'écrit sans tiret, Zeta étant en réalité son deuxième prénom.
  2. Prononciation en anglais britannique retranscrite selon la norme API.
  3. Voir la section Discographie.
  4. Tim Burton l'a dirigée dans la série télévisée Mercredi (2022) produite pour Netflix.
  5. Avant Chicago (2002), Catherine Zeta-Jones avait auditionné pour tenir le rôle de Satine dans Moulin Rouge (2001) mais le réalisateur Baz Luhrmann lui a préféré Nicole Kidman.
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  6. Cette chanson a été filmée pour le long métrage mais fut ensuite coupée au montage. La scène fut plus tard introduite dans la version DVD du film ainsi que dans l’album et fut pour la première fois révélée au public lors d’une émission télévisée sur la chaîne américaine NBC en .
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  7. L'American Film Institute a classé cette chanson à la 98e place de son classement AFI's 100 Years... 100 Songs, qui regroupe les plus grandes chansons du cinéma américain.
    (en-US) « AFI's 100 YEARS...100 SONGS », sur American Film Institute, (consulté le ).
  8. Prix partagé avec Steven Bauer, Benjamin Bratt, James Brolin, Don Cheadle, Erika Christensen, Clifton Collins Jr., Benicio del Toro, Michael Douglas, Miguel Ferrer, Albert Finney, Topher Grace, Luis Guzmán, Amy Irving, Tomás Milián, D. W. Moffett, Dennis Quaid, Peter Riegert et Jacob Vargas.
  9. Prix partagé avec John Kander, Fred Ebb, Susan Misner, Denise Faye, Deidre Goodwin, Ekaterina Chtchelkanova et Mýa.
  10. a et b Prix partagé avec Mýa, Christine Baranski, Ekaterina Chtchelkanova, Taye Diggs, Denise Faye, Colm Feore, Richard Gere, Deidre Goodwin, Queen Latifah, Lucy Liu, Susan Misner, John C. Reilly, Dominic West et Renée Zellweger.
  11. Nomination partagée avec Antonio Banderas.
  12. a et b Nomination partagée avec Mýa, Christine Baranski, Ekaterina Chtchelkanova, Taye Diggs, Denise Faye, Colm Feore, Richard Gere, Deidre Goodwin, Queen Latifah, Lucy Liu, Susan Misner, John C. Reilly, Dominic West et Renée Zellweger.
  13. Nomination partagée avec John Kander, Fred Ebb et Renée Zellweger.
  14. Nomination partagée avec John Kander et Fred Ebb.
  15. Nomination partagée avec John Kander, Fred Ebb, Richard Gere et Renée Zellweger.
  16. Nomination partagée avec Don Cheadle, George Clooney, Matt Damon, Andy García, Bernie Mac, Brad Pitt et Julia Roberts.
  17. Indique le titre québécois du film.
  18. La liste indique les titres québécois.
  19. Le doublage québécois a été conservé lors de la sortie DVD zone 2 du film en France.

Citations originales modifier

Les traductions des citations sont des traductions libres, parfois réalisées avec l'aide de services de traduction dont Google Traduction ou DeepL.
  1. Citation originale : « I would queue up for auditions and then change my costume or put on a different leotard and audition again. It might take me two tries, but I always got the job. I figured out what they wanted. ».
  2. Citation originale : « I did “42nd Street” after that. I was a chorus girl, and I was second understudy in the West End. And then I got on. The girl, I believe, was on holiday, and I was thrown on. David Merrick, the Broadway god, happened to be watching that show—he used to go around the world watching his shows to see if they were up to scratch. So I got cast in the lead role, and I played it for two years. ».
  3. Citation originale : « I went, Well, I kind of came to Hollywood to be a movie star. But all right, I’m not doing the James Cameron version, so I guess I’ll do the TV version of it. I went into that going, O.K., at least I’ll have an American piece of something where I’m speaking with an American accent. But it was a catalyst that changed my course over here, because Steven Spielberg saw me in it and asked me to screen-test for “Zorro.” ».
  4. Citation originale : « There's no jazzy hands, no high kicks, no fishnet stockings, ... It's not one of those shows where you can dig about three inches and come out the other end. You can keep digging and digging and digging ».
  5. Citation originale : « So if I'm going to leave my family for any length of time it had better be for a role that I haven't played before, with great people. It had better be fun. Otherwise, to be honest with you, I would prefer to stay at home. ».
  6. Citation originale : « Mais je me sens encore plus actrice des planches, que de cinéma. ».
  7. Citation originale : « Yes. All my life I was thinking, Ah, I’m born in the wrong era. I should have been dancing with Gene Kelly. I should have been with Fred [Astaire]. I would have been with Judy [Garland]. ».
  8. Citation originale : « It’s not that there aren’t great stories to be told about women in their 40s, its just that the big bosses in Hollywood feel that the demographic of moviegoers are less interested. ».
  9. Citation originale : « Today moviemaking’s competitive, hardworking, a constant battle to step up. It’s not glamorous. ».
  10. Citation originale : « the ultimate self-made success [...] constantly made bold decisions. ».

Références bibliographiques modifier

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Autres références modifier

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Annexes modifier

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Bibliographie modifier

  : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
Les ouvrages sont classés par ordre chronologique du plus ancien au plus récent.

Publications sur Catherine Zeta-Jones modifier

  • (en) Lillian Roman, Catherine Zeta-Jones 178 Success Facts - Everything you need to know about Catherine Zeta-Jones, Brisbane, éd. Emereo Publishing, , 241 p. (ISBN 978-1-4885-7199-2),
  • (en) Viktoria Rossa, Catherine Zeta-Jones: History, Secrets, Success, Independently published, , 33 p. (ISBN 979-8-3525-9216-8).

Autres ouvrages sur le sujet modifier

  • (en-US) James Ursini et Dominique Mainon, Femme Fatale - Cinema's Most Unforgettable Lethal Ladies, New York, éd. Limelight, , 393 p. (ISBN 978-0-8791-0725-3, lire en ligne),
  • (en-US) James Egan, 1000 Facts about Actors Vol. 3, Raleigh, éd. Lulu Publishing, , 154 p. (ISBN 978-1-3267-9330-2), p. 14,
  • (en-US) Roger L. Gordon, Supporting Actors in Motion Pictures, Pittsburgh, éd. Dorrance Publishing Company, , 366 p. (ISBN 978-1-4809-4499-2), p. 267.

Articles modifier

  • Laurent Cotillon, Zézette épouse Z ?, Clichy, Ciné Live, , 130 p. (ISSN 1969-9441), p. 52-53 ,
  • (en-US) Belinda Jones, Valley Girl, Londres, Empire, , 135 p. (ISSN 0957-4948), p. 130-135,
  • (en-US) Tonne Goodman et Alexandra Kotur, Jazz Babies : On the Set of Chicago with Catherine Zeta-Jones & Renée Zellweger, New York, Vogue, , 498 p. (ISSN 0014-5270), p. 438-445 ,
  • (en-US) Mike Sager, CZJ, New York City, Esquire, , 134 p. (ISSN 0014-0791), p. 72-77 ,
  • Vincent Clarke, Catherine Zeta-Jones : Les vrais défis ? Surmonter ses propres barrières, Aéroports de Lyon, Fly'On Magazine, hiver 2012-2013, 50 p. (lire en ligne), p. 24-27.

Articles connexes modifier

Liens externes modifier