Buire-sur-l'Ancre

commune française du département de la Somme

Buire-sur-l'Ancre
Buire-sur-l'Ancre
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC du Pays du Coquelicot
Maire
Mandat
Jean-Christian Ruin
2020-2026
Code postal 80300
Code commune 80151
Démographie
Gentilé Buirois
Population
municipale
300 hab. (2021 en diminution de 2,91 % par rapport à 2015)
Densité 57 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 57′ 56″ nord, 2° 35′ 35″ est
Altitude Min. 38 m
Max. 102 m
Superficie 5,28 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Albert
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
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Buire-sur-l'Ancre
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Buire-sur-l'Ancre
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Buire-sur-l'Ancre
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Buire-sur-l'Ancre
Liens
Site web http://buiresurancre.fr

Buire-sur-l'Ancre est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Le nom de la commune en picard est Buire-su-l'Inque.

Géographie modifier

Localisation modifier

Communes limitrophes modifier

Communes limitrophes de Buire-sur-l'Ancre
Laviéville Dernancourt
  Ville-sur-Ancre
Ribemont-sur-Ancre Méricourt-l'Abbé Treux

Description modifier

 
La gare.

Buire-sur-l'Ancre est un village rural picard de l'Amienois situé à 23 km au nord-est d'Amiens, 9 km au nord-est de Corbie et 6 km au sud-ouest d'Albert. L'ex-route nationale 29 (actuelle RD 929) traverse le nord du territoire communal.

La commune est traversée par la ligne de Paris-Nord à Lille sur laquelle elle dispose de la Gare de Buire-sur-l'Ancre, desservie par des trains TER Hauts-de-France qui effectuent des missions entre les gares d'Amiens et de Lille-Flandres. En 2019, elle est desservie par les lignes d'autocars du réseau interurbain Trans'80 Hauts-de-France (ligne no 37)[1].

Le relief de la commune est celui d'un plateau traversé par une vallée. Le point culminant se situe au nord de la commune au lieu-dit, les Vignes (91 m d'altitude). La vallée se situe à 40 m d'altitude[2].

Le territoire de la commune est constitué pour une large part de terrains calcaires. Sous une mince couche de terre végétale, se rencontre de la marne recouverte d'alluvions, dans la vallée ; le marais communal ayant un sol tourbeux. Les coteaux sont composés de calcaire siliceux recouverte d'argile. On trouve du sable au nord-ouest[2].

Hydrographie modifier

La commune est traversée par l'Ancre rivière affluente de la Somme. Présence d'une nappe phréatique dans le sous-sol[2].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 686 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Méaulte à 5 km à vol d'oiseau[5], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 730,3 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Statistiques 1991-2020 et records MEAULTE (80) - alt : 107m, lat : 49°58'18"N, lon : 2°42'13"E
Records établis sur la période du 01-01-1988 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,1 1,2 3,3 5,1 8,2 11 12,9 13 10,5 7,6 4,3 1,8 6,7
Température moyenne (°C) 3,6 4,2 7,2 9,9 13,2 16,1 18,3 18,5 15,2 11,2 7 4,1 10,7
Température maximale moyenne (°C) 6 7,1 11,1 14,7 18,2 21,2 23,6 23,9 20 14,9 9,7 6,4 14,7
Record de froid (°C)
date du record
−13,7
17.01.13
−13
07.02.1991
−9,1
13.03.13
−4,7
07.04.21
−1,6
07.05.1997
1,4
05.06.1991
4,8
04.07.1990
5,7
24.08.1993
2,1
30.09.18
−4,3
29.10.03
−8,5
24.11.1998
−13,6
18.12.10
−13,7
2013
Record de chaleur (°C)
date du record
14,8
09.01.15
18,5
26.02.19
23,1
31.03.21
26,6
29.04.10
30,3
27.05.05
34,1
18.06.22
40,8
25.07.19
38,2
06.08.03
34
15.09.20
28
01.10.11
19,8
06.11.18
15,8
30.12.22
40,8
2019
Précipitations (mm) 61,2 49,9 53,5 43,3 58,7 56,7 60,7 64,7 55,9 69,6 72,1 84 730,3
Source : « Fiche 80523001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme modifier

Typologie modifier

Buire-sur-l'Ancre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

La commune présente un habitat groupé. Le village a été entièrement reconstruit après les destructions de la Première Guerre mondiale.

