Beaufort (Nord)

commune française du département du Nord

Beaufort
Beaufort (Nord)
La mairie.
Blason de Beaufort
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Avesnes-sur-Helpe
Intercommunalité CA Maubeuge Val de Sambre
Maire
Mandat
Thérèse Pecher
2020-2026
Code postal 59330
Code commune 59058
Démographie
Gentilé Beaufortois, Beaufortoises
Population
municipale
1 024 hab. (2021 en augmentation de 5,35 % par rapport à 2015)
Densité 80 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 12′ 56″ nord, 3° 57′ 54″ est
Altitude 168 m
Min. 154 m
Max. 207 m
Superficie 12,76 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Maubeuge (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Avesnes-sur-Helpe
Législatives 12e circonscription du Nord
Localisation
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Beaufort
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Beaufort
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Beaufort
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Beaufort
Liens
Site web http://mairie-beaufort.fr/

Beaufort est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Géographie modifier

Description modifier

Beaufort est située dans le sud-est du département du Nord (Hainaut).

La commune fait partie administrativement de l'Avesnois, historiquement du Hainaut et ses paysages rappellent la Thiérache.

Le village se trouve à 90 km de Lille (préfecture du Nord), Bruxelles (Belgique), à 35 km de Valenciennes, Mons (B) ou Charleroi (B), à 13 km d'Avesnes-sur-Helpe (sous-préfecture) et à 8 km de Maubeuge.

Beaufort comporte des espaces boisés qui forment la Haie d'Avesnes.

Beaufort est placée sur l'axe routier connu qu'est la RN 2 (route nationale 2) reliant Paris à Bruxelles.

Communes limitrophes modifier

Hydrographie modifier

La commune est drainée par le ruisseau d’Auffignies ou ruisseau de la Warenne autour duquel l’habitat s’est développé et qui conflue dans le ruisseau d'Eclaibes à Éclaibes. C'est un sous-affluent de la Meuse par la Sambre.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 883 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 10,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe à 10 km à vol d'oiseau[3], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 802,4 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Beaufort est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Maubeuge (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 65 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (95 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (59,5 %), prairies (32,8 %), zones urbanisées (4 %), zones agricoles hétérogènes (2,1 %), forêts (1,6 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts modifier

Beaufort compte trois hameaux : la Haute-Borne, Marlière et Ropsies, situé à l'est du village

Habitat et logement modifier

En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 446, alors qu'il était de 430 en 2014 et de 398 en 2009[I 1].

Parmi ces logements, 95,1 % étaient des résidences principales, 0,7 % des résidences secondaires et 4,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,7 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Beaufort en 2019 en comparaison avec celle du Nord et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,7 %) inférieure à celle du département (1,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 81,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (81,8 % en 2014), contre 54,7 % pour le Nord et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Beaufort en 2019.
Typologie Beaufort[I 1] Nord[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 95,1 90,6 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,7 1,6 9,7
Logements vacants (en %) 4,3 7,8 8,2

Voies de communication et transports modifier

La route nationale 2, traversant l'ensemble du village de part en part était un axe important de circulation reliant Paris à Mons (Belgique). Un projet a donc été monté par la direction départementale de l'Équipement en 2002 afin de libérer cet axe saturé et accidentogène, et malgré l'hostilité importante de la population, le Ministre des transports en exercice à cette époque prit la décision de choisir un tracé traversant le village à la manière de la RN2. L'ancien itinéraire constitue désormais la RD 602.

Le village est desservi, en 2024, par le service de transport à la demande du réseau Stibus[13], ainsi que par les lignes 952 et 986 du réseau interurbain Arc-en-Ciel 4[14].

Toponymie modifier

La localité a été dénommée Beaufort en 1133 (Tit. de Saint-Aubert. Le Carp. Pr. II, 82.), Kiviniis en 1173 (Chron. de Gisl. 85), Bovinies (Delwarte, III, 21.), Bouvignies(l'abb. Hossart, Hist. du Hainaut, 281.), Belfort en 1184 (chron. de Gisl., 138), Beaufort en 1186 (J. de G., ann. du Hain., XII, 339), Beaufort en 1273, (1er cart. du Hainaut, pièce 363), Biaufort en 1286 (cart. de l'abb. d'Alne), Biauffort (manuscrit de la bibliothèque de Valenciennes)[15].

Beaufort tire son nom de la tour construite en 1173 par les comtes de Hainaut[réf. nécessaire].

Histoire modifier

Antiquité modifier

On a trouvé, près de la tour de Beaufort, des médailles romaines[15]

Moyen Âge modifier

Une fortification est construite en 1173 par Bauduin V, comte de Hainaut, de Namur et de Flandre, pour défendre ses terres contre les incursions de Jacques, seigneur d'Avesnes, son vassal[15].

En 1186, Beaufort forme une paroisse du décanat de Maubeuge[15].

Des lettres de mars 1273, de Jean de Hainaut, fils aîné de feu Jean d'Avesnes indiquent que par accord fait entre son père et Bauduin d'Avesnes, seigneur de Beaumont, son oncle, il a été convenu que Bauduin et ses héritiers devaient avoir pour leur part, entre autres biens, la ville de Beaufort, ainsi que les bois de Maubeuge, que la comtesse de Flandre, Marguerite d'Alsace, son aïeule, possédait avec l'abbesse de Maubeuge[15].

Passée à la châtellenie de Beaumont en 1272, la terre est apportée en dot aux seigneurs d'Avesnes au XIVe siècle[15]. .

Un traité passé en 1304 entre Jean Ier de Hainaut, et Henri VII, comte de Luxembourg à la demande du roi Philippe IV le Bel où le comte de Luxembourg renonce en faveur du comte de Hainaut, à ses prétentions sur les terres de Beaufort, moyennant une rente perpétuelle de 2 200 livres tournois[15].

Temps modernes modifier

Beaufort est cédé à la France par échange, en vertu d'un traité signé à Lille le et relève alors de la prévôté de Maubeuge. Il compte 861 habitants, dont 120 indigents et quatre mendiants[15].

Selon la légende, de nombreux tunnels ont été creusés entre la tour de Beaufort, le château de Limont-Fontaine (situé à 4 km) et les remparts Vauban de la ville de Maubeuge. Ils étaient destinés à permettre l'évacuation du comte de Hainaut en cas d'invasion du bourg. Certains vestiges sont encore visibles dans les caves les plus anciennes du village[réf. nécessaire].

Époque contemporaine modifier

La rue de l'hôpital rappelle qu'une des fermes imposantes a pris la fonction d'hôpital de campagne pendant la Première Guerre mondiale, époque où Beaufort était en territoire allemand[réf. nécessaire].

Le village est également occupé pendant la Seconde Guerre mondiale par un commandement d'infanterie allemand. Il occupait notamment le château Carré, situé aux abords du village. Aucune destruction n'a été à déplorer, ni pendant l'Occupation, ni lors de la Libération. Néanmoins, le village est fortement marqué par le défilé américain d'avril 1945[réf. nécessaire].

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Rattachements administratifs modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe du département du Nord.

Elle faisait partie de 1793 à 1910 du canton de Maubeuge, année où celui-ci est scindé et la commune rattachée au canton de Maubeuge-Nord. En 1958, elle rejoint le canton d'Hautmont[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux modifier

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Avesnes-sur-Helpe

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la douzième circonscription du Nord.

Intercommunalité modifier

Beaufort était membre de la communauté de communes Sambre - Avesnois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1994 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté d'agglomération Maubeuge Val de Sambre dont est désormais membre la commune.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1802[17] après 1807[18] Jos. Renaux    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1971 mars 1989 Louis Liénard    
mars 1989 mars 2001 Michel Debruge    
mars 2001 mars 2008 Jean Marie Contesse UMP  
mars 2008 janvier 2014[19] François Monet[20]   Décédé en fonction
mars 2014[19] En cours
(au 11 juillet 2022)
Thérèse Pécher   Réélue pour le mandat 2020-2026[21],[22]

Équipements et services publics modifier

La commune s'est dotée d'une salle socio-culturelle[15].

Un marché alimentaire est organisé depuis mars 2021 devant la salle socioculturelle les mercredis après-midi des semaines impaires[23].

Enseignement modifier

Beaufort relève de l'académie de Lille.

Les enfants de la commune sont scolarisés dans deux écoles, chacune de deux classes, l'une 36 rue Pasteur et l'autre ruelle Mailly[24].

Afin de les remplacer, la commune se dote d'une nouvelle école pour la rentrée 2023, dont le chauffage sera assuré, ainsi que la mairie et la salle socio-culturelle, par une chaufferie au bois déchiqueté construite à cette occasion[25].

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

En 2021, la commune comptait 1 024 habitants[Note 3], en augmentation de 5,35 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
6195028417788619671 0631 1601 232
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2751 3181 1701 1421 1721 1161 1611 1091 067
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1061 0951 0739661 024959917910954
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 0731 0671 0101 0111 1001 012981972970
2018 2021 - - - - - - -
1 0131 024-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement jeune.

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,5 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 507 hommes pour 506 femmes, soit un taux de 50,05 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,23 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
0,8 
4,3 
75-89 ans
7,1 
20,9 
60-74 ans
21,3 
21,1 
45-59 ans
22,5 
18,7 
30-44 ans
18,2 
15,6 
15-29 ans
12,8 
18,7 
0-14 ans
17,2 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Manifestations culturelles et festivités modifier

Le village de Beaufort est membre d'une confédération de villes et villages des Beauforts. Cette association ("Beaufort en Nord") réunit chaque année un collectif d'habitants de chaque ville du même nom dans un lieu de réunion (lieu changeant chaque année).

À cette occasion, un concours atypique d'épouvantails est organisé dans l'ensemble du village. Plus un concours de décoration qu'un concours de comparaison, il permet d'animer l'ensemble du bourg pendant plusieurs semaines.

Enfin, le marché de Noël, organisé chaque début décembre permet de réunir les savoir-faire des associations et artisans des alentours.

Culture et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
Tour sarrasine de Beaufort.
  • Ruines du donjon, du XIIe siècle, dit « tour sarrasine », dont il subsiste la salle du rez-de-chaussée, la trace de l'escalier et un côté de la muraille du 1er étage.
    Il est représenté à la fin du XVIe siècle dans les Albums de Croy comme une tour massive de plan carré située sur une motte castrale. L'intérieur ou se trouvent plusieurs pierres tombales datant de 1650 est remarquable par son mobilier avec notamment une chaire datant de 1699[15].
  • Église de l'Assomption des XVIe et XVIIIe siècle, constituée d'une nef essentiellement en brique adossée par une tour carrée surmontée d'un clocher tronqué[15],[31].
  • Le kiosque à danser, qui date de la fin XIXe siècle. Démonté vers 1960 lors du réaménagement de la place et prêté pendant une quarantaine d'années à la ville de Maubeuge, il a réintégré depuis son emplacement initial[15].
  • Monument aux morts situé à proximité du carrefour principal de la commune, à l'emplacement d'un ancien vivier, alimenté par la fontaine Taviaux et où les chevaux pouvaient s'abreuver[31].
  • Chapelle, rue d'Avesnes, construit en 1858 par la famille Trampont-Bidorez à l'emplacement d'une croix de chemin[15].
  • Chapelle du Bourselot, située rue d'Hautmont / rue Victor Hugo à partir de partir de 1674 à l'initiative d'Augustin Grégoire, surnommé le Bourselot, qui habitait la maison voisine. Elle abrite une Vierge à l'Enfant couronnée et porte également les noms de N.D. de Consolation ainsi que N.D. de Grâce avec la date de 1749. Honorine Masson et Lucienne Labbéont fait restaurer le bâtiment en 1831[15].
  • Chapelle N.D. de la Route, édifiée à l'initiative de l'Abbé Lefèbvre en 1959 en remplacement de celle qui a été détruite en 1918 pendant la Première Guerre mondiale et qui était située dans la pâture Colson, chemin d'Eclaibes[15].
  • Un parcours de petite randonnée (3 ou 7 km) a été créé pour admirer les ruelles du village et la campagne environnante[32].

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
De gueules à trois écussons d’argent.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2019 à Beaufort » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Beaufort - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Beaufort - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans le Nord » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Beaufort et Saint-Hilaire-sur-Helpe », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « St-hilaire-sur-helpe » (commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « St-hilaire-sur-helpe » (commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Maubeuge (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Plan du réseau Stibus 2023-2024 » [PDF], sur stibus.fr, (consulté le ).
  14. « Plan du périmètre Avesnois » [PDF], sur arcenciel.hautsdefrance.fr (consulté le ).
  15. a b c d e f g h i j k l m n et o « Beaufort », sur villesetvillagesdelavesnois.org (consulté le ).
  16. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 276, lire en ligne.
  18. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an 1807, p. 120-121, lire en ligne.
  19. a et b « Thérèse Pécher succède à François Monet », La Sambre La Frontière, no 1921,‎ , p. 20.
  20. « Bilan des maires: à Beaufort, l’entretien du patrimoine communal pour François Monet : En 2008, lorsqu’il a pris la tête de la commune de 1 000 habitants, François Monet faisait alors ses premiers pas de maire, après avoir œuvré comme adjoint », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Six ans plus tard, des problèmes de santé l’ont obligé à lever le pied, à passer le relais à son adjointe, Thérèse Pecher ».
  21. « Thérèse Pécher et sa liste «Unis pour Beaufort» veulent augmenter l’attractivité du village : La maire sortante de Beaufort veut rempiler pour un second mandat, qu'elle voudrait axer autour de la qualité de vie et de l'écologie. Elle s'est entourée de plusieurs membres du conseil municipal actuel ainsi que de nouvelles têtes ayant un regard nouveau sur le village », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. « Beaufort : un deuxième mandat pour Thérèse Pécher : Installée dans le fauteuil de maire depuis mars 2014, Thérèse Pécher a vu son mandat se prolonger de six ans », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. « Le P’tit Marché », sur mairie-beaufort.fr (consulté le ).
  24. « Écoles », Vie locale, sur mairie-beaufort.fr (consulté le ).
  25. Benoit Didier, « Beaufort: La nouvelle école va enfin voir le jour : C’est peu dire qu’elle s’est fait attendre, cette école! Mais ça y est, Thérèse Pecher, maire de Beaufort, l’affirme, les travaux vont débuter cet été », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Beaufort (59058) », (consulté le ).
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  31. a et b « Patrimoine », Mairie > la commune, sur mairie-beaufort.fr (consulté le ).
  32. « Chemin de randonnée », Tourisme, sur mairie-beaufort.fr (consulté le ).