Brescia

ville du nord de l'Italie

Brescia ['breʃ:a] ou Brèche[1] en français, est une ville italienne d'environ 196 000 habitants, située dans la province de Brescia, dont elle est le chef-lieu, en Lombardie, région de la plaine du Pô, au pied des Alpes, du mont Madeleine (874 mètres) dans le nord-ouest de l'Italie. La ville est traversée par la rivière Mella, un affluent de l'Oglio.

Brescia
Brescia
Blason de Brescia
Armoiries
Drapeau de Brescia
Drapeau
Noms
Nom français Brèche[1]
Bresse [2],[3]
Administration
Pays Drapeau de l'Italie Italie
Région Drapeau de la région de Lombardie Lombardie 
Province Brescia 
Maire
Mandat
Laura Castelletti
(2023)
Code postal 25100
Code cadastral B157
Préfixe tel. 030
Démographie
Gentilé Bresciani (fr) bressan ou brescian
Population 196 446 hab. ([4])
Densité 2 175 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 31′ 59″ nord, 10° 13′ 59″ est
Altitude Min. 104 m
Max. 874 m
Superficie 9 034 ha = 90,34 km2
Divers
Saint patron Saints Faustin et Jovite
Fête patronale 15 février
Localisation
Localisation de Brescia
Localisation dans la province de Brescia.
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Brescia
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Brescia
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Brescia
Liens
Site web Site officiel

La surface urbaine, qui englobe aussi des communes limitrophes, a une population entre 350 000 et 500 000 habitants, selon les critères de délimitation.

La zone archéologique monumentale du forum romain et le monastère Santa Giulia font partie d'un groupe de sept sites connus comme « Les Lombards en Italie. Lieux de pouvoir (568-774 après J.-C.) », déclarés sites du patrimoine mondial par l'UNESCO en 2011[5].

Toponymie

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Représentations cartographiques de la commune
 
  Mairie
 
Carte OpenStreetMap
 
Carte topographique
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique

Le nom de Brescia est l'adaptation en vénitien du lombard Brèsa, lui-même dérivé du longobard Brexia, qui trouve son origine dans le nom romain de la ville appelée colonia civica Augusta Brixia en l'honneur d'Auguste.

Ce nom latin de Brixia (comme sa variante Βρηξία) est bien documenté à l'époque classique (Catulle, Tite-Live, Pline l'Ancien, etc.) ; il dérive du radical gaulois *brica / *briga (sommet, colline, hauteur), radical qui se retrouve dans d'autres toponymes de l'aire d'influence celtique (Bresse, la Brie, Bressanone, etc.)

Histoire

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Santa Maria dei Miracoli.
Photo Giacomo Rossetti, 1873.

Antiquité

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Les premières traces de peuplement datent de l'âge du bronze.

Brescia a été la capitale des Cénomans, un peuple celte originaire de la région du Mans venu s'installer en Italie septentrionale au Ve siècle av. J.-C. On y parle le brescian (it). Les Cénomans furent combattus en 187 av. J.-C. par les Romains mais ce n'est qu'en 49 av. J.-C., sous Jules César, que la ville obtint le statut de civitas et que ses habitants se virent attribuer la citoyenneté romaine. Sous l'empereur Auguste fut construit en l'an 26 av. J.-C. le premier aqueduc qui sera terminé sous le règne de l'empereur Tibère. Les anciens temples républicains sont remplacés en 73 sous le règne de Vespasien par un capitole dédié aux trois divinités de la triade capitoline. Il s'ensuivit une période de paix et de prospérité économique notamment grâce à l'agriculture, au commerce, aux carrières de marbre, et aux exploitations minières, qui firent de la ville l'un des pôles centraux du nord de la péninsule. En 452, Attila saccagea la ville.

Moyen Âge

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De 568 à 774, les Lombards, un peuple venu de Pannonie mais originaire, selon leur tradition orale, de Scandinavie méridionale, de Scanie, y installent un important duché. En 760, la ville se dote d'un nouvel aqueduc ainsi que de nombreuses œuvres urbaines. À la fin du VIIe siècle, le duc de Brescia Alahis, un arien, usurpa le trône lombard.

