Adelans-et-le-Val-de-Bithaine

commune française du département de la Haute-Saône
(Redirigé depuis Bithaine-et-le-Val)

Adelans-et-le-Val-de-Bithaine
Adelans-et-le-Val-de-Bithaine
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Haute-Saône
Arrondissement Lure
Intercommunalité Communauté de communes du Triangle Vert
Maire
Mandat
Jean-Marie Bringout
2020-2026
Code postal 70200
Code commune 70004
Démographie
Gentilé Adelanais, Adelanaises
Population
municipale
310 hab. (2021 en augmentation de 4,03 % par rapport à 2015)
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 42′ 36″ nord, 6° 23′ 55″ est
Altitude Min. 292 m
Max. 445 m
Superficie 17,3 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lure
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lure-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Adelans-et-le-Val-de-Bithaine
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Adelans-et-le-Val-de-Bithaine

Adelans-et-le-Val-de-Bithaine est une commune française située dans le département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie modifier

Adelans-et-le-Val-de-Bithaine est située à 15 km à l'ouest de Lure, dans un environnement vallonné. La commune est dominée par le mont Jarroz et parcourue par trois cours d'eau : le Bourbier, le Bauvier et la Colombine. Le territoire communal repose sur le bassin houiller stéphanien sous-vosgien[1].

Communes limitrophes modifier

Géologie et relief modifier

Installée dans un environnement vallonné, la commune est dominée par le mont Jarroz et repose sur le bassin houiller stéphanien sous-vosgien[1].

Hydrographie modifier

Adelans-et-le-Val-de-Bithaine est parcourue par trois cours d'eau : le Bourbier, le Bauvier et la Colombine.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 215 mm, avec 13,8 jours de précipitations en janvier et 10,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saulx-de-Vesoul », sur la commune de Saulx à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 066,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −21 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Adelans-et-le-Val-de-Bithaine est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lure, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (60,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (59,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (56,9 %), prairies (27,5 %), terres arables (8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,5 %), zones urbanisées (3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Adelans serait issu du nom propre d'homme germanique, latinisé sous la forme imparisyllabique Adalo, au génitif Adalonis : forme familière et hypocoristique de l'un des nombreux anthroponymes germaniques (Adalbaldus, Adalbertus, Adalmundus, Adalricus) dont le premier élément est adal signifiant « noble »[15]. Une autre explication, selon Ernest Nègre, est qu'Adelans soit issu du nom de personne germanique Addelo et du suffixe germanique -ingen, romanisé en -ingos[16].

Bithaine est une forme vulgaire du bas latin Bethania[17],[18], désignant une localité située à deux kilomètres de Jérusalem, dont les Évangiles font douze fois mention. Par exemple, c'est à Béthanie que saint Luc place la dernière apparition du Christ à ses apôtres : Eduxit autem eos foras in Bethaniam, et, elevatis manibus suis, benedixit eis ; et factum est, dum benediceret illis, recessit ab eis et ferebatur in caelum (Luc, XXIV, 50-51)[18][réf. obsolète][Quoi ?].

Histoire modifier

Le site de Bithaine était déjà occupé sous l'Antiquité. Des fouilles archéologiques ont en effet mis au jour des vestiges de constructions gallo-romaines. Mais le village doit son origine à la construction de l'abbaye cistercienne fondée en 1133.

L'occupation d'Adelans semble être plus récente, elle est cependant citée en 815 dans le cartulaire de Charlemagne. Et dès le XIIe siècle une maison du Temple est située sur le territoire de la commune. Au Moyen Âge, Adelans devient une ville importante ; ainsi, en 1415 elle fut citée comme l'une des plus riches villes de la seigneurie de Faucogney.

Bithaine a appartenu à la même seigneurie, jusqu'au XIIIe siècle, époque à laquelle les seigneurs donnent leurs droits et leurs terres à l'abbaye de l'ordre de Cîteaux, construite sur la commune. Pendant la première moitié du XIXe siècle une importante filature de coton y a fonctionné, le site ayant été vendu comme bien national à la Révolution française.

Après la découverte du gisement de houille dans le secteur, le territoire communal est intégré en juin 1914 dans la concession de Saint-Germain, d'une superficie de 5 308 ha. Aucun chantier d'exploitation n'a lieu, retardé par les guerres mondiales, les crises du charbon et l'incertitude d'une rentabilité[19].

Les deux communes d'Adelans et de Bithaine-et-le-Val, qui ne comptait plus que 15 habitants en 1990, ont été réunies sous le nom d'Adelans-et-le-Val-de-Bithaine en 1993[20].

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

La commune fait partie de l'arrondissement de Lure du département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. Pour l'élection des députés, elle dépend de la deuxième circonscription de la Haute-Saône.

La commune a été constituée en 1993 par la réunion d'Adelans et de Bithaine-et-le-Val. La première dépendait depuis 1805 du canton de Lure, puis, à la suite de sa division, du canton de Lure-Nord en 1985[21], et la seconde dépendait du canton de Saulx, créé en 1793[20].

