Aigre (Charente)

commune nouvelle de la Charente, France

Aigre
Aigre (Charente)
Vue de la mairie d'Aigre.
Blason de Aigre
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Charente
Maire
Mandat
Renaud Combaud
2020-2026
Code postal 16140
Code commune 16005
Démographie
Gentilé Aigrinois
Population
municipale
1 597 hab. (2021 en augmentation de 44,26 % par rapport à 2015)
Densité 67 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 53′ 43″ nord, 0° 00′ 41″ est
Altitude Min. 60 m
Max. 151 m
Superficie 23,82 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Charente-Nord
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Aigre
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Aigre
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Aigre
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Aigre

Aigre est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie modifier

Géographie physique modifier

Localisation modifier

Aigre est située au nord-ouest de la Charente à une quarantaine de kilomètres au nord d'Angoulême. La ville se trouve aux confins des anciennes provinces de l'Angoumois, de la Saintonge et du Poitou.

Géomorphologie et relief modifier

Le sol de la commune appartient au calcaire du Jurassique du Bassin aquitain, comme toute la moitié nord du département de la Charente. La commune est sur le Jurassique supérieur, plus précisément le Kimméridgien. Une petite zone de grèzes datant du Quaternaire couvre ce plateau au sud-ouest de la commune, et des alluvions (limons et argiles) recouvrent la vallée de l'Aume. Les alluvions les plus anciennes se sont accumulées en terrasses, principalement au nord de la commune[1],[2],[3],[4].

Le relief de la commune est celui d'un plateau assez vallonné descendant vers le centre où se trouve la vallée de l'Aume. Dans cette vallée se trouve la ville d'Aigre. Le point culminant est à une altitude de 151 m, situé au nord-est dans la forêt de Tusson. Le point le plus bas est à 60 m, situé le long d'un bras de l'Aume à l'extrémité sud-est de la commune. La ville d'Aigre, construite dans une ancienne boucle de la rivière, est à 65 m d'altitude, et le bourg de Villejésus, construit au bord de la vallée, est à 75 m d'altitude[5].

Hydrographie modifier

Deux cours d'eau référencés par le Sandre traversent la commune. Il s'agit de l'Aume[6] affluent de la Charente et du ruisseau de Siarne[7] affluent de l'Aume.

L'Aume prend sa source à Bouin (Deux-Sèvres) et se jette dans le fleuve Charente à Ambérac. Elle traverse la ville d'Aigre, construite principalement sur sa rive droite.

L'Aume se divise en plusieurs bras, dont certains traversent le vieux bourg.

Le ruisseau de Siarne, à sec en été, se jette dans l'Aume à l'extrémité nord de la commune.

On trouve aussi quelques fontaines comme la Font du Geau, ou au pied du château de Crève-Cœur[5].

Climat modifier

Aigre bénéficie d'un climat océanique aquitain, mais comme tout le département Aigre a subi la seconde tempête de fin décembre 1999, la tempête Martin et la tempête Klaus en 2009, ainsi qu'une inondation mémorable en décembre 1982.

Géographie humaine modifier

Urbanisme et aménagement du territoire modifier

La commune d'Aigre présent un habitat relativement dispersé. Si l'essentiel de la population se concentre au chef-lieu de commune Aigre, depuis le , la commune de Villejésus s'est associée à la commune d'Aigre.

Hameaux et lieux-dits modifier

Les principaux hameaux sont : l'Ouche et Saint-Méxant au nord-ouest, et la commune ne compte que quelques fermes isolées comme la Combe et Cessac, ainsi que le lotissement de la Broussette et le château de Crève-Cœur à l'ouest. Au sud-est, la Servanterie, la zone du collège du Renclos et Aizet en limite avec Marcillac-Lanville sont quasiment collés au noyau urbain[5].

Hameaux de l'ancienne commune de Villejésus :

  • la Motte ;
  • les Granges ;
  • la Chaussée ;
  • Basleville ;
  • le Redour ;
  • Saint-Aubin ;
  • Chollet ;
  • les Loges, qui furent construites en 1800, lors de l'exploitation de la forêt, pour y loger les commis et ouvriers ;
  • le Champ-Cavreau ;
  • le Bois-Gaulis ;
  • Fontbrun (ferme et un manoir).

