Berteaucourt-lès-Thennes

commune française du département de la Somme

Berteaucourt-lès-Thennes
Berteaucourt-lès-Thennes
Blason de Berteaucourt-lès-Thennes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Montdidier
Intercommunalité CC Avre Luce Noye
Maire
Mandat
Michel Boucher
2020-2026
Code postal 80110
Code commune 80094
Démographie
Gentilé Berteaucourtois
Population
municipale
478 hab. (2021 en augmentation de 8,88 % par rapport à 2015)
Densité 182 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 48′ 50″ nord, 2° 27′ 55″ est
Altitude Min. 33 m
Max. 107 m
Superficie 2,62 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Moreuil
Législatives 4e circonscription de la Somme
Localisation
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Berteaucourt-lès-Thennes
Liens
Site web www.berteaucourtlesthennes.fr

Berteaucourt-lès-Thennes est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Géographie modifier

Localisation modifier

La vallée de la Luce (petite rivière qui sépare Berteaucourt de Thennes et affluent de l'Avre) est très étroite. L'altitude culminante de la commune atteint 105 mètres et le point le plus bas, sur les bords de la Luce à environ 34 mètres[1].

Berteaucourt est située à environ 80 km de la Manche

En 2019, la localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 60, Davenescourt - Moreuil - Amiens)[2].

Communes limitrophes modifier

Géologie modifier

Le sol de la commune comprend :

  • des alluvions de nature tourbeuse dans la vallée de la Luce ;
  • du diluvium rouge au bas des pentes depuis les environs de l'école (mairie) jusqu'à la limite du territoire vers Thézy-Glimont ;
  • de la craie vers les pentes c'est-à-dire la plus grande partie du territoire ;
  • au sommet de l'argile (limon des plateaux de la période éocène)[1].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 689 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Glisy à 9 km à vol d'oiseau[5], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 646,6 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Berteaucourt-lès-Thennes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols modifier

 
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC)

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (86,1 %), zones urbanisées (13,9 %)[14].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].

Toponymie modifier

La localité a été successivement mentionnée sous les formes suivantes : Bertolcurt (1133)[16], Berthaucourt-lès-Thennes (1567), Bertaucourt (1579), Berteaucourt et Berteaucourt les Thennes à partir de 1836[réf. nécessaire].

Tous ces noms de localités se terminant par -court sont le plus souvent des hameaux ou de petits villages. L'appellatif toponymique -court (français moderne cour) est issu du gallo-roman *CŌRTE qui signifie « domaine » > ancien français cort[17] > moyen français court, réécrit cour sans -t d'après la fausse étymologie curia cf. courtois. Cet appellatif est généralement précédé d'un nom de personne germanique. Ces formations toponymiques datent du Moyen Âge. Cette façon de nommer les lieux serait liée à l'apport germanique du VIe siècle[Note 3],[18].

Le premier élément Berteau- s'explique par un nom de personne germanique[16]. Cette appellation signifie vraisemblablement « domaine de Berthold »[1].

En 1956, la commune de Berteaucourt, instituée lors de la Révolution française, est renommée Berteaucourt-lès-Thennes[19].

La préposition « lès » permet de signifier la proximité d'un lieu géographique par rapport à un autre lieu. En règle générale, il s'agit d'une localité qui tient à se situer par rapport à une ville voisine plus grande. La commune française de Berteaucourt indique qu'elle se situe près de Thennes.

Histoire modifier

L'histoire de Berteaucourt-lès-Thennes est très étroitement liée à celle de Thennes. En effet, Berteaucourt a toujours dépendue de la paroisse de Thennes, et de l'église qu'elles se partagent sous le vocable de Saint Jean-Baptiste.

Il ne reste aucune trace de l'époque gauloise ni de l'occupation romaine. On a découvert cependant sur le territoire des haches de l'époque préhistorique.

Berteaucourt date sans doute de l'époque mérovingienne, mais fut très longtemps réuni à Thennes.

La seigneurie de Berteaucourt consistait[Quand ?] en 12 journaux de terres, 6 journaux de prés et en censives[réf. nécessaire].

