Brionne
Brionne | |
![]() Les ruines du donjon carré du XIe siècle, ![]() | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Normandie |
Département | Eure |
Arrondissement | Bernay |
Intercommunalité | Communauté de communes Intercom Bernay Terres de Normandie |
Maire Mandat |
Valéry Beuriot 2020-2026 |
Code postal | 27800 |
Code commune | 27116 |
Démographie | |
Gentilé | Brionnais |
Population municipale |
4 238 hab. (2018 ![]() |
Densité | 253 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 11′ 44″ nord, 0° 43′ 16″ est |
Altitude | Min. 47 m Max. 145 m |
Superficie | 16,77 km2 |
Unité urbaine | Brionne (ville-centre) |
Aire d'attraction | Brionne (commune-centre) |
Élections | |
Départementales | Canton de Brionne (bureau centralisateur) |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | Site officiel |
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Brionne est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.
Ses habitants portent le nom de Brionnais.
GéographieModifier
LocalisationModifier
Brionne est une commune de l'Ouest du département de l'Eure en Normandie. Elle se situe dans la vallée de La Risle, entre Beaumont-le-Roger et Pont-Audemer, précisément à l'intervalle entre le plateau bocager du Lieuvin à l'ouest et la vaste plaine de la campagne du Neubourg à l'est. Son paysage est caractérisé par des coteaux raides et boisés et par un fond de vallée occupé par des prairies bocagères. Les cultures labourées y sont rares[1]. À vol d'oiseau, le bourg est à 14,4 km au nord-est de Bernay[2], à 37,2 km au nord-ouest d'Évreux[3], à 35,9 km à l'est de Lisieux[4] et à 38,2 km au sud-ouest de Rouen[5].
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HydrographieModifier
La ville de Brionne est traversée selon un axe nord-sud par la Risle, une rivière qui prend sa source dans l'Orne et qui se jette dans la Seine, au niveau de son estuaire[7]. Sur le territoire de la commune, la Risle se divise en plusieurs bras élargissant son lit majeur à plus de 400 mètres. Elle y reçoit les eaux de la source des Fontaines et du ruisseau des Fontaines.
Voies de communication et transportsModifier
Voies de communicationModifier
La commune de Brionne est traversée par :
- l'autoroute A28 qui relie notamment Rouen à Alençon ;
- la route départementale 438, dans le sens nord-est - sud-ouest. Elle permet de relier Brionne à Bourgtheroulde-Infreville (au nord-est) et à Bernay (au sud-ouest) ;
- la route départementale 130, dans le sens nord-sud. Elle mène au nord vers Pont-Audemer (en prenant ensuite la route départementale 675) et au sud vers Beaumont-le-Roger (en empruntant la route départementale 23) ;
- la route départementale 613, dans le sens est-ouest. Elle relie Brionne à Évreux (à l'est) et à Lisieux (à l'ouest).
UrbanismeModifier
TypologieModifier
Selon la terminologie définie par l'Insee et le zonage publié en 2020, Brionne est une commune urbaine[Note 1]. Elle appartient en effet à l'unité urbaine de Brionne, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[8] et 4 947 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[9],[10].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brionne, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 1 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].
ToponymieModifier
La ville existait déjà à l'époque gallo-romaine, son nom est attesté sous la forme Breviodurum (Table de Peutinger, Itinéraire d'Antonin), aux IIIe et IVe siècles donc. Cependant, les latinisations médiévales ne confirment pas cette mention. En effet, on trouve : Brionnam 1035 - 1040, Briotna 1051 - 1054, (ecclesiae) Briothnienses XIe siècle[13].
Les formes médiévales postulent un *Brivoduna[14] > Brioduna > Briothna > Brionne. Brivo a le sens de « pont » en gaulois. La lénition gauloise de Brivo- en Brio- est attestée dans une inscription et dans le glossaire d'Endlicher, où brio glose le latin ponte[15], puis les [t] / [d] (ou [ð]) intervocaliques s'amuïssent régulièrement en français Briot(h)na > Brionne (cf. latin catena > français chaine). Le second élément aurait été initialement duna, variante de dunum, attesté dans Therdonne (Oise)[14].
Bien que Breviodurum corresponde topographiquement au site de Brionne, la filiation phonétique de l'un à l'autre n'existe que pour le premier élément du nom[14]. En effet, Breviodurum composé des éléments gaulois Briva, pont (sur la Risle) et durum, forteresse, ville, n'a pu aboutir à Brionne, mais aurait dû donner *Briore, comme Briare (Loiret, Brivodurum IVe siècle, Table de Peutinger). Il est possible que la finale -URU ait fait place à une finale *-UNA ou *-ANA au Moyen Âge selon la suggestion d'Albert Dauzat et Charles Rostaing[16].
