Bourbriac
Bourbriac | |||||
![]() Centre bourg de Bourbriac. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Bretagne | ||||
Département | Côtes-d'Armor | ||||
Arrondissement | Guingamp | ||||
Canton | Callac | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Guingamp-Paimpol Armor-Argoat Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Guy Cadoret 2014-2020 |
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Code postal | 22390 | ||||
Code commune | 22013 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Briacin, Briacine | ||||
Population municipale |
2 335 hab. (2016 ![]() |
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Densité | 32 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 28′ 26″ nord, 3° 11′ 14″ ouest | ||||
Altitude | 200 m Min. 111 m Max. 308 m |
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Superficie | 71,86 km2 | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Côtes-d'Armor Géolocalisation sur la carte : Côtes-d'Armor Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France | |||||
Liens | |||||
Site web | Site de la commune de Bourbriac | ||||
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Bourbriac [buʁbʁijak] est une commune, bureau centralisateur de canton du département des Côtes-d'Armor, dans la région Bretagne, en France.
GéographieModifier
SituationModifier
Bourbriac se situe dans le Trégor à 10 km au sud de Guingamp, en pays d'Argoat.
Communes limitrophesModifier
Gurunhuel | Coadout, Moustéru |
Saint-Adrien, Tour de Koat-Liou |
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Pont-Melvez | N | |||
O Bourbriac E | ||||
S | ||||
Maël-Pestivien | Kerien, Magoar |
Plésidy |
HéraldiqueModifier
Blasonnement :
D'argent à deux haches d'armes adossées de gueules.
Commentaires : Ce blason ("d'argent à deux haches d'armes de gueules adossées en pal") n'est pas à proprement parler celui de Bourbriac. C'est celui des Le Voyer, famille issue des plus anciens Seigneurs de Mini-Briac.
Ces armes représentaient en 1885 le canton de Bourbriac dans la salle du Conseil Général[1].
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ClimatModifier
Mois | Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sept. | Oct. | Nov. | Déc. | Année |
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Températures maximales moyennes (°C) | 7,9 | 8,5 | 13 | 14,8 | 16,5 | 22,4 | 22,5 | 24,8 | 21 | 21 | 21 | 21 | 17,9 |
Températures minimales moyennes (°C) | 2,6 | 2,6 | 5,3 | 5,9 | 8,3 | 12,5 | 13,6 | 15 | 11,1 | 7,5 | 7,2 | 4,2 | 8 |
Températures moyennes (°C) | 5,3 | 5,5 | 9,2 | 10,3 | 12,4 | 17,4 | 18,1 | 19,9 | 16 | 10,7 | 10 | 6,8 | 11,8 |
Ensoleillement (h) | 104 | 95 | 164 | 209 | 170 | 199 | 189 | 230 | 209 | 96 | 86 | 76 | 1827 |
Moyennes mensuelles de précipitations (mm) | 77,4 | 46,2 | 27,8 | 11,6 | 60,6 | 16 | 37 | 12,8 | 35,2 | 90,2 | 129 | 70,6 | 614,4 |
Source : Climatologie mensuelle à Saint-Brieuc[2]. |
ToponymieModifier
Attestée sous la forme Parrochia de Burgobriaci en 1371[3].
HistoireModifier
Étymologie et originesModifier
Bourbriac vient du breton bourc'h (bourg) et de saint Briac[4], moine venu d’Irlande (de la province d’Ultonie ou Ulster). Il est tout aussi possible que ce toponyme en "ac" est une origine galloromaine.
Le roi Deroch aurait accordé à Briac de construire un monastère près de son château (Coz-Castel). Briac quitte ensuite son monastère pour vivre dans un ermitage (Pénity-Briac). Parti à Rome, il revient mourir dans son monastère le .
Bourbriac est une ancienne paroisse (zone forestière défrichée tardivement) qui est, semble-t-il, un démembrement de la paroisse de l'Armorique primitive de Plésidy, et englobait jadis, outre le territoire actuel de Bourbriac, ceux de Coadout, Saint-Adrien, Gurunhuel et Pont-Melvez.
PréhistoireModifier
La présence humaine sur le territoire de la commune est attestée dès le Néolithique comme en témoignent la présence de plusieurs mégalithes signalés au XIXe siècle et désormais détruits (dolmens de Kervoaic et de Guerzanguérit) ou toujours visibles (dolmen de Kerivole, Menhir de Creac'h-an-Archant, Tumulus de Tanouédou)[5]. Par ailleurs un trésor datant de l'Âge du Bronze fut découvert en août 1932 par un cultivateur au village de Kerivoa. Le trésor était constitué de plusieurs objets en or : trois lunules, un collier à palettes brisé et des fragments d'un diadème. Il se trouve aujourd'hui en vitrine au musée d'Archéologie nationale.
Moyen-ÂgeModifier
Peuplée dès l'antiquité,bourbriac (Minihibriac) semble avoir pour origine un monastère celtique élevé par le moine irlandais Briac au VIe siècle. Constitué en paroisse ce minihy est, du milieu du XIIe siècle à la fin du XIIIe siècle, une possession de l’abbaye de Saint-Melaine de Rennes. Le “ voyer de Minibriac ” (vicarius puis vigerius) est mentionné dès 1205 dans le Cartulaire de Quimperlé. La châtellenie, puis seigneurie de Minibriac apparaît dès 1284. Elle est jusqu’à la fin de l’Ancien Régime, une annexe de la châtellenie de Guingamp. Minihybriac (1158), puis Minibriac (1185) est le nom d’une église qui est qualifiée paroisse dès 1330. Dès 1371 (procès de canonisation de Saint-Yves), on trouve indifféremment Burgobriaci ou Bourchbriac (en 1427). Bourbriac avait comme trèves : Saint-Adrien, Plésidy, Coadout et Magoar.
Par lettres du , le duc Jean V donne à Charles de Rohan, seigneur de Guéméné, la seigneurie de Minibriac, confisquée par la maison de Penthièvre. Le , Louis de Rohan, fils de Charles vend à Pierre de Bretagne, seigneur de Guingamp, les seigneuries de Minibriac et Plésidy (Mor., Pr. 11, 1041 et 1364).
Époque moderneModifier
À l'époque de Louis XIV, cinq convenants (Le Coskaer, Penquellen, Kéranrué, Kauffrédou et Saint-Houarneau), d'une dizaine d'ha chacun, habités par plusieurs familles élargies formant de véritables clans, vivant à l'étroit sur quelques parcelles, sont redevables envers l'abbaye Sainte-Croix de Guingamp d'une rente de dix sols, payable tous les sept ans, d'une ou deux poules, de la dîme, du droit de guet et de quelques jours de corvée[6].
310 tombes étaient entassées dans l'église de Bourbriac en 1684, ce qui posait des problèmes sanitaires[7].
Révolution françaiseModifier
Début 1794, la rumeur annonce que Bourbriac sera détruit par le feu du ciel, à moins que des processions nocturnes n'obtiennent la grâce de Dieu ; organisées dans tous les environs, et jusqu'à Callac, elles réunissent parfois 700 à 800 personnes, nu-pieds ou même à genoux. Les autorités procèdent à de nombreuses arrestations, suivie de libérations[8].
Les Chouans font de nombreuses incursions et pillages au bourg de Bourbriac : le 11 mars 1796, le 10 décembre 1799 et le 9 février 1800.
Le XIXe siècleModifier
En avril 1851, un loup enragé blessa des vaches, des chevaux et 63 personnes entre Kerpert et Bourbriac, tuant 2 enfants ; 13 autres personnes moururent de la rage entre mai et juillet, contaminées par les morsures[9].
