Alba Regia
Autres noms K&H Bank-Matav (1992-1994)
Casino d'Etretat (1994-1996)
Modern University for the Humanities (depuis 1998)
Type Monocoque
Classe 60 pieds IMOCA
Fonction régate, course au large
Gréement Sloop
Histoire
Architecte Nándor Fa et Lexen
Constructeur chantier Nándor Fa
Fabrication Verre - Epoxy
Lancement juillet 1990
Caractéristiques techniques
Longueur 18,28 m
Tirant d'eau 3,80 m
Déplacement 10,5 tonnes
Lest 3 tonnes
Hauteur de mât 25 m
Voilure 238 m2 au près - 458 m2 au portant
Carrière
Pavillon Drapeau de la Hongrie Hongrie (1990-1994)
Pavillon national français France (1994-1998)
Drapeau de la Russie Russie (depuis 1998)

Alba Regia est un voilier monocoque de course au large mis à l'eau en juillet 1990, conçu par et construit par Nándor Fa[1].

Historique modifier

Pour sa première compétition, Nándor Fa l'engage dans le BOC Challenge 1990 qu'il termine à la dixième place en classe 1 (14e au général).

En 1992, le bateau prend le nom de K&H Bank-Matav en vue du Vendée Globe qu'il achève à la 5e place en 128 j 16 h 05 min 04 s malgré une bôme cassée.

En 1994, le directeur du casino d'Étretat rachète le bateau[1] en vue de participer à la Route du Rhum avec comme skipper Éric Dumont sous le nom de Casino d'Etretat. Il termine 12e au général et 7e monocoque.

En 1996, il est mis en vente à Pointe-à-Pitre sans mât pour 800 000 F. En 1997, il est ramené à Brest avec le mât Fujicolor par Anne Liardet qui envisageait de faire la Transat Jacques-Vabre avec, mais le projet est abandonné. En 1998, Fyodor Konyukhov le renomme Modern University For The Humanities pour participer à l'Around Alone 1998-99. Après avoir terminé 6e de la première étape, Fedor abandonne dans la seconde. En 2000, il s'engage dans le Vendée Globe mais il abandonne au sud de Sidney[2].

Palmarès modifier

K&H Bank-Matav modifier

Casino d'Etretat modifier

Modern University For The Humanities modifier

Notes et références modifier

  1. a et b « Alba Regia », sur histoiredeshalfs.com (consulté le ).
  2. Michel Chemin, « Fedor Konyukhov lâche la lanterne rouge », sur liberation.fr, (consulté le ).