Anoye

commune française du département des Pyrénées-Atlantiques

Anoye
Anoye
Mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes du Nord-Est Béarn
Maire
Mandat
Alain Lavoye
2020-2026
Code postal 64350
Code commune 64028
Démographie
Gentilé Anoyais
Population
municipale
128 hab. (2021 en diminution de 17,42 % par rapport à 2015)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 23′ 44″ nord, 0° 08′ 11″ ouest
Altitude Min. 199 m
Max. 344 m
Superficie 9,65 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Anoye

Anoye est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie modifier

Localisation modifier

La commune d'Anoye se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 26 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 23 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lembeye[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Baleix (2,0 km), Momy (2,4 km), Abère (3,1 km), Maspie-Lalonquère-Juillacq (3,2 km), Gerderest (3,6 km), Lespourcy (3,9 km), Peyrelongue-Abos (4,2 km), Lucarré (4,5 km).

Sur le plan historique et culturel, Anoye fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Accès modifier

La commune est desservie par les routes départementales 7 et 604.

Lieux-dits et hameaux modifier

Hydrographie modifier

 
Réseaux hydrographique et routier d'Anoye.

La commune est drainée par le Léez et par deux petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 10,53 km de longueur totale[21],[Carte 1].

Le Léez (56 km) prend sa source dans la commune de Gardères, s'écoule du sud vers le nord et traverse le territoire communal dans sa partie est. Il se jette dans l'Adour à Barcelonne-du-Gers, après avoir traversé 31 communes[22].

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[23]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[24].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 169 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[25]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Vic-en-Bigorre à 15,4 km à vol d'oiseau[26], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 937,3 mm[27],[28]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[29].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Espaces protégés modifier

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[30],[31]. Un espace protégé est présent sur la commune : le « coteau de Lembeye », un terrain acquis (ou assimilé) par un conservatoire d'espaces naturels,, d'une superficie de 97,5 ha[32].

Réseau Natura 2000 modifier

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : les « coteaux de Castetpugon, de Cadillon et de Lembeye »[34],[Carte 2].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 4] est recensée sur la commune[35],[Carte 3] : les « coteaux calcaires du Béarn » (461,36 ha), couvrant 20 communes du département[36].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Anoye est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[37],[38],[39].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[40],[41].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (66,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,3 %), forêts (33,2 %), prairies (18 %), zones urbanisées (2,6 %)[42]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune d'Anoye est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[43]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[44].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Léez. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1989, 2007 et 2009[45],[43].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Anoye.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[46]. 65,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[47].

Toponymie modifier

Le toponyme Anoye apparaît sous les formes Noja (vers 1060[48], d'après Pierre de Marca[49]) Anoia (XIe siècle[50], cartulaire de l'abbaye de Saint-Pé[51] et 1131[48], cartulaire de Morlaàs), Noye (1212[48], d'après Pierre de Marca[49]), Noia (XIIIe siècle[50], fors de Béarn[52]), le casteg d'Anoge (1372[50], titres de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[53]), Noye (1385[50], censier de Béarn[52]), Sanctus Orentius de Anoya (1485[50], titres de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[53]), Noge sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[48]) et Annoye (1801[54], Bulletin des lois).

Son nom béarnais est Anoja[55] ou Anouye[56].

Brigitte Jobbé-Duval[57] mentionne que l’origine du toponyme est latine (noda ou noia) et désigne un « terrain marécageux ».

La Brouste était un bois de la commune d’Anoye, mentionné en 1778[50] (dénombrement d'Anoye[58]) et 1863[50] (dictionnaire topographique Béarn-Pays basque).

Selon Paul Raymond, La Cave était, en 1863[50], un hameau d’Anoye.

Le chemin de la Commande, reliant Momy à Anoye, est une partie du chemin Romiu, nom qui s'appliquait à tous les chemins suivis depuis le XIe siècle par les pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle, couramment bordés de commanderies, d'hôpitaux ou auberges. Ce toponyme apparaît sous la forme lo molin deu Pont sur le Lés (1538[50], réformation de Béarn[59]), qui désignait un moulin dépendant de la commanderie de Saint-Jean de Jérusalem de Caubin et Morlaàs.

Paul Raymond cite en 1863[50], le hameau Caubin de Sendets, ancienne commanderie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, citée sous les graphies los Ospitals de Sendegs e de Caubin de l'ordie de Sent Johan de Jherusalem (1341[50], titres de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[53]), l'Espitau de Sendetz d'Anoya (1492, notaires de Pau[60]), l'Espitau de Scendetz et l'Espitau quy lo comanday de Cauby thien (respectivement 1538 et 1548, réformation de Béarn[59]), Caubii de Sendets, Boirie Saint-Jacques et la Commande de Sendets (1585 pour ces trois formes, titres d'Anoye[61]).

Histoire modifier

C'est semble-t-il à partir du château initial construit sur une motte voisine de l'église que le bourg s'est développé[62].

En 1385, lors du recensement demandé par Gaston Fébus, le village d'Anoye comptait 45 feux et dépendait du bailliage de Lembeye. Il y avait un marché, trois à quatre boulangeries et sept échoppes[63].

Anoye était le siège d'un marché concédé en 1472 qui souffrit néanmoins de l'importance prise par Lembeye[62].