Sangler de Berteaucourt est mentionné en 1337 parmi les fieffés de la prévôté de Fouilloy mais le premier seigneur connu est Jean de Berteaucourt, premier échanson du duc de Bourbon, maître des Eaux et Forêts du comté de Clermont et capitaine de la Neuville-en-Hez. La lignée se poursuit jusqu'à Balthazar de Berteaucourt en 1559. La veuve de ce dernier, Marie de Mons, douairière de la terre, épousa en secondes noces Philippe de Rose, qui vendit en 1605 l'un des fiefs de la seigneurie à Philippe de Sacquespée, écuyer, sieur de Thézy. Ce fief resta dans la famille de Sacquespée jusqu'à la Révolution française : Le dernier seigneur fut Nicolas René Suzanne de Sacquespée. L'autre fief passa de la famille de Rose à Jean-Philippe Vrayet de Franclieu puis à Maximilien François de Paule Vrayet de Moranvillers qui le conserva jusqu'à la Révolution[20].

Le château primitif, qui était en fait un petit manoir ou une grosse ferme, reconstruit en 1869, a été détruit lors de la Première Guerre mondiale [21] puis reconstruit tel qu'on le voit aujourd'hui.

Tout permet de supposer que Berteaucourt et Thennes souffrirent des ravages des Normands et de la guerre de Cent Ans. Cependant, il n'y a aucun document précis à ce sujet[1].

Berteaucourt ne put échapper aux conséquences des guerres du XVIIe siècle avec les Espagnols (guerre de Trente Ans), ni à la misère qui régnait dans la région pendant toute cette période et le XVIIIe siècle[1].

Avant la Révolution française, le village faisait partie de[21]

Il n'y a aucun souvenir de la période de la Révolution française.

À la fin de l'épopée napoléonienne, le pays vit les Cosaques en 1814 - 1815[1].

Durant la guerre franco-allemande de 1870 lors de l'invasion allemande, le village fut fort éprouvé. Le , le village fut entre deux feux : les Français au nord, les Allemands au sud. Lors de la bataille d'Amiens (1870), on s'est battu jusque dans les rues du village, et des incendies eurent lieu[1].

Pendant la Première Guerre mondiale, étant à proximité de la ligne de front, le village fut largement détruit[22],[23],[24], toutes les constructions furent touchées, ainsi que le cimetière.

Au début de l'offensive du printemps, l'attaque allemande du sur le front Saint-Quentin - La Fère avait réussi à créer une poche de 80 km de profondeur dans le front anglo-français. Celui-ci était totalement rompu entre les rivières Avre et Luce.

Le , le général Foch, commandant en chef des troupes alliées, envoya des renforts et chargea la 1re armée française du général Debeney d'étendre son front et de maintenir à tout prix la liaison avec l'armée anglaise du général Gough qui reculait vers Villers-Bretonneux et Amiens.

Ce fut la Bataille d'Amiens (1918) durant laquelle l'ordre fut donc donné aux Français de résister jusqu'à la mort sur le plateau du Santerre.

Le , les troupes françaises parties de Thennes et de Berteaucourt-lès-Thennes, qui ne sont plus que des ruines, contre-attaquèrent en direction de Villers-aux-Érables[25],[26].

Le village a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [27].

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.

Elle fait partie depuis 1793 du canton de Moreuil[19], qui a été modifié et agrandi dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France.

Intercommunalité modifier

La commune était membre de la communauté de communes du canton de Moreuil, créée par un arrêté préfectoral du et renommée communauté de communes Avre Luce Moreuil (CCALM) par arrêté préfectoral du .

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) prévoyant la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

Après des hypothèses de regroupement des communautés de communes du Grand Roye (CCGR), du canton de Montdidier (CCCM), du Santerre et d’Avre, Luce et Moreuil[28], la préfète dévoile en son projet qui prévoit la « des communautés de communes d’Avre Luce Moreuil et du Val de Noye », le nouvel ensemble de 22 440 habitants regroupant 49 communes[29],[30]. À la suite de l'avis favorable des intercommunalités[31] et de la commission départementale de coopération intercommunale en [32] puis des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion est établie par un arrêté préfectoral du [33], qui prend effet le .

La commune est donc désormais membre de la communauté de communes Avre Luce Noye (CCALN).

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[réf. nécessaire],[34]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1790 an VIII Charles Gavrel   Cultivateur
an IX an X Firmin Véru   Cultivateur
an X 1808 Jacques Firmin Pillon    
1808 1813 Jean-Baptiste Morel    
1813   François de Paule Vrayet de Surcy   Propriétaire
1836   Jean-Louis Duflocq[Note 4]   Cultivateur
  1852 Jean François Amédée Pinchemel    
1852 1860 Jean-Baptiste Otruquin    
1861 1870 Jean-Baptiste Lescot    
1870 1871 Augustin Bourguignon    
1871 1873 Paul Véru   Propriétaire
1873 1874 Théophile Leroy    
1874 1874 Jean-Baptiste Lescot    
1874 1875 Augustin Bourguignon    
1875 1885 Romuald Villemont    
1886   Émile Jean-Baptiste Pointin    
Les données manquantes sont à compléter.
  1997 Roland Bayard Divers droite Exploitant forestier
mars 2001 2014 Jean-Luc Vasseur[35] Divers droite  
2014[36] En cours
(au 28 mai 2020)
Michel Boucher   Réélu pour le mandat 2020-2026[37]

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[39].

En 2021, la commune comptait 478 habitants[Note 5], en augmentation de 8,88 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
264286292371411441476494501
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
512517528517514515490493465
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
404366361258296278267291340
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
303291281356411431378443437
2021 - - - - - - - -
478--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique
Recensement de 1836

En 1836, la commune était composée de 109 maisons et 441 habitants[41], soit :

  • 221 personnes de sexe masculin
    • 124 garçons
    • 90 hommes mariés
    • 7 veufs
  • 220 personnes de sexe féminin
    • 112 filles
    • 92 femmes mariées
    • 16 veuves.

Enseignement modifier

En 2016-2017, l'école maternelle et élémentaire de Berteaucourt, qui porte le nom de Roland Bayard, ancien maire, scolarise 46 enfants[42].

Cette école fait partie du regroupement pédagogique intercommunal de la Luce qui comprend également les écoles de Démuin, Domart-sur-la-Luce et Thennes. Les villages associés d'Ignaucourt, Hangard et Aubercourt ne disposent pas de classe sur leur territoire.

L'école est gérée par un syndicat intercommunal scolaire dont le siège est situé à Démuin.

Une garderie à Domart accueille les écoliers des sept villages constituant le RPI[43].

Cultes modifier

Berteaucourt-lès-Thennes ne possède pas d'église sur son territoire. L'église de Berteaucourt-lès-Thennes est située sur la commune de Thennes. Berteaucourt-lès-Thennes forme avec Thennes une paroisse catholique. Le chœur de Berteaucourt-lès-Thennes est dédié à saint Jean Baptiste et celui de Thennes à saint Quentin.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Château de style Louis XV construit en 1869.
  • Jardin de Lucine, 34 rue Jules-Ferry. Bordé par la Luce, il est alimenté par plusieurs étangs : arboretum, zones humides, potager à la française sur 4 ha[44],[45].

Personnalités liées à la commune modifier

  • Marie Emmanuel Bernard Bailly de Surcy (né à Berteaucourt-lès-Themmes en 1835 - mort en 1920), il fut lieutenant de vaisseau détaché comme instructeur de la flotte japonaise en 1865, chevalier de la Légion d'honneur en 1866. Retiré de la marine, il fonda cependant en 1894 Les Œuvres de Mer pour les pêcheurs d'Islande et de Terre-Neuve et fut rédacteur en chef de la revue Cosmos à partir de 1885[48].
  • Jérémy Demitra[pourquoi ?], réalisateur à NRJ de l'émission C'Cauet[réf. nécessaire].

