Aillon-le-Jeune

commune française du département de la Savoie

Aillon-le-Jeune
Aillon-le-Jeune
Entrée dans le chef-lieu de la commune.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Savoie
Arrondissement Chambéry
Intercommunalité Grand Chambéry
Maire
Mandat
Serge Tichkiewitch
2020-2026
Code postal 73340
Code commune 73004
Démographie
Population
municipale
429 hab. (2021 en diminution de 1,38 % par rapport à 2015)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 37′ 09″ nord, 6° 04′ 53″ est
Altitude Min. 877 m
Max. 2 040 m
Superficie 34,09 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Chambéry
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Alban-Leysse
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Aillon-le-Jeune

Aillon-le-Jeune est une commune française située dans le département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie modifier

Situation modifier

Le chef-lieu d'Aillon-le-Jeune est situé dans une vallée du massif des Bauges, au pied du mont Colombier (2 043 m) à l'est, du Mont Margériaz à l'ouest et du Mont de la Buffaz au sud. On y accède, au sud, par la route du col des Près.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 496 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Feclaz_sapc », sur la commune des Déserts à 5 km à vol d'oiseau[3], est de 6,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 652,2 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Aillon-le-Jeune est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chambéry, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (88,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (73,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (12,8 %), prairies (6,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,7 %), zones agricoles hétérogènes (2,2 %), zones urbanisées (1,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,8 %)[12].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l'évolution dans le temps de l'occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie modifier

Aillon-le-Jeune est composée d'un toponyme dérivé du nom d'un propriétaire gallo-romain auquel a été ajouté l'adjectif « le Jeune », la distinguant de sa voisine « le Vieux » (voir ci-après).

Aillon ou Allionis est un toponyme semblant désigner un ancien fundus dont le nom du propriétaire est passé à la propriété, dans la période gallo-romaine le terme recouvre le territoire d'une exploitation agricole avec ses installations spécifiques et le logis de son propriétaire[13],[14]. Le propriétaire semble être un certain Allio, Allionis, dérivé du gentilice Allius selon le chanoine Gros[13], ou peut être est-il un hypocoristique du prénom Élie[14].

Les mentions de la paroisse ou de sa chartreuse ou de ses représentants évoluent au cours des siècles. Le chanoine Adolphe Gros reprend le travail de l'historien spécialiste du territoire des Bauges, l'abbé Laurent Morand (1830-1894), auteur de Les Bauges : histoire et documents (3 tomes, Chambéry, 1889- 1890-1891). On trouve ainsi Guigo prior de Allione en 1158, Domus Allionis vers 1178, date supposée de la fondation de la chartreuse, puis Bernardus prior de Allione en 1198, prior Allonis en 1223, Cura de Allion vers 1344, Prioratus de Ayllone au XIVe siècle[13],[14].

En 1803, lors de la division de la paroisse, on distingue Aillon-le-Vieux, là où se trouve l'ancienne église dédiée à Saint Donat, et Aillon-le-Jeune où l'on érige une nouvelle église dédiée à Notre-Dame de l'Assomption et qui accueille la station de sports d'hiver Les Aillons-Margériaz[13]. Trois ans après l'annexion de la Savoie, en 1863, la division des deux paroisses donne naissance à deux communes distinctes portant le nom des deux paroisses[13],[15],[16].

En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Alyon-le-Zhoènô, selon la graphie de Conflans[17].

Histoire modifier

Dès 1804, Aillon est déjà divisée en deux paroisses : au nord de la vallée, Aillon-le-Vieux, là où se trouve l'ancienne église dédiée à Saint Donat, et au sud, Aillon-le-Jeune, où l'on érige alors une nouvelle église dédiée à Notre-Dame de l'Assomption. Elle est construite au carrefour de la route qui mène à la chartreuse d’Aillon et de celle qui monte au col des Prés. De style néo-roman, elle est terminée en 1806.

La division administrative des deux communes n'est officiellement entérinée que trois ans après l'Annexion de la Savoie, en 1863.

Sports d'hiver modifier

Tournant important dans la vie de la commune, les activités dédiées à la neige et aux sports d'hiver sont lancées par le conseil municipal de la commune en 1964. Les premières installations à voir le jour sont un téléski et un téléski à câble bas ou « fil neige » au lieu-dit de la Correrie à l'est du chef-lieu, à l'emplacement de l'actuelle station d'Aillon.

En 1980, un nouveau domaine skiable voit le jour sur les pentes orientales du mont Margériaz, lequel donne son nom à l'actuelle station du Margériaz.

Dix ans plus tard, alors que les sommets du mont Pelat et du mont Margériaz sont devenus accessibles en télésiège et téléskis dans chacune des deux stations, celles-ci se regroupent en un unique domaine skiable « Les Aillons-Margériaz » exploité par la Société d'économie mixte (SEM) des Bauges.

Au cours de l'hiver 2015-2016, Aillon-Station devient "Aillons-Margériaz 1000" et Le Margériaz devient "Aillons-Margériaz 1400".

Autres sports modifier

La commune a accueilli le prologue du Rallye automobile Monte-Carlo 1986. Cette discipline était alors à son apogée et le public se rue sur le parcours sinueux, enneigé et en partie boisé de 2,6 km. Plus de 60 000 spectateurs sont présents, le double de ce qui était prévu par la gendarmerie. La spéciale est d'ailleurs retransmise en direct sur TF1 en multicaméras avec les commentaires de Bernard Darniche, et profite évidemment d'une bonne audience, succès du rallye de l'époque oblige. Le village se voit ainsi offrir une belle publicité et 60 000 personnes présente sur la journée. Les embouteillages furent nombreux autour du village après l'épreuve. Le rallye de nos jours n'a que peu de chance de revenir sur les routes d'Aillon-le-Jeune, le parcours ne s'étendant pas plus haut que nord de Valence et le village célèbre de Saint-Bonnet-le-Froid[réf. nécessaire].

Le Tour de France cycliste passe par Aillons-le-Jeune (via le col des Prés) une première fois en 1998, puis en 2013.

Politique et administration modifier

Situation administrative modifier

 
Mairie d'Aillon-le-Jeune.

Administration municipale modifier

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 11[18].

Les élections municipales de 2014 se sont déroulées par élections des candidats au scrutin majoritaire, en deux tours[19].

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981 ? Gaston Trépier DVG  
mars 2001 mars 2008 André Guerraz DVD  
mars 2008 mars 2014 Roger Ginollin SE  
avril 2014 octobre 2018
(démissionnaire)
Philippe-Albert Trepier SE  
décembre 2018 mars 2020 Emmanuelle Andrevon SE  
mars 2020 En cours Serge Tichkiewitch[20] SE  

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1866. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[22].

En 2021, la commune comptait 429 habitants[Note 3], en diminution de 1,38 % par rapport à 2015 (Savoie : +3,33 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
742710693698734712649613563
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
546420395354352293284232211
1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018 2021
225250261339424446437434429
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (33,6 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,4 % la même année, alors qu'il est de 26,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 224 hommes pour 210 femmes, soit un taux de 51,61 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,96 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[24]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
1,0 
5,4 
75-89 ans
5,2 
19,2 
60-74 ans
17,6 
30,4 
45-59 ans
25,7 
17,0 
30-44 ans
19,0 
14,3 
15-29 ans
11,9 
13,4 
0-14 ans
19,5 
Pyramide des âges du département de la Savoie en 2020 en pourcentage[25]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
1,9 
7,1 
75-89 ans
9,8 
16,9 
60-74 ans
17,8 
21,2 
45-59 ans
20,5 
18,9 
30-44 ans
18,4 
17,1 
15-29 ans
15,2 
18 
0-14 ans
16,4 

Santé modifier

Enseignement modifier

La commune d'Aillon-le-Jeune est située dans l'académie de Grenoble. En 2015, elle administre une école primaire publique « La Combe », constituée d'une école maternelle et une école élémentaire et regroupant 34 élèves[26].

Médias modifier

Radios et télévisions modifier

La commune est couverte par des antennes locales de radios dont France Bleu Pays de Savoie, ODS radio ou encore la radio des Bauges Radio Alto... Enfin, la chaîne de télévision locale TV8 Mont-Blanc diffuse des émissions sur les pays de Savoie. Régulièrement l'émission La Place du village expose la vie locale du bassin annécien. France 3 et son décrochage France 3 Alpes, peuvent parfois relater les faits de vie de la commune.

