23e régiment d'infanterie (France)
23e régiment d'infanterie | |
![]() Insigne régimentaire du 23e régiment d'infanterie | |
Création | 1636 |
---|---|
Dissolution | 1976 |
Pays | ![]() |
Branche | Armée de terre |
Type | Régiment d'infanterie |
Rôle | Infanterie |
Fait partie de | 11e division d'infanterie |
Devise | "Ce ne sont pas des hommes, ce sont des lions" |
Inscriptions sur l’emblème |
Zurich 1799 Wagram 1809 Lützen 1813 Magenta 1859 L'Aisne 1917 Soissonnais 1918 Roulers 1918 L'Escaut 1918 Secteur fortifié d'Haguenau 1940 AFN 1952-1962 |
Anniversaire | Saint-Maurice Fête le 4 juin (Magenta) |
Guerres | Guerres d'Ancien Régime Guerres napoléoniennes Guerre de 1870 Première Guerre mondiale Seconde Guerre mondiale Guerre d'Algérie |
Fourragères | À la couleur du ruban de la Légion d'honneur |
Décorations | Légion d'honneur Croix de guerre 1914-1918 six palmes Médaille d'or de Milan |
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Le 23e régiment d'infanterie (23e RI) est un régiment d'infanterie de l'Armée de terre française créé sous la Révolution à partir du régiment Royal, un régiment français d'Ancien Régime.
Création et différentes dénominationsModifier
- 1644 : création du Régiment de l'Altesse
- 1656 : création du Régiment Royal
- 1660 : Fusion du Régiment de l'Altesse et du Régiment Royal sous le nom de régiment du Roi
- 1663 : renommé régiment Royal ;
- 1776 : Le régiment Royal est dédoublé.
Les 1er et 3e bataillons conservent le titre, les drapeaux et le costume du régiment Royal.
Les 2e et 4e bataillons forment le régiment de Brie. - 1er janvier 1791 : Tous les régiments prennent un nom composé du nom de leur arme avec un numéro d’ordre donné selon leur ancienneté. Le régiment Royal devient le 23e régiment d'infanterie de ligne ci-devant Royals.
- 1794 : Amalgamé il prend le nom de 23e demi-brigade de première formation
- 1796 : Reformé en tant que 23e demi-brigade de deuxième formation
- 1803 : Renommé 23e régiment d'infanterie de ligne
- 1814 : pendant la Première Restauration et les Cent-Jours, le régiment garde son numéro
- : comme l'ensemble de l'armée napoléonienne, il est licencié à la Seconde Restauration
- : création de la légion de la Loire-Inférieure ;
- 1820 : la 42e légion de la Loire-Inférieure est amalgamée et renommée 23e régiment d'infanterie de ligne.
- 1832 : renommé 23e régiment d'infanterie ;
- 1835 : renommé 23e régiment d'infanterie de forteresse de la Lauter ;
- 1884 : renommé 23e régiment d'infanterie ;
- 1914 : met sur pied son régiment de réserve, le 223e régiment d'infanterie, à la mobilisation d'août ;
- 1939 : 23e régiment d'infanterie de forteresse ;
- 1942 : disloqué ;
- 1945 : 23e régiment d'infanterie ;
- 1946 : 23e bataillon d'infanterie ;
- 1948 : dissous ;
- 1954 : 23e régiment d'infanterie ;
- 1962 : dissous ;
- 1964 : 23e régiment d'infanterie ;
- 1976 : dissous.
Chefs de corpsModifier
Gentilshommes colonels sous l'Ancien RégimeModifier
- : Louis d'Arpajon, duc d'Arpajon (maréchal de camp) ;
- : Charles-Antoine du Châtelet, marquis de Pierrefitte (maréchal de camp) ;
- : François-Joseph de Créquis, marquis de Blanchefort ;
- : Benoît de Calvo, comte de Formiguères (brigadier des armées).
- : Pierre-René de Brisey, comte d'Énonville ;
- : Louis-François d'Aubigné, comte de Tigny ;
- : Jean-Baptiste-Joachim Colbert, marquis de Croissy ;
- : François-César Le Tellier, marquis de Courtanvaux (colonel) ;
- : Louis-Félicien de Boffin-Argenson, marquis de Pusignieu ;
- : Charles-Claude-François du Tillet, marquis du Tillet (colonel) ;
- : Louis-Joseph de Mailly-Nesle, comte de Mailly ;
- : Charles-Léon de Bouthillier, marquis de Chavigny ;
- : Guillaume-Louis-Camille d'Insenghien, comte de Gand.
Colonels sous la Révolution et l'EmpireModifier
- : Jean-Charles de Myon (colonel) ;
- : Colonel Charles Grangier de la Ferrière (devenu général de brigade le ) ;
- 1794 : chef-de-brigade Geraud ;
- 1796 : chef-de-brigade Deshayes ;
- 1796 : chef-de-brigade Menne (?) ;
- 1802 : Albert-François Deriot (général de division) ;
- 1806 : colonel Jean-Frederic Minal ;
- 1811 : colonel Joseph Latour (*) ;
- 1813 : colonel Jean-Honore Vernier.
Colonels contemporainsModifier
- 1870 : colonel Rolland
- 1880 : colonel Alexandre
- 1887 : colonel Thevenin
- 1907 : colonel Dupuis
- …
- 1914 : colonel Hérouard
- 1914 : lieutenant colonel Sohier
- 1917 : lieutenant colonel Brindel
- 1917 : colonel Bares
- 1917 : colonel Meyer
- 1918 : lieutenant colonel Bienaymé
- 1918 : lieutenant colonel Oechminchen
- …
- 1923 : Colonel Pellegrin
- 1927 : Colonel Rochard
- 1930 : Colonel Blin
- 1932 : Colonel Creskens
- 1936 : Colonel L. Senselme
- 1939 - 1940 : Lieutenant-Colonel M. Lefèvre
- …
- 1954 : Colonel Buchalet
- 1955 : Colonel Widerspach-Thor
- 1958-1959: Colonel de Laruelle…
- 1960-1962: Colonel Estadieu
- …
- 1968-1970: Colonel Loriaut (*)
- 1970-....: Colonel Denis (*)
- 1972 : Lieutenant-Colonel Hanss
(*) Officier qui devint par la suite général de brigade.
(**) Officier qui devint par la suite général de division.
Colonels tués ou blessés en commandant le régiment pendant cette période :
- Colonel Minal : blessé le ;
- Colonel Latour : blessé les et ;
- Colonel Vernier : blessé les et ;
- Colonel de Calvo : tué pendant la bataille de Speyerbach le .
Officiers blessés ou tués en servant au 23e entre 1804 et 1815 :
- Officiers tués : 15
- Officiers morts de leurs blessures : 21
- Officiers blessés : 124
Historique des garnisons, combats et batailles du 23e RIModifier
Ancien RégimeModifier
"Ce ne sont pas des hommes, ce sont des lions." Anglais à Fontenoy, 1745.
- 1653-1659 : Espagne
- 1667-1668 : Guerre de Dévolution
- 1672-1678 : Guerre de Hollande
- 1684 : Siège de Luxembourg
- 1688-1697 : Guerre de la Ligue d'Augsbourg
- 1701-1713 : Guerre de Succession d'Espagne
- 1740-1748 : Guerre de Succession d'Autriche
- 1756-1763 : Guerre de Sept Ans
Guerres de la Révolution et de l'EmpireModifier
- 1792 :
- 1793 : Alpes et Belgique
- 1794 :
- Lors du premier amalgame création de la 23e demi-brigade de première formation, formée des :
- Bataille de Charleroi,
- Bataille de Fleurus
- Bataille de Neuwied
- 1796 :
- Reformé en tant que 23e demi-brigade de deuxième formation avec les :
- 27e demi-brigade de première formation (1er bataillon du 14e régiment d'infanterie (ci-devant Forez), 1er bataillon de volontaires du Pas-de-Calais et 11e bataillon des Fédérés Nationaux)
- 1er bataillon de la 175e demi-brigade de première formation (1er bataillon du 98e régiment d'infanterie (ci-devant Bouillon), 5e bataillon de volontaires du Nord et 11e bataillon de volontaires des Vosges)
- 3e bataillon de la 176e demi-brigade de première formation (2e bataillon du 98e régiment d'infanterie (ci-devant Bouillon), 4e bataillon des Fédérés Nationaux et Bataillon de Popincourt)
- Bataille de Bamberg
- Reformé en tant que 23e demi-brigade de deuxième formation avec les :
- 1798-1799 : Suisse
- 1799
- 1800 : Rhin
- 1805 : Italie
- 1806: Quatrième Coalition
- 1807-1809 : Dalmatie - Cinquième Coalition
- 1808 :
- 1809 :
- 1809 : Allemagne
- 1810 : Espagne
- Combats en Catalogne
- 1811
- 1812 :
- 1813 : Campagne d'Allemagne
- 2 mai : Bataille de Lutzen,
- 20-21 mai : Bataille de Bautzen,
- Bataille de Banolas,
- 6 septembre : Bataille de Jüterbog,
- 2 octobre : Bataille de Wartenburg,
- 16 octobre : Bataille de Freiburg
- 16-19 octobre : Bataille de Leipzig
- 1813: Bataille de Hanau
- 1814 : France
- 1815 : Campagne de Belgique
De 1815 à 1848Modifier
- 1823 : Espagne
- 1830-1857 : Algérie
Deuxième RépubliqueModifier
Le régiment sera présent en Algérie.
Second EmpireModifier
"Mes amis, souvenez-vous que vous êtes Français." Sous-lieutenant Colomer, 1857.[réf. nécessaire]
- Campagne d'Italie (1859)
- Guerre franco-prussienne de 1870
- Au camp de Châlons début 1870
- Bataille de Forbach-Spicheren
- Le , le 4e bataillon, formé, pour la plupart, de nouveaux arrivants, quitte le dépôt pour créer le 7e régiment de marche, qui deviendra en septembre le 107e régiment d'infanterie qui formera la 2e brigade de la 1re division du 13e corps d'armée[1] et participe à la première bataille de Châtillon le 19 septembre.
Le 17 novembre 1870 eut lieu le combat de Torçay ou fut engagé une compagnie de marche du 23e RI qui composait le 36e régiment de marche.
Le , la compagnie de marche du 23e RI qui composait le 36e régiment de marche est engagé dans l'affaire du Gué-du-Loir.
Il appartenait alors à la lre Brigade (Général Pouget puis Mangin) de la 2e Division (Général Bataille puis Fauvart-Bastoul) du 2e Corps (Général Frossard).
Son entrée en campagne a été indiquée dans un renvoi.
Étant du 2e Corps, il fut de tous les principaux combats en Lorraine.
Il participa à la reconnaissance offensive sur Sarrebruck le , occupant inutilement l'Exerzir Platz jusqu'au 5, date de son repli sur ordre sur les hauteurs de Stiring à Spicheren. Le 6 il fut à ces deux endroits de la bataille de For-bach, obligé de reculer devant l'ennemi et parfois en désordre, puis après plusieurs défaites.
Ce fut le reflux sur Metz, le 19 après-midi, la 2e Division s'installa sur les pentes sud du fort de Saint-Quentin, non encore terminé. C'était le début du siège. Le une velléité de sortie amena le 2e Corps à franchir Metz pour se porter entre la ferme de Bellecroix et le ravin de Vantoux. L'opération fut annulée et le corps vint s'installer en limite sud du Sablon et de Montigny, entre Seille et Moselle, le long en gros de la voie ferrée, emplacement qu'il gardera jusqu'à la fin. La Division Bataille occupa le sud de Montigny, entre l'ancienne route de Metz-Nancy (l'actuelle RN 57) et la voie ferrée reliant ces deux villes, le 23e R.I . étant à l'est du dispositif, près du fameux pont. Chaque division créa une compagnie de partisans. Le 23e R.I. fournit une section sous les ordres du Lieutenant Coron. Elle fut cantonnée dans la grande rotonde des locomotives de Montigny. Les et 1er septembre ce fut la décevante « sortie » de Noisseville. Le premier jour, le 23e R.I, entre Flanville et Saint-Agnan, eut peu à intervenir mais sa section de partisans alla abattre tous les servants d'une batterie fort dangereuse. Le lendemain ordres et contre-ordres multiplièrent les actions du 23e R.I à Coincy avant le retour près de la culée du pont.
Le fut connue la signature de la reddition de l 'Armée.
Le lendemain, par une pluie battante, le 23e sortait de Metz par le Sablon et la route de Magny pour gagner la ferme de Saint-Thiébault où il devenait prisonnier de guerre. Les compagnies du dépôt du 23e R.I fusionnèrent le avec le 123e de marche pour former à Auxerre le « 15 e provisoire » qui participa à la répression de la Commune de Paris[2].
De 1871 à 1914Modifier
- Reconstitué en 1872.
- Le régiment tient garnison à Soissons, Saint-Quentin, Guise et Bohain puis est intégré en 1874 au 7e corps d'armée et rejoint Bourg-en-Bresse où il va rester jusqu'au à la caserne Aubry. La ville a donné son nom a une rue.
- 1884-1885 : Extrême-Orient
- 1902-1903 appelé contre les grévistes à Saint-Étienne et Lille
Première Guerre mondialeModifier
Rattaché à la 41e Division d'Infanterie d' à [3].
1914Modifier
1915Modifier
- Mars : le dépôt du 23e RI forme une compagnie du 414e régiment d'infanterie.
- Juin : bataille de la Fontelle[3].
- Bataille du Hartmannswillerkopf, en Alsace[3]
1916Modifier
1917Modifier
- Bataille du Chemin des Dames [3]
- Il participa aux mutineries de 1917. Les soldats du régiment manifestent à Ville-en-Tardenois, chantant l'Internationale avec drapeau rouge en tête. Ils jettent des pierres et arrachent l'uniforme du général Bolot. Une seconde manifestation a lieu le lendemain. Le régiment est éloigné en camions et cinq soldats seront condamnés à mort et exécutés[3].
1918Modifier
- Bataille de l'Aisne (1918)[3]
- Oulchy-le-Château[3],
- Bataille de la Lys , dont combat sur l'Escaut[3]
"Régiment d'attaque de premier ordre, très manœuvrier et où les actions d'éclat individuelles ne se comptent plus." Citation 1918.
Citation : "Régiment d'un moral très haut, a constamment fait preuve, au cours de la campagne, d'une belle ardeur offensive et d'une grande habileté manœuvrière."
Entre-deux-guerresModifier
- Le , sur la place de l'Hôtel-de-ville de Paris, le Président de la République a accroché au drapeau, la croix de la Légion d'honneur[4],[5]. Il regagna sa garnison d'avant guerre Bourg après neuf années d'occupation en Allemagne.
Seconde Guerre mondialeModifier
Le 23e RIF (régiment d'infanterie de forteresse) est formé le il appartient au secteur fortifié de Haguenau. Région Militaire, Centre Mobilisateur d'infanterie : réserve A RIF type Metz/Auter ; il est mis sur pied par le CMI 202 de Haguenau. Ne se rendant, avec l'ouvrage du Hochwald, que le , après l'armistice, sur ordre formel du général Huntziger président de la Délégation française auprès de la commission d'Armistice. Ce régiment ne s'était donc pas rendu a l'ennemi malgré la signature de l'Armistice de 1940 et a tenu ses positions jusqu'à l'ordre formel du général Huntziger. Reconstitué à Toulouse le il fut dissous le après l'occupation totale de la France par les Allemands.
De 1945 à nos joursModifier
Reformé en Alsace en février 1945, il connut les derniers combats et l'occupation puis le camp de Drachenbronn avant une nouvelle dissolution le .
Reformé le avec des éléments des 26e R.I, 151e R.I, et 152e R.I
à trois bataillons (effectif 835 chacun) et une compagnie de commandement régimentaire (effectif 137) sous les ordres du colonel Buchalet, le commandant en second est le lieutenant colonel Chotin, intégré à la 11e division d'infanterie.
Il forme avec le 1/28 R.A(effectif:475), un détachement de transmissions (effectif:78) et une antenne chirurgicale (effectif:16), le Groupe Mobile 111 dirigé sur la Tunisie dès le début du mois d'. Placé au nord de la Tunisie (région de la Kroumirie) et passe sous le commandement du colonel De Widerspach Thor en 1955.
Le régiment combat en Tunisie et après le printemps 1957 en Algérie.
