Alliance nationale pour le changement (Algérie)

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L'Alliance nationale pour le changement (ANC) désigne deux démarches politiques en Algérie :

  • L’Alliance nationale pour le changement (ANC) du mois de mars 2011 regroupant des personnalités politiques telles Ahmed Benbitour, Tahar Benbaïbèche et des partis politiques agréés comme l'Islah de Djamel Benabdeslam, le RPR d'Abdelkader Merbah, Jil Jadid de Soufiane Djilali et d'autres non-agréés comme le Mouvement pour la prédiction et le changement d’Abdelmadjid Menasra et le PLJ de Mohamed Saïd[1].
  • L’Alliance nationale pour le changement (ANC) du mois d'avril 2014 lancée par des hommes politiques et des universitaires algériens à l’instar de Samir Bouakouir et Karim Tabbou, Anouar Heddam (ex-FIS), Mourad Dhina (Rachad), le professeur Omar Aktouf, Tahar Belabes et l’ancien ministre Ghazi Hidouci[2], se donne pour mission d’encourager et mener un débat politique serein et ouvert sur les thèmes de la gouvernance, de la transition politique et de la réconciliation nationale ; d’œuvrer pour le rassemblement de toutes les forces patriotiques au-delà des clivages politiques et idéologiques ; d’élaborer un programme concret pour la conception et la mise en place du contrôle démocratique effectif des forces armées et des services de sécurité ; d’élaborer un programme concret pour la conception et la mise en place d’une approche globale et effective pour la lutte contre la corruption ; d’encourager un débat avec tous les partenaires et élaborer un programme concret pour la concrétisation d’un Espace nord-africain commun ; de mobiliser la société civile et mener l’action politique de changement sur le terrain avec des moyens pacifiques[3].

Notes et références modifier