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (87,6 %), zones urbanisées (5,4 %), prairies (4 %), zones humides intérieures (3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Bubseria en 1168 ; Buires en 1279 ; Buires vers Encre en 1284 ; Buyr en 1579 ; Buyres en 1648 ; Buire en 1733 ; Buire-sous-Corbie en 1801[15].
On trouve d'autres formes pour désigner Buire-sur-l'Ancre, dans les textes anciens : Buriacum, Buyres, Buires-sur-Corbie, Buires versus Encram en 1279[16].

Buire semble reproduire un Buria, formé sur le vieux haut-allemand bûr : « hutte , habitation »[17], du germanique burja, qui signifie « cabane » (puis sans doute hameau).

L'Ancre est une rivière du nord du département de la Somme et du Pas-de-Calais, dans la nouvelle région Hauts-de-France, affluent droit du fleuve la Somme.

Histoire modifier

Le père Daire signale que le chapitre de Fouilloy possédait, à Buire, une portion de dîme en 1203.

Politique et administration modifier

Intercommunalité modifier

Penvénan était membre de la communauté de communes du Pays du Coquelicot, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2001 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[18]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1945 1953 Georges Maret    
1953 1974 Eugène-Marcel Tarin   Décédé en fonction
1974[18] En cours
(au 18 janvier 2021[19])
Jean-Christian Ruin   Ouvrier agricole à la retraite
Président du SISCO ( ? → )
Président du Sivom d’aide à domicile du canton d'Albert[20] (2008 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[21]

Population et société modifier

Démographie modifier

Les habitants de la commune s'appellent des Buirois(es)[22].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].

En 2021, la commune comptait 300 habitants[Note 3], en diminution de 2,91 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
314230323379387405428422419
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
397391375342348316312315290
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
287284251203267301314310310
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
324301293283304312328319310
2021 - - - - - - - -
300--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

 
L'école..

Les communes de Buire-sur-l'Ancre, Treux Morlancourt et Ville-sur-Ancre se sont associées en regroupement pédagogique intercommunal. Le regroupement compte 70 élèves pour l'année scolaire 2020-2021, répartis sur les trois communes. Un espace numérique de travail est prévu en 2020[27].

Autres équipements modifier

 
La salle communale.

Économie modifier

L'activité dominante de la commune reste l'agriculture. Une activité artisanale subsiste dans la commune.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Personnalités liées à la commune modifier

  • En 1279, Robert Waubert, bourgeois de Corbie, légue des terres aux templiers. En 1284, les héritiers de sa fille Agnès vendent 250 journaux de terre au commandeur des templiers du Ponthieu.
  • En 1372, Gilles de Buire se voit accorder par bail à cens, 44 journaux de terre appartenant aux templiers de Belle-Église[16].
  • La seigneurie de Buire-sur-l'Ancre passe sous l'Ancien Régime à la famille Béry d'Essertaux[16].
  • Vincent Lemaire dit Hardoc[pourquoi ?], auteur bandes dessinées (B.D.) et illustrateur : Vincent Lemaire a commencé sa carrière comme illustrateur pour la chaîne de télévision Antenne 2 (aujourd'hui France 2) à l'âge de 16 ans, puis, après des études d'arts plastiques, il publia ses premiers albums de B.D. aux Éditions Paquet (éditeur Suisse) en 2004. Il a travaillé depuis sur une nouvelle série d'albums, en 2010, pour les Éditions Casterman, éditeur historique de Tintin et de Corto Maltesse, Adèle Blansec etc.

