Candé-sur-Beuvron

commune française du département de Loir-et-Cher

Candé-sur-Beuvron
Candé-sur-Beuvron
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Loir-et-Cher
Arrondissement Blois
Intercommunalité Agglopolys
Maire
Mandat
Stéphane Ledoux
2020-2026
Code postal 41120
Code commune 41029
Démographie
Gentilé Candéens, Candéennes[1]
Population
municipale
1 510 hab. (2021 en diminution de 1,44 % par rapport à 2015)
Densité 97 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 29′ 45″ nord, 1° 15′ 40″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 111 m
Superficie 15,49 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Blois
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Blois-3
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Candé-sur-Beuvron
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Candé-sur-Beuvron
Géolocalisation sur la carte : Loir-et-Cher
Voir sur la carte topographique de Loir-et-Cher
Candé-sur-Beuvron
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire
Candé-sur-Beuvron

Candé-sur-Beuvron est une commune française située dans le département de Loir-et-Cher en région Centre-Val de Loire.

Localisée au centre du département, la commune fait partie de la petite région agricole « les Vallée et Coteaux de la Loire », grand ruban plus ou moins large où dominent la culture de la vigne et les productions maraîchères.

L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces agricoles et naturels qui occupent la quasi-totalité du territoire communal. Plusieurs espaces naturels d'intérêt sont présents sur la commune : deux sites natura 2000 et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF). En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est la culture des céréales et des oléoprotéagineux. À l'instar du département qui a vu disparaître le quart de ses exploitations en dix ans, le nombre d'exploitations agricoles a fortement diminué, passant de 21 en 1988, à 13 en 2000, puis à 11 en 2010.

Le patrimoine architectural de la commune comprend deux bâtiments portés à l'inventaire des monuments historiques : le château de Madon, inscrit en 1948, et le château de Candé, inscrit en 1948.

Géographie modifier

Localisation et communes limitrophes modifier

La commune de Candé-sur-Beuvron se trouve au centre du département de Loir-et-Cher, à l'ouest du pays blésois, dans la petite région agricole des Vallée et Coteaux de la Loire[2],[3]. À vol d'oiseau, elle se situe à 11,5 km de Blois[4], préfecture du département. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Onzain[5].

Les communes les plus proches sont[6] : Les Montils (2,7 km), Valaire (2,9 km), Monthou-sur-Bièvre (3,2 km), Chouzy-sur-Cisse (3,4 km, intégrée à Valloire-sur-Cisse), Ouchamps (4,2 km, intégrée au Controis-en-Sologne), Seur (5,5 km), Chaumont-sur-Loire (5,6 km), Coulanges (6 km, aussi intégrée à Valloire-sur-Cisse) et Chailles (6,5 km).


Paysages et relief modifier

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage, adoptée le et entrée en vigueur en France le , un atlas des paysages de Loir-et-Cher a été élaboré en 2010 par le CAUE de Loir-et-Cher, en collaboration avec la DIREN Centre (devenue DREAL en 2011), partenaire financier[7]. Les paysages du département s'organisent ainsi en huit grands ensembles et 25 unités de paysage[Note 1],[8]. La commune fait partie de deux unités de paysage : « la Loire de Blois aux portes de Chaumont » et « la Sologne viticole »[9].

En aval de Blois, la vallée de la Loire prend un visage inédit dans le département : très peu urbanisée, elle apparaît principalement cernée de boisements qui cadrent le paysage dans un couloir de coteaux désormais élevés, encore rehaussés par les lisières. Au nord, la forêt de Blois couvre le plateau de Beauce sur une surface de 2 800 hectares et s'avance très près du rebord de coteau. Au sud, c'est la forêt de Russy qui délimite le paysage en occupant à la fois le rebord du plateau solognot et le coteau lui-même. Plus à l'aval, le Beuvron, qui ouvre le coteau pour s'écouler dans la vallée, est lui aussi bordé de boisements qui cadrent la rivière et prolongent l'écrin de végétation en direction de la Sologne[10].

