Brasc

commune française du département de l'Aveyron

Brasc
Brasc
La chapelle de Saint-Dalmazi.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Millau
Intercommunalité Communauté de communes du Réquistanais
Maire
Mandat
Jean-Charles Alibert
2020-2026
Code postal 12550
Code commune 12035
Démographie
Gentilé Brascais
Population
municipale
175 hab. (2021 en augmentation de 9,38 % par rapport à 2015)
Densité 8,7 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 58′ 45″ nord, 2° 34′ 26″ est
Altitude Min. 214 m
Max. 658 m
Superficie 20,14 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Causses-Rougiers
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Brasc

Brasc est une commune française, située dans le département de l'Aveyron, en région Occitanie.

Géographie modifier

Localisation et communes limitrophes modifier

La commune de Brasc se trouve au sud du département de l'Aveyron, en limite du Tarn, dans la petite région agricole des Monts de Lacaune[1].

Elle se situe à 58 km par la route[Note 1] de Rodez[2], préfecture du département, à 66 km de Millau[3], sous-préfecture, et à 65 km de La Cavalerie[4], bureau centralisateur du canton de Causses-Rougiers dont dépend la commune depuis 2015. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Réquista[I 1].

Les communes les plus proches sont[5] : Coupiac (2,8 km), Brousse-le-Château (4,7 km), Fraissines (Tarn) (5,1 km), Connac (5,2 km), La Bastide-Solages (5,4 km), Martrin (5,7 km), Montclar (6,0 km), Plaisance (6,0 km), Réquista (6,8 km).

Communes limitrophes modifier

Brasc est limitrophe de six autres communes.


Le bourg de Brasc est situé, en distance orthodromique, 25 kilomètres à l'ouest de Saint-Affrique.

Géologie et relief modifier

Dans le parc naturel régional des Grands Causses, la commune de Brasc s'étend sur 20,14 km2.

L'altitude minimale, 214 mètres, se trouve localisée à l'extrême sud-ouest, là où le Tarn quitte la commune et sert de limite entre celles de Fraissines et de La Bastide-Solages. L'altitude maximale avec 658 mètres se situe à l'est, près des lieux-dits la Molière, les Rosiers et la Vergnière[7].

Hydrographie modifier

 
Réseaux hydrographique et routier de Brasc.

La commune est drainée par le Tarn, le ravin de la Mole, le ruisseau de Bertèt et par divers petits cours d'eau[8].

Le territoire communal est bordé au nord et à l'ouest par le Tarn, en quatre tronçons disjoints séparés par trois portions du territoire communal de Réquista situées en rive gauche du Tarn.

Le Tarn, d'une longueur totale de 380,2 km, prend sa source dans la commune de Pont de Montvert - Sud Mont Lozère (48) et se jette dans la Garonne à Saint-Nicolas-de-la-Grave (82), après avoir arrosé 99 communes[9].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 066 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de La Bastide-Solages à 5 km à vol d'oiseau[12], est de 13,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 950,8 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Espaces protégés modifier

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[16]. Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional des Grands Causses, créé en 1995 et d'une superficie de 327 937 ha. Ce territoire rural habité, reconnu au niveau national pour sa forte valeur patrimoniale et paysagère, s’organise autour d’un projet concerté de développement durable, fondé sur la protection et la valorisation de son patrimoine[17],[18].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Brasc comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 2],[19], la « Rivière Tarn (partie Aveyron) » (2 381 ha pour 41 communes du département)[20] et la « Vallée du Tarn à Brousse » (1 398 ha pour 6 communes du département)[21], et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[19], la « Vallée du Tarn, amont » (36 322 ha), qui s'étend sur 57 communes dont 31 dans l'Aveyron, 25 dans le Tarn et 1 dans la Lozère[22].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Brasc est une commune rurale[Note 4],[23]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 2],[24]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].

 
Infrastructures et occupation des sols de la commune de Brasc.

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (58,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (44,7 %), forêts (40 %), prairies (11,8 %), terres arables (2,3 %), eaux continentales (0,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,2 %)[25].

Planification modifier

La commune ne disposait pas en 2017 de document d'urbanisme opérationnel et le règlement national d'urbanisme s'appliquait donc pour la délivrance des permis de construire[26].

Hameaux et lieux-dits modifier

Les principaux lieux-dits et hameaux sont la Croux et Saint-Dalmazi (au bord du Tarn) et Aspires, la Capelle et Senils (à l'intérieur de la commune).

Voies de communication et transports modifier

Traversée par la route départementale (RD) 552, la commune est également desservie par les RD 33, 194 et 902.

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Brasc est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques particuliers, les risques radon et minier[27],[28].

Risques naturels modifier

Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité faible[29].

Risques particuliers modifier

La commune est concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[30].

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. La commune de Brasc est classée à risque moyen à élevé[31].

Toponymie modifier

Histoire modifier

La commune est créée en 1845 par démembrement de Coupiac[32].

Politique et administration modifier

Découpage territorial modifier

La commune de Brasc est membre de la communauté de communes du Réquistanais[I 5], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Réquista. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[33].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Millau, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 5]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton des Causses-Rougiers pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 5], et de la troisième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[34].

Élections municipales et communautaires modifier

Élections de 2020 modifier

Le conseil municipal de Brasc, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[35] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[36]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. Sur les treize candidats en lice[37], onze sont élus dès le premier tour, le , correspondant à la totalité des sièges à pourvoir, avec un taux de participation de 48,05 %[38]. Jean-Charles Alibert, maire sortant, est réélu pour un nouveau mandat le [39].

Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[40]. Un siège est attribué à la commune au sein de la communauté de communes du Réquistanais[41].

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 2001 mars 2014 André Barthes   Retraité
avril 2014
(réélu en mai 2020)
En cours Jean-Charles Alibert[42],[43] SE Ingénieur ou cadre technique d'entreprise

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1846. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[45].

En 2021, la commune comptait 175 habitants[Note 5], en augmentation de 9,38 % par rapport à 2015 (Aveyron : +0,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886
1 1881 2051 1681 0641 0539991 0321 056928
1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936
898919863850820740651667636
1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006
565474428309271244190174197
2008 2013 2018 2021 - - - - -
203164170175-----
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[46].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Revenus modifier

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 77 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 165 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 15 160 [I 6] (20 640  dans le département[I 7]).

Emploi modifier

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 8] 4,5 % 7 % 5,2 %
Département[I 9] 5,4 % 7,1 % 7,1 %
France entière[I 10] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 96 personnes, parmi lesquelles on compte 64,6 % d'actifs (59,4 % ayant un emploi et 5,2 % de chômeurs) et 35,4 % d'inactifs[Note 7],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 1],[I 11]. Elle compte 48 emplois en 2018, contre 57 en 2013 et 66 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 57, soit un indicateur de concentration d'emploi de 84,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 41,6 %[I 12].

Sur ces 57 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 39 travaillent dans la commune, soit 68 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 43,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 29,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 26,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].

Activités hors agriculture modifier

13 établissements[Note 8] sont implantés à Brasc au [I 15]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 46,2 % du nombre total d'établissements de la commune (6 sur les 13 entreprises implantées à Brasc), contre 27,5 % au niveau départemental[I 16].

Agriculture modifier

La commune est dans les Monts de Lacaune, une petite région agricole occupant le sud du département de l'Aveyron[47]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 9] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 2].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 32 23 22 17
SAU[Note 10] (ha) 989 1 142 1 098 1 322

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 32 lors du recensement agricole de 1988[Note 11] à 23 en 2000 puis à 22 en 2010[49] et enfin à 17 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 47 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[50],[Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 989 ha en 1988 à 1 322 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 31 à 78 ha[49].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
Copie de la statue-menhir de la Borie des Paulets.

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

  • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel, Sent-Sarnin : Balaguièr, Brasc, Combret, Copiac, La Bastida-Solatges, La Sèrra, La Val-Ròca-Cesièira, Martrinh, Montclar, Montfranc, Plasença, Postòmis, Sant-Jòri / Christian-Pierre Bedel et les habitants del canton de Sent-Sarnin, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 232 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-10-6, ISSN 1151-8375, BNF 35529736)

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  9. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  10. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  11. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[48].
  • Cartes
  1. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  2. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. « Métadonnées de la commune de Brasc » (consulté le ).
  2. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  5. a b et c « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Brasc » (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Brasc » (consulté le ).
  7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans l'Aveyron » (consulté le ).
  8. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Brasc » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aveyron » (consulté le ).
  10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  12. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Brasc » (consulté le ).
  13. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  14. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Brasc » (consulté le ).
  16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aveyron » (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. « Petites régions agricoles (PRA) par commune », sur geo.data.gouv.fr (consulté le ).
  2. « Distance entre "Brasc" et "Rodez" », sur fr.distance.to (consulté le ).
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  5. « Communes les plus proches de Brasc », sur villorama.com (consulté le ).
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « 658 » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2019)..
  8. « Fiche communale de Brasc », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  9. Sandre, « le Tarn »
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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