Héraldique modifier

  Blason
Tiercé en pairle renversé : au 1er de gueules à la volute de crosse d'or, au 2e d'or à trois coquelicots au naturel, posés 2 et 1, au 3e d'azur à deux burelles ondées d'argent et à la fleur de lis d'or brochant sur celles-ci.
Détails
La commune a adopté ce blason créé par Jean-François Binon, le 29 juillet 2015. Les burelles ondées symbolisent l'Ancre qui traverse la commune ; la volute de crosse d'évêque rappelle que l'église du village est dédiée à saint Hilaire ; la fleurs de lys se retrouve dans le blason de la Picardie et dans celui de mainte communes ; les coquelicots rappellent appartenance de Buire à la Communauté de communes du Pays du Coquelicot[29].
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir modifier

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Bibliographie modifier

  • Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne ou recherche sur les villes, bourgs et hameaux qui le composent, 1844, réédition Paris, Rassorts Lorisse, 1999, (ISBN 2 - 87 760 - 937 - 5)

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

  • « Buire-sur-l'Ancre », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  2. a b et c Notice géographique et historique sur la commune de Buire-sur-l'Ancre, rédigée par M. Wattelet, instituteur, 1898, Archives départementales de la Somme
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Buire-sur-l'Ancre et Méaulte », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Meaulte » (commune de Méaulte) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Meaulte » (commune de Méaulte) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  15. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 182 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  16. a b et c Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne ou recherche sur les villes, bourgs et hameaux qui le composent, 1844, réédition Paris, Rassorts Lorisse, 1999, p. 100 (ISBN 2 - 87 760 - 937 - 5).
  17. Marie-Thérèse Morlet, Toponymie de la Thiérache, Editions D'Artrey, , p. 46.
  18. a et b Emmanuelle Bobineau, « Pour Jean-Christian Ruin, à Buire-sur-l’Ancre, la fonction de maire qu’il occupe depuis 46 ans est une drogue douce : L’édile est candidat à sa succession. La mairie est devenue sa deuxième maison. En 46 ans, la fonction de premier magistrat a évolué, et pas pour le meilleur selon lui », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il est pourtant arrivé en politique un peu par hasard, à 23 ans, en 1971. Il manquait un nom pour boucler la liste emmenée par Eugène-Marcel Tarin. (...), il a été élu dès le premier tour et s’est vu confier le poste de premier adjoint. Trois ans plus tard, au décès du maire Eugène-Marcel Tarin, il a pris sa place. Il n’a jamais quitté son écharpe tricolore depuis ».
  19. « La vente de 119 peupliers finance une partie des travaux à Buire-sur-l’Ancre : Le maire de Buire-sur-l’Ancre, Jean-Christian Ruin, détaille les projets et chantiers qui jalonneront 2021 », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. Emmanuelle Bobineau, « Jean-Christian Ruin, président du Sivom du canton d’Albert: Réussir le mariage entre le Sivom et le CCAS d’Albert : Réélu président du Sivom d’aide à domicile, Jean-Christian Ruin a trois ans pour réussir la mutualisation entre les deux structures », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Composé de 25 communes hors Albert (soit environ 7 800 habitants), le Sivom (syndicat intercommunal à vocations multiples) d’aides à domicile du canton d’Albert est entré en groupement de coopération sociale et médico-sociale avec le CCAS d’Albert en décembre 2018. Ce groupement, nommé Bien vieillir au coquelicot, sera opérationnel au et pourra intervenir sur l’ensemble des 65 communes du Pays du coquelicot ».
  21. « Jean-Christian Ruin entame un 9e mandat à Buire-sur-l’Ancre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. habitants.fr, « Somme > Buire-sur-l'Ancre (80300) » (consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Vincent Hery, « Le syndicat scolaire de Ville-sur-Ancre veut se mettre au numérique », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Jean-Christian Ruin, le maire de Buire-sur-l’Ancre, a été réélu, le 30 juillet, à la tête du syndicat scolaire (Sisco) qui comprend sa commune ainsi que Ville-sur-Ancre, Treux et Morlancourt. Il sera notamment épaulé par Francis Bourguignon, maire de Ville-sur-Ancre, élu vice-président ».
  28. clochers.org, « Église Saint-Hilaire » (consulté le ).
  29. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.