Amplier

commune française du département du Pas-de-Calais

Amplier
Amplier
Amplier vue depuis l'église.
Blason de Amplier
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité Communauté de communes des Campagnes de l'Artois
Maire
Mandat
Hubert Tassencourt
2020-2026
Code postal 62760
Code commune 62030
Démographie
Gentilé Ampliois
Population
municipale
304 hab. (2021 en diminution de 0,33 % par rapport à 2015)
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 08′ 18″ nord, 2° 24′ 02″ est
Altitude Min. 61 m
Max. 148 m
Superficie 8,71 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Avesnes-le-Comte
Législatives 1re circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Amplier
Liens
Site web amplier.fr

Amplier est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Ampliois.

Elle fait partie de la communauté de communes des Campagnes de l'Artois qui regroupe 96 communes et compte 33 179 habitants en 2019.

Elle possède une partie urbaine principale, à dominante linéaire, et une autre partie « Le petit Amplier », constituée de deux petits hameaux à quelque trois kilomètres du bourg, contigus à la commune de Terramesnil, dans la Somme.

Géographie modifier

Localisation modifier

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes, dont quatre dans le département de la Somme :

Géologie et relief modifier

La superficie de la commune est de 8,71 km2 ; son altitude varie de 61 à 148 mètres[1].

Hydrographie modifier

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

La commune est traversée par le fleuve côtier l'Authie, d'une longueur de 108,18 kilomètres, qui prend sa source dans la commune de Coigneux, située dans le département de la Somme, et qui se jette dans la Manche entre les communes de Berck et de Fort-Mahon-Plage[3].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 805 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saulty à 13 km à vol d'oiseau[6], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 899,7 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Paysages modifier

La commune s'inscrit dans l'est du « paysage du val d’Authie » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[10].

Ce paysage, qui concerne 83 communes, se délimite : au sud, dans le département de la Somme par le « paysage de l’Authie et du Ponthieu, dépendant de l’atlas des paysages de la Picardie et au nord et à l’est par les paysages du Montreuillois, du Ternois et les paysages des plateaux cambrésiens et artésiens. Le caractère frontalier de la vallée de l’Authie, aujourd’hui entre le Pas-de-Calais et la Somme, remonte au Moyen Âge où elle séparait le royaume de France du royaume d’Espagne, au nord.

Son coteau Nord est net et escarpé alors que le coteau Sud offre des pentes plus douces. À l’Ouest, le fleuve s’ouvre sur la baie d'Authie, typique de l’estuaire picard, et se jette dans la Manche. Avec son vaste estuaire et les paysages des bas-champs, la baie d’Authie contraste avec les paysages plus verdoyants en amont.

L’Authie, entaille profonde du plateau artésien, a créé des entités écopaysagères prononcées avec un plateau calcaire dont l’altitude varie de 100 à 163 m qui s’étend de chaque côté du fleuve. L’altitude du plateau décline depuis le pays de Doullens, à l'est (point culminant à 163 m), vers les bas-champs picards, à l'ouest (moins de 40 m). Le fond de la vallée de l’Authie, quant à lui, est recouvert d’alluvions et de tourbes. L’Authie est un fleuve côtier classé comme cours d'eau de première catégorie où le peuplement piscicole dominant est constitué de salmonidés. L’occupation des sols des paysages de la Vallée de l’Authie est composé de 70% en culture[11].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] : la vallée de la Quillienne, ses vallons adjacents et bois d'Orville, d’une superficie de 2 143 hectares et d'une altitude variant de 65 à 154 mètres. Cette vallée associe des influences thermophiles dans les lisières et sur les pelouses et un caractère psychrophile au niveau des forêts de ravins. Une partie du site est occupée par l’agriculture intensive[12].

 
Carte de la ZNIEFF sur la commune.

Urbanisme modifier

 
Entrée de la commune via Orville.

Typologie modifier

Amplier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[13],[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (92,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,4 %), prairies (9,4 %), zones agricoles hétérogènes (9,3 %), forêts (5,1 %), zones urbanisées (2,7 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Ampleias villa (877), Amplers (1138)[19], Ampliet (1793 & 1801), Amplier-lez-Orville.