Presse et magazines modifier

La presse écrite locale est représentée par des titres comme Le Dauphiné libéré[27]. Plus localement, on trouve aussi d'autres journaux avec La Vie nouvelle[28] ou encore l'Essor savoyard.

Économie modifier

Tourisme modifier

 
Vue de la station d'Aillon-le-Jeune.

Station de ski des Aillons-Margériaz : 1 850 m au sommet des pistes ; 40 km de pistes de ski alpin ; 40 km de ski de fond.

En 2014, la capacité d'accueil de la commune, estimée par l'organisme Savoie Mont Blanc, est de 3 735 lits touristiques répartis dans 642 structures[Note 4]. Les hébergements se répartissent comme suit : 137 meublés ; une structure d'hôtellerie de plein air ; 3 centres ou villages de vacances/auberges de jeunesse ; 5 refuges ou gîtes d'étape et deux chambres d'hôtes[29].

Culture et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Espaces verts et fleurissement modifier

En 2014, la commune obtient le niveau « deux fleurs » au concours des villes et villages fleuris[31].

Personnalités liées à la commune modifier

Jumelage modifier

Aillon-le-Jeune est jumelée avec la commune de Sauzon, située sur l'île de Belle-Île-en-Mer.

Cinéma modifier

En 1933, c'est en partie à Aillon-le-Jeune qu'est tourné le film Knock, réalisé par Roger Goupillières et Louis Jouvet.

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • Michèle Brocard, Lucien Lagier-Bruno, André Palluel-Guillard, Histoire des communes savoyardes : Aix-les-Bains et ses environs - Les Bauges - La Chartreuse - La Combe de Savoie - Montmélian (vol. 2), Roanne, Éditions Horvath, , 463 p. (ISBN 978-2-7171-0310-6), p. 116-120. ([PDF] lire en ligne)
  • Laurent Morand, Les Bauges : histoire et documents : Peuple et Clergé (IIIe volume), Chambéry, Imprimerie savoisienne, , 684 p. (lire en ligne).

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. La structure Savoie Mont Blanc, pour ces données statistiques de capacité d'accueil en termes de lits touristiques d'une station ou d'une commune, additionne les établissements marchands, qui appartiennent au secteur de l'hôtellerie, et les hébergements non marchands, qui n'impliquent donc pas de transaction commerciale comme les résidences secondaires[29].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Aillon-le-Jeune et Les Déserts », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Feclaz_sapc », sur la commune des Déserts - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Feclaz_sapc », sur la commune des Déserts - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Chambéry », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a b c d et e Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé, (réimpr. 2004, 2021) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 21..
  14. a b et c « Article « Aillon, Aillon-le-Jeune, Aillon-le-Vieux » », sur le site Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs, site personnel de henrysuter.ch (consulté en ).
  15. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Aillon-le-Vieux », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  16. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. Lexique Français - Francoprovençal du nom des communes de Savoie - Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 19
    Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
    .
  18. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  19. « Accueil Municipales 2014 > SAVOIE (73) > A > Résultats reçus 2e tour », sur le site du ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  20. « Qui sont les 38 maires des communes de Grand Chambéry ? », Le Dauphiné libéré, édition Savoie, (consulté le ).
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Aillon-le-Jeune (73004) », (consulté le ).
  25. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Savoie (73) », (consulté le ).
  26. « Savoie (73) > Aillon-le-Jeune > École »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  27. « Aillon-le-Jeune | Savoie », sur ledauphine.com (consulté le ).
  28. « La Vie Nouvelle | Les Affiches de Chambéry et de Savoie », sur la-vie-nouvelle.fr (consulté le ).
  29. a et b « La capacité d'accueil touristique en Savoie-Mont-Blanc »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Observatoire, sur le site Savoie-Mont-Blanc - pro.savoie-mont-blanc.com, (consulté en ) : « Les données détaillées par commune, et par station : nombre de structures, nombre de lits par type d'hébergements (fichier : Détail des capacités 2014, .xlsx) ».
  30. Françoise Dantzer, Les Bauges : Terre d'art sacré, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Savoisiennes », , 251 p. (ISBN 978-2-8420-6272-9), p. 74.
  31. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).