Noyelles-sur-Mer

commune française du département de la Somme
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Noyelles-sur-Mer
Noyelles-sur-Mer
La vallée de la Somme vue de Noyelles.
Blason de Noyelles-sur-Mer
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Abbeville
Intercommunalité CC Ponthieu-Marquenterre
Maire
Mandat
Martial Balsamo
2022-2026
Code postal 80860
Code commune 80600
Démographie
Gentilé Noyellois
Population
municipale
649 hab. (2021 en diminution de 10,48 % par rapport à 2015)
Densité 32 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 11′ 04″ nord, 1° 42′ 35″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 42 m
Superficie 20,01 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Abbeville
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Abbeville-1
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Noyelles-sur-Mer
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Noyelles-sur-Mer

Noyelles-sur-Mer est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Depuis , la commune fait partie du parc naturel régional Baie de Somme - Picardie maritime.

La commune fait aussi partie des villages labellisés Pays d'art et d'histoire qui œuvrent à mettre en avant leur patrimoine[1],[2].

Géographie modifier

Localisation modifier

Communes limitrophes modifier

La commune fait partie de la région naturelle du Marquenterre.

Géomorphologie modifier

Des alluvions se sont déposées dans les Salines. En plaine, le sol est composé de silice mêlée à plus ou moins d'argile. Du côté de Sailly-Bray, il est plutôt marécageux. Dans les bas-champs, il est soumis au dessèchement[3].

Relief, paysage, végétation modifier

Côté sud, vers la baie, l'altitude n'excède pas trois mètres. En allant vers l'est, les terres s'élèvent jusqu'à 12 mètres. Un point de vue intéressant se dévoile alors vers Saint-Valery-sur-Somme, Le Hourdel et Le Crotoy[3].

Hydrographie modifier

Le Riot qui prend sa source à Nolette se jette dans le Dien. La vallée du Dien rejoint la baie de Somme. Fin XIXe siècle, le Dien qui prend sa source à Nouvion, alimente encore deux moulins : un à Bonnelle, l'autre à Noyelles[3].

La nappe phréatique affleure et en cas de fortes pluies, des caves peuvent être inondées.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 790 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Abbeville à 12 km à vol d'oiseau[6], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 806,2 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Noyelles-sur-Mer est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Abbeville, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[15]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[16],[17].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (68,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (50,6 %), zones humides intérieures (21,9 %), prairies (20,6 %), zones urbanisées (4,1 %), zones humides côtières (2,8 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat modifier

Vers 1890, la commune comprend six dépendances ou hameaux[3] :

  • la Comterie,
  • Nolette,
  • les Salines et les Carrières,
  • le Pont à brebis,
  • Sailly-Bray,
  • Bonnelle dont une partie, au-delà du Dien, relève de Ponthoile et une autre partie de Nouvion.

Une digue protège la commune du danger présenté par les hautes marées pouvant provenir de la baie.

Voies de communication et transports modifier

La localité est desservie par les lignes d'autocars du réseau Trans'80, Hauts-de-France, chaque jour de la semaine sauf le dimanche et les jours fériés[19].

Toponymie modifier

Du IVe au XIVe siècle, on trouve Nigella[3] (845), Noella supra summum[3] (1215-1257)[20].

Latinisé en Nigella au IXe siècle, sur la base de l'homonyme nielle. Toponyme gaulois composé de *novio, latinisé en Nigella aux IXe et Xe siècles (« neuf, nouveau » → voir Noyon) et *ialo- (« clairière, lieu défriché, essart » → voir Neuilly et Noailles). Le toponyme se rencontre principalement dans la France du Nord (Nord-Pas-de-Calais et Picardie, Normandie, Bretagne) et dérive du celtique Nigella, qui désigne une « dépression humide entre les dunes », un « lieu marécageux »[21]

La succession des digues et la voie de chemin de fer sur un remblai ont supprimé le phénomène de « chasse d'eau » qui existait auparavant. Lorsque la Somme était bien plus large qu'à ce jour, Noyelles était alors vraiment « sur Mer »[22].