Le nom de la commune vient du latin ampliare, qui signifie agrandir. En effet, Amplier doit son nom aux développements successifs de la commune d'Orville qui, ne pouvant plus contenir dans son enceinte le nombre toujours croissant de ses habitants, donna naissance à cette seconde bourgade. Elle est mentionnée sous le nom « d'Ampleias Villa » dans le diplôme de Charles le Chauve de 877, qui assigne deux manoirs sur ce village à l'abbaye de Marchiennes.
Ou du germanique ampla (oseille) + lari « espace inculte »[19].

Histoire modifier

Dès l'année 1138, l'abbaye de Saint-Michel possédait des terres importantes.

Au XIe siècle, Amplier figure parmi les fiefs qui avaient été donnés à la collégiale de Saint-Pol par le comte Roger, et il est désigné comme étant situé in terra Maisnil, d'où les historiens ont conclu qu'il dépendait alors de cette seigneurie.

Son église construite au XVIIe siècle a remplacé une ancienne maison-forte.

Avant la Révolution française, Amplier est le siège d'une seigneurie.

En 1758, la seigneurie de Galametz, relevant du château d'Hesdin, est érigée en comté, associées à celles de Marconne, Amplier et Quint-d'Orville, sous la dénomination de comté de Brandt, du nom du seigneur qui bénéficie de cette promotion[20].

Des fouilles pratiquées dans la motte castrale d'Amplier ont amené la découverte de vieilles armes et de tombeaux.

Une maladrerie y fut également fondée, à la suite des croisades, mais il est impossible d'en retrouver l'emplacement.

Amplier était gouverné par les mêmes seigneurs qu'Orville, dont il était un fief, et dépendait, comme son chef-lieu, du diocèse d'Amiens.

En raison de sa position sur la frontière de Picardie, ce village était gardé par six hommes de la gabelle, pour empêcher le transport du sel et du tabac. Un poste surveillait aussi le pont qui était fermé par une barrière pendant la nuit[21].

Politique et administration modifier

Découpage territorial modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités modifier

La commune est membre de la communauté de communes des Campagnes de l'Artois.

Circonscriptions administratives modifier

La commune est rattachée au canton d'Avesnes-le-Comte.

Circonscriptions électorales modifier

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1977 mars 2001 Serge Lefebvre    
mars 2001 2020 Thierry François   Agriculteur retraité
Maire honoraire en 2020[22],[23]
2020 En cours
(au 26 avril 2022)
Hubert Tassencourt   Ingénieur et cadre d'entreprise[24],[25],[26]

Équipements et services publics modifier

Justice, sécurité, secours et défense modifier

La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants d'Arras[27].

Population et société modifier

Démographie modifier

Ses habitants sont appelés les Ampliois[28].

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].

En 2021, la commune comptait 304 habitants[Note 5], en diminution de 0,33 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
450485463453555543551506517
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
515544553489429369340724514
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
417410335311278264250238255
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
266273261230271248275284306
2014 2019 2021 - - - - - -
308300304------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

La découverte de sables phosphatés sur le territoire de la commune voisine : Orville (voir ci-après) en 1887 fit doubler la population d'Amplier, qui passa en quatre ans de 340 à 724 habitants. La commune d'Orville a une histoire bien particulière, liée à la découverte de sables phosphatés en 1887. À cette époque, la population d'Orville est passée en quatre ans de 461 à 1 503 habitants ! On comptait jusqu'à 30 carrières d'extraction de sable phosphaté à Orville, dans lesquelles travaillaient plus de 500 ouvriers belges. Les importations de phosphate du Maroc et de Tunisie, moins coûteux et plus riche, ont mis fin à l’exploitation. Le site, « les buttes d'Orville », est maintenant occupé par un parcours de ball-trap.

