Belvis

commune française du département de l'Aude

Belvis
Belvis
Vue générale.
Blason de Belvis
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Aude
Arrondissement Limoux
Intercommunalité Communauté de communes des Pyrénées audoises
Maire
Mandat
Georges Ramon
2020-2026
Code postal 11340
Code commune 11036
Démographie
Gentilé Belvisois, Belvisoises
Population
municipale
159 hab. (2021 en augmentation de 3,92 % par rapport à 2015)
Densité 6,7 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 51′ 05″ nord, 2° 04′ 35″ est
Altitude Min. 679 m
Max. 1 260 m
Superficie 23,61 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Haute-Vallée de l'Aude
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Belvis

Belvis Écouter (en occitan Belvís qui signifie en français "belle vue"est une commune française, située dans le sud-ouest du département de l’Aude en région Occitanie.

Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Pays de Sault, un plateau situé entre 990 et 1310 mètres d'altitude fortement boisé. Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le Blau, le ruisseau du Rébounédou et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (le « pays de Sault » et le « bassin du Rebenty ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Belvis est une commune rurale qui compte 159 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 887 habitants en 1806. Ses habitants sont appelés les Belvisois ou Belvisoises.

Hameau de la Malayrède.

Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : la grotte de la Cauna, inscrite en 1989.

Géographie modifier

Accès modifier

La route départementale 613 constitue le principal accès de la commune, entre Belfort-sur-Rebenty et Coudons. Le village est desservi par la RD 222 et le nord de la commune par la RD 422.

Localisation modifier

La commune est située dans le pays de Sault. Située à 935 mètres d'altitude, elle s'étend sur 2361 hectares.

Communes limitrophes modifier

Géologie et relief modifier

Belvis se situe en zone de sismicité 3 (sismicité modérée)[2].

Hydrographie modifier

La commune est pour partie dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3], et pour partie dans la région hydrographique « Côtiers méditerranéens », au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse[4]. Elle est drainée par le Blau, le ruisseau du Rébounédou, le ruisseau de Cussou, le ruisseau de Fontmajou, le ruisseau de la Gaychère, le ruisseau de la Rabasse, le ruisseau du Pas de Joucou et par un petit cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 10 km de longueur totale[5],[Carte 1].

Le Blau, d'une longueur totale de 16,18 km, prend sa source dans la commune et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Hers-Vif à Chalabre, après avoir traversé 4 communes[6].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Pyrénées orientales, caractérisée par une faible pluviométrie, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un air sec, particulièrement en hiver et peu de brouillards[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 987 mm, avec 10,1 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Belcaire à 10 km à vol d'oiseau[9], est de 9,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 032,4 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Réseau Natura 2000 modifier

 
Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[14] :

et un au titre de la directive oiseaux[14] :

  • le « pays de Sault », d'une superficie de 71 499 ha, présentant une grande diversité d'habitats pour les oiseaux. On y rencontre donc aussi bien les diverses espèces de rapaces rupestres, en particulier les vautours dont les populations sont en augmentation, que les passereaux des milieux ouverts (bruant ortolan, alouette lulu) et des espèces forestières comme le pic noir[16].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[17] : la « vallée du Rébenty de Belfort-sur-Rebenty à Cailla » (3 553 ha), couvrant 10 communes du département[18], et la « valllée du Blau » (157 ha), couvrant 2 communes du département[19] et deux ZNIEFF de type 2[Note 3],[17] :

  • le « grand plateau de Sault » (17 962 ha), couvrant 21 communes dont 3 dans l'Ariège et 18 dans l'Aude[20] ;
  • la « vallée du Rébenty » (5 661 ha), couvrant 14 communes du département[21].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Belvis est une commune rurale[Note 4],[22]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1],[23]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (75,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (75,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (75,7 %), zones agricoles hétérogènes (15,7 %), prairies (8,5 %), terres arables (0,1 %)[24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Belvis est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité modérée)[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Belvis.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 72,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (75,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 234 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 234 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 94 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[Carte 3].

Histoire modifier

 
L'ancien poste de commandement du maquis, devenu mémorial.

L'histoire de la commune remonte à 33 000 ans en arrière puisque la grotte de la Cauna était occupée par des chasseurs cueilleurs.

La Bastide de Belvis, en Pays de Sault, est citée en 1277 dans les archives de l'archevêché de Narbonne.

En 1310, la famille de Nègre, originaire d'Espagne où elle avait acquis son nom en participant à la Reconquista, achète le château surplombant le défilé de Joucou et le Rébenty (en limite sud de la commune). Le seigneur d'Able était donc avant tout un homme d'armes, à la tête d'un corps de troupe, vraisemblablement des arbalétriers[28]. Le château d'Able résista à toutes les invasions espagnoles, mais il fut pris par Jean de Lévis, chef des calvinistes, en 1572 et fut incendié comme tous ceux qui tombèrent entre les mains des Huguenots.

De mars 1943 à août 1944, le maquis de Picaussel jouera un rôle déterminant dans la libération de l'Aude le 25 août 1944. Son poste de commandement, devenu un mémorial et accessible par un chemin balisé, a été établi au nord-ouest de la commune dans la forêt de Picaussel alors moins dense qu'aujourd'hui.