Activité économique et de services modifier

Le commerce de proximité et l'artisanat sont les activités dominantes de la commune avec les services de santé de proximité et les établissements d'enseignement élémentaire et secondaire.

Voie de communication et transports modifier

Le département de la Charente n'est pas irrigué par le réseau autoroutier français, l’accès par l'autoroute A10 se fait via la nationale 10 par la sortie   30 Poitiers-Sud au nord et via l'ancienne nationale 739 par la sortie   34  Saint-Jean-d'Angély à l'ouest.

La commune est traversée par trois anciennes routes nationales : la RD 739 relie Tonnay-Charente à Fontafie, la RD 736 qui relie de Ruffec à Saint-Fort-sur-le-Né et la RD 737 qui relie de Nanteuil à Angoulême[5].

La gare locale est la gare de Luxé sur la Ligne Paris - Bordeaux. Elle est desservie par le réseau TER Nouvelle-Aquitaine et le TGV y passe sans s'arrêter. La ligne Saint-Angeau-Segonzac passait autrefois à Aigre.

L'aéroport le plus proche est l'aéroport international Angoulême-Cognac[8].

Communes limitrophes modifier

 
Le plan de la commune

Hydrographie modifier

Aigre est baignée par l'Aume.

Géologie et relief modifier

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune d'Aigre est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée)[9]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[10].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Aume et le ruisseau de la Couture. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993 et 1999[11],[9].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Aigre.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 68,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 960 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 934 sont en aléa moyen ou fort, soit 97 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[12],[13].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[14].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 1992 et par des mouvements de terrain en 1999[9].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Aigre est une commune rurale[Note 1],[15]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].

Toponymie modifier

Les formes anciennes sont Acria au XIIIe siècle[20]. À la fin du XIIIe siècle, Aigre apparaît sous le nom d'Acriacis, puis Agria au XVIIe siècle[21].

Le village pourrait avoir été construit autour de la propriété d'un riche gallo-romain nommé Acrius[22],[21].

Histoire modifier

Il est fait mention d'une église au XIIIe siècle.

Du château situé au lieu-dit Saint-Méxant qui fut l'objet de travaux de fortifications en 1472 il ne subsistait que la fuie, l'enclos et les douves en 1906. La chapelle construite avant 1706 est elle aussi détruite[23]. Ce fief était au XVe siècle aux mains d'un gentilhomme écossais, Wastre Vallantin, puis est passé au XVIIe siècle en possession de la famille Poisson de Saint-Maixant, originaire de l'Aunis[24].

Aigre appartenait à la châtellenie de Marcillac et était une très pauvre vicairie de l'archiprêtré d'Ambérac, sans titulaire, annexée à celle de Mons depuis le XVe siècle. En 1789, la cure d'Aigre est enfin pourvue.

Marie de Médicis s'arrêta à Aigre en 1619[24].

Au XVIe siècle, une grande partie de la population passe à la Réforme et Aigre forma avec Marcillac une paroisse protestante de la province synodale du Poitou. Après que les seigneurs de La Rochefoucauld sont revenus au catholicisme[24], le culte est interdit à Marcillac en 1665, puis le une sentence du grand sénéchal de Poitou ordonne la fermeture du lieu de culte d'Aigre[25],[26],[24].

Le , Villejésus est intégrée à Aigre qui devient une commune nouvelle, ceci est acté par un arrêté préfectoral du [27].

Politique et administration modifier

Administration municipale modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2001 2008 Philippe Combaud SE Assureur
2008 2020 Jean-Paul Ayrault DVD Technicien agricole retraité
2020 En cours Renaud Combaud    
Les données manquantes sont à compléter.

Fiscalité modifier

La fiscalité est d'un taux de 16,05 % sur le bâti, 49,81 % sur le non bâti, 7,13 % pour la taxe d'habitation et 11,48 % de taxe professionnelle (chiffres 2007).

La communauté de communes prélève 2,61 % sur le bâti, 6,06 % sur le non bâti, 1,09 % pour la taxe d'habitation et 1,45 % de taxe professionnelle.