Durant près de quatre siècles, plus exactement de 1404 à 1797, la ville est un territoire de la république de Venise.

Époque moderne

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En février 1512, le chevalier Bayard prend la ville avec Gaston de Foix-Nemours ; il y sera blessé d'un coup de pique. La ville se révolte contre la domination française le 18 février 1512 lors du Sac de Brescia.

Époque contemporaine

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Durant le Risorgimento, Brescia se distingue par la révolte contre les Autrichiens, appelée les Dix jours de Brescia (mars 1849), qui lui vaut l’appellation de La Lionne d’Italie pour sa résistance. Cette appellation, attribuée à Giosuè Carducci, est une allusion au Lion, le symbole héraldique de la ville.

En 1859, la ville est rattachée au royaume d'Italie et son destin se confond alors avec celui de l'unité italienne.

Témoin en 1859 de la bataille de Solférino, Henry Dunant, horrifié par le sort des blessés qu'il voyait sur le champ de bataille, ainsi qu'à Brescia (40 000 habitants à l'époque) qui vit affluer plus de 30 000 blessés, eut l'idée de fonder, à son retour à Genève, la Croix-Rouge. Dans Un souvenir de Solférino, Henri Dunant parle de cette bataille et revient à plusieurs reprises sur le dévouement des habitants de Brescia pour venir en aide aux blessés.

La ville fut l'une des quatre capitales de la République sociale italienne ou République de Salò de 1943 à 1945.

Du au , la ville est massivement bombardée par l'aviation anglo-américaine. Les pertes sont lourdes et touchent le centre historique ainsi que les abords de la voie ferrée. Trois églises[6] et près de 2 000 habitations furent détruites ou endommagées.

Le a eu lieu l'attentat de la place de la Loggia. Une bombe, cachée dans une poubelle, explose sous les arcades lors d'une manifestation antifasciste sur cette place, faisant huit morts et 102 blessés[7],[8].

Titres honorifiques

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La ville de Brescia est la troisième parmi les 27 villes italiennes honorées par une médaille d’or comme « Benemerita del Risorgimento nazionale » (méritante de la Renaissance nationale).

Brescia est également décorée de la médaille militaire pour son action pendant la Guerre de Libération (Résistance en Italie pendant la Seconde Guerre mondiale), et notamment à cause des sacrifices de sa population et de son activité dans la lutte partisane au cours de la Seconde Guerre mondiale.

Culture

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Histoire de l'art

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Pendant la domination malatestienne (1404-1421) et vénitienne (1426-1797) de nombreux échanges ont été tissés avec la ville de Bergame, qui se trouvait dans la même situation.

 
Le couronnement de la Vierge, fresque du XVe siècle dans l'église « Chiesa di Santa Maria del Carmine », réalisée dans le cercle du peintre Paolo da Caylina l'Ancien.
 
Saint Sylvestre baptise Constantin
Giambattista Tiepolo,
1757-1759
église S. Silvestro,
autel Majeur
Folzano

Une école de peinture homogène naquit néanmoins à Brescia, sous l'impulsion d'Alessandro Bonvicino, dit Il Moretto da Brescia (1498-1554), avec Savoldo et Il Romanino (1484-1566)[9]. Il Moretto forma Giovanni Battista Moroni, grand portraitiste bergamasque, qui fonda le courant pictural de la « peinture de la réalité ». Ses personnages étaient ancrés dans leurs occupations quotidiennes, contrairement à ceux du Titien qui arboraient les symboles de leur pouvoir. Ce style de peinture a marqué les arts plastiques de Bergame et de Brescia jusqu'au XVIIIe siècle[10].

En 1687, le peintre vénitien Andrea Celesti, y créa un atelier, et fut nommé prieur du collège des peintres vénitiens au sein de la guilde locale. Il réalisa des œuvres conservées dans le Palazzo Bettoni (it).

Le village de Folzano conserve sur l'autel majeur de son église un tableau de Giambattista Tiepolo, Saint Sylvestre baptise Constantin, daté de 1757-1759[11].