La Sologne viticole, moins boisée que la Grande Sologne, présente un relief doux. La présence affirmée d'une agriculture qui prend le relais des boisements de Grande Sologne dégage des points de vue et des horizons ouverts. Les paysages de bois et de cultures s'enchaînent en s'imbriquant les uns aux autres[11].

L'altitude du territoire communal varie de 62 mètres à 111 mètres[12],[13]. La partie basse, dans le lit majeur de la Loire, présente un paysage assez plat, autour de 70 m, limité par des coteaux. Les vals du Cosson et surtout du Beuvron offrent également une variation du relief, avec des petits coteaux.

Lieux-dits et écarts modifier

Accès et transports modifier

La Loire à vélo traverse la commune.

Hydrographie modifier

 
Réseau hydrographique de Candé-sur-Beuvron.

La commune est située au double confluent de la Loire avec le Beuvron et le Cosson. Divers autres petits cours d'eau la drainent, constituant un réseau hydrographique de 15,38 km de longueur totale[14].

Le cours de la Loire s'insère dans une large vallée qu'elle a façonnée peu à peu depuis des milliers d'années. Elle traverse d'est en ouest le département de Loir-et-Cher depuis Saint-Laurent-Nouan jusqu'à Veuzain-sur-Loire, avec un cours large et lent. La Loire présente des fluctuations saisonnières de débit assez marquées.

Le Beuvron, d'une longueur totale de 115,2 km, prend sa source dans la commune de Coullons, dans le Loiret et se jette dans la Loire dans la commune, après avoir traversé 29 communes[15].

Le Cosson traverse la commune du nord-est vers le sud-ouest. D'une longueur totale de 96,4 km, il prend sa source dans la commune de Vannes-sur-Cosson (45) et se jette dans le Beuvron à Candé-sur-Beuvron, après avoir traversé 18 communes[16].

Sur le plan piscicole, ces cours d'eau sont classés en deuxième catégorie, où le peuplement piscicole dominant est constitué de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[17].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[18]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[19].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 652 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[18]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Cheverny à 15 km à vol d'oiseau[20], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 675,8 mm[21],[22]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[23].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Sites Natura 2000 modifier

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles. L'objectif est de promouvoir une gestion adaptée des habitats tout en tenant compte des exigences économiques, sociales et culturelles, ainsi que des particularités régionales et locales de chaque État membre. Les activités humaines ne sont pas interdites, dès lors que celles-ci ne remettent pas en cause significativement l'état de conservation favorable des habitats et des espèces concernés[24]. Des parties du territoire communal sont incluses dans les sites Natura 2000 suivants[25] :

  • la « Vallée de la Loire de Mosnes à Tavers », d'une superficie de 2 278 ha, un des sites ligériens les plus remarquables par son originalité, avec des milieux naturels incontournables tels que les habitats d'eaux courantes et stagnantes accueillant de nombreux poissons et autres animaux de l'Annexe II (Castor), les pelouses et prairies de grèves et zones inondables et les forêts alluviales[26] ;
  • le « Vallée de la Loire du Loir-et-Cher », d'une superficie de 2 398 ha[27].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique modifier

L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d'améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d'aide à la prise en compte de l'environnement dans l'aménagement du territoire. Le territoire communal de Candé-sur-Beuvron comprend trois ZNIEFF[28] :

  • les « Forêts de ravin de Chaumont-Sur-Loire » (180,25 ha)[29] ;
  • la « Loire Blésoise » (2 380,68 ha)[30] ;
  • les « Pelouses sablo-Calcaires de la Goupillère » (13,7 ha)[31].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Candé-sur-Beuvron est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[32],[33],[34].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Blois, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 78 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[35],[36].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces agricoles et naturels (96,8 %). La répartition détaillée ressortant de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover millésimée 2012 est la suivante : terres arables (11,6 %), cultures permanentes (0,6 %), zones agricoles hétérogènes (15,4 %), prairies (3,5 %), forêts (65,2 %), milieux à végétation arbustive ou herbacée (0,7 %), zones urbanisées (1 %), espaces verts artificialisés non agricoles (0,5 %), zones industrielles et commerciales et réseaux de communication (1,7 %), eaux continentales (0,5 %)[14].