Histoire modifier

 
Noyelles-sur-Mer est desservie par le chemin de fer depuis 1847, avec la ligne de Longueau à Boulogne-Ville qui traverse sa gare.
Elle était également desservie par les chemins de fer départementaux de la Somme, dont les lignes Noyelles - Le Crotoy et Noyelles - Saint-Valery sont désormais exploitées par un chemin de fer touristique, le chemin de fer de la baie de Somme.
 
Le cimetière chinois de Nolette : son porche d'entrée, d'un style typique, visible au fond, comporte des inscriptions en mandarin.

Antiquité modifier

Nigella est d'origine ancienne. À Sailly-Bray, on a trouvé des haches celtiques, des tuiles plates à rebords et des tessons de poterie rouge et noire, des figurines égyptiennes qui peuvent faire présumer que les Phéniciens, vinrent sur ses bords[3].

Moyen Âge modifier

Lorsque les comtes du Ponthieu eurent fortifié Abbeville et que celle-ci prit de l'importance comme havre maritime[Note 3], ils élevèrent une forteresse à Noyelles à l'embouchure de la Somme. C'était une citadelle avancée contre les incursions et les invasions des pirates.

  • Les cercueils de pierre découverts à Sailly-Bray appartiennent à l'époque gallo-romaine et aux premiers siècles de la monarchie française[23].
  • En 1194, Noyelles obtint une charte communale copiée sur celle d'Abbeville.
  • En 1217, naissance d'une collégiale dédiée à Notre-Dame : Guillaume III, comte de Ponthieu, établit dans l'église un chapitre composé de douze chanoines et d'un doyen[24].
  • En 1346, Édouard III d'Angleterre, passa le gué de Blanquetaque, se présenta et somma le château de se rendre.
  • Jacques d'Harcourt, seigneur de Noyelles et gouverneur du Crotoy attaque les villes et les châteaux occupés par les Anglo-bourguignons et ramène à Noyelles un butin important.
  • En 1423, Jacques d'Harcourt finit par succomber sous le nombre des Anglo-Bourguignons de Philippe III de Bourgogne.

Temps modernes modifier

Première Guerre mondiale modifier

  • Pendant la Première Guerre mondiale, Noyelles abritera une importante base arrière britannique dont un grand camp de travailleurs immigrés chinois. Près de 12 000 coolies furent recrutés par l'armée britannique entre 1917 et 1919 dans le cadre du Corps de travailleurs chinois, pour des tâches civiles à l'arrière du front mais certains connaitront les zones de combat. À ce titre, ils représentent l'une des premières immigrations chinoises en France. Ils avaient l'interdiction de se mêler à la population civile du lieu et étaient affectés à des tâches ingrates et rudes. Beaucoup sont morts d'une épidémie de choléra qui a sévi dans le camp, de tuberculose et surtout de la grippe espagnole en 1918-1919, certains furent tués au combat. Le cimetière chinois de Nolette regroupe 849 stèles de marbre blanc ornées d'inscriptions en anglais ("Faithful unto Death" ou " Though death he still liveth" ou encore "A good reputation endures for ever") ainsi que d'idéogrammes en chinois et sur quelques-unes, très rares, le nom du défunt. La Commonwealth War Graves Commission entretient ici le plus grand cimetière chinois d'Europe.

Seconde Guerre mondiale modifier

Le , au début de la Bataille de France les chars allemands atteignent pour la première fois le littoral à Noyelles-sur-Mer vers 22h00[réf. nécessaire][25].

Dans la nuit du 28 au 29 août 1944, Marguerite Duflos, résistante domiciliée à Nolette, est massacrée par les Allemands. Son corps sera retrouvé dans le bois de Gentelles[26].

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[27]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1876 1881 Frédéric Cordier    
1881 1884 Henry Morel    
1884 1892 Frédéric Cordier    
1892 1910 Paul Mautort    
1910 1919 Etienne Gourlin    
1919 1925 Paul Mautort    
1925 1929 Henry de Witasse Thézy    
1929 1947 Pierre de Franssu    
1947 1977 Gilbert Dercourt    
1977 1983 Bernard Grenu    
1983 1989 Claude de Valicourt    
1989 avril 2014[28] Michel Letocart    
avril 2014[29] octobre 2016[30] Jean-Michel Gay[31]   Démissionnaire.
7 octobre 2016[32] juillet 2022 Jean-Louis Desmarest[33]   Retraité de la fonction publique
Démissionnaire.
juillet 2022[34] En cours
(au 27 octobre 2022)
Martial Balsamo   Retraité SNCF

Jumelages modifier

  •   Tungkang (Taïwan) depuis le . Noyelles-sur-Mer a conclu un accord de jumelage avec la commune de Tungkang (Taiwan).

