Angous

commune française du département des Pyrénées-Atlantiques

Angous
Angous
L'église Saint-André
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Béarn des Gaves
Maire
Mandat
Francis Lansalot-Matras
2020-2026
Code postal 64190
Code commune 64025
Démographie
Gentilé Angousiens
Population
municipale
95 hab. (2021 en diminution de 8,65 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 17′ 41″ nord, 0° 48′ 45″ ouest
Altitude Min. 133 m
Max. 262 m
Superficie 6,22 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Mauléon-Licharre
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Cœur de Béarn
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Angous
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Angous
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Angous

Angous [ɑ̃ɡus] est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie modifier

Localisation modifier

La commune d'Angous se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 48 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 25 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture, et à 22 km de Mourenx[4], bureau centralisateur du canton du Cœur de Béarn dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Navarrenx[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Arrast-Larrebieu (2,9 km), Susmiou (3,9 km), Sus (4,1 km), Moncayolle-Larrory-Mendibieu (4,2 km), Castetnau-Camblong (4,5 km), Gurs (4,9 km), Charre (5,0 km), Lichos (5,1 km).

Sur le plan historique et culturel, Angous fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].

Accès modifier

Le territoire d'Angous est traversé par les routes départementales 2 et 69.

Lieux-dits et hameaux modifier

Hydrographie modifier

 
Réseaux hydrographique et routier d'Angous.

La commune est drainée par le Serrot, le Riu de Carrié et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 7,55 km de longueur totale[9],[Carte 1].

Climat modifier

Historiquement, la commune est dans une zone de transition entre les climats océaniques aquitain et basque[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 281 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein à 14 km à vol d'oiseau[13], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 323,1 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Réseau Natura 2000 modifier

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche »[18],[Carte 2].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Angous est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[19],[20],[21].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mauléon-Licharre, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[22],[23].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (81,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (61,3 %), prairies (20,6 %), forêts (18,1 %)[24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune d'Angous est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité moyenne)[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 2009[27],[25].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Angous.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[28]. 99,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[29].

Toponymie modifier

Attestations anciennes modifier

Le toponyme Angous apparaît sous les formes Angos (1385[8], censier de Béarn[30]), Anguos (1548[8], réformation de Béarn[31]), Saint-André d'Angous (1673[8], insinuations du diocèse d'Oloron[32]), Angoust (1793[33]), Angons (1801[33], Bulletin des lois) et Angous sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[34]).

Étymologie modifier

Angous représente la substantivation de l’adjectif gascon hangós au sens de « terrain marécageux, fangeux », qui s’est fixé dans la toponymie, il s'agit d'un dérivé du substantif hanga « fange, boue ». Il est issu du bas latin *fangosu « fangeux », d'origine germanique, devenu hangós en gascon. En ce qui concerne le toponyme, le H- initial a disparu dans la graphie[34],[35].

Autres toponymes modifier

Caillau est un fief mentionné en 1863[8], dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque.

Dalen est une ferme de la commune, citée par le dictionnaire de 1863[8].

Les Navailles, ancien hameau d'Angous, est à l'origine une commune fondée en 1366[8]. En 1385[8], elle rassemblait quatre feux et dépendait du bailliage de Navarrenx. Le toponyme est mentionné sous les graphies Navailles (1366[8], titres des Navailles), Los Nabalhes (1385[8], censier de Béarn[30]), Los navalhees d'Angos (1412[8], notaires de Navarrenx[36]), Los quoate Nabalhes (1538[8], réformation de Béarn[31]) et Les Navaillès (1593[8], titres d'Angous[37]).

Les Randuches était un écart d’Angous, mentionné en 1366[8] (titres des Navailles).

Serbielle, ferme d’Angous, apparaît sous les graphies Serviele (1385[8], censier de Béarn[30]) et Servielle (1863[8], dictionnaire topographique Béarn-Pays basque).

Serrot est un hameau de la commune cité par Paul Raymond en 1863[8].

Histoire modifier

Paul Raymond[8] note que la commune comptait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.

En 1385, Angous comptait 12 feux et dépendait du bailliage de Navarrenx.

La baronnie de Gabaston[8], vassale de la vicomté de Béarn, était composée d'Angous, Navailles et Susmiou.

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1959 2001 David Layous    
2001 2008 Roger Eyheremendy    
2008 En cours Francis Lansalot-Matras    

Intercommunalité modifier

La commune fait partie de six structures intercommunales[38] :

  • la communauté de communes du canton de Navarrenx ;
  • le syndicat AEP de Navarrenx ;
  • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat de la perception de Navarrenx ;
  • le syndicat intercommunal des gaves et du Saleys ;
  • le syndicat mixte forestier des chenaies des vallées basques et béarnaises.

Population et société modifier

Démographie modifier

Le nom des habitants est Angousiens[39],[35].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[41].

En 2021, la commune comptait 95 habitants[Note 7], en diminution de 8,65 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
342356383352385387372382365
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
351325317291289305265278270
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
273242261250249228225214224
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
196158151129121111103101109
2015 2020 2021 - - - - - -
1049595------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

L'activité est tournée principalement vers l'agriculture (élevage, pâturages, cultures maraîchères et horticoles). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

L'église Saint-André date[43] du XIXe siècle. L'église est dédiée à l'apôtre saint André. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel depuis 2003.

La secte Tabitha's Place est présente sur le territoire de la commune où elle possède une propriété de onze hectares.

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[17].
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Hydro » sur Géoportail (consulté le 9 août 2021)..
  2. « Sites Natura2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Angous », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a b et c « Métadonnées de la commune d'Angous », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Angous et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Angous et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Angous et Mourenx », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches d'Angous », sur villorama.com (consulté le ).
  6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  7. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab ac ad ae af ag et ah Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
  8. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t et u Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne).
  9. « Fiche communale d'Angous », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  17. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  18. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Angous », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  21. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  25. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Angous », sur Géorisques (consulté le ).
  26. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  27. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  29. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  30. a b et c Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne).
  31. a et b Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  32. Manuscrits du XVIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  33. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. a et b Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059).
  35. a et b Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux : Pyrénées-Atlantiques, Archives et Culture, (ISBN 978-2-35077-151-9).
  36. Notaires de Navarrenx - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  37. Titres d'Angous - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  38. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  39. Gentilé sur habitants.fr
  40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  43. « L'église Saint-André », notice no IA64000569, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.