En 1648[50], la baronnie de Lons devient un marquisat, qui inclut Abitain, Anoye, Baleix, Castillon, Juillacq, le Leu (hameau d'Oraàs), Lion, Lons, Maspie, Oraàs, Peyrède (fief d'Oraàs), Sauvagnon et Viellepinte. Anoye était le chef-lieu d'une circonscription nommée la clau d'Anoye[50], comprenant Anoye, Maspie, Juillacq et Lion.

Les Hospitaliers modifier

Brigitte Jobbé-Duval[57] indique que le village, halte sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle, est identifié depuis le XIe siècle. Il existait d'ailleurs à Anoye un hôpital tenu par les Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem sous la responsabilité du commandeur de Caubin. Paul Raymond[50] note qu'Anoye est un ancien archipréché du diocèse de Lescar, membre de la commanderie de Saint-Jean de Jérusalem de Caubin et Morlaàs.

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2014 Jean Puyo    
2014 En cours Alain Lavoye SE Fonctionnaire
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité modifier

Anoye fait partie de quatre structures intercommunales[64] :

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[65]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[66].

En 2021, la commune comptait 128 habitants[Note 8], en diminution de 17,42 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
498454480557605543547552535
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
500438433360379337339330298
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
294279277233230215202183176
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
171123111121139142144145154
2018 2021 - - - - - - -
139128-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[54] puis Insee à partir de 2006[67].)
Histogramme de l'évolution démographique

Anoye fait partie de l'aire urbaine de Pau.

Économie modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Patrimoine civil modifier

Un ensemble fortifié[68] (motte, basse-cour, fossé, ouvrage d'entrée, église, château) témoigne d'une présence seigneuriale dès le XIe siècle.

On trouve également des ruines d'un hôpital[11] de Sendetz (Saint-Dèce ?) des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, fondé en 1315. Il était semble-t-il situé à la sortie du village, sur l'ancien chemin de Saint-Jacques et était encore mentionné avec son église en 1570[62]. Elles recelaient deux bornes[69], dites « maltaises », du XVIIIe siècle, l'une étant à présent au musée de Morlaàs, la seconde ayant disparu. De cet hôpital dépendait un moulin à eau, dit du Pont (1607), sans doute reconstruit en 1838[62].

Anoye possède un ensemble de demeures[70],[14] (dont une ancienne abbaye laïque au lieu-dit Astis[7]) et de fermes[71],[16],[20],[19],[13],[15],[9],[12],[10] datant des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles.

Située à la sortie du village, la maison dite château de Salettes[72] fut construite elle aussi au XVIIe siècle et remaniée aux siècles suivants..

En face de l’église, se trouvait la maison commune[73], reconstruite en 1771[62].

On trouve également dans la commune une fontaine[74] datant de 1652 et deux moulins[18],[17] du XVIIIe siècle et du XIXe siècle.

Le pont[75] sur le Léez date de 1784 et 1790. Il est inscrit à l’Inventaire général du patrimoine culturel.

Patrimoine religieux modifier

L’église Saint-Orens d'Astis est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[76]. L'église est dédiée à saint Orens d'Auch.

Église Notre-Dame d'Anoye modifier

L'église Notre-Dame[77], ancienne chapelle castrale des XIIe, XIIIe et XIVe siècles. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel. L'église est dédiée à Notre-Dame.

Elle fut construite et remaniée en 1757 (à la suite de l'effondrement du toit et d'une partie des murs), 1764 (ajout d'une sacristie), 1777 (couverture) et 1878 (construction d'une chapelle dédiée à la Vierge) et en 1930 (réfection du clocher)[62]. De toutes ses transformations, ne subsiste du XVIe siècle que la porte d'entrée. Elle recèle du mobilier[78], sept verrières[79], des tableaux[80], des statues[81] et des objets[82] inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel, tout comme une croix[83] et une dalle funéraire[84] du cimetière.

Le presbytère[85], quant à lui, date du début du XVIIIe siècle (1701) et fut réparé au XVIIIe siècle.

Jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, Anoye comptait une autre église (église Saint-Orens[8]) au lieu-dit Astis. C'était la première église paroissiale qui fut abandonnée (1757) car trop éloignée du bourg[62].

Anoye est une étape sur la via Tolosana (ou voie toulousaine), nom latin d'un des quatre chemins de France du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[33].
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Hydro » sur Géoportail (consulté le 9 août 2021)..
  2. « Sites Natura2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Anoye », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Anoye », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

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  3. Stephan Georg, « Distance entre Anoye et Serres-Castet », sur fr.distance.to (consulté le ).
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  9. a et b « La ferme du lieu-dit Bourdallé », notice no IA00026428, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  10. a et b « La ferme du lieu-dit Cantou », notice no IA00026423, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  11. a et b « L'hôpital de l'Ordre de Malte », notice no IA00027520, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, Notice no IA00027290.
  12. a et b « La ferme du lieu-dit Fustié », notice no IA00026424, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  13. a et b « La ferme du lieu-dit l’Honoré », notice no IA00026430, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  14. a et b « La maison du lieu-dit Hourticq », notice no IA00026426, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  15. a et b « La ferme du lieu-dit Lermanou », notice no IA00026429, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  16. a et b « La ferme dite maison Puyo-Ladevèse », notice no IA00026437, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  17. a et b « Le Mouly d’Anoye », notice no IA00027287, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  18. a et b « Le Mouly deu Poun », notice no IA00027508, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  19. a et b « La ferme du lieu-dit Nouaou », notice no IA00026433, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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