Un calendrier perpétuel a été remis à cette occasion par le maire de Tungkang, M. Chu-i Hsu, au conseil municipal de Noyelles-sur-Mer.

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].

En 2021, la commune comptait 649 habitants[Note 4], en diminution de 10,48 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
590515512639615565675726754
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
733751780790802807851837883
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
930938936918963904939901905
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
984939908813802742834848773
2015 2020 2021 - - - - - -
725663649------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

La commune gère une école primaire relevant de l'académie d'Amiens, en zone B pour les vacances scolaires.

Pour l'année scolaire 2018-2019, 45 élèves sont inscrits dans l'établissement[39].

La compétence scolaire est du ressort de la communauté de communes.

La baisse des effectif conduit à la fermeture de l'école à deux classes à la rentrée de septembre 2024[40].

Économie modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • L'église de l'Assomption de la Vierge : édifice en brique qui conserve plusieurs œuvres protégées comme monuments historiques[41].
  • Le Chemin de fer de la baie de Somme (CFBS), un chemin de fer touristique sur voie métrique qui circule de mars à décembre entre Le Crotoy et Cayeux-sur-Mer via Noyelles-sur-Mer et Saint-Valery-sur-Somme.
  • Le cimetière chinois de Nolette[42], où sont inhumés 849 des travailleurs chinois, est le plus grand cimetière chinois de France. La plupart travaillait au camp chinois de l'armée britannique situé sur la commune entre 1917 et 1919[43].
  • Le gué de Blanquetaque (« Blanche tache »), un passage historique de l’embouchure de la Somme. Il n’est plus utilisé depuis la construction du canal de Saint-Valery-sur-Somme à Abbeville en 1786.
  • Dans le marais de Sailly-Bray, la commune possède la  « Hutte des 400 coups », construite en 1905 pour le vicomte. Son nom serait dû aux 400 coups de fusil tirés par les garde-chasse, lors de l'inauguration.

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

d'argent à la fasce d'azur, accompagné en chef de trois fleurs de lys de gueules et en pointe d'une molette de sable.

