Akiko Seki

Cantatrice soprano et cheffe de chœur japonaise
Akiko Seki
関鑑子
Description de cette image, également commentée ci-après
Akiko Seki en 1955.

Naissance
Tokyo
Drapeau du Japon Japon
Décès (à 73 ans)
Tokyo
Drapeau du Japon Japon
Activité principale Chanteuse, Professeur de chant, Education musicale, Chef de chœur
Soprano
Style
Activités annexes traductrice des vers mis en musique
Lieux d'activité Japon
Années d'activité 1921 - 1973
Collaborations Yasuji Kiyose, Yūzō Toyama
Éditeurs Ongaku Center (Tokyo)
Famille Tadasuke Seki (関忠亮?) (1915-1994; frère de Akiko, activiste de La Voix chantante du Japon)
Distinctions honorifiques Prix Staline pour la paix en 1955

Akiko Seki (関 鑑子?) est une chanteuse japonaise née le à Tokyo et morte le à Tokyo. Elle est généralement considérée comme la fondatrice du mouvement La Voix chantante du Japon (日本のうたごえ / うたごえ運動, Nihon no Utagoe / Utagoe-undō?)[1],[2],[3],[4].

Biographie modifier

 
Couverture de la première collection de Chansons pur la jeunesse éditée par Akiko Seki (Tokyo, Typographie de la section culturelle de la Ligue de la jeunesse communiste du Japon, 1948)
  •  : Akiko Seki est diplômée de chant artistique à l'école de musique de Tokyo 東京音楽学校 (Tōkyō Ongaku Gakkō?)[5].
  •  : À la première première Journée des travailleurs d'après-guerre de Tokyo, elle dirige L'Internationale et la Chanson du drapeau rouge (Version japonaise de la chanson anglaise The Red Flag), et cette expérience l'a amené à la création d'un mouvement musical national de la classe ouvrière[6],[4].
  •  : Elle crée le Chœur de la Ligue de la jeunesse communiste du Japon (日本共産青年同盟 中央合唱団, Nihon-Kyōsan-seinen-dōmei Chūō-gassyōdan?) à Tokyo, comme le noyau du mouvement musical national de la classe ouvrière[1],[5].
  •  : Elle reçoit le Prix Staline pour la paix[4].

Écrits modifier

  • Collection de Chansons pur la jeunesse 「青年歌集」 (Seinen-kasyū?) (Tokyo, Typographie de la section culturelle de la Ligue de la jeunesse communiste du Japon, 1948).
  • Puisque je suis envoûtée de la voix chantante 「歌ごえに魅せられて」 (Utagoe ni miserarete?) (Tokyo, 1971)[7].

Références modifier

  1. a et b (ru) Akiko Seki (Сэки Акико), entrée de Большая Советская Энциклопедия (БСЭ).
  2. (ru) Seki Akiko - жизнь между политикой и искусством, article par Олег Калинка (Saint-Pétersbourg, 22 février 2011).
  3. (ru) Поющие голоса Японии, entrée par M.P. Леоноваde sur (ru) Музыкальная энциклопедия.
  4. a b et c (en) Catalogue de Library of Congress, Chapter 22. Seki Akiko: the red primadonna of Japan by William P. Malm, in: Music from the Middle Ages Through the Twentieth Century: Essays in Honor of Gwyn McPeek (New York, 1988).
  5. a et b (ja) Recherche-NDL. Plusieurs auteurs: Grande rose rouge: mémoires autour de Akiko Seki (Tokyo, 1981). 関鑑子追想集編集委員会 編「大きな紅ばら: 関鑑子追想集」(東京、 1981年)関鑑子略年譜
  6. Akiko Seki, Théorie de La Voix chantante du Japon: Qu'est-ce que c'est la musique? (numéro spécial du magazine Chisei, Tokyo, 1956), p. 58. 関鑑子「うたごえ運動の理論-音楽とは何か-」(「知性」1956年増刊号[東京、河出書房])58ページ
  7. (ja) Recherche-NDL. Akiko Seki, Puisque je suis envoûtée de la voix chantante (Tokyo, 1971). 「歌ごえに魅せられて」(東京、1971年)

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier