Aluminium, notre poison quotidien

film documentaire de Valérie Rouvière sorti en 2012
Aluminium, notre poison quotidien

Réalisation Valérie Rouvière
Scénario Valérie Rouvière
Émilie Helmbacher
Sociétés de production Ligne de Mire Production
Pays de production Drapeau de la France France
Genre Documentaire
Durée 50 min
Première diffusion

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

Aluminium, notre poison quotidien est un film documentaire réalisé en 2011 par la réalisatrice française Valérie Rouvière[1],[2] et la journaliste Émilie Helmbacher.

Produit par Ligne de Mire Production[3] avec la participation de France Télévisions, il est diffusé pour la première fois sur France 5 le [4],[5],[6].

Synopsis modifier

Le documentaire présente les différentes études et travaux réalisés sur la toxicité de l'aluminium et son utilisation dans le domaine agro-alimentaire.

Le docteur Pierre Souvet, président de l'Association santé environnement France (ASEF), explique que de son point de vue, « alerter les populations sur la toxicité de l’aluminium me paraît important. C’est un produit inutile. […] Il n’apporte rien à l’organisme, si ce n’est des ennuis[7] ».

Le documentaire militant indique que l'accumulation de cet élément dans le corps humain a des effets neurotoxiques[2], augmentant le risque de maladie d'Alzheimer ou causant une maladie infectieuse rare, la myofasciite à macrophages, syndrome identifié depuis 1993[7],[1].

L'association de consommateurs Que Choisir, comme le docteur Pierre Souvet, dénonce l'utilisation de l'aluminium dans l'alimentation :

Il est également précisé qu'aucun texte ne contraint les industriels à afficher les quantités utilisées de cet élément, ni ne fixe de limite à ces usages[2]. L'Autorité européenne de sécurité des aliments conseille depuis 2008 aux consommateurs de ne pas dépasser la dose hebdomadaire d'aluminium (1 milligramme par semaine et par kilo corporel)[2].

Le documentaire pose la question du remplacement des vaccins au phosphate de calcium (inoffensif) par ceux à l'aluminium[1].

Le professeur Romain Gherardi, neuropathologiste à l'hôpital universitaire de Créteil, annonce en s'appuyant sur les recherches déjà menées : « sur les métaux, on a des histoires qui se répètent. Ce qui est arrivé pour le plomb, le mercure et l'amiante arrivera pour l'aluminium »[1],[7].

Références modifier

  1. a b c et d Mélina Gazsi, « Aluminium, notre poison quotidien », Le Monde,
  2. a b c d e f g et h Télérama : Aluminium, notre poison quotidien
  3. Festival Imagésanté
  4. Sophie Benarrosh, À la recherche de ma santé perdue, Éditions du Moment, 2015.
  5. (en) Mimi Sheller, Aluminum Dreams: The Making of Light Modernity, The MIT Press, 2014, p. 268.
  6. Marie-Laure André, Les additifs alimentaires, Éditions Jouvence, 2013.
  7. a b c d e f g et h Capucine jacob, « L'aluminium est un poison pour notre santé pourtant nous en consommons à notre insu », Féminin Bio,

Liens externes modifier

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