Politique et administration modifier

Découpage territorial modifier

La commune de Belvis est membre de la communauté de communes des Pyrénées audoises [I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Quillan. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[29].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Limoux, au département de l'Aude, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 4].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de la Haute-Vallée de l'Aude pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la troisième circonscription de l'Aude pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[30].

Liste des maires modifier

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1878 1904 Guillaume CRESTIA    
1904 1908 Baptiste CRESTIA    
1908 1919 Joseph MALAPERT    
1919 1923 Etienne BONNEL    
1923 1935 Antoine CRESTIA    
1935 1937 Léon ROLLAND    
1937 1945 Antoine FARGUES    
1945 1965 Léon SICRE    
1965 1978 Henri CRESTIA    
1978 1983 Emile SICRE    
1983 1983 Georges CHALULEAU    
1983 1995 Septime MARIN    
1995 2007 Georges BERTHUEL    
2007 2014 Jean-Claude DRUGY    
2014 2020 Jean Michel MICHEZ    
2020 En cours Georges RAMON    

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

En 2021, la commune comptait 159 habitants[Note 5], en augmentation de 3,92 % par rapport à 2015 (Aude : +2,47 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1846 1851 1856
651671887772832840804771631
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
699774802649557611578590554
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
550541451420408375377334264
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
245187166153169177179160163
2021 - - - - - - - -
159--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Revenus modifier

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 100 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 163 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 16 380 [I 5] (19 240  dans le département[I 6]).

Emploi modifier

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 7] 8,3 % 11,9 % 18,5 %
Département[I 8] 10,2 % 12,8 % 12,6 %
France entière[I 9] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 92 personnes, parmi lesquelles on compte 70,7 % d'actifs (52,2 % ayant un emploi et 18,5 % de chômeurs) et 29,3 % d'inactifs[Note 7],[I 7]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département, alors qu'il était inférieur à celui du département en 2008.

La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 10]. Elle compte 21 emplois en 2018, contre 44 en 2013 et 40 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 49, soit un indicateur de concentration d'emploi de 42,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 45,9 %[I 11].

Sur ces 49 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 19 travaillent dans la commune, soit 39 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 81,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 6,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 12,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

Activités hors agriculture modifier

18 établissements[Note 8] sont implantés à Belvis au [I 14]. Le secteur des autres activités de services est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,3 % du nombre total d'établissements de la commune (6 sur les 18 entreprises implantées à Belvis), contre 8,8 % au niveau départemental[I 15].

Agriculture modifier

La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Pays de Sault »[35]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 9] sur la commune est l'élevage de bovins pour la viande[36].

1988 2000 2010
Exploitations 19 11 12
Superficie agricole utilisée (ha) 485 434 490

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 19 lors du recensement agricole[Note 10] de 1988 à 11 en 2000 puis à 12 en 2010[36], soit une baisse de 37 % en 22 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 52 % de ses exploitations[38]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 485 ha en 1988 à 490 ha en 2010. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 26 à 41 ha[36].

Culture locale et patrimoine modifier

 
Église de la Malayrède

Lieux et monuments modifier

Personnalités liées à la commune modifier

  • Pierre Moulis (1872-1948), prêtre historiographe du pays de Sault, Résistant, curé de la paroisse. Son buste en bronze, réalisé par Bernard Romain, est présent à l'extérieur de l'église depuis 2022[41].
  • John Dillistone, organiste anglais et membre du Collège Royal, habite la commune de Belvis. Il y reçoit régulièrement ses étudiants en calligraphie, dessins et peinture de l'université de Cambridge pour qu'ils découvrent la beauté des sites et la peignent. John Dillistone donne chaque année un concert d'orgue sur l'instrument de Quillan (orgue avec des tuyaux en chamade). En août 2016, il a été invité à produire ses œuvres accompagné de celles de ses fils Clive et Tim à l'office du tourisme de Quillan.
  • Georges Chaluleau, journaliste, écrivain, auteur, et ancien maire de la commune.

Héraldique modifier

Son blasonnement est :

Écartelé d’argent et de sable à la croix brochant de l’un en l’autre.

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  9. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  10. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[37].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Belvis » sur Géoportail (consulté le 7 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. a b et c « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Belvis » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Belvis » (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Aude » (consulté le ).
  7. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Belvis » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aude » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Belvis » (consulté le ).
  12. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Belvis » (consulté le ).
  15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aude » (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. Plan séisme
  3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Désoupage en territoires SDAGE/DCE du bassin Rhône-Méditerranée-Corse », sur rhone-mediterranee.eaufrance.fr, (consulté le ).
  5. « Fiche communale de Belvis », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  6. Sandre, « le Blau »
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  11. « Station Météo-France « Belcaire » (commune de Belcaire) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  13. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  14. a et b « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Belvis », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  16. « site Natura 2000 FR9112009 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  39. « Belvis. Une merveille du pays de Sault dans l'église. », La Dépêche du midi,‎ (lire en ligne)
  40. https://www.ladepeche.fr/2023/11/04/une-fresque-de-bernard-romain-dans-le-village-11560257.php
  41. https://www.lindependant.fr/2022/08/24/un-buste-en-souvenir-de-labbe-moulis-a-belvis-10503996.php

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