Le peintre moderne le plus significatif de l'histoire de Brescia est Francesco Filippini fondateur du courant artistique du Filippinisme considéré comme l'impressionnisme italien par opposition à l'impressionnisme français.[réf. nécessaire]

Musique

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Le festival international de piano au Teatro Grande, fondé en 1664, se déroule entre le mois d'avril et juin, avec thème différent chaque année.

Monuments

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  • La Rotonda, le Duomo Vecchio de Brescia construit sur l'emplacement d'une église du VIIIe siècle.
  • La préfecture au Broletto, l'ancien palazzo comunale.
  • Madonna col Bambino e angeli, huile sur toile (1538), Brescia, Palazzo della Congrega della Carità Apostolica.
  • Le château qui domine la ville, érigé aux XIIe et XIIIe siècles sur le Mont Cidneo, et modifié au cours des siècles. Il abrite également plusieurs musées dont celui du « Risorgimento ».

Plusieurs places (correspondant aux différents centres historiques de la ville successifs) :

  • la piazza della Loggia (« place de la Loge »), l'ensemble architectonique le plus homogène de la ville et un splendide exemple de place entourée en style Renaissance ; le bâtiment principal est la « Loggia », aujourd’hui hôtel de ville, commencé en 1492 sous la direction de Filippino de Grassi. Afin de protéger des incendies fréquents les boutiques en bois situées à gauche de la place, a été construit au cours du XIVe siècle un mur avec des pierres d'origine romaine retrouvées dans les tranchées pour les fondations ;
  • la piazza della Vittoria (« place de la Victoire ») est un ensemble urbanistique réalisé dans les années 1930 qui s'inspire du rationalisme architectonique typique de l'architecte Piacentini. Les nouveaux bâtiments abritent l'hôtel de Poste et le parc de stationnement souterrain le plus central de la ville ;
  • le palais Averoldi est décoré de fresques par les peintres Il Romanino et le jeune Lattanzio Gambara qui deviendra son gendre : * Allégories des saisons et des personnages mythologiques.

Plusieurs palais :

  • le palais Lechi, est décoré par les mêmes peintres avec L'automne et l'hiver, des figures allégoriques et putti ;
  • le palais de la Congrégation de la Charité Apostolique contient une Vierge à l'enfant avec des anges peinte par Il Romanino en 1538.

Églises

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  • Le Duomo Nuovo (la cathédrale) contient des panneaux recto-verso d'un orgue réalisés par il Romanino entre 1539 et 1540 : La naissance de Marie, La Visitatione, Le Mariage de la Vierge
  • Le Duomo Vecchio contient deux tableaux d'Il Romanino, La Chute de la Manne et L'eau jaillit de la roche, datant de 1555
  • La basilique San Salvatore reconstruite au XIe siècle sur une église précédente datant du VIIIe siècle, contient les fresques de l'Histoire de saint Obice, réalisées par Il Romanino en 1526-1527
  • L'église San Giovanni Evangelista vit le début de la décoration de la chapelle du Saint-Sacrement par Alessandro Bonvicino (« Moretto ») et Il Romanino, en 1521 : La messe de saint Grégoire et Six Prophètes. Laissée inachevée cette décoration sera complétée par deux autres peintres dans la première moitié des années quarante : Le Repas chez le pharisien, La Résurrection de Lazare, Saint Matthieu et Saint Jean Évangéliste. L'église contient également le retable de saint Roch peint par il Romanino.
  • L'église San Lorenzo contenait La Déploration du Christ mort peint pour elle par il Romanino en 1510. Cette œuvre est maintenant aux Gallerie dell'Accademia de Venise.
  • L'église San Francesco contient deux œuvres d'Il Romanino : La Pietà, et la Madone et les saints réalisée à la fin de 1516 pour l'autel majeur
  • l'église Saint-Nazaire-et-Saint-Celse de Brescia abrite un très important patrimoine artistique datant en grande partie de la Renaissance et comportant, entre autres, un polyptyque du Titien et des tableaux des peintres brescians Moretto, Romanino, Paolo da Caylina l'Ancien, Paolo da Caylina le Jeune et Antonio Gandino
  • L'église Sant'Alexandre contenait un polyptyque de Il Romanino daté des environs de 1524, maintenant conservé à la National Gallery de Londres.
  • L'église San Domenico contenait le Couronnement de la Vierge avec des saints d'Il Romanino, datant de la fin des années 1520, aujourd’hui conservés à la Pinacothèque Tosio Martinengo.
  • L'église Saint Clement contient La Résurrection du Christ avec saint Clément et sainte Thérèse, peinte par Il Romanino
  • L'église Santa Maria di Calchera contient une Messe de saint Apollonio, peinte en 1525 par Il Romanino
  • L'église paroissiale de Urago Mella, contient une Annonciation peinte par Il Romanino avec Callisto Piazza