Le territoire est marqué par un tissu urbain dense, maillé par un vaste réseau de voiries, où l'agriculture est toujours présente et apporte une harmonie dans le paysage urbain. À l'échelle de l'unité géographique « Cœur d'agglomération », qui regroupe neuf communes, dont Saint-Sulpice-de-Pommeray, la consommation d'espaces agricoles et naturels pour répondre aux besoins de développement a été soutenue. 64,4 % des aménagements (logements, équipements, entreprises) ont été réalisés sur de nouveaux terrains, soit 252 hectares entre 2002 et 2015. La part des aménagements en densification est la plus importante de l'agglomération: 35,6 % des aménagements ont été réalisés dans des espaces libres ou en friche de l'espace urbain[37].

Planification modifier

La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d'un établissement public, pour déterminer les partis d'aménagement de l'espace au sein d'un SCoT, un document essentiel d'orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCOT du Blésois, approuvé en 2006 et révisé en juillet 2016[38].

En matière de planification, la commune disposait en 2017 d'un plan d'occupation des sols approuvé, un plan local d'urbanisme était en révision[39]. Par ailleurs, à la suite de la loi ALUR (loi pour l'accès au logement et un urbanisme rénové) de mars 2014, un plan local d'urbanisme intercommunal couvrant le territoire de la communauté d'agglomération de Blois « Agglopolys » a été prescrit le [40].

Habitat et logement modifier

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Candé-sur-Beuvron en 2016 en comparaison avec celle du Loir-et-Cher et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (7,1 %) par rapport au département (18 %) et à la France entière (9,6 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 83,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (82,5 % en 2011), contre 68,1 % pour le Loir-et-Cher et 57,6 pour la France entière.

Le logement à Candé-sur-Beuvron en 2016.
Candé-sur-Beuvron[41] Loir-et-Cher[42] France entière[43]
Résidences principales (en %) 88,2 74,5 82,3
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 7,1 18 9,6
Logements vacants (en %) 4,7 7,5 8,1

Risques majeurs modifier

Le territoire communal de Candé-sur-Beuvron est vulnérable à différents aléas naturels : inondations (par débordement de la Loire, du Cosson ou du Beuvron ou par ruissellement), climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicité très faible)8 avril 20208 avril 2020 Il est également exposé à un risque technologique : le transport de matières dangereuses[44],[45].

Risques naturels modifier

 
Zones inondables de la commune de Candé-sur-Beuvron.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit liés au retrait-gonflement des argiles, soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrains, soit des effondrements liés à des cavités souterraines[44]. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[46]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Georisques[47]. Une autre carte permet de prendre connaissance des cavités souterraines localisées sur la commune[48].

Un atlas des zones inondables du Beuvron est établi en décembre 2003. Les crues historiques du Beuvron sont celles de 1856, de 1910 et de 1936-1937. Le débit de la crue de référence varie ainsi entre 60 et 160 m3/s selon les sections[49].

Risques technologiques modifier

Le risque de transport de marchandises dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic et une canalisation de transport de gaz. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d'avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu'à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d'urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[50].

Toponymie modifier

C'est en 1927 que la commune adopta, pour se différencier de son homonyme en Maine-et-Loire[Note 4], le nom unique de Candé-sur-Beuvron, en vertu du décret du de la même année[51].

Histoire modifier

Avant la Révolution modifier

Révolution française et Empire modifier

Nouvelle organisation territoriale modifier

Le décret de l'Assemblée nationale du décrète qu'« il y aura une municipalité dans chaque ville, bourg, paroisse ou communauté de campagne »[52], mais ce n'est qu'avec le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II () que la paroisse de Candé-sur-Beuvron devient formellement « commune de Candé-sur-Beuvron »[52],[53].

En 1790, dans le cadre de la création des départements, la municipalité est rattachée au canton de Cellettes et au district de Blois[53]. Les cantons sont supprimés, en tant que découpage administratif, par une loi du , et ne conservent qu'un rôle électoral, permettant l'élection des électeurs du second degré chargés de désigner les députés[54],[55]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, considérés comme des rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquièrent dès lors plus d'importance en retrouvant une fonction administrative[54]. Enfin, sous le Consulat, un redécoupage territorial visant à réduire le nombre de justices de paix ramène le nombre de cantons en Loir-et-Cher de 33 à 24[56]. Candé-sur-Beuvron est alors rattachée au canton de Contres et à l'Arrondissement de Blois par arrêté du 5 vendémiaire an X ()[57],[53],[58]. Cette organisation va rester inchangée pendant près de 150 ans.

Époque contemporaine modifier

Au début du XIXe siècle, le curé a fait transférer l'église paroissiale (au titre de saint Bienheuré) depuis le bord du Beuvron à flanc de coteau. Il reste une élégante demeure en son lieu et place.

Entre le 29 janvier 1939 et le 8 février, plus de 3 100 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la république espagnole devant Franco, arrivent dans le Loir-et-Cher. Devant l'insuffisance des structures d'accueil (les haras de Selles-sur-Cher sont notamment utilisés), 47 villages sont mis à contribution[59], dont Candé-sur-Beuvron, au lieu-dit Les Montils[60]. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants, sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré[61]. Au printemps et à l'été, les réfugiés sont regroupés à Bois-Brûlé (commune de Boisseau)[62].

Le château, sis dans le bourg, à l'extrémité nord, a été donné par la famille de La Ville-Baugé au diocèse d'Orléans. Pendant la Seconde Guerre mondiale, des jeunes y ont été dissimulés aux autorités d'occupation. Ce château de La Ville Baugé a été, de 1993 à 2014, la maison-mère et le séminaire de la communauté Saint-Martin, société de prêtres fondée à Gênes en 1976 par Mgr Jean-François Guérin.

Le 19 mars 2006, un référendum communal a été organisé autour de l'adhésion de la commune à Agglopolys, structure intercommunale de l'agglomération blésoise élargie. Le résultat en a été favorable à une courte majorité.

Des lotissements changent largement la disposition du bourg de Candé, qui a tendance à se déplacer du long de la vallée du Beuvron vers le plateau de Villebazin et de Frileuse.

Jumelages modifier

Politique et administration modifier

Découpage territorial modifier

La commune de Candé-sur-Beuvron est membre de la communauté d'agglomération de Blois « Agglopolys », un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le [63].

Elle est rattachée sur le plan administratif à l'arrondissement de Blois, au département de Loir-et-Cher et à la région Centre-Val de Loire[5], en tant que circonscriptions administratives[5]. Sur le plan électoral, elle est rattachée au canton de Blois-3 depuis 2015 pour l'élection des conseillers départementaux[64] et à la première circonscription de Loir-et-Cher pour les élections législatives[65].

Politique et administration municipale modifier

Conseil municipal et maire modifier

Le conseil municipal de Candé-sur-Beuvron, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel plurinominal avec prime majoritaire[66]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges au conseil municipal est de 15. Le maire, à la fois agent de l'État et exécutif de la commune en tant que collectivité territoriale, est élu par le conseil municipal au scrutin secret lors de la première réunion du conseil suivant les élections municipales, pour un mandat de six ans, c'est-à-dire pour la durée du mandat du conseil[67].

Période Identité Étiquette Qualité
  1983      
1983 1989 Pierre Métivier    
1989 2001 Lucien Briziou divers gauche  
mars 2001 En cours Stéphane Ledoux[68],[69]   Agriculteur sur grande exploitation

Équipements et services modifier

Eau et assainissement modifier

L'organisation de la distribution de l'eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La compétence eau et assainissement des communes est un service public industriel et commercial (SPIC)[70].

Alimentation en eau potable modifier

Le service d'eau potable comporte trois grandes étapes : le captage, la potabilisation et la distribution d'une eau potable conforme aux normes de qualité fixées pour protéger la santé humaine[71]. En 2019, la commune est membre du syndicat intercommunal d'adduction d'eau potable de Chailles qui assure le service en régie dont le contrat arrive à échéance le [72].