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Anciennement, on appelait havre un port de mer.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « Création du Pays d'Art et d'Histoire Ponthieu-Baie de Somme » (consulté le ).
  2. Jade Desmaret, « 48 communes du Ponthieu et de la baie de Somme labellisées «Pays d’art et d’histoire» », Courrier picard,‎ (lire en ligne)
  3. a b c d e f et g Notice historique et géographique de l'instituteur, M. Warin, fin du XIXe siècle, Archives départementales de la Somme, Amiens
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Noyelles-sur-Mer et Abbeville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Abbeville » (commune d'Abbeville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Abbeville » (commune d'Abbeville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Abbeville », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  16. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  19. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  20. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 121 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  21. « Chronique de Toponymie », sur Noyelles et Noyal (consulté le ).
  22. Christian Andres, Miettes Valericaines, Paris, Éditions complicités, .
  23. François-César Louandre, Histoire d'Abbeville et du comté de Ponthieu jusqu'en 1789, vol. reprise de 1883, t. Tome 1, 67, rue Saint-Jacques - 75005 Paris, Lorisse éditeur-diffuseur, , 14e éd., 439 p. (ISBN 2-84435-013-5), p. 13.
  24. François-César Louandre, Histoire d'Abbeville et du comté du Ponthieu jusqu'en 1789, Le Livre d'histoire, Paris, réédit., 1988
  25. Jacques-Benoist Méchin, 60 jours qui ébranlèrent l'Occident, t. 1, (ISBN 978-2221132111).
  26. Lire en ligne.
  27. L'écho du canton, communauté de communes du canton de Nouvion, 4e trim. 2000, édit. Norsud S.A. Saleux - 80480.
  28. Johann Rauch, « Noyelles-sur-Mer : Michel Létocart maire honoraire prépare une liste aux municipales : Le maire honoraire noyellois, Michel Létocart perdant aux municipales de 2014, est sur les rangs pour les prochaines municipales », Le Journal d'Abbeville,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Pour mémoire, Michel Létocart fut élu maire pour la première fois en 1989. Lors des municipales de 2014 la liste d’opposition alors menée par Jean-Michel Gay fait une véritable razzia sur le conseil, et la liste conduite par le maire sortant pour un quatrième mandat est totalement balayée ».
  29. Le Courrier picard, édition d'Abbeville, 9 avril 2014, p. 13.
  30. Johann Rauch, « Pourquoi la démission du maire et pourquoi les Noyellois devront revoter... : Jean-Michel Gay livre les raisons qui ont motivé sa démission du poste de maire et du conseil municipal... Les Noyellois seront rappelés aux urnes », Le Journal d'Abbeville,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. « NOYELLES-SUR-MER Le maire mis en minorité sur le compte administratif : Le dernier conseil municipal a été marqué par le rejet du compte administratif, marquant un nouveau désaveu du maire Jean-Michel Gay par son équipe », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Pour Jean-Michel Gay, cette prise de position s’inscrit dans la continuité du camouflet subi en septembre, quand ses adjoints lui avaient retiré plusieurs de ses délégations (voir notre édition du 25 septembre). « Ils remettent ça, ils veulent que je parte » , constate-t-il ».
  32. « Noyelles-sur-Mer - Un nouveau maire élu ce vendredi soir : Jean-Louis Demarest, premier adjoint jusqu’alors, a été élu nouveau maire de Noyelles, ce vendredi soir, en remplacement de Jean-Michel Gay. Il était le seule candidat. Noyelles passe de quatre à trois adjoints », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Jean-Louis Demarest, 62 ans, retraité de la fonction publique, a été élu nouveau maire de Noyelles-sur-Mer, ce vendredi soir 7 octobre (...) Celui qui était jusqu’alors premier adjoint succède à Jean-Michel Gay, qui a démissionné cet été, à la suite de divergences de vue avec une partie de son conseil municipal, notamment trois de ses adjoint ».
  33. Catherine Ducrocq, « L’ancien maire de Noyelles-sur-Mer est mort à 68 an : Il avait démissionné de ses fonctions au mois de juillet 2022 en raison de problèmes de santé. Jean-Louis Demarest est mort à l’âge de 68 ans », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il était engagé dans la vie municipale depuis 2014 en étant d’abord l’adjoint de Jean-Michel Gay ».
  34. Vincent Beny, « Noyelles-sur-Mer : pour Martial Balsamo, être maire, c'est un vrai métier : Élu maire en juillet, à la place de Jean-Louis Demarest, démissionnaire pour des raisons personnelles, Martial Balsamo assure vouloir suivre la voie tracée par son prédécesseur », Le Journal d'Abbeville,‎ (lire en ligne, consulté le ) « En 2016, le maire en place (Jean-Michel Gay, N.D.L.R.) a démissionné. J’étais inscrit dans des associations. Il manquait des élus et on m’a proposé le poste de 3e adjoint. En 2020, lors de la dernière élection municipale, je suis devenu 1er adjoint ».
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. « L'école sur le site du ministère de l'Éducation nationale » (consulté le ).
  40. « L'école va fermer mais où iront les élèves ? », Courrier picard, édition Picardie maritime,‎ , p. 8
  41. « Protection des œuvres de l'église comme monuments historiques ».
  42. « Le cimetière chinois de Nolette ».
  43. Benoît Hopquin, « 14-18 Noyelles n’oublie pas ses coolies : A partir de 1916, alors que l’effort de guerre nécessitait toujours plus de bras, 40 000 hommes venus de l’empire du Milieu furent exploités derrière la ligne de front. La communauté chinoise leur rend hommage chaque année, en avril, dans la Somme. », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  44. Commonwealth War Graves Commission référence erronée dans la base du CWGC: Cheng Hang Tzu