Boisbreteau

commune française du département de la Charente

Boisbreteau
Boisbreteau
Mairie de Boisbreteau.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté de communes des 4B Sud-Charente
Maire
Mandat
Gaël Tetoin
2020-2026
Code postal 16480
Code commune 16048
Démographie
Gentilé Boisbreteausiens
Population
municipale
127 hab. (2021 en diminution de 6,62 % par rapport à 2015)
Densité 8,4 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 19′ 27″ nord, 0° 09′ 03″ ouest
Altitude Min. 79 m
Max. 157 m
Superficie 15,16 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Charente-Sud
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Boisbreteau
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Boisbreteau
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Boisbreteau

Boisbreteau (prononcer [bwɑbʀəto]) est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Boisbreteausiens et les Boisbreteausiennes[1].

Géographie modifier

Localisation et accès modifier

Boisbreteau est une commune du Sud Charente, limitrophe avec la Charente-Maritime.

Elle est située dans la forêt de la Double saintongeaise, à 8 km à l'ouest de Brossac, chef-lieu de son canton, 7 km au nord-est de Chevanceaux et à 43 km au sud-ouest d'Angoulême.

Boisbreteau est aussi à 9 km de Baignes, 16 km de Barbezieux, 43 km de Cognac et 63 km de Bordeaux[2].

La N 10 entre Angoulême et Bordeaux passe à 5 km à l'ouest du bourg, et la D 731 entre Barbezieux et Brossac, route de Cognac à Chalais, passe à 7 km au nord-est. La commune est desservie par de petites routes départementales. La D 100 et la D 133 se croisent au bourg ; la D 2, de Baignes à Brossac, traverse le Nord de la commune d'est en ouest[3].

La gare la plus proche est celle de Chalais, à 16 km, desservie par des TER Nouvelle-Aquitaine à destination d'Angoulême et de Bordeaux.

Hameaux et lieux-dits modifier

La commune comporte de nombreux petits hameaux et fermes. On peut citer Rossignoux au nord-est du bourg, chez Rabouin et le Pinier à l'ouest, chez Pallard et chez Robert au nord, etc[3].

Communes limitrophes modifier

Communes limitrophes de Boisbreteau
Touvérac Oriolles
Bors   Guizengeard
Chevanceaux
(Charente-Maritime)

Géologie et relief modifier

La totalité de la commune est occupée par un terrain composé de sable kaolinique, d'argiles et de galets, dépôt datant du Tertiaire[4],[5],[6].

Le terrain communal est assez vallonné. Le point culminant est à une altitude de 157 m, situé sur la limite orientale de la commune aux Moulins (borne IGN). Le point le plus bas est à 79 m, situé sur la limite sud-ouest en bas de l'étang du Pas du Jonc. Le bourg, construit sur le flanc d'une tête de vallée, est à 120 m d'altitude[3].

Hydrographie modifier

Réseau hydrographique modifier

 
Réseaux hydrographique et routier de Boisbreteau.

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le Lary, le ruisseau de Révallée, le Petit Lary, le ruisseau des Etangs de Chaux et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 15 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Le Lary limite la commune au nord-ouest. D'une longueur totale de 53,7 km, il prend sa source dans la commune de Condéon et se jette dans l'Isle en Gironde à Sablons, après avoir traversé 19 communes[9]. Il reçoit sur sa rive gauche le Petit Lary qui limite la commune au nord.

Le Revallée, ruisseau à sec en été, prend sa source près du bourg et traverse la commune vers l'ouest. C'est aussi un affluent du Lary, en Charente-Maritime.

De nombreux petits étangs occupent aussi la surface communale, comme l'étang du Pas du Jonc, l'étang Fourchu et l'étang de Sainte-Germaine au sud, et d'autres au nord. Il y a aussi quelques sources et fontaines, comme la Font du Sable au nord, la Font de Guichet à l'est, la Fontaine de la Rondelle et la Font de l'Amour au sud[3].

Gestion des cours d'eau modifier

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[10]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne[7] qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].