Le XXe siècleModifier
La Première Guerre mondialeModifier
Le monument aux morts de Bourbriac porte les noms de 247 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale : seize d'entre eux au moins sont morts sur le front belge, six dans les Balkans (dont quatre (Joseph Budet, Yves Hamon, Yves Le Couster, Joseph Touboulic) en Serbie, Joseph Connan en Macédoine, Joseph Deschamps en Turquie lors de la bataille de Sedd-Ul-Bahr dans le cadre de l'expédition des Dardanelles ; un (François Le Bescond) est décédé en Lituanie et un à Vicence en Italie ; un marin (Jean Chermat) est disparu en mer ; trois (Julien Guillou, François Le Gall, René Le Moal) sont décédés alors qu'ils étaient prisonniers en Allemagne ; la plupart des autres sont morts sur le sol français : parmi eux Théophile Le Cozler, Jean Le Mogne et Arthur Rannou ont été décorés de la Croix de guerre avec étoile de bronze et Théophile Steunou de la Médaille militaire et de la Croix de guerre avec palme[10].
La Seconde Guerre mondialeModifier
Briac Blanchard, cordonnier né le à Bourbriac, intégra en mai 1944 un groupe de résistants qui s'était formé dans la commune de Senven-Léhart et installé dans le château de Goas-Hamon[11] où ils furent attaqués par les Allemands le : sept résistants furent tués sur place, douze furent arrêtés dont Briac Blanchard ; ils furent condamnés à mort le par un tribunal militaire allemand et exécutés le même jour au camp d'aviation de Servel près de Lannion[12].
Le , 300 soldats allemands investissent Bourbriac sous la direction de la Gestapo assistée des miliciens de la Selbstschutzpolizei (une police auxiliaire allemande composée de Français) et de miliciens membres du Bezen Perrot ; les personnes arrêtées lors de la rafle de Saint-Nicolas-du-Pélem, qui visait notamment les résistants du maquis Tito, regroupées dans un premier temps dans l'église du Sacré-Cœur à Saint-Nicolas-du-Pélem, sont réparties en deux convois, l'un formé de six résistants part en direction d'Uzel où ils furent torturés, puis tués, l'autre vers Bourbriac où une douzaine de résistants environ (leur nombre exact n'est pas connu avec certitude) sont torturés par les S.S. et les miliciens membres du Bezen Perrot, à moins qu'il ne s'agisse de soldats de la Selbstschutzpolizei (une police auxiliaire allemande composée de Français d'origine alsacienne, une controverse existe à ce sujet entre les historiens[13]) dans la cave de la maison du notaire, Sourimant, qui avait été réquisitionnée ; puis sept des prisonniers (Jean-Louis Corbel, 20 ans, dit "Coco", de Locarn ; François Louis Le Berre, 25 ans, de Plougrescant ; François Marie Le Berre, 33 ans, de Plouguernével ; Pierre Maillard, 24 ans, de Plounévez-Quintin ; Marcel Sanguy, 35 ans, de Rostrenen ; Pierre Secardin, 27 ans, de Callac ; Albert Torqueau, 24 ans, un instituteur de Rostrenen)[14], atrocement torturés, furent exécutés d'un coup de revolver dans la nuque à Garzonval en Plougonver le [15].
Le général Éon[16], son adjoint le colonel Passy et une trentaine d'officiers français, anglais et américains furent parachutés à Kerien (entre Bourbriac et Saint-Nicolas-du-Pélem) dans la nuit du 4 au dans le cadre de la "mission Aloès"[17] pour fédérer les actions des mouvements de résistance de Bretagne intérieure. Le lendemain soir, un combat très dur se déroula à Kérien entre les FTP chargés de la protection de la mission et une colonne de parachutistes allemands qui tente une ultime percée vers l’ouest[18].
L'après Seconde Guerre mondialeModifier
Marcel Bonbony est mort pour la France le lors de la guerre d'Algérie[19].
Personnalités liées à la communeModifier
- Joseph Laurent Hillion (1821-1891), député des Côtes-d'Armor et arrière-grand-père de l'écrivain Roger Nimier (1925-1962), y est né. Il en est le maire de 1852 à 1859.
