Entremont-le-Vieux

commune française du département de la Savoie
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Entremont-le-Vieux
Entremont-le-Vieux
Vue d'Entremont-le-Vieux avec le mont Granier en arrière-plan.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Savoie
Arrondissement Chambéry