Tendances politiques modifier

Élection présidentielle de 2002 modifier

Inscrits : 789 - Abst. : 19,52 % - Jacques Chirac : 504 voix (84,28 %) - Jean-Marie Le Pen : 94 voix (15,72 %)

Élection présidentielle de 2007 modifier

Inscrits : 751 - Abst. : 13,45 % - Nicolas Sarkozy : 374 voix (58,90 %) - Ségolène Royal : 261 voix (41,10 %)

Élection présidentielle de 2012 modifier

Inscrits : 724 - Abst. : 15,61 % - Nicolas Sarkozy : 305 voix (52,32 %) - François Hollande : 278 voix (47,68 %)

(Source : Ministère de l'Intérieur[réf. incomplète])

Politique environnementale modifier

Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[28].

Jumelages modifier

Démographie modifier

Les habitants sont nommés les Aigrinois et les habitantes les Aigrinoises[29].

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].

En 2021, la commune comptait 1 597 habitants[Note 2], en augmentation de 44,26 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
1 3101 4281 3831 4231 5641 6621 6881 7551 689
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 8121 8461 7621 7701 6781 5781 5101 4531 374
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 4061 4491 3431 3101 2081 2101 1881 1771 243
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
1 1501 1651 1661 1761 1411 1121 1091 0881 591
2021 - - - - - - - -
1 597--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 23,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 43,8 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 764 hommes pour 821 femmes, soit un taux de 51,8 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
2,2 
90 ou +
6,1 
13,2 
75-89 ans
17,9 
23,1 
60-74 ans
24,7 
21,0 
45-59 ans
18,9 
14,3 
30-44 ans
11,4 
12,1 
15-29 ans
10,1 
14,0 
0-14 ans
11,0 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie modifier

Agriculture modifier

L'agriculture est principalement céréalière.

La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[36].

Industrie modifier

Le moulin à blé, dit Moulin du Château qui date du XVIIIe siècle a été transformé au XIXe siècle en utilisant la force motrice de la turbine pour l'atelier de fabrication de la liqueur Angélus.

Actuellement, il est devenu la distillerie Gautier qui employait en 1990 32 personnes à l'usine et 20 commerciaux[37]. Cognac Gautier a rejoint le groupe Berger en 1975, lui-même repris par le groupe Marie Brizard en 1995[38].

Équipements, services et vie locale modifier

Enseignement modifier

Le collège d'enseignement secondaire de l'Osme regroupe 180 à 200 élèves de la 6e à la 3e répartis dans huit classes[39].

Aigre possède aussi une école élémentaire comprenant quatre classes[40].

Services modifier

Chef-lieu de canton, Aigre bénéficie d'une gendarmerie et d'un centre de secours.

Sports modifier

Cyclisme modifier

Le cyclisme est très implanté à Aigre, le club s'appelle désormais l'ACJAR[41], il organise plusieurs courses amateurs dans le nord-ouest de la Charente dont le Critérium de Villejésus et le Tour du pays d'Aigre. En 2010, le club organise, avec la fédération française handisport, le championnat de France de cyclisme handisport sur la commune de Saint-Fraigne.

La commune avait déjà été traversée par le Tour de France mais pour la première fois, Aigre a connu en 2009, l'arrivée de la 1re étape du 23e Tour du Poitou-Charentes et la victoire d'Anthony Ravard, le mardi [42]. Le départ de la seconde étape a eu lieu le lendemain à Rouillac.

Le cyclotourisme n'est pas en reste puisque le CC Aigrinois organise entre autres une randonnée bisannuelle la Coco Trainaud[43] dont la dernière épreuve se déroula le , elle porte le nom d'un ancien coureur qui a fait beaucoup pour le cyclisme local[44].

Football modifier

Le football reste un sport important dans la commune avec un club fondé en 1902 qui participa au championnat USFSA des Charentes avant la Première Guerre mondiale. Par la suite, le club resta longtemps au niveau régional et fut en 1968 au palmarès du Challenge de la ligue du Centre-Ouest[45].