Pyramide des âges modifier

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,3 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 152 hommes pour 149 femmes, soit un taux de 50,5 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
3,3 
75-89 ans
9,4 
21,2 
60-74 ans
20,8 
21,9 
45-59 ans
21,5 
20,5 
30-44 ans
18,8 
19,2 
15-29 ans
12,1 
13,9 
0-14 ans
17,4 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Économie modifier

Revenus de la population et fiscalité modifier

En 2019, dans la commune, il y a 121 ménages fiscaux qui comprennent 298 personnes pour un revenu médian disponible par unité de consommation[Note 6] de 21 180 euros, soit supérieur au revenu médian de la France métropolitaine qui est de 21 930 euros[34],[35].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
L'église.
  • Monument aux morts des guerres de 1914-1918 et 1939-1945, en granit de Belgique. Monument de 4,30 m de haut avec Croix de guerre 1914-1918, avec couronne d'immortelle et palme[36].
  • L'église Saint-Hilaire.
  • Une aire de jeux pour petits et grands[37].

Personnalités liées à la commune modifier

  • Alexandre François Ignace de Brandt, seigneur de Galametz, Marconne, Amplier, Quint-d'Orville, à la moitié du XVIIIe siècle, a pris part à la plupart des batailles de Flandre et s'est distingué à la bataille de Lauffeld et autres, où il a été employé comme cornette dans le régiment de Royal-Cravatte. Il bénéficie en mars 1758, par lettres données à Versailles, de la promotion de la seigneurie de Galametz associée à celles citées en comté. Il est le fils de Louis François de Brandt, mayeur (maire) de la ville d'Aire, place que Philippe et François de Brandt, ses aïeux ont également occupée. Sa mère Marie Agnès Ptolomey était fille de Paul Gabriel Marie comte Ptolomey, d'une noble famille d'Italie; un de ses parents Charles de Brandt nommé en 1666 capitaine de soixante hommes d'armes, sous le duc d'Havré, a rempli ce poste jusqu'à sa mort. Il est d'une ancienne famille noble alliée aux Salperwick, marquis de Grigny, de Fléchin, Wamin, de la Ferté, de le Vacque[20].

Héraldique modifier

Les armes d'Amplier se blasonnent ainsi : De sable à la crosse d’argent, au franc-canton d’or[38].

Pour approfondir modifier

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Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Définition de l'unité de consommation selon l'INSEE : pour comparer les niveaux de vie de ménages de taille ou de composition différente, on divise le revenu par le nombre d’unités de consommation (UC). Celles-ci sont généralement calculées de la façon suivante : 1 UC pour le premier adulte du ménage, 0,5 UC pour les autres personnes de 14 ans ou plus, 0,3 UC pour les enfants de moins de 14 ans. Cette échelle d’équivalence (dite de l’OCE) tient compte des économies d’échelle au sein du ménage. En effet, les besoins d'un ménage ne s'accroissent pas en stricte proportion de sa taille. Lorsque plusieurs personnes vivent ensemble, il n'est pas nécessaire de multiplier tous les biens de consommation (en particulier, les biens de consommation durables) par le nombre de personnes pour garder le même niveau de vie.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - L'Authie (E5500570) » (consulté le )
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Amplier et Saulty », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Saulty » (commune de Saulty) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Saulty » (commune de Saulty) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du val d’Authie », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  12. « ZNIEFF 310013768 - Vallée de la Quillienne, ses vallons adjacents et bois d'Orville », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. a et b Toponymie générale de la France: Tome 2, Formations non-romanes - Ernest Nègre
  20. a et b Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 88, lire en ligne
  21. site de la mairie d'Amplier : http://mairie.amplier.free.fr.
  22. « Amplier: Thierry François enfile à nouveau l’écharpe majorale : C’est dans la continuité que s’est déroulée l’élection du premier magistrat puisque Thierry François, maire sortant, a été réélu sans surprise. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  24. « Thierry François nommé maire honoraire », Courrier picard,‎ , p. 18
  25. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  26. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  27. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
  28. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Amplier (62030) », (consulté le ).
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  34. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2019 de la commune », sur Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) (consulté le ).
  35. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2019 de la France métropolitaine », sur Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) (consulté le ).
  36. « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
  37. « L'aire de jeux répond aux attentes des habitants », Courrier picard,‎ , p. 15.
  38. Banque du Blason