Climat modifier

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Végétation modifier

Ces sols peu fertiles ou landes sont souvent boisés en pins maritimes, châtaigniers, chênes (rouvres, pédonculés, tauzins), et bruyère et constituent la Double saintongeaise, appelée forêt de Chaux ou Petit Angoumois dans la partie charentaise, qui couvre une grande partie des cantons de Brossac et Baignes.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Boisbreteau est une commune rurale[Note 1],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14]. La commune est en outre hors attraction des villes[15],[16].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (51,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,8 %), zones agricoles hétérogènes (30,7 %), prairies (13,3 %), cultures permanentes (2,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,4 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Boisbreteau est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible)[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Boisbreteau est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été élaboré pour la période 2017-2026, faisant suite à un plan 2007-2016[20]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du règlemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 2],[20],[21],[22].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Boisbreteau.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 92,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 86 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 73 sont en aléa moyen ou fort, soit 85 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[18].

Toponymie modifier

Les formes anciennes sont nemus Bertaldi en 1075, Bosco Bertaut en 1213[25].

L'origine du nom de Boisbreteau remonterait au bas latin boscus signifiant bois, et à un nom de propriétaire franc Bertald, ce qui correspondrait au « bois de Bertaud »[26],[27]

Histoire modifier

La première église de Boisbreteau fut bâtie antérieurement au IXe siècle, détruite au XIVe siècle, réparée au XVe siècle et interdite en 1784 à la veille de la Révolution.

Un prieuré aurait été construit au XIIIe siècle. La fondation du prieuré de clunisiens Notre-Dame à Boisbreteau est de date inconnue mais un titulaire Wilelmus est mentionné en 1270[28].

Alors que la guerre de Cent Ans ravage le royaume de France depuis 1337 et particulièrement depuis la victoire navale des Anglais à l'Écluse en 1340 ; dès la fin du XIVe siècle, le prieuré de clunisiens se retrouve ruiné par les Anglais et fut purement et simplement supprimé. C'est en effet à cette époque que la paroisse de Boisbreteau fut rattachée au prieuré Saint-Vivien de Saintes.

Les recherches ont permis de supposer que le prieuré se trouvait probablement à l'emplacement de l'actuelle église Sainte-Macrine.

Au XVe siècle la terre de Boisbreteau appartenait à la famille Frondebœuf, jusqu'au mariage d'Isabeau de Frondebœuf avec Jean de Curzay, seigneur de Parsay, le 18 juillet 1491 et c'est encore par mariage qu'elle passe en 1609 à la famille de La Porte aux Loup, puis aux Rocquart, puis aux Saulnier de la Pierre-Levée, seigneurs de Rouillac, Gondeville, Sonneville, Boisbreteau et autres lieux[29].

Sous l'Ancien Régime, la paroisse de Boisbreteau dépendait, avec une partie de celle d'Oriolles, de la seigneurie puis marquisat de Touvérac, terre elle-même dépendant de la baronnie puis duché de Montausier à partir de la fin du XVIIe siècle[30]. Ce dernier faisait partie du Petit Angoumois, enclave de l'Angoumois en Saintonge dont Baignes était le centre.

Outre la paroisse de Notre-Dame de Boisbreteau, la commune comprenait aussi deux autres paroisses : Saint-Pierre ou Saint-Nicolas de Perfons (qu'on nommait aussi Perfontes, ou Peirafont, la fontaine de la pierre), et Saint-Martin de Venet. L'église de Venet a totalement disparu, peut-être depuis les guerres de religion. Celle de Pérefons, attachée à l'Hostellerie de l'abbaye de Baignes, a été restaurée en 1700 par son curé, Jean de Rabaine, seigneur de Tanzac et de Pérefons, prêtre après le décès de sa femme[31].

Administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1978 ? Robert Frappier DVG Viticulteur exploitant
1991 2014 Pierre Tessonneau DVD Retraité travaux publics
2014 2020 Jean-Claude Tessonneau[32]
(frère du précédent)
  Retraité (conducteur d'engins)
2020 En cours Gaël Tétoin   Notaire
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

En 2021, la commune comptait 127 habitants[Note 3], en diminution de 6,62 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
238267239311322313375333337
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
323340323319348307307309298
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
294292248266268265236217201
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
182174153148122120123124135
2019 2021 - - - - - - -
129127-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 21,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 41,8 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 65 hommes pour 68 femmes, soit un taux de 51,13 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
4,5 
14,3 
75-89 ans
16,7 
22,2 
60-74 ans
25,8 
28,6 
45-59 ans
15,2 
14,3 
30-44 ans
15,2 
11,1 
15-29 ans
9,1 
9,5 
0-14 ans
13,6 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie modifier

Agriculture modifier

La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[39].

Équipements, services et vie locale modifier

Lieux et monuments modifier

Église Sainte-Macrine modifier

 
L'église Sainte-Macrine.

L'église paroissiale Sainte-Macrine était à l'origine au XIe siècle un prieuré-cure d'Augustins dépendant du prieuré Saint-Vivien de Saintes, et dédié à Notre-Dame. Elle fut détruite pendant la guerre de Cent Ans. Plusieurs fois ruinée, elle fut reconstruite en 1786 et dédiée à sainte Macrine. Seul le rez-de-chaussée de sa façade est d'origine romane. Son clocher a été réparé en 1894, sous la conduite de l’architecte Pierre Texier. Construite en pierre de taille calcaire, l’église Sainte-Macrine telle que nous la connaissons aujourd’hui est couverte de tuiles creuses typiques à notre région et d’ardoises sur son clocher. Possédant un vitrail, son toit est à longs pans, les pignons sont tantôt couverts tantôt découverts et sa flèche qui surmonte le clocher est polygonale. Elle est aujourd’hui, et depuis la loi de 1905, la propriété de la commune[40],[41].

La cloche faite d’acier et de fonte fondue vers 1872 a été réalisée par Jacob Hoetzer, fondeur de cloche à Firminy près de Saint-Étienne[42].

Château de Boisbreteau modifier

Le château de Boisbreteau est constitué d'une habitation rectangulaire du XVIe siècle remaniée au XVIIIe siècle flanquée d'une tour carrée arasée et couronnée de créneaux modernes et de l'autre côté d'un pavillon à toit à brisis, couvert de tuiles comme l'habitation principale[43].

Personnalités liées à la commune modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 7 mètres minimum de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Boisbreteau » sur Géoportail (consulté le 20 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Montguyon », sur Infoterre, (consulté le ).
  7. a et b « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Boisbreteau », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  9. Sandre, « le Lary »
  10. « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  11. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Boisbreteau », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. a et b « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie 2017 – 2026 », sur draaf.nouvelle-aquitaine.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Arrêté portant classement de massifs forestiers et obligation de débroussaillement. », sur charente.gouv.fr, (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Boisbreteau », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  25. Paul-François-Étienne Cholet (préf. L.Clouzot), Cartulaire de l'abbaye de Saint-Étienne de Baigne, Niort, L.Clouzot, , 382 p. (lire en ligne), p. 196, 533
  26. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  27. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 91.
  28. « Prieuré de Clunisiens », notice no IA00041921, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  29. Association Promotion Patrimoine, Philippe Floris (dir.) et Pascal Talon (dir.), Châteaux, manoirs et logis : La Charente, Éditions Patrimoines & Médias, , 499 p. (ISBN 978-2-910137-05-2 et 2-910137-05-8, présentation en ligne), p. 427
  30. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 388
  31. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 84-85
  32. « Charente Libre : l'actualité de la Charente en direct », sur CharenteLibre.fr (consulté le ).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Boisbreteau (16048) », (consulté le ).
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  39. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
  40. « Prieuré d'Augustins, cure », notice no IA00041104, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  41. Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 77
  42. « Cloche de l'église », notice no IM16000274, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  43. Association Promotion Patrimoine, Philippe Floris (dir.) et Pascal Talon (dir.), Châteaux, manoirs et logis : La Charente, Éditions Patrimoines & Médias, , 499 p. (ISBN 978-2-910137-05-2 et 2-910137-05-8, présentation en ligne), p. 126

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier