Aéroport de Saint-Honoré

aéroport à Saint-Honoré (Québec)

Aéroport de Saint-Honoré
Tour de contrôle de NAV CANADA (à gauche) et bâtiment du CQFA (à droite) à Saint-Honoré.
Tour de contrôle de NAV CANADA (à gauche) et bâtiment du CQFA (à droite) à Saint-Honoré.
Localisation
Pays Drapeau du Canada Canada
Ville Saint-Honoré
Coordonnées 48° 31′ 15″ nord, 71° 03′ 02″ ouest
Altitude 166 m (543 ft)
Informations aéronautiques
Code IATA YRC
Code OACI CYRC
Type d'aéroport Public
Gestionnaire Gouvernement du Québec
Pistes
Direction Longueur Surface
18/36 1 138 m (3 734 ft) Asphalte
12/30 1 855 m (6 085 ft) Asphalte
06/24 1 096 m (3 597 ft) Asphalte
Géolocalisation sur la carte : Québec
(Voir situation sur carte : Québec)
YRC
Géolocalisation sur la carte : Canada
(Voir situation sur carte : Canada)
YRC

L'aéroport de Saint-Honoré (code OACI : CYRC) est situé à 1,5 milles marins (2,778 km) à l'est-sud-est de la ville de Saint-Honoré et à environ 5,6 milles marins (10,3712 km) de Chicoutimi, au Québec (Canada)[1],[2].

L'aéroport est le principal site utilisé par le Centre québécois de formation aéronautique (CQFA). Il a également été le siège du festival Saint-Honoré dans le vent pendant plusieurs années.

Histoire modifier

Le site, situé sur la rive nord de la rivière Saguenay, a été sélectionné par l'Aviation royale canadienne au cours de l'été 1941. La construction de l'aéroport a commencé peu de temps après. L'ouverture s'est faite en juin 1942 sous le nom de RCAF Station St-Honoré. D'abord géré comme une installation de la Base des Forces canadiennes Bagotville, il sert de lieu d'entraînement au cours de la Seconde Guerre mondiale dans le cadre du Plan d'entraînement aérien du Commonwealth britannique.

Fermé le , les installations sont transférées à la communauté locale après la cessation des activités militaires, qui reprennent cependant en 1951 principalement comme centre d'entraînement.

Relations avec la communauté modifier

Le niveau de bruit engendré par le trafic de l'aéroport entraîne certaines relations difficiles avec la communauté résidentielle environnante[3]. Des discussions sont entreprises à partir de la fin des années 2010 avec le CQFA afin d'explorer les différentes options pour diminuer les impacts des trajets[3].

Notes et références modifier

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Lien externe modifier