Héraldique modifier

  Blason
D'argent à deux bars adossés de sable accompagnés de sept croix recroisetées de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir modifier

Bibliographie modifier

  • E. Lacoste, Le Père V. de P. Bailly, La Bonne Presse, paris, 1913
  • Marc Pilot, Chroniques Révolutionnaires : Thennes et Berteaucourt-les-Thennes, Amiens, édité à compte d'auteur, , 75 p. (ISBN 2-9504578-0-0 et 978-2-950-45780-6, OCLC 47911760)
  • Marc Pilot, Les brumes de Picardie : Moreuil 1918, Saint-Cyr-sur-Loire, Alan Sutton à Saint-Cyr-sur-Loire, , 127 p. (ISBN 2-84253-733-5)
  • Marc Pilot, Somme 1918 : Santerre Mars Juillet, Saint-Cyr-sur-Loire, Alan Sutton à Saint-Cyr-sur-Loire, , 128 p. (ISBN 2-84910-529-5)

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

  • Carte spéciale des régions dévastées : 21 NE, Montdidier [Nord-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Proposition émise en 1976, par Maurice Lebègue, professeur à l'École Normale d'Amiens, à la suite d'un travail réalisé sur l'origine des noms des communes de la Somme.
  4. Jean-Louis Duflocq, âgé de 61 ans en 1836
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références modifier

  1. a b c d e f et g Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur, M. Fordinois, Archives départementales de la Somme, 1899
  2. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Berteaucourt-lès-Thennes et Glisy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  16. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 2, Librairie Droz, Genève, 1996, p. 884.
  17. Jacques Allières, La formation de la langue française, Paris, PUF, coll. « Que sais-je ? », 1982, p. 19.
  18. Jacques Chaurand et Maurice Lebègue, Noms de lieux de Picardie, éditions Bonneton, 232 p., novembre 2000, p. 71 à p. 80, (ISBN 978-2-862-53265-3).
  19. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Philippe Marotte, « Berteaucourt », Thennes, village du département de la Somme - 8011, (consulté le ).
  21. a et b Dictionnaire historique et archéologique de la Picardie[réf. incomplète].
  22. Section photographique de l'armée, « Photo : Berteaucourt (près). Tranchées improvisées tenues par les Anglais », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 10, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  23. Section photographique de l'armée, « Photo : Berteaucourt (près). Poste anglais derrière des meules de paille », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 10, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  24. « Photo de Dufour : Village en ruines après les bombardements (octobre 1918) », notice no APDU001164, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  25. Section photographique de l'armée, « Photo : Berteaucourt (sud-est de). Point de départ de l'offensive du 8 août : cadavre allemand », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 10, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  26. Section photographique de l'armée, « Photo : Berteaucourt. Ruines, et, au premier plan, petit tank Renault tombé dans la Luce », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 10, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  27. Journal officiel du 7 novembre 1920, p. 17721.
  28. Cécile Latinovic, « HAUTE-SOMME Moreuil exclue des projets de fusions intercommunaux? », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  29. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  30. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  31. Carlos Da Silva, « Intercommunalité - Moreuil accepte l’idée de fusionner avec le Val de Noye, mais veut voir plus grand : Les élus de la CCALM (Communauté de communes Avre, Luce et Moreuil) ont validé le projet de fusion avec Ailly-sur-Noye, mais veulent aussi étudier l’idée d’un rapprochement plus élargi, avec notamment Montdidier et Roye », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  32. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  33. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Avre Luce Noye issue de la fusion de la communauté de communes Avre Luce Moreuil et de la communauté de communes du Val de Noye à compter du  » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
  34. « Les maires de Berteaucourt-lès-Thennes », sur francegenweb.org (consulté le ).
  35. Réélu pour le mandat 2008-2014 : « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  36. « Le Conseil municipal de Berteaucourt-les-Thennes », La mairie, sur berteaucourt-les-thennes.fr, (consulté le ).
  37. « Michel Boucher continue à Berteaucourt-les-Thennes », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  41. Recensement de la population de Berteaucourt-Les-Thennes
  42. « École primaire publique Roland Bayard »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Fiche etablissement, sur education.gouv.fr (consulté le ).
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  44. « Esthétique et poésie au Jardin de Lucine »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Dossiers et actualités, Département de la Somme (consulté le ).
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