- Yves Guillou (1880-1963), homme politique français, y est né. Il devient notamment maire de Caen le 18 mai 1945, dont il sera un des maîtres d'œuvre de la reconstruction.
- Michel Le Guern, éminent linguiste et philosophe français, y est né en 1937.
- Noël Le Graët, dirigeant sportif français, Président de la FFF depuis 2011, y est né.
- Claude Le Roy, dirigeant sportif français, ancien joueur de football et sélectionneur de plusieurs nations (il a remporté la CAN 88 avec le Cameroun), y a grandi.
Politique et administrationModifier
DémographieModifier
Pyramide des âgesModifier
Évolution DémographiqueModifier
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].
En 2016, la commune comptait 2 335 habitants[Note 1], en diminution de 1,48 % par rapport à 2011 (Côtes-d'Armor : +0,77 %, France hors Mayotte : +2,44 %).
Langue bretonneModifier
Création d'une filière bilingue à l'école Saint-Briac en 2005. Elle sera fermée en 2018
Création d'une école Diwan en 2013. A la rentrée 2019, 50 élèves y sont inscrits, soit 21,1 % des enfants scolarisés dans la commune[28].
En ce qui concerne la culture bretonne, il est à signaler qu'un bagad ainsi qu'un cercle celtique existent dans la commune.
Lieux et monumentsModifier
- L'église Saint-Briac, Classé MH (1907).
- La chapelle Notre-Dame de Darnouët (XIVe-XVIe siècle). L’arcade de la chapelle nord et le fenestrage du chevet datent du XIVe siècle. Le clocheton à trois chambres date des années 1920 Inscrit MH (1964).
- La chapelle de Saint-Houarneau ou Saint-Hervé (XVe-XVIe siècle). Elle semble datée de 1520. Elle est reconstruite en 1828. Le clocher mur a une chambre. Inscrit MH (1964).
- La chapelle de Pénity de Saint-Briac (XIVe-XVe siècle), restaurée en 1828. La fenêtre est et la porte ouest datent du XVe siècle. Le clocher mur a une chambre de cloche.
- La chapelle Notre-Dame de la Mercy de Penpinot (XVe-XVIIe siècle). Le clocher mur a une chambre de cloche.
- La chapelle Saint-Briac de Bodfo (1948), édifiée en souvenir de la fin de la Seconde Guerre mondiale.
- La Croix de calvaire de Saint-Houarneau Inscrit MH (1964)[29].
- La fontaine de Penpinot.
- La fontaine Saint-Briac (XVIIe-XVIIIe siècle).
- L’ancien presbytère (XVIIIe siècle).
- Le Manoir du Lézard (XVIe-XVIIe siècle), propriété de la famille Bizien de Lézard dont une autre branche possédait le manoir du Helloc, aussi en Bourbriac. À noter que la chapelle privée du Lézard se trouve à Saint-Adrien (ancienne trève de Bourbriac) Inscrit MH (1926).
- Le Manoir et la chapelle du Helloch (XVIe-XVIIe siècle). La tour date du XVIe siècle et le logis central date de 1625.
- Les Manoirs du Disquay et de Kerias (XVIe-XVIIe siècle), de Langoat (XVIIe siècle), du Lojou (XVIIe-XVIIIe siècle).
- Patrimoine mégalithique :
- La Tour de Koat-Liou.
Équipements et servicesModifier
Établissements scolairesModifier
Bourbriac est située dans l'académie de Rennes.
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SportsModifier
Équipements sportifsModifier
- La salle omnisports.
- La salle de tennis.
- Le plateau : piste cimentée avec au centre un terrain en ciment comprenant 2 buts de handball et 4 paniers de basket-ball.
- Le stade Bernard-Le-Quellenec.
- Le boulodrome.
- La salle de judo.
Les clubsModifier
- Union Sportive Briacine Football
- Union Sportive Bourbriac Handball
- Union Bouliste Briacine
- Judo club briacin
- Tennis club briacin
- Gymnastique féminine briacine
SantéModifier
On retrouve un certain nombre de spécialistes sur la commune ainsi qu'un médecin généraliste indépendant et un cabinet médical.