Assainissement des eaux usées modifier

En 2019, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Candé-sur-Beuvron est assurée par la communauté d'agglomération Agglopolys qui a le statut de régie à autonomie financière[73]. Deux stations de traitement des eaux usées sont en service au sur le territoire communal[74] :

  • « Les Davièree », un équipement utilisant la technique du lagunage naturel, avec prétraitement, dont la capacité est de 720 EH , mis en service le [75] ;
  • « Madon », un équipement utilisant la technique du lagunage naturel, avec prétraitement, dont la capacité est de 540 EH , mis en service le [76].

L'assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[77]. La communauté d'agglomération de Blois « Agglopolys » assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l'entretien des installations[78].

Sécurité, justice et secours modifier

La sécurité de la commune est assurée par la brigade de gendarmerie de Veuzain-sur-Loire qui dépend du groupement de gendarmerie départementale de Loir-et-Cher installé à Blois[79].

En matière de justice, Candé-sur-Beuvron relève du conseil de prud'hommes de Blois, de la Cour d'appel d'Orléans (juridiction de Blois)[80], de la Cour d'assises de Loir-et-Cher, du tribunal administratif de Blois, du tribunal de commerce de Blois et du tribunal judiciaire de Blois[81].

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[82]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[83].

En 2021, la commune comptait 1 510 habitants[Note 5], en diminution de 1,44 % par rapport à 2015 (Loir-et-Cher : −1,36 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
492569535563589600579600635
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
667677710688730696682692664
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
627590527431467444440463528
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
5015085409161 1341 2081 4081 4371 514
2017 2021 - - - - - - -
1 4971 510-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[84] puis Insee à partir de 2006[85].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,2 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,7 % la même année, alors qu'il est de 31,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 762 hommes pour 738 femmes, soit un taux de 50,8 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,55 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[86]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
3,5 
75-89 ans
4,5 
18,5 
60-74 ans
17,2 
20,8 
45-59 ans
24,5 
19,4 
30-44 ans
19,3 
17,2 
15-29 ans
13,9 
20,2 
0-14 ans
19,1 
Pyramide des âges du département de Loir-et-Cher en 2020 en pourcentage[87]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,1 
90 ou +
2,6 
9,1 
75-89 ans
11,8 
19,4 
60-74 ans
20,1 
21 
45-59 ans
20,2 
16,6 
30-44 ans
16,2 
15,3 
15-29 ans
13,2 
17,5 
0-14 ans
16 

Lieux et monuments modifier

Sites et patrimoine modifier

Patrimoine naturel et agricole modifier

Patrimoine agricole modifier

La partie haute du territoire communal présente plusieurs périmètres de vignoble en Appellation d'origine contrôlée Vignoble de Cheverny (AOC) : au nord des Rougettes ; au niveau du hameau de Madon ainsi qu'au sud de ce hameau ; et au niveau du bourg.

Patrimoine naturel modifier

Personnalités liées à la commune modifier

François CUSIN.

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Une unité de paysage est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Voir Candé  .
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références modifier

  1. « Loir-et-Cher », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. « Petites régions agricoles (PRA) par commune », sur geo.data.gouv.fr (consulté le ).
  3. [PDF]« Carte des petites régions agricoles de Loir-et-Cher », sur la plateforme de l'information territoriale de Loir-et-Cher (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre "Candé-sur-Beuvron" et "Blois" »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
  5. a b et c « Métadonnées de la commune de Candé-sur-Beuvron », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  6. « Communes les plus proches de Candé-sur-Beuvron »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
  7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Loir-et-Cher ? », sur le site de l'atlas des paysages de Loir-et-Cher (consulté le ).
  8. « Comment s'organise le contenu Internet de l'Atlas ? », sur le site de l'atlas des paysages de Loir-et-Cher (consulté le ).
  9. « Unité de paysage : La Loire de Blois aux portes de Chaumont - intro », sur le site de l'atlas des paysages de Loir-et-Cher (consulté le ).
  10. « Unité de paysage : La Loire de Blois aux portes de Chaumont - description », sur le site du CAUE dédié à l'atlas des paysages de Loir-et-Cher (consulté le ).
  11. « Unité de paysage : La Sologne viticole - description », sur le site du CAUE dédié à l'atlas des paysages de Loir-et-Cher (consulté le ).
  12. Répertoire géographique des communes (RGC) 2015. En 2016, le RGC a été remplacé par la base Admin Express qui ne comporte plus que l'altitude moyenne de la commune, les altitudes minimale et maximale pouvant être trouvées par un système d'information géographique.
  13. Carte de Candé-sur-Beuvron, sur Géoportail, consulté le 7 avril 2020.
  14. a et b « Fiche communale de Candé-sur-Beuvron », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
  15. Sandre, « le Beuvron ».
  16. Sandre, « le Cosson ».
  17. « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories - Version consolidée », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  18. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  19. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  20. « Orthodromie entre Candé-sur-Beuvron et Cheverny », sur fr.distance.to (consulté le ).
  21. « Station Météo-France « Cheverny », sur la commune de Cheverny - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  22. « Station Météo-France « Cheverny », sur la commune de Cheverny - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  23. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  24. « Réseau européen Natura 2000 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du Ministère de la trasition écologique et solidaire (consulté le ).
  25. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Candé-sur-Beuvron » (consulté le ).
  26. « site Natura 2000 la « Vallée de la Loire de Mosnes à Tavers » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  27. « site Natura 2000 le « Vallée de la Loire du Loir-et-Cher » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  28. « Liste des ZNIEFF de la commune de Candé-sur-Beuvron » (consulté le ).
  29. « ZNIEFF les « Forêts de ravin de Chaumont-Sur-Loire » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  30. « ZNIEFF la « Loire Blésoise » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  31. « ZNIEFF les « Pelouses sablo-Calcaires de la Goupillère » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  32. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  33. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  34. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  35. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  36. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  37. [PDF]« Fiche diagnostic de l'unité géographique « Cœur d'agglomération », réalisée dans le cadre des travaux préparatoires à l'élaboration du PLU intercommunal d'Agglopolys », sur agglopolys.fr, (consulté le ).
  38. « Les SCOT en Loir-et-Cher », sur loir-et-cher.gouv.fr (consulté le ).
  39. « Etat par commune des POS, PLU et cartes communales », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  40. « Les PLUi (Plans locaux d'urbanisme intercommunaux) de Loir-et-Cher », sur loir-et-cher.gouv.fr (consulté le ).
  41. « Chiffres clés - Logement en 2016 à Candé-sur-Beuvron », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  42. « Chiffres clés - Logement en 2016 dans le Loir-et-Cher », sur insee.fr (consulté le ).
  43. « Chiffres clés - Logement en 2016 dans la France entière », sur insee.fr (consulté le ).
  44. a et b [PDF]« Le Dossier Départemental des Risques Majeurs (DDRM) de Loir-et-Cher - Liste des risques par commune », sur loir-et-cher.gouv.fr (consulté le ), p. 74-86.
  45. « Rapport présentant les risques affectant la commune »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur l'observatoire national des risques naturels, (consulté le ).
  46. « Argiles - Aléa retrait-gonflement des argiles - Description du phénomène »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site « Géorisques » du ministère de la transition écologique et solidaire (consulté le ).
  47. « Carte de zonage de l'aléa retrait-gonflement des argiles sur la commune de Candé-sur-Beuvron »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  48. « Carte des cavités souterraines localisées sur la commune de Candé-sur-Beuvron »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  49. « Atlas des zones inondables du Beuvron », sur le site de la préfecture de Loir-et-Cher, (consulté le ).
  50. [PDF]« Le Dossier Départemental des Risques Majeurs (DDRM) de Loir-et-Cher - Liste des risques par commune », sur loir-et-cher.gouv.fr (consulté le ), p. 58-66.
  51. « Changements de nom de communes », Journal officiel de la République française,‎ , p. 7909 (lire en ligne)
  52. a et b Motte 2003, p. 23-24.
  53. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Candé-sur-Beuvron », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  54. a et b Gérard Lang, « Le Code officiel géographique (COG) - 4.3. : l'œuvre révolutionnaire », sur projetbabel.org, (consulté le ).
  55. « Historique de la décentralisation »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ), p. 6.
  56. Christian Poitou 1997, p. 48.
  57. « Arrêté du 5 vendémiaire an IX portant réduction des justices de paix du département du Loiret - Bulletin des lois de 1801 - page 32 », sur gallica.bnf.fr (consulté le ).
  58. Gérard Lang, « Le Code officiel géographique (COG) - 4.4. : le Consulat et l'Empire », sur projetbabel.org, (consulté le ).
  59. Jeanine Sodigné-Loustau, « L'accueil des réfugiés civils espagnols de 1936 à 1940. Un exemple : la région Centre », Matériaux pour l'histoire de notre temps. 1996, no 44. p. 43.
  60. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 47.
  61. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 43-44.
  62. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 46.
  63. « CA de Blois Agglopolys - fiche descriptive au 1er janvier 2019 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté en ).
  64. « Décret n° 2014-244 du 25 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département du Loiret », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  65. « Découpage électoral de Loir-et-Cher (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  66. « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de plus de 1000 habitants », sur vie-publique.fr, (consulté le ).
  67. « Les fonctions d'un maire », sur vie-publique.fr (consulté le ).
  68. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  69. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  70. « Le service public local de l'eau potable et de l'assainissement », sur vie-publique.fr, (consulté le ).
  71. « L'alimentation en eau potable », sur eaufrance.fr (consulté le ).
  72. « syndicat intercommunal d'adduction d'eau potable de Chailles - Fiche descriptive », sur eaufrance.fr (consulté le ).
  73. « composition communale des services d'assainissement collectif pour l'année 2019 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur services.eaufrance.fr, (consulté le ).
  74. « Catalogue des stations d'épuration en service en Loir-et-Cher au 31 janvier 2019 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de l'agence de l'eau Loire-Bretagne (consulté le ).
  75. « Fiche descriptive de l'ouvrage « Les Davièree » », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
  76. « Fiche descriptive de l'ouvrage « Madon » », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
  77. « Tout savoir sur l'assainissement non collectif », sur le portail ministériel de l'assainissement non collectif (consulté le ).
  78. « composition communale des services d'assainissement non collectif pour l'année 2019 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur services.eaufrance.fr, (consulté en ).
  79. « Compétence territoriale gendarmerie et police nationales », sur data.gouv.fr (consulté le ).
  80. « Les tribunaux - Juridictions du ressort », sur cours-appel.justice.fr (consulté le ).
  81. « Liste des juridictions compétentes pour la commune de Candé-sur-Beuvron », sur le site du ministère de la Justice et des libertés (consulté le ).
  82. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  83. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  84. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  85. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  86. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Candé-sur-Beuvron (41029) », (consulté le ).
  87. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de Loir-et-Cher (41) », (consulté le ).
  88. Notice no PA00098402, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  89. Notice no PA00098403, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • Michel Provost, Carte archéologique de la Gaule : Le Loir-et-Cher, Paris, Académie des inscriptions et belles-lettres, , 159 p. (ISBN 2-87754-003-0)
  • Christian Poitou, Paroisses et communes de France : Loir-et-Cher, Paris, CNRS Editions, , 591 p. (ISBN 2-271-05482-6)
  • Stéphane Gendron, Les noms de lieux du Centre, Paris, éditions Bonneton, , 232 p. (ISBN 978-2-86253-226-4).
  • Claude Motte, Isabelle Séguy & Christine Théré, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse, Communes d'hier, communes d'aujourd'hui : Les communes de la France métropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d'histoire administrative, Paris, Institut National d'Études Démographiques, , 408 p. (ISBN 978-2-7332-1028-4, lire en ligne)

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes modifier

Liens externes modifier