Cénac-et-Saint-Julien

commune française du département de la Dordogne

Cénac-et-Saint-Julien
Cénac-et-Saint-Julien
L'église Notre-Dame-de-la-Nativité de Cénac.
Blason de Cénac-et-Saint-Julien
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes de Domme-Villefranche du Périgord
Maire
Mandat
Joëlle Debet Duverneix
2020-2026
Code postal 24250
Code commune 24091
Démographie
Population
municipale
1 194 hab. (2021 en diminution de 0,58 % par rapport à 2015)
Densité 60 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 48′ 03″ nord, 1° 12′ 18″ est
Altitude Min. 60 m
Max. 252 m
Superficie 19,87 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Sarlat-la-Canéda
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Vallée Dordogne
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Cénac-et-Saint-Julien
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Cénac-et-Saint-Julien
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Cénac-et-Saint-Julien

Cénac-et-Saint-Julien est une commune française, située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie modifier

Généralités modifier

Dans le quart sud-est du département de la Dordogne, au pied de la bastide de Domme et bordée au nord par la Dordogne, Cénac-et-Saint-Julien est une commune du Périgord noir. C'est une commune rurale[1] qui fait partie de l'aire d'attraction de Sarlat-la-Canéda[2].

À l'intersection des routes départementales (RD) 45, 49 et 50, le bourg de Cénac se situe, en distances orthodromiques, onze kilomètres au sud du centre-ville de Sarlat-la-Canéda et seize kilomètres au nord-ouest de celui de Gourdon. Le petit bourg de Saint-Julien est quant à lui situé trois kilomètres plus au nord-ouest.

Le territoire communal est également brièvement desservi dans le sud par la RD 60.

Entre Domme et Castelnaud-la-Chapelle, le sentier de grande randonnée GR 64 traverse le territoire communal d'est en ouest sur quatre kilomètres en deux tronçons, passant dans les bourgs de Cénac et de Saint-Julien.

Communes limitrophes modifier

Cénac-et-Saint-Julien est limitrophe de huit autres communes.


Géologie et relief modifier

Géologie modifier

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Cénac-et-Saint-Julien est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[3].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée j6-7, date du Kimméridgien terminal au Tithonien, composée de calcaires micritiques en petits bancs alternant avec des bancs marneux à lumachelles. La formation la plus récente, notée Eg, fait partie des formations superficielles de type grèze ou colluvions fluvio-glaciaires calcaires cimentées. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 808 - Sarlat-la-Canéda » et « no 832 - Gourdon » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[4],[5] et leurs notices associées[6],[7].

 
Carte géologique de Cénac-et-Saint-Julien.

Relief et paysages modifier

 
La Dordogne et le village de Saint-Julien.

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 60 m et 252 m[8],[9].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [10]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[11]. La commune fait partie du Périgord noir, un paysage vallonné et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallées-couloirs et d’une multitude de clairières de toutes tailles. Il s'étend du nord de la Vézère au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[12].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 19,87 km2[8],[13],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 20,59 km2[5].

Hydrographie modifier

Réseau hydrographique modifier

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[16]. Elle est drainée par la Dordogne, le Céou, le Riol et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 9 km de longueur totale[17],[Carte 1].

La Dordogne, d'une longueur totale de 483,1 km, prend naissance sur les flancs du puy de Sancy (1 885 m), dans la chaîne des monts Dore, traverse six départements dont la Dordogne dans sa partie sud, et conflue avec la Garonne à Bayon-sur-Gironde, pour former l'estuaire de la Gironde[18],[19]. Elle borde la commune au nord sur plus de quatre kilomètres, en deux tronçons, face à La Roque-Gageac et Vézac.

Le Céou, d'une longueur totale de 55,07 km, prend sa source dans le Lot dans la commune de Séniergues et se jette en rive gauche de la Dordogne à Castelnaud-la-Chapelle, face à Vézac[20]. Il sert de limite naturelle au sud-ouest sur près de 700 mètres face à Saint-Cybranet.

Son affluent de rive droite le Riol prend sa source dans le sud de la commune qu'il arrose sur 600 mètres dont près de 400 mètres en limite de Saint-Martial-de-Nabirat.