PhotosModifier
Notes et référencesModifier
NotesModifier
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.
RéférencesModifier
- Revue de l'Association d'Histoire et d'Archéologie de la région de Bourbriac - n°1 (1er semestre 1984). Elles représentaient notamment la victoire de guerre face à l'ennemi communal Guingamp. On surnomme aussi ce blason comme le Californien indomptable.
- Données climatologiques de 2003 à Saint-Brieuc Consulté le 15 mai 2009.
- Société d'émulation des Côtes-du-Nord, « -Mémoires - Volumes 109 à 112, page 22 » (consulté le 24 juin 2015)
- « Bourbriac », Geobreizh (consulté le 24 juin 2015)
- Loïc Langouët, Les mégalithes de l'arrondissement de Guingamp, Institut Culturel de Bretagne, , 92 p. (ISBN 9782868221018), p. 15
- Jean-Yves Barzic, "L'Hermine et le Soleil. Les Bretons au temps de Louis XIV", Coop Breizh, Spézet, 1995, [ (ISBN 2-909924-44-0)]
- Jean Rohou, Fils de ploucs, tome 1, 2005, éditions Ouest-France, (ISBN 2-7373-3452-7)
- Jean Rohou, "Catholiques et Bretons toujours ? (essai sur l'histoire du christianisme en Bretagne)", éditions Dialogues, Brest, 2012, (ISBN 978-2-918135-37-1)
- François de Beaulieu, "Quand on parle du loup en Bretagne", éditions Le Télégramme, 2004, (ISBN 2-84833-096-1)
- http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?insee=22013&dpt=22&idsource=25638&table=bp04
- http://cerp22.free.fr/Lieuxdememoire22/Bourbriac/Senven-Lehart%20Goas-Hamon/Senven-Lehart%20Goas-Hamon.htm
- http://www.memoresist.org/resistant/blanchard-briac-augustin-marie-2/
- Françoise Morvan dans son livre "Miliciens contre maquisards", éditions Ouest-France, 2010, [ (ISBN 978-2-7373-5063-4)] affirme qu'il s'agissait de miliciens du Bezen Perrot (voir aussi http://francoisemorvan.com/histoire/miliciens-contre-maquisards-ou-la-resistance-trahie/) , Kristian Hamon pense dans son livre "Agents du Reich en Bretagne" qu'il s'agissait de membres du Kommando de Landerneau, voir http://francoisemorvan.com/wp-content/uploads/2015/04/Hamon-Bourbriac.pdf
- Memorialgenweb.org - Plougonver : stèle commémorative de Garzonval et http://cerp22.free.fr/Lieuxdememoire22/Belle-Isle-en-Terre/Plougonver%20Garzonval/1.html
- « La stèle de Garzonval, Plougonver »
- http://www.francaislibres.net/liste/fiche.php?index=67421
- https://rha.revues.org/339
- http://www.almrd22.fr/IMG/pdf/i20_Une_liberation_rapide_et_installation_des_nouvelles_autorites.pdf
- http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?insee=22013&dpt=22&idsource=77411&table=bp09
- « Les maires élu du 1er tour », Dimanche Ouest-France, no 534, , p. 10-12 (ISSN 1285-7688)
- « Sans surprise, Guy Cadoret élu maire », Ouest-France, 1er avril 2014.
- INSEE : POP1 - Population totale par sexe et âge à Bourbriac (1999)
- INSEE : POP1 - Population totale par sexe et âge en Côtes-d'Armor (1999)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.
- http://www.opab-oplb.org/98-kelenn.htm
- Notice no PA00089031, base Mérimée, ministère français de la Culture
Voir aussiModifier
BibliographieModifier
- Jacques Briard et Pierre-Roland Giot, Fouille d'un tumulus de l'âge du bronze à Saint-Jude en Bourbriac, in Annales de Bretagne, no 70, 1, 1963, p. 5-24