On pourrait également prendre en compte une possible erreur d'écriture ou de transcription sur la Table de Peutinger, comme c'est souvent le cas (ex: Culabone pour Cularo -GRENOBLE) et y lire "breviodunum", correspondant mieux à la graphie médiévale puis actuelle.
HistoireModifier
Ville gauloise située à la limite des territoires des Lexoviens, des Eburovices et des Véliocasses, Brionne est à un carrefour de quatre voies romaines, dont deux de première importance, elle est citée dans la table de Peutinger et en 337 dans l'itinéraire d'Antonin[17].
Dans les années 850, le chef viking Rollon lors des expéditions normandes, pilla Brionne. La ville devient Normande suite à un accord conclu avec Charles le Simple. Vers 980, Richard 1er de Normandie, duc de Normandie donna en dot à Godefroy de Brionne. Il devient ainsi comte de Brionne jusqu'à son décès vers 1020 pour être succéder par son fils Gilbert de Brionne. La tutelle administrative fut confiée à Guillaume le comte d'Exmes, son tuteur.
En 1033, Gilbert de Brionne partit en bataille avec le chevalier Herluin. A deux doigts de perdre la vie, Herluin fit le vœu de revêtir l'habit de moine et de consacrer sa vie à Dieu s'il parvenait à s'échapper vivant. Il créa ainsi en 1034 l'abbaye de Notre-Dame du Bec au Bec-Hellouin.
Politique et administrationModifier
Tendances politiques et résultatsModifier
Liste des mairesModifier
JumelagesModifier
Au 8 octobre 2014, Brionne est jumelée avec[20] :
- Shaftesbury (Angleterre) (Royaume-Uni) depuis 1975 ;
- Lindlar (Allemagne) depuis 1984.
Population et sociétéModifier
DémographieModifier
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].
En 2018, la commune comptait 4 238 habitants[Note 3], en diminution de 1,3 % par rapport à 2013 (Eure : +0,83 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
Enseignement et médiathèqueModifier
- École maternelle Georges-Brassens ;
- École primaire Louis-Pergaud ;
- École privée de la Providence ;
- Collège Pierre-Brossolette ;
- Lycée des métiers d'art Augustin Boismard. Bois, cuir et tissu.
- Médiathèque Louise Michel[25]
SportsModifier
Clubs sportifsModifier
- Brionne Chris'Fitness
- Brionne Association Rugby
- Brionne Handball
- Brionne Matin Football
- Brionne Moto Verte
- Canoé Kayak Club Brionne
- Chris Fitness
- Cyclo Club Brionne
- Football Club Brionne
- Gymnastique Acrobatique
- Gymnastique Volontaire Brionne
- Judo Club Brionnais
- Karaté-Do Brionne
- Kung Fu Brionnais
- La Pétanque Brionnaise
- Starter Club 27 Boxe Thaï
- Tennis Club Brionne
- Tennis de Table de Brionne
- A.S du collège Pierre-Brossolette
- A.S du lycée Augustin-Boismard
- Association Brionnaise de Badminton
Équipements sportifsModifier
- [26]Gymnase Georges-Beuvain ;
- Salle de sport J.L.-Leroy-et R.-Desnos ;
- Stade Jacky-Devillers ;
- Église Saint-Denis ;
- Tennis couvert.
ÉconomieModifier
- Compin, 59 rue Lemarrois.
Culture locale et patrimoineModifier
L'association dénommée les Amis des monuments et sites de l'Eure [1] a son siège à Brionne.
Lieux et monumentsModifier
Château et manoirModifier
- Le château de Brionne (XIe siècle), Inscrit MH (1925)[27]. Sur les hauteurs dominant la ville, se dresse son donjon, dont il ne reste que des ruines. Il est l'un des rares donjons carrés normands de défense subsistant encore de nos jours.
- Le domaine de Lorraine (XVIIIe siècle). Ce domaine se compose d’un manoir en brique et pierre et de dépendances, dont notamment un ancien pressoir qui abrite l'office du tourisme.
Patrimoine religieuxModifier
- L'église Saint-Martin, dont les origines remontent à 1030. L'église actuelle, bénie en 1458, a subi plusieurs changements à travers les siècles, mais contient quelques éléments datant de la fin du XIIIe siècle ;
- L'église Saint-Denis et la place du même nom ; désaffectée, cette église sert de salle de sports ;
- La chapelle Notre-Dame. Propriété privée depuis des décennies, l'édifice a été racheté par la ville de Brionne le [28],[29].