Entre la fusion des communes et le redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est restée divisée entre ces deux anciens cantons. Depuis 2015, la commune est rattachée en totalité du canton de Lure-1.

Intercommunalité modifier

La commune était membre de la communauté de communes des Franches-Communes, créée le et qui regroupait 14 communes et environ 4 200 habitants.

Dans le cadre des dispositions de la loi du de réforme des collectivités territoriales[22], qui prévoit toutefois d'achever et de rationaliser le dispositif intercommunal en France, et notamment d'intégrer la quasi-totalité des communes françaises dans des EPCI à fiscalité propre dont la population soit normalement supérieure à 5 000 habitants, le schéma départemental de coopération intercommunale de 2011 a prévu la fusion des communautés de communes :
- du Pays de Saulx,
- des grands bois
- des Franches Communes (sauf Amblans et Genevreuille),
et en y rajoutant la commune isolée de Velorcey, afin de former une nouvelle structure regroupant 42 communes et environ 11 200 habitants[23].

Cette fusion est effective depuis le et a permis la création, à la place des intercommunalités supprimées, de la Communauté de communes du Triangle Vert.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs d'Adelans[26]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1954 1994 Henri Magrey[27] DVD  
Liste des maires successifs de Bithaine-et-le-Val
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
Liste des maires successifs d'Adelans-et-le-Val-de-Bithaine[26]
Période Identité Étiquette Qualité
1994 2001 Michel Monnin    
2001 2008 Eliane Olivier    
2008[28] mai 2020 Paul Martaux SE Retraité Peugeot
mai 2020[29] En cours
(au 29 mai 2020)
Jean-Marie Bringout    

Population et société modifier

Les habitants se nomment les « Adelanais » et les « Adelanaises ».

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

En 2021, la commune comptait 310 habitants[Note 4], en augmentation de 4,03 % par rapport à 2015 (Haute-Saône : −1,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Le maximum de la population a été atteint à Adelans en 1846 avec 528 habitants, tandis que pour Bithaine c'est en 1831 avec 334 habitants.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
350371372423451475527528510
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
418401404417427399386355332
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
316293298261227231217206203
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
197180167197270251305317309
2015 2020 2021 - - - - - -
298310310------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,0 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,8 % la même année, alors qu'il est de 29,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 148 hommes pour 156 femmes, soit un taux de 51,32 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (50,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
0,6 
6,0 
75-89 ans
5,7 
22,5 
60-74 ans
22,0 
21,2 
45-59 ans
20,8 
18,5 
30-44 ans
18,2 
12,6 
15-29 ans
12,6 
18,5 
0-14 ans
20,1 
Pyramide des âges du département de la Haute-Saône en 2020 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
1,8 
7,7 
75-89 ans
10,4 
19,7 
60-74 ans
20,1 
21,5 
45-59 ans
20,9 
17,3 
30-44 ans
16,9 
15,2 
15-29 ans
13,6 
17,8 
0-14 ans
16,3 

Loisirs modifier

  • Sport : Football : AS Adelans-et-le-Val-de-Bithaine – Bouhans (4e Division de District) 2005-2006.

Manifestations culturelles et festivités modifier

Fêtes patronales
  • d'Adelans : le  ;
  • du Val de Bithaine : le .

Économie modifier

Adelans-et-le-Val-de-Bithaine est une commune rurale dont l'économie est essentiellement agricole.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
L'église et le lavoir.
  • L'église néo-gothique d'Adelans : elle a été édifiée au XIXe siècle. Elle abrite une table de communion en fer forgé ainsi que du mobilier et des statues du XVIIIe siècle.
 
L'abbaye de Bithaine.

D'après une légende que la tradition locale a conservée, la fondation de l'abbaye de Bithaine serait l'accomplissement d'un vœu fait par Aymon de Faucogney, seigneur de Faucogney. Parti en croisé il est fait prisonnier par les Sarrasins à Béthanie en Terre Sainte. On l'avertit alors qu'après trois jours de captivité, il sera tué et mangé par ses ennemis. Durant ce laps de temps, le captif invoque alors dévotement la Sainte Vierge et la prie de lui épargner la mort cruelle dont il est menacé ; il lui fait la promesse de faire bâtir, sur ses propres terres, un monastère où l'on célébrera tous les jours une messe en son honneur. Sa prière est exaucée : une nuit, la porte de sa prison s'ouvre et il se retrouve miraculeusement transporté dans sa province natale, au milieu de broussailles du val de Bithaine. C'est de ce miracle que serait née l'abbaye.

L'origine de Bithaine s'inscrit en effet dans la foulée des croisades. Aymon de Faucogney, fait alors, en avril 1133, la donation d'une partie de ses terres aux abbés de l'abbaye de Morimond, quatrième fille de Cîteaux. L'abbé Otton de Freising y envoie Albéric accompagné de quelques moines. C'est ainsi que l'abbaye Notre-Dame de Bethania (Béthanie), aujourd'hui Bithaine a vu le jour. Elle est la huitième fille de Morimond.