Musées

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La ville comprend plusieurs musées d'arts et histoire et un musée consacré aux sciences naturelles :

  • le Tempio Capitolino, construit sous Vespasien, et le Teatro Romano, construit sous l'empereur Auguste, théâtre qui pouvait accueillir près de 15 000 personnes ; il servit jusqu'au Moyen Âge à différentes manifestations et réunions du peuple brescian ;
  • le Museo di Santa Giulia ;
  • le Museo dell'età Cristiana ;
  • le Museo Marzoli (musée des Armes « Luigi Marzoli ») : musée consacré aux armures et armes du Moyen Âge (dans une des salles du château) ;
  • la pinacothèque Tosio Martinengo qui contient des œuvres de l'école de Brescia ;
  • la Galleria d'Arte Moderna.

Évêché

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Économie

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Brescia est la deuxième ville la plus peuplée de la Lombardie et le premier centre industriel d'Europe[12],[13]. L'aire bresciane est composée de près de 121 040 entreprises. La chambre de commerce annonce pour le second trimestre 2010 la création de 635 nouvelles entreprises. Les secteurs en croissance sont ceux de la construction, du commerce, du logement et de la restauration. Le taux de chômage y est l'un des plus bas de l'Union européenne, avec une moyenne de 1,8 %. La ville est la quatrième place forte bancaire d'Italie. Brescia possède de nombreuses industries mécaniques et pharmaceutiques ainsi que des industries manufacturières dans les domaines chimique, textile et métallurgique. Les industries alimentaires concourent également à la puissance économique de la ville. La ville est le siège de la fabrication des armes Beretta et Perazzi.

Les établissements Wührer produisent la bière la plus ancienne d'Italie depuis 1829.

Dans la province de Brescia, dans la région Franciacorta on y trouve le vin mousseux homonyme.

Brescia est également la ville qui compte le plus d'immigrés en Italie soit 19 % de la population de la ville.

Personnalités

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Moyen Âge
  • Arnaud de Brescia (né vers 1100 et supplicié en 1155), théologien, influencé par l'école de logique de Pierre Abélard, condamné pour hérésie, pour avoir prôné l'accroissement de l'influence des laïcs et voulu cantonner le pape à son rôle religieux, en lui supprimant, en conséquence, son pouvoir temporel.
Renaissance
Époque moderne
XIXe siècle
Contemporains

Naissance à Brescia

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Tourisme et loisirs

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Restes du Capitolium à Brescia.

Brescia est au cœur de la région des lacs italiens : lac de Garde appelé aussi Benaco et lac d'Iseo appelé aussi Sebino[15]. Le val Camonica au nord de la ville est riche en témoignages de la Préhistoire (nombreuses peintures rupestres).

Trente monuments sont cités, parmi lesquels certains sont en cours de restauration.

Transports

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Transports ferroviaires

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Transports routiers

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Transports aériens

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L'aéroport de Brescia-Montichiari Gabriele D'Annunzio[16], inauguré en 1999, se trouve à 15 km du centre de la ville, sur le territoire de la commune de Montichiari.