Patrimoine industrielModifier
- Moulin à huile (XIXe)[30]
- Moulin à foulon, puis filature de coton la Grande Fabrique (XIXe et XXe)[31]
- Moulin à blé, puis filature de coton Martin, puis Lemoine (XIXe)[32]
- Moulin à blé du Centre, puis filature de coton (XVIIIe)[33]
- Moulin à huile, puis moulin à huile et filature de laine, puis filature de coton Dupont et Quenin, puis Fleury, puis Bonnet (XIXe)[34]
- Moulin à blé (1859)[35]
- Filature de coton Neuville, puis fabrique de matelas André Cardine (1859)[36]
Patrimoine civilModifier
- La Justice de paix, comprenant une salle d'audiences, un bureau de greffier et une vieille prison, a fonctionné de 1798 à 1961.
- La mairie.
- La gare de Brionne (1865).
- Le viaduc du radier d'Aclou - La Risle (autoroute A28).
MémorialModifier
- Le monument aux morts dû à Louis-Aimé Lejeune
- Un mémorial près de l'église Saint-Denis commémore le passage des Canadiens lors de la libération de la ville en 1944.
JardinModifier
- Jardin de Shaftesbury : petit jardin situé le long de la Risle portant le nom de la ville anglaise jumelée avec Brionne.
Autres lieuxModifier
- La champignonnière : il s'agit d'une ancienne marnière construite vers 1730 reconvertie en champignonnière. Elle a servi de refuge pour la population durant les bombardements de la Seconde Guerre mondiale, notamment ceux des 13 et 17 août 1944 qui furent particulièrement meurtriers. Jusqu’à 3 000 personnes séjournèrent dans ce lieu où avaient été installées l’électricité, une cuisine, une infirmerie mais aussi la poste, la perception et la gendarmerie[37].
- Lac de Brionne (base de loisirs).
Patrimoine naturelModifier
Natura 2000Modifier
- Risle, Guiel, Charentonne[38].
ZNIEFF de type 1Modifier
- Les prairies de Launay-sous-Brionne[39] et les prairies de Valleville[40] : ensemble de prairies hygrophiles. Certaines espèces remarquables vivent dans ces milieux telles l’Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), le Criquet ensanglanté (Stethophyma grossum), la Valériane dioïque (Valeriana dioica) ou l’Euphorbe raide (Euphorbia stricta) ;
- Les prairies du Moulin d'Aclou[41] (peupleraie, mare et mégaphorbiaies eutrophes).
- La cavité de la Vallée aux Bœufs[42] : espace d'hibernation pour plusieurs espèces de chiroptères ;
- Les bois de la Tour[43] : composé principalement de hêtraie et de chênaie, il abrite la bruyère cendrée.
ZNIEFF de type 2Modifier
- La vallée de la Risle de Brionne à Pont-Audemer, la forêt de Montfort[44] ;
- La vallée de la Risle de la Ferrière-sur-Risle à Brionne, la forêt de Beaumont, la basse vallée de la Charentonne[45].
Sites classésModifier
- Le vieux donjon et la côte qui l’entoure Site classé (1925)[46] ;
- L’église Saint-Denis et la place Saint-Denis avec ses arbres Site classé (1934)[47] ;
- Les deux marronniers de la propriété des Fontaines Site classé (1935)[48].
Personnalités liées à la communeModifier
- Godefroi de Brionne (XIe siècle), fils naturel du duc Richard Ier de Normandie, il fut châtelain de Brionne.
- Gilbert de Brionne (XIe siècle), fils de Godefroi de Brionne.
- Gui de Brionne (v. 1025-1069), fils de Renaud Ier et d'Adélaïde (ou Alice) de Normandie. Il fut à la tête d'une coalition de barons normands rebelles de l'Ouest du duché de Normandie au temps de Guillaume le Conquérant, dont il était le cousin. Cette rébellion aboutit à la bataille du Val-ès-Dunes.
- Jean Le Marois (1776-1836), aide de camp de Bonaparte, général à Austerlitz, créateur de la 1re manufacture de draps à Brionne en 1820[31].
- François Loncle (1941-), maire de la commune de juin 1982 à juin 1995.
- Patrick Beaudouin (1953-), homme politique, y est né.
HéraldiqueModifier
Les armes de la commune de Brionne se blasonnent ainsi :
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Voir aussiModifier
BibliographieModifier
- Jean-François Desbuards (préf. Michel-Georges Micberth), Brionne à vol d’oiseau, Res Universis, coll. « Monographies des villes et villages de France », (1re éd. 1887), 218 p., 14 x 20 (ISBN 978-2-87760-050-7, ISSN 0993-7129)
- Marcel Roncerel (préf. Michel-Georges Micberth), Glanes historiques sur Brionne, Paris, Le Livre d’histoire-Lorisse, Paris, coll. « Monographies des villes et villages de France », (1re éd. 1951), 227 p., 14 x 20 (ISBN 2-84373-310-3, ISSN 0993-7129)
Articles connexesModifier
Liens externesModifier
- Site officiel de la ville
- Brionne sur le site de l'Institut géographique national
- Site de l'Office du tourisme du Canton de Brionne
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et référencesModifier
NotesModifier
- Une commune rurale est une commune n'appartenant pas à une unité urbaine. Les autres communes sont dites urbaines.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
RéférencesModifier
- « Le Lieuvin », sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le 22 novembre 2017).