Bithaine connaît au cours des siècles d'abord la prospérité puis le déclin.

Dès sa création, le monastère est favorisé et protégé par les seigneurs de Faucogney. Au rythme de nombreuses donations, l'abbaye de Bithaine prospère et voit le nombre de ses moines augmenter suffisamment pour qu'au milieu du XIIe siècle, l'abbaye puisse à son tour essaimer en terre de Lorraine. C'est ainsi que Ferrière, 323e abbaye de la filiation Morimond, voit le jour (Clairelieu constituant le site définitif à quelques kilomètres plus au nord).

Par la suite, la situation financière se détériore progressivement, le rythme des donations fléchit, et le nombre de moines présents sur le site ne cesse de s'amenuiser. La dispersion géographique trop importante des granges sous la responsabilité de Bithaine et les difficultés de gestion qui en découlent contribuent à l'accentuation des problèmes financiers de l'abbaye. Malgré ces épreuves, le domaine survivra.

Trois églises successives, toutes de dimensions modestes, semblent avoir été érigées : une première à la date de la fondation de l'abbaye, une seconde à la fin du XIIIe siècle, et la dernière en 1769 et qui fut démolie durant la Révolution.

La tourmente de 1789 engendre en effet la fin de la vie monastique à Bithaine et le saccage des bâtiments alors à peine restaurés. Déclarées bien national en 1793, les terres de Bithaine sont découpées en lots et vendues. L'abbaye déjà endommagée lors de révoltes est pillée puis partiellement détruite. Après la Révolution, sont construits les bâtiments actuels sur les ruines de l'ancienne abbaye. Ceux-ci passent ensuite entre les mains de plusieurs propriétaires. En 1995, l'abbaye est inscrite sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques[37]. Il ne reste actuellement de l'ancienne abbaye, que le quartier claustral du XVIIIe siècle, l'aile est, le pigeonnier et une fontaine inscrite aux Monuments Historiques.

  • Bois communaux : les 1 000 hectares de bois communaux sont traversés par des chemins de randonnée. Des circuits-découverte vélo-route ont également été mis en place dans toute la communauté de communes.

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b Édouard Thirria, Manuel à l'usage de l'habitant du département de la Haute-Saône, (lire en ligne), p. 184-185.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Adelans-et-le-Val-de-Bithaine et Saulx », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saulx-de-Vesoul », sur la commune de Saulx - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saulx-de-Vesoul », sur la commune de Saulx - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Lure », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Auguste Longnon et Léon Mirot, Noms de lieu de la France, leur origine, leur signification, leurs transformations., Paris, E. Champion, , 832 p., In-8° (lire en ligne) op. cit. p. 218.
  16. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, volume II, 1990
  17. Géraud Lavergne, « Les noms de lieux d'origine ecclésiasticque » (sic), Revue d'histoire de l'Église de France, Tome 15, no 68, 1929, p. 329.
  18. a et b Auguste Longnon et Léon Mirot, Noms de lieu de la France, leur origine, leur signification, leurs transformations., Paris, E. Champion, , 832 p., In-8° (lire en ligne) op. cit. p. 397.
  19. « En 1914, le bassin houiller de Ronchamp faillit avoir un voisin… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur aetdebesancon.blog.lemonde.fr, .
  20. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Bithaine-et-le-Val », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
  21. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Loi n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance.
  23. « Arrêté préfectoral du 23 décembre 2011, portant définition du schéma départemental de coopération intercommunale du département de la Haute-Saône » [PDF], Préfecture de la Haute-Saône (consulté le ), p. 5.
  24. Ministère de l'Intérieur - Haute-Saône (Franche-Comté), « Résultats de l'élection présidentielle de 2012 à Adelans-et-le-Val-de-Bithaine » (consulté le ).
  25. Ministère de l'Intérieur - Haute-Saône (Bourgogne-Franche-Comté), « Résultats de l'élection présidentielle de 2017 à Adelans-et-le-Val-de-Bithaine » (consulté le ).
  26. a et b « Les maires de Adelans-et-le-Val-de-Bithaine », sur francegenweb.org (consulté le ).
  27. L. V., « Christelle Grillot, Michèle Guillotte, Isabelle Hennequin, Michèle Lamboley, Nadège Magrey », L'Est républicain,‎ (lire en ligne) « Nadège (Magrey) (...) est la petite-fille de Henri Magrey, maire d'Adelans pendant quarante ans ».
  28. « Adelans-et-le-Val-de-Bithaine : candidat à un second mandat », L'Est républicain,‎ (lire en ligne) « Paul Martaux, 65 ans, retraité Peugeot, pose candidature à sa succession. Élu conseiller municipal en 2001, il devient maire en 2008 ».
  29. « Un nouveau maire pour la commune », sur L'Est républicain, (consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Adelans-et-le-Val-de-Bithaine (70004) », (consulté le ).
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Haute-Saône (70) », (consulté le ).
  35. Abbaye de Bithaine
  36. [1] [2]
  37. Notice no PA00135342, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.