Capian

commune française du département de la Gironde

Capian
Capian
La mairie (octobre 2014).
Blason de Capian
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes du Créonnais
Maire
Mandat
Frédéric Lataste
2020-2026
Code postal 33550
Code commune 33093
Démographie
Gentilé Capianais
Population
municipale
787 hab. (2021 en augmentation de 11,95 % par rapport à 2015)
Densité 43 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 42′ 42″ nord, 0° 19′ 47″ ouest
Altitude Min. 17 m
Max. 115 m
Superficie 18,23 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de l'Entre-Deux-Mers
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Capian
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Capian
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Capian

Capian est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie modifier

Localisation modifier

Commune de l'aire d'attraction de Bordeaux située dans l'Entre-deux-Mers à l'est de Cadillac, dans une région de coteaux exposés.

Communes limitrophes modifier

Les communes limitrophes en sont La Sauve au nord, Targon au nord-est, Soulignac au sud-est, Cardan au sud-sud-est, Villenave-de-Rions au sud, Paillet au sud-sud-ouest, Langoiran au sud-ouest et Haux au nord-ouest.

Hydrographie modifier

La commune est traversée par le Grand Estey (ou Ruisseau de Gaillardon) et l'Artolie, tous deux affluents de la Garonne.

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 838 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cadaujac à 17 km à vol d'oiseau[4], est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 918,3 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Capian est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].

Occupation des sols modifier

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (70 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (61,4 %), forêts (28,5 %), terres arables (3,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,4 %), zones urbanisées (1,8 %), prairies (1,4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Capian est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2009, 2014 et 2021[16],[14].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[17]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[18].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Capian.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 336 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 336 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[18].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2014[14].

Toponymie modifier

L'origine du nom de la commune serait l’anthroponyme gallo-romain Capius[20], ou plutôt Cappius, avec suffixe anum, selon Bénédicte Boyrie-Fénié et ceux dont elle reprend l'avis, Dauzat et Rostaing, Ernest Nègre (qui préfère Cappianus), Jacques Astor[21].

En occitan, la graphie du nom de la commune est identique.

Ses habitants sont appelés les Capianais[22].

Histoire modifier

La présence de vestiges antiques témoigne de l'occupation ancienne du territoire.

La motte castrale située à Barakan était la "place forte" où les paysans pouvaient s'abriter.

Dans le dernier tiers du XVIe siècle, à la suite d'un démembrement de fief, Capian qui dépendait jusqu'alors de la Châtellerie de Rions, est érigée en seigneurie, (Baronnie) et le restera jusqu'au 29 avril 1790, date à laquelle la cour seigneuriale rendit son dernier jugement[23].

C'est donc à la Révolution, que la paroisse Saint-Saturnin de Capian forme la commune de Capian[24].

Une carte du XIXe siècle mentionne une chapelle de pèlerinage nommée Notre Dame de Richy au lieu-dit Lavergne, laissant supposer que des pèlerins en route pour Saint-Jacques-de-Compostelle y étaient accueillis[25].

Politique et administration modifier

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1965 1989 Pierre Moysson    
mars 1989 mars 2001 Daniel Lataste SE  
mars 2001 mars 2008 Rose-Marie Dulou    
mars 2008 En cours Frédéric Lataste[26] DVD[27]  

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29]. En 2021, la commune comptait 787 habitants[Note 3], en augmentation de 11,95 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
750757747652705701665640627
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
628670693712790665582570643
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
703690710638633574528525545
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
564623591669602624627627690
2017 2021 - - - - - - -
721787-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Viticulture

Selon la légende locale, le Château Suau aurait tout d'abord servi de pavillon de chasse au XVIe siècle. À l'époque, il appartenait à Jean-Louis de Nogaret de La Valette, duc d'Épernon. Il faut attendre 1637 pour qu'il soit restauré et baptisé en l'honneur des nouveaux maîtres des lieux : la famille Suau. Le domaine est acquis en 1687 par un marchand de vins de Bordeaux du nom de Clément Popp qui se faisait appeler le sire de Suau[36]. Au cours de son histoire, le domaine change brièvement de nom et devient La Claverie, puis devient la propriété de Franco-Columbus Fenwick, consul des États-Unis à Nantes. En 1857, le château passe aux mains du Receveur général de La Réunion, Jean Guénant qui avec l'aide de son fils «apporta tous ses soins pour améliorer le vignoble détruit par le phylloxéra vers 1870», expérimentant, pour la première fois, les greffes de vigne[37],[38]. Le domaine sera revendu plusieurs fois, et même dirigé par l'ingénieur Loustaunou Deguilhem dans les années 40[39],[40], avant d'être acquis par les propriétaires actuels[41] qui ont travaillé à obtenir la certification ISO 14001.

  • Le Château de Potiron est un producteur viticole.
  • Le Château de Lagrange est un producteur viticole et gîte.
  • Le Château du Grand Mouëys est un producteur viticole.
  • Le Château de Laville.
  • Le Domaine de Darbalot est un producteur viticole.
  • Le Château du Télégraphe est un producteur viticole.
  • Le Domaine de La Loubeyre est un producteur viticole.
  • Le Domaine de Montagne est un producteur viticole, éleveur de moutons et fabrication de fromage à partir de lait de brebis.
  • Le Prieuré Sainte-Anne est un producteur viticole.
  • Le Château Couteau est un producteur viticole et chambre d'hôtes.

Jumelage modifier

  • La commune de Capian est jumelée avec la commune de Montsalvy située dans le Cantal depuis 2013.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
De pourpre au léopard en chef, à l'oiseau en vol en abîme et aux chevronnels renversés, jumelés et alésés en pointe, le tout d'argent enfermé dans un orle du même[54].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • Daniel Lataste, Chroniques Capianaises[55].
  • Édouard Guillon, Les Châteaux historiques et vinicoles de la Gironde, Bordeaux: Coderc, Degréteau et Poujol, 1866-69, 4 Vol, p. 393[56].
  • René Manthe, La Baronnie de Capian et le Prieuré d'Artolée - Notes historiques et archéologiques, Société d'archéologie de Bordeaux, 1892, t. XVII, p. 55-57.
  • Charles Cocks, Edouard Feret, Bordeaux et ses vins, classés par ordre de mérite (1893), Éd. Feret.

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre Capian et Cadaujac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Cadaujac-inra » (commune de Cadaujac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Cadaujac-inra » (commune de Cadaujac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Capian », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  16. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  18. a et b « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Capian », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. Capian sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 8 janvier 2015.
  21. Bénédicte Boyrie-Fénié, Dictionnaire Toponymique des Communes de Gironde, Institut occitan, Cairn, 2008
  22. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 30 octobre 2011.
  23. Gallica.bnf La baronnie de Capian, Société archéologique de Bordeaux, Labadie, Ernest, p. 50 et suivantes
  24. Historique des communes, p. 12, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 9 avril 2013.
  25. visites.aquitaine.fr
  26. Commune de Capian sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 30 octobre 2011.
  27. « Résultats départementales 2015 », sur interieur.gouv.fr.
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. [1]
  33. culture.gouv.fr
  34. Chateausuau.com Savoir faire
  35. legifrance.gouv.fr Décret no 2009-1345 du 29 octobre 2009 relatif à l'appellation d'origine contrôlée « Côtes de Bordeaux »
  36. Guide tourisme France.com
  37. Gallica.Bnf in Société archéologique de Bordeaux Labadie, Ernest (1845-1917), p:55,56,57
  38. Gallica Bnf Compte rendu général / du congrès international phylloxérique de Bordeaux 1881, M. Joseph Guénant, propriétaire viticulteur, participant
  39. Google books Loustaunau de Guilhem dans le Qui est Qui en France, 1977, p. 1086
  40. Livres rare-book.com
  41. Libération.fr «Pas question, donc, pour Monique Bonnet de laisser la commission de Bruxelles «galvauder notre nom»
  42. Culture.gouv.fr
  43. « Eglise paroissiale Saint-Saturnin », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  44. « Eglise Notre-Dame-de-Richy dite Chapelle de Lavergne », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  45. Culture.gouv.fr
  46. Culture.gouv.fr
  47. Culture.gouv.fr
  48. Culture.gouv.fr
  49. culture.gouv.fr
  50. culture.gouv.fr
  51. culture.gouv.fr
  52. « Recensement du château Caillavet », notice no IA33000096, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 30 novembre 2011.
  53. Le village de Capian se souvient de Bernard Clavel sur le site Culturebox de France 3, consulté le 30 octobre 2011.
  54. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.
  55. Sud Ouest.fr 19/12/2014
  56. Sudoc abes.fr