Gestion et qualité des eaux modifier

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont ». Ce document de planification, dont le territoire s'étend des sources de la Dordogne jusqu'à la confluence de la Vézère à Limeuil, d'une superficie de 9 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[21]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [22].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[23]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Aquitaine, Gascogne » et « Ouest et nord-ouest du Massif Central ». La première est caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours). La seconde présente une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[24].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 907 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[25]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pays de Belvès à 16 km à vol d'oiseau[26], est de 13,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 888,2 mm[27],[28]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[29].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Natura 2000 modifier

La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 103 communes riveraines de la Dordogne[Note 3], dont Cénac-et-Saint-Julien[30],[31]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[32].

La zone Coteaux calcaires de la vallée de la Dordogne, qui s'étend au total sur 3 686 hectares et est partagée avec vingt-quatre autres communes[Note 4], fait également partie du réseau Natura 2000[33],[34]. Deux espèces de chauves-souris inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[33] : le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum) et le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros). Sur la commune, elle s'étend sur environ un tiers d'hectare et correspond au coteau situé en bordure de la route départementale 49, en limite de Domme.

ZNIEFF modifier

Cénac-et-Saint-Julien fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[35],[36], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[37].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Cénac-et-Saint-Julien est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[38],[39],[40].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sarlat-la-Canéda, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[41],[42].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (58,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (42,5 %), forêts (38,7 %), prairies (9,9 %), terres arables (3,8 %), zones urbanisées (3,5 %), eaux continentales[Note 7] (1,6 %)[43]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Prévention des risques modifier

Le territoire de la commune de Cénac-et-Saint-Julien est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[44]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[45].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dordogne et le Céou. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1989, 1993, 1996, 1997, 1999, 2000 et 2021[46],[44]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de la Dordogne amont » approuvé le , pour les crues de la Dordogne[47],[48].

Cénac-et-Saint-Julien est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[49]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[50],[51].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Cénac-et-Saint-Julien.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[52]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[53]. 48,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[54].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[44].

Risque technologique modifier

La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe A[Note 9] situé dans le département de la Corrèze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[56].

Toponymie modifier

De par sa proximité avec Domme, Cénac est aussi appelé « Domme-Basse »[57] ou « Domme vieille » dans les actes anciens[58].

Cénac doit son nom à un personnage gallo-roman Cennus suivi du suffixe -acum[57] signifiant le « domaine de Cennus ». Saint-Julien tire son nom de Julien de Brioude, soldat romain martyrisé en l'an 304[59].

En occitan, la commune porte le nom de Senac e Sent Julian[60].

Histoire modifier

Le territoire communal fut occupé dès l'âge du bronze comme le prouvent les nombreux objets découverts dans la grotte Vaufrey[61].

L'abbaye de Moissac a fondé un prieuré à Cénac à la fin du XIe siècle[57].

Les premières apparitions écrites connues des lieux remontent au milieu du XIIe siècle (Senaco) et du XVIe siècle (Sanctus Julianus)[57].

En 1827, les communes de Cénac et de Saint-Julien-de-Castelnaud fusionnent sous le nom de Cénac-et-Saint-Julien[8].

La commune a été décorée de la croix de guerre 1939-1945 le , distinction également attribuée à dix-huit autres communes de la Dordogne[62].

Politique et administration modifier

Administration municipale modifier

La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[63],[64].

Liste des maires modifier

 
La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1977 1995 René Magnanou PS Agriculteur, président de la chambre d'agriculture de la Dordogne (1976-1989)
juin 1995[65] mai 2020 Rémi Jalès PS[66] Retraité
mai 2020 En cours Joëlle Debet Duverneix DVG Retraitée - Vice-présidente de la communauté de communes de Domme-Villefranche du Périgord

Équipements et services publics modifier

Justice modifier

Dans le domaine judiciaire, Cénac-et-Saint-Julien relève[67] :

Population et société modifier

Démographie modifier

Jusqu'en 1827, les communes de Cénac et de Saint-Julien-de-Castelnaud étaient indépendantes.

Démographie de Saint-Julien-de-Castelnaud modifier

Évolution de la population
de Saint-Julien-de-Castelnaud
1793 1800 1806 1821
-123148161
(Source : Ldh/EHESS/Cassini[68])

Démographie de Cénac, puis de Cénac-et-Saint-Julien modifier

En 1827, Saint-Julien-de-Castelnaud fusionne avec Cénac qui devient Cénac-et-Saint-Julien[8].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[69]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[70].