Au cessez-le-feu du en Algérie, le 23°RI constitue comme 91 autres régiments, les 114 unités de la Force Locale. Le 23°RI forme deux unités de la Force locale de l'ordre Algérienne, la 415° UFL-UFO a Oum Toub et la 414° UFL-UFO à Nakarta, composés de 10 % de militaires métropolitains et de 90 % de militaires musulmans, qui pendant la période transitoire devaient être au service de l'exécutif provisoire algérien, jusqu'à l'indépendance de l'Algérie. (Accords d'Evian du ).
Le , était créé à Bourg-en-Bresse un centre mobilisateur qui prenait la numéro 23 en souvenir du régiment caserné dans sa ville de 1872 à 1919.
Il se trouve dans la zone nord est constantinois jusqu'en 1961, puis en Allemagne jusqu'à sa dissolution en juillet 1962.
Le , le 23e R.I renait à Sarrebourg qu'il quitte en mai 1968 pour Metz Devant-les-Ponts (Caserne Desvallières) où il fut dissous en été 1976.
Recréé comme régiment de réserve, mis sur pied par le CM144 à Dole pour rattachement à la 107e Brigade de Zone.
DrapeauModifier
Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes[6],[7] :
DécorationsModifier
Sa cravate est décorée de la Croix de la Légion d'honneur en 1919. De la Croix de guerre 1914-1918 avec 6 palmes et de la Médaille d'or de la Ville de Milan .
Il a le droit au port de la Fourragère a la couleur du ruban de la Légion d'honneur décernée le .
Personnages célèbres ayant servi au 23e RIModifier
- Pierre Jules Amadieu y est nommé lieutenant en 1841.
- Eustache Charles d'Aoust, général de la Révolution française, y est officier de 1778 à 1790.
- Marcel Bigeard y sert pendant la campagne de France (1940).
- Le général Jean Ganeval y sert comme lieutenant-colonel alors que le régiment appartient à l'armée d'armistice et est cantonné à Toulouse.
- Philippe Ginestet est adjoint au chef de corps en 1940-1942
- Charles Hausberger y sert entre 1938 et 1940 comme chef de section.
- Jean-de-Dieu Soult sert de 1785 à 1791 au Régiment Royal Infanterie.
Devise et uniformesModifier
Ce ne sont pas des hommes, ce sont des lions
Uniformes d'Ancien RégimeModifier
Uniformes sous la Révolution et le Premier EmpireModifier
Sapeur du 23e RIL sous le Premier Empire de 1812 à 1813 au Château de l'Empéri.
Sources et bibliographiesModifier
- L'histoire du régiment de 1918 à 1962 a été écrite par le capitaine de Coligny (éditions Axor-Danaé, 1999).
- "Armée française. Histoire du 23e régiment d'infanterie de ligne". Par A. Dumas. (impr. de Vve Dondey-Dupré, 1841). FRBNF30373289
Notes et référencesModifier
- Opération du 13e corps et de la 3e armée durant le Siège de Paris (1870) par le général Vinoy, pages 7 et 15
- À partir du Recueil d'Historiques de l'Infanterie Française (Général Andolenko - Eurimprim 1969).
- « Parcours et historique des Régiments d'Infanterie durant 14/18 », sur www.chtimiste.com (consulté le 17 novembre 2020)
- Historique du 23e R.I. (Anonyme, Fournier 1920)numérisé par André Bohdy.
- Collectivité décorées de la Légion d’honneur, 23e régiment d'infanterie de ligne - Ordre de la Légion d’honneur, France-Phaleristique.com
- Décision no 12350/SGA/DPMA/SHD/DAT du 14 septembre 2007 relative aux inscriptions de noms de batailles sur les drapeaux et étendards des corps de troupe de l'armée de terre, du service de santé des armées et du service des essences des armées, Bulletin officiel des armées, no 27, 9 novembre 2007
- Arrêté relatif à l'attribution de l'inscription AFN 1952-1962 sur les drapeaux et étendards des formations des armées et services, du 19 novembre 2004 (A) NORDEF0452926A Michèle Alliot-Marie
- lire en ligne sur Gallica
Voir aussiModifier
Articles connexesModifier
- Liste des régiments français
- Liste des grades dans l'armée française
- Régiments français d'Ancien Régime