Bazoches-sur-Guyonne

commune française du département des Yvelines

Bazoches-sur-Guyonne
Bazoches-sur-Guyonne
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Rambouillet
Intercommunalité CC Cœur d'Yvelines
Maire
Mandat
Dominique Nicco
2020-2026
Code postal 78490
Code commune 78050
Démographie
Gentilé Bazochéens
Population
municipale
674 hab. (2021 en augmentation de 15,02 % par rapport à 2015)
Densité 119 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 46′ 44″ nord, 1° 51′ 38″ est
Altitude Min. 81 m
Max. 175 m
Superficie 5,66 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Rémy-l'Honoré
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aubergenville
Législatives 10e circonscription des Yvelines
Localisation
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Liens
Site web http://www.bazoches-sur-guyonne.fr/

Bazoches-sur-Guyonne est une commune française située dans le département des Yvelines, en région Île-de-France.

Géographie modifier

Situation modifier

 
L'ancien panneau d'entrée de la commune.

Bazoches-sur-Guyonne est un village périurbain et résidentiel des Yvelines qui s'étend dans une zone de coteaux au nord du massif forestier de Rambouillet. Elle jouxte à l'est Montfort-l'Amaury et se trouve à 20 km à l'ouest de Versailles, à 37 km à l'ouest de Paris, 15 km au nord de Rambouillet et 46 km au nord-est de Chartres.


Communes limitrophes modifier

Hydrographie modifier

La commune est arrosée par la Guyonne, une petite rivière affluent de la Mauldre. C'est donc un sous-affluent de la Seine.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 685 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Léger-en-Yvelines à 9 km à vol d'oiseau[3], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 706,3 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme modifier

 
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Typologie modifier

Bazoches-sur-Guyonne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Rémy-l'Honoré, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[10] et 3 299 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[13],[14].

Occupation des sols simplifiée modifier

Le territoire de la commune se compose en 2017 de 81,77 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 10,82 % d'espaces ouverts artificialisés et 7,41 % d'espaces construits artificialisés[15].

Habitat et logement modifier

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 313, alors qu'il était de 287 en 2013 et de 288 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 77 % étaient des résidences principales, 16,2 % des résidences secondaires et 6,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,9 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Bazoches-sur-Guyonne en 2018 en comparaison avec celle des Yvelines et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (16,2 %) supérieure à celle du département (2,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 88,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (85,9 % en 2013), contre 58,6 % pour les Yvelines et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Bazoches-sur-Guyonne en 2018.
Typologie Bazoches-sur-Guyonne[I 1] Yvelines[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 77 91,1 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 16,2 2,6 9,7
Logements vacants (en %) 6,8 6,3 8,2

Voies de communication et transports modifier

La commune est desservie par la route départementale 13 traverse la commune d'est en ouest, menant du Tremblay-sur-Mauldre à Montfort-l'Amaury. La route départementale 23 venant de Jouars-Pontchartrain se termine à la jonction avec la précédente à l'entrée est du village. La route nationale 12 traverse le territoire communal au nord.

Les gares ferroviaires les plus proches de la commune sont celles de Villiers - Neauphle - Pontchartrain à 5,5 km et Montfort-l'Amaury - Méré à 6 km.

La commune est desservie par les lignes 5, 49, 61, P et V du réseau de bus Centre et Sud Yvelines.

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Basochie en XIIIe siècle[16], Bazochie en 1351[17], Basoches-en-Pincerais[16].

Le nom de « Bazoches » vient de l'ancien français, issu du latin, basilica (désigne en latin ecclésiastique un monument érigé à la mémoire d'un martyr et généralement dépositaire de reliques)[18].

En français, le terme basoche désignait par évolution sémantique une association de clercs de procureurs du parlement de grandes villes.

La commune est traversée par la Guyonne.

Homonymie avec Bazoches-au-Houlme.

Histoire modifier

Le site était habité au néolithique comme l'atteste la présence d'un dolmen.

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs modifier

Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[19], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Rambouillet après un transfert administratif effectif au .

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Montfort-l'Amaury de Seine-et-Oise puis des Yvelines[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux modifier

Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton d'Aubergenville

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la dixième circonscription des Yvelines.

Intercommunalité modifier

Bazoches-sur-Guyonne est membre de la communauté de communes Cœur d'Yvelines, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2004 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[21]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1792 1793 François Charles Jouvaucourt   Curé
1793 1794 François Barre    
1794 1801 Louis Pierre Prunier    
1801 1810 Jean-François Brault    
1810 1816 Philippe Jean Bignault    
1816 1832 Louis Pierre Prunier    
1832 1863 Jean-Baptiste Tenard    
1863 1884 Philippe Augustin Bignault    
1884 1889 Albert Perrin    
1890 1908 Désiré Touchard    
1908 1910 Albert Perrin    
1910 1925 Ernest Bignault    
1925 1929 Maurice Giguet    
1929 1969 Charles Brechot    
1969 1995 Henri Monnet    
1995 2001 Nicole Petitet-Casse    
2001 2014 Philippe Bignault [22]    
2014 En cours
(au 10 mars 2022)
M. Dominique Nicco[23] SE Cadre
Vice-président de la CC Cœur d'Yvelines (2020 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[24]

Équipements et services publics modifier

Enseignement modifier

La commune dispose[25] d'une école élémentaire publique.

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].

En 2021, la commune comptait 674 habitants[Note 3], en augmentation de 15,02 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
377417418398391411352348355
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
321342297289272273282288259
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
279278241238231232219222202
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
230256286308423477576590567
2017 2021 - - - - - - -
621674-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,5 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 325 hommes pour 302 femmes, soit un taux de 51,83 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,68 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
0,0 
6,6 
75-89 ans
5,1 
14,4 
60-74 ans
18,8 
26,7 
45-59 ans
25,5 
15,5 
30-44 ans
18,3 
16,7 
15-29 ans
14,0 
19,8 
0-14 ans
18,3 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2020 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
5,8 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,7 
20,7 
45-59 ans
20,2 
19,7 
30-44 ans
19,9 
18,4 
15-29 ans
16,9 
21,3 
0-14 ans
19,3 

Économie modifier

  • Exploitations agricoles.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Église de campagne à nef unique et clocher latéral entourée d’un pittoresque cimetière. Édifiée au XIIe siècle, elle est remaniée aux XVIIe et XIXe siècles. L’église possède un très beau maître autel en bois sculpté laqué de la première moitié du XVIIIe siècle et le tableau du retable, restauré, « Saint Martin en évêque », aussi, du XVIIIe siècle.
Le clocher latéral abrite la plus ancienne cloche de la région « Martinne », datée de 1555.
  • Maison de Jean Monnet, où Jean Monnet y a vécu de 1945 à sa mort en 1979. et devenue propriété du Parlement européen, située dans le hameau de Houjarray.
Cette demeure à toit de chaume du XXe siècle a été transformée en musée qui présente l’œuvre de l’homme d’État, sa vision de la paix et de l’unité européenne[31],[32]

Refuge animalier de la Fondation Brigitte Bardot modifier

A partir de ce qui fut la propriété de Brigitte Bardot – acquis en 1960 et cédé à la fondation en 2006, un refuge pour animaux de ferme et animaux domestiques a ouvert ses portes en 2019[33].

Personnalités liées à la commune modifier

 
La plaque à Jean Monnet.
  • Jean Monnet (1888-1979), homme d'État français, y a habité de 1945 à sa mort. D’abord enterré à Bazoches-sur-Guyonne, il est inhumé au Panthéon en 1988, à l’occasion de son centenaire, sur décision de François Mitterrand[31].
  • Georgius (1891-1970), chanteur français de variétés, y est décédé et inhumé.
  • Louis Carré (1897-1977), galeriste français, ayant fait construire la Maison Louis Carré.
  • Robert Vattier (1906-1982), acteur français et père de l'actrice Bérangère Vattier, y a habité et y est inhumé.
  • Pierre Viansson-Ponté (1920-1979), enseignant et journaliste, exerça un mandat de conseiller municipal à Bazoches-sur-Guyonne.
  • Brigitte Bardot (1934), actrice et chanteuse française et militante de la cause animale, possédait sur la commune, une résidence léguée à sa fondation.
  • Robert Etcheverry (1937-2007), acteur français, marié à l'actrice Bérangère Vattier de 1963 à 1983, a vécu pendant 20 ans à Bazoches-sur-Guyonne.
  • Bérangère Vattier (1941-2001), actrice française et fille de l'acteur Robert Vattier, mariée à l'acteur Robert Etcheverry de 1963 à 1983, a vécu à Bazoches-sur-Guyonne.
  • Henry Leca (1914-1981), compositeur, chef d'orchestre et son épouse Rose Mania (1922-1997), chanteuse, ont vécu à Bazoches.

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

  • Le patrimoine des communes des Yvelines - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), « Bazoches-sur-Guyonne », p. 565–567

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références modifier

Site de l'Insee modifier

Autres sources modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Bazoches-sur-Guyonne et Saint-Léger-en-Yvelines », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Saint-Leger_sapc » (commune de Saint-Léger-en-Yvelines) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Saint-Leger_sapc » (commune de Saint-Léger-en-Yvelines) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Saint-Rémy-l'Honoré. », sur insee.fr (consulté le ).
  11. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. [PDF]« Occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) », sur cartoviz.iau-idf.fr (consulté en ).
  16. a et b Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  17. LONGNON (Aug.), Pouillé de la Province de Sens (1904), p. 212,
  18. Noms de lieu d'Île-de-France – M. Mulon – 1997 - (ISBN 9782862532202) Éditeur : Christine Bonneton.
  19. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  20. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. « Les maires de Bazoches-sur-Guyonne », sur francegenweb.org (consulté le ).
  22. Réélu pour le mandat 2008-2014 : Résultats des élections municipales de mars 2008 sur le site officiel de la préfecture des Yvelines..
  23. « Dominique Nicco », sur fr.linkedin.com (consulté le ).
  24. « Procès verbal du conseil municipal du 28 mai 2020 » [doc], Comptes-rendus des conseils municipaux, sur bazoches-sur-guyonne.fr (consulté le ).
  25. Site officiel de l'inspection académique des Yvelines.
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bazoches-sur-Guyonne (78050) », (consulté le ).
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
  31. a et b Sébastien Birden, « Yvelines : bienvenue dans la maison de Jean Monnet, berceau de l’Union européenne : À Bazoches-sur-Guyonne, l’ancienne demeure de ce haut fonctionnaire, qui a été l’un des principaux artisans de la construction européenne, est aujourd’hui un musée qui revisite les coulisses de notre histoire récente. Suivez le guide ! », Le Parisien,‎ (Sébastien Birden, consulté le ).
  32. Site officiel de la Maison Jean-Monet
  33. Laurent Mansart, « Yvelines : venez voir les 700 animaux qui ont trouvé refuge chez Brigitte Bardot », sur leparisien.fr, (consulté le ).