En 2021, la commune comptait 1 194 habitants[Note 10], en diminution de 0,58 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1098079249391 2061 3341 3811 3851 438
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5071 5151 4151 4111 5261 4711 3761 5251 266
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1931 1801 1441 0071 0201 013986946810
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
8328118259009931 0681 1931 1941 205
2021 - - - - - - - -
1 194--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[8] puis Insee à partir de 2006[71].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sports modifier

  • En mars, le « Grand Prix de Cénac », épreuve cycliste longue de 100 km (72e édition en 2024[72]).
  • Le club de rugby de l'US Cénac, qui représente la commune au sein de la ligue Nouvelle-Aquitaine, a été créé en 1985. Lors de la saison 2021-2022, les T-Rexs décrochent le bouclier du terroir face au Club olympique Périgueux-Ouest[réf. nécessaire].

Manifestations culturelles et festivités modifier

Au printemps, foire aux fleurs dans le bourg de Cénac (29e édition en [73]).

Économie modifier

Emploi modifier

En 2015[74], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 503 personnes, soit 41,9 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (85) a augmenté par rapport à 2010 (74) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 16,8 %.

Établissements modifier

Au , la commune compte 162 établissements[75], dont 103 au niveau des commerces, transports ou services, 21 dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, 17 relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, 12 dans la construction, et 9 dans l'industrie[76].

Entreprises modifier

Parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société Cerno (commerce de gros interentreprises alimentaire spécialisé divers) située à Cénac-et-Saint-Julien se classe à la 28e position quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 32 794 k€[77]. Tous secteurs confondus, elle se classe 5e, quant au chiffre d'affaires à l'exportation, avec 18 143 k€[78].

Parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, trois sociétés situées à Cénac-et-Saint-Julien se classent parmi les cinquante premières de leur secteur d'activité quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016 :

  • dans le commerce[79] :
    • Cerno est 13e ;
    • Coop Cerno du Périgord noir (commerce de gros interentreprises alimentaire spécialisé divers) se classe 49e avec 12 782 k€ ;
  • dans l'agroalimentaire, Vidal Foies gras (préparation industrielle de produits à base de viande) se classe 48e avec 1 267 k€[80].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Personnalités liées à la commune modifier

  • François Taillefer (1836-1908) est un homme politique né et décédé à Cénac.
  • Albert Cahuet (1877-1942), journaliste et écrivain, a vécu à Fondaumier, hameau de Cénac. Il est l'auteur de Pontcarral.
  • Lucien de Maleville (1881-1964), artiste qui a peint la campagne sarladaise.
  • Georges Boulanger (1913-1976), sénateur du Pas-de-Calais de 1952 à 1965, y possédait une demeure sur les hauteurs de la ville.
  • Franck Dubosc (1963-), acteur et humoriste, est venu dans sa jeunesse en vacances estivales au camping de Cénac durant de nombreuses années avec sa famille.

Héraldique modifier

  Blason
Parti : au 1er d'azur au lion d'or, armé, lampassé et couronné de gueules, au 2d d'or à la nef d'azur[84].
Détails
Le premier est aux armes de la famille Dufaure, qui possédait des biens à Montmirail, à Cénac. Le second est attribut de saint Julien, patron qui donna son nom à Saint-Julien.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[14],[15]
  3. Aux 104 communes listées, il convient de retirer celles de Cazoulès et Peyrillac-et-Millac qui, avec Orliaguet, ont fusionné pour former en 2022 la commune nouvelle de Pechs-de-l'Espérance à rajouter, soit 103 communes au total.
  4. Aux 27 communes listées, il convient de retirer celles de Cazoulès, Orliaguet et Peyrillac-et-Millac qui ont fusionné pour former en 2022 la commune nouvelle de Pechs-de-l'Espérance à rajouter, soit 25 communes au total.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  9. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[55].
  10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  11. Cette déclaration est confirmée le 11 frimaire an 197 de la république (31 décembre 1989 nouveau style) signé : les commissaires.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Cénac-et-Saint-Julien » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. [PDF] Arrêté fixant la liste des communes rurales 2023, Recueil des actes administratifs normal no 4, Préfecture de la Dordogne, , p. 126-140.
  2. Aire d'attraction des villes 2020 de Sarlat-la-Canéda (233), Insee, consulté le .
  3. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  4. « Carte géologique de Cénac-et-Saint-Julien » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
  5. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Cénac-et-Saint-Julien », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  6. « Notice associée à la feuille no 808 - Sarlat-la-Canéda de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  7. « Notice associée à la feuille no 832 - Gourdon de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  8. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
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