Handball modifier

Le club de handball féminin a vu le jour dans les années 1990[46].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Patrimoine religieux modifier

L'église paroissiale Saint-Pierre d'Aigre : l'église primitive a été construite en 1620. Reconstruite au bord de l'Aume, en 1868, sur les plans de l'architecte Alexandre Tessier, elle s'affaissa en 1870 et fut rebâtie de 1874 à 1877 sur pilotis. Le clocher à flèche en maçonnerie a été achevé en 1882[47],[48]. En 1905, les bas-côtés commencèrent à s'écarter du vaisseau central. En 1936 et en 1982, d'importants travaux de consolidation furent entrepris. En 2010, des verrières furent garnies de nouveaux vitraux.

L'église paroissiale Notre-Dame de Villejésus date initialement du XIIe siècle et était une ancienne commanderie hospitalière. Elle a été détruite et restaurée à deux reprises, aux XVIIe et XIXe siècles[49].

Patrimoine civil modifier

Rue des Planches et le long de la D 736, deux maisons du XIXe siècle possèdent chacune pigeonnier et lavoir[50].

Le château situé au lieu-dit Crève-Cœur a été construit après 1870 à la place d'un château dont les bâtiments étaient disposés autour d'une cour carrée[51].

Plusieurs tumulus sont présents au lieu-dit la Pierre Rousse et sont répertoriés dans la liste des dolmens de Charente.

Des fermes, un logis et un château situé au bois d'Ambérac composent aussi le patrimoine architectural communal[52].

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blasonnement :
D’or à la barre d’azur, à la grappe de raisin sommé d’un épi de mais senestré de deux épis de blé en bouquet, le tout aussi d’or brochant, à l’escargot du même à la coquille aussi d’azur brochant à dextre, ledit bouquet accompagné à senestre de treize gouttes ordonnées en arc de l’un en l’autre[53].

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

Références modifier

  1. Carte du BRGM sous Géoportail
  2. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  3. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Matha », sur Infoterre, (consulté le ).
  4. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Mansle », sur Infoterre, (consulté le ).
  5. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  6. Sandre, « L'Aume [R21-0400] - Cours d'eau selon la version Carthage 2017 », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
  7. Sandre, « Ruisseau de Siarne [R2100660] - Cours d'eau selon la version Carthage 2017 », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. Le site de l'aéroport d'Angoulême-Cognac
  9. a b et c « Les risques près de chez moi - commune d'Aigre », sur Géorisques (consulté le ).
  10. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  11. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  12. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  13. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  14. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Aigre », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 140.
  21. a et b Jean-Marie Cassagne et Stéphane Seguin, Origine des noms de villes et villages de Charente, Jean-Michel Bordessoules, , 311 p. (ISBN 2-913471-06-4), p. 10
  22. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 5.
  23. « Château de Saint-Mexant », notice no IA00040743, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  24. a b c et d Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 38
  25. Dr Joseph Mouclier, "Quelques notes historiques sur les 82 communes de l'arrondissement de Ruffec." - Tome I, La ville de Ruffec et les communes du canton d'Aigre. - Études Locales, janvier-février 1921
  26. Catillus Carol, « Aigre », (consulté le ).
  27. Marie Lajus, « Arrêté portant création de la commune nouvelle d'Aigre par fusion des communes d'Aigre et de Villejésus », Recueil des actes administratifs spécial n°16-2018-043,‎ , p. 3-5 (lire en ligne)
  28. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris, consulté le .
  29. Les gentilés d'Aigre
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Aigre (16005) », (consulté le ).
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
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  38. Le site Cognac Gautier
  39. Site de l'inspection d'académie de Charente, « Collèges » (consulté le ).
  40. Site de l'inspection d'académie de Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
  41. « Association Cycliste Jarnac Aigre Rouillac » (consulté le ).
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  43. « [PDF] Coco Trainaud ».
  44. René Trainaud, premier trésorier de l'Amicale des Clubs Cycliste de la Charente
  45. Football, Challenge Centre-Ouest
  46. Le club de Handball
  47. « Église paroissiale », notice no IA00040738, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  48. Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 15
  49. « L'église-commanderie Notre-Dame », notice no IA00040906, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  50. « Maison avec pigeonnier et lavoir », notice no IA0004091, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  51. « Crève-Cœur », notice no IA00040737, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  52. « Villejésus », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  53. Jean-Paul de Gassowski, « OLDJP - La banque du blason 2 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), (consulté le ).