- « Distance à vol d'oiseau entre Brionne et Bernay », sur www.lion1906.com (consulté le 8 avril 2016).
- « Distance à vol d'oiseau entre Brionne et Évreux », sur www.lion1906.com (consulté le 8 avril 2016).
- « Distance à vol d'oiseau entre Brionne et Lisieux », sur www.lion1906.com (consulté le 8 avril 2016).
- « Distance à vol d'oiseau entre Brionne et Rouen », sur www.lion1906.com (consulté le 8 avril 2016).
- « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée »
- Sandre, « Fiche cours d'eau - La Risle (H6--0200) ».
- « Unité urbaine 2020 de Brionne », sur https://www.insee.fr/ (consulté le 2 décembre 2020)
- « Base des unités urbaines 2020 », sur https://www.insee.fr/, (consulté le 2 décembre 2020)
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur https://www.insee.fr/, (consulté le 2 décembre 2020)
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur https://www.insee.fr/, (consulté le 2 décembre 2020)
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc, Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur https://www.insee.fr/, (consulté le 2 décembre 2020)
- François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 78.
- François de Beaurepaire, op. cit.
- Pierre-Yves Lambert, La langue gauloise, éditions Errance, 1994, p. 203.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 118a.
- Pierre Wech, « Brionne, collège Pierre Brossolette. Un quartier artisanal des Ier et IIe siècles en périphérie de l’agglomération antique », dans [collectif], Journées archéologiques de Haute-Normandie. Alizay, 20-22 juin 2014, Mont-Saint-Aignan, Presses universitaires de Rouen et du Havre, (DOI 10.4000/books.purh.4257).
- « lecourrierdeleure.fr/2015/04/2… »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- « Valéry Beuriot comme prévu », sur Paris-Normandie (consulté le 1er septembre 2020).
- « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le 8 octobre 2014).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « La médiathèque Louise Michel », sur Mairie de Brionne (consulté le 2 juin 2020)
- « Les équipements sportifs », sur Mairie de Brionne (consulté le 2 juin 2020)
- « Ruines du château », notice no PA00099362, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Brionne - La ville achète une chapelle miraculeuse », sur Le Courrier de l'Eure (consulté le 11 avril 2016)
- « Chapelle Notre-Dame : Elle vient d'être rachetée par la municipalité ! », sur L'éveil Normand (consulté le 11 avril 2016)
- « Moulin à huile », notice no IA27000598.
- « Moulin à foulon, puis filature de coton la Grande Fabrique », notice no IA27000597.
- « Moulin à blé, puis filature de coton Martin, puis Lemoine », notice no IA27000596.
- « Moulin à blé du Centre, puis filature de coton », notice no IA27000594.
- « Moulin à huile, puis moulin à huile et filature de laine, puis filature de coton Dupont et Quenin, puis Fleury, puis Bonnet », notice no IA27000593.
- « Moulin à blé », notice no IA27000592.
- « Filature de coton Neuville, puis fabrique de matelas André Cardine », notice no IA27000542.
- « Libération de Brionne : beaucoup d’ingéniosité pour franchir la Risle », sur L'Eveil normand (consulté le 23 juillet 2015)
- « Risle, Guiel, Charentonne », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le 30 juin 2015).
- « Les prairies de Launay-sous-Brionne », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le 30 juin 2015).
- « Les prairies de Valleville », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le 30 juin 2015).
- « Les prairies du Moulin d'Aclou », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le 30 juin 2015).
- « La cavité de la Vallée aux Bœufs », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le 30 juin 2015).
- « Les bois de la Tour », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le 30 juin 2015).
- « La vallée de la Risle de Brionne à Pont-Audemer, la forêt de Montfort », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le 30 juin 2015).
- « La vallée de la Risle de la Ferrière-sur-Risle à Brionne, la forêt de Beaumont, la basse vallée de la Charentonne », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le 30 juin 2015).
- « Le donjon de Brionne », sur Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement Normandie (consulté le 16 juillet 2017)
- « L'église Saint-Denis à Brionne », sur Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement Normandie (consulté le 20 juillet 2017).
- « Les marronniers de la propriété des Fontaines à Brionne », sur Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement Normandie (consulté le 24 juillet 2017).
- http://www.labanquedublason2.com/lecture_fiche_commune.php3?page=f27116