Transports urbains

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  • Métro de Brescia, mise en service le
  • Bus : urbain et interurbain
  • Taxi (dont des taxis « collectifs »)
  • Pistes cyclables pour vélo
  • Brescia Mobilité[17]
  • Transport public de Brescia[18]
  • Il giornale di Brescia
  • Bresciaoggi
  • Corriere della Sera Brescia
  • BsNews.it

Administration

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Les maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1er mai 1945 16 juin 1948 Guglielmo Ghislandi PSI avocat
16 juin 1948 15 mai 1975 Bruno Boni DC géomètre
15 mai 1975 14 octobre 1985 Cesare Trebeschi DC avocat
14 octobre 1985 12 août 1990 Pietro Padula DC avocat
12 août 1990 15 septembre 1991 Gianni Boninsegna DC médecin
15 septembre 1991 27 janvier 1992 Goffredo Sottile Commissaire préfectoral
27 janvier 1992 27 septembre 1992 Gianni Panella PSI syndicaliste
27 septembre 1992 13 juin 1994 Paolo Corsini PDS professeur
13 juin 1994 5 décembre 1994 Romano Fusco
Roberto Frassinet
Commissaires
préfectoraux
5 décembre 1994 14 décembre 1998 Fermo Mino Martinazzoli PPI avocat
14 décembre 1998 17 avril 2008 Paolo Corsini DS / PD professeur
17 avril 2008 12 juin 2013 Adriano Paroli PdL avocat
12 juin 2013 31 mars 2023 Emilio Del Bono PD avocat
20 mai 2023 au bureau Laura Castelletti PD-Az-IV-EV-SI  
Les données manquantes sont à compléter.

Fornaci, Sant'Eufemia, San Polo

Communes limitrophes

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Borgosatollo, Botticino, Bovezzo, Castel Mella, Castenedolo, Cellatica, Collebeato, Concesio, Flero, Gussago, Nave, Rezzato, Roncadelle, San Zeno Naviglio

Évolution démographique

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Habitants recensés


Jumelages

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Jumelages et partenariats de Brescia. 
Jumelages et partenariats de Brescia. 
VillePaysPériode
Bethléem[19] Palestinedepuis
 Biancavilla Italie
Bouaké Côte d'Ivoire
 Darmstadt[19] Allemagnedepuis
 Kaunas Lituanie
 Logroño[19] Espagnedepuis le
 Makhatchkala Russie
 Maringá Brésil
 Pescara Italie
Shenzhen Chine
 Toluca[20] Mexique
 Troyes[19] Francedepuis le

Notes et références

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  1. a et b « Toponymie recommandée par le Conseil National de l'Information Géographique », sur cnig.gouv.fr (consulté le ).
  2. (fr) [1] Encyclopédie,Diderot
  3. (it) [2] Biblioteca Civica Queriniana, Brescia ou Bresse aux Venetiens
  4. « https://demo.istat.it/?l=it »
  5. (en) Brescia: description of goods sur le site de Italialangobardorum.it.
  6. Dont Santa-Maria-dei-Miracoli. Confer "La restauration des monuments italiens", Salet Francis in Bulletin Monumental, 1951, 109-2, pp. 189-190 [3]
  7. (it) Casa della memoria.
  8. [4]
  9. Stefano Zuffi (trad. de l'italien), Le Portrait, Paris, Gallimard, , 304 p. (ISBN 2-07-011700-6), p.85.
  10. Francesco Frangi, « Les Peintres de Lombardi du Piemont et de Ligurie », dans Mina Gregori, Le Musée des Offices et le Palais Pitti, Paris, Editions Place des Victoires, , p. 285.
  11. Église de Folzano.
  12. (it) Massimiliano Del Barba, « Brescia ritorna il terzo polo industriale. Ma l’occupazione rischia un nuovo calo. », Corriere della Sera,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  13. « Brescia prima provincia industriale d'Europa ».
  14. Notice Metropolitan
  15. (it) « I cinque laghi bresciani da non perdere | I CONSIGLI DI BSNEWS - BsNews.it - Brescia News », BsNews.it - Brescia News,‎ (lire en ligne, consulté le )
  16. (it + en) Site de l'aéroport de Brescia.
  17. (it) Site de Brescia Mobilité.
  18. (it) Transport public de Brescia.
  19. a b c et d (it) « Gemellaggi » (consulté le )
  20. « https://elpulsoedomex.com.mx/prepara-toluca-la-expo-ciudades-hermanas/ »

Bibliographie

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Annexes

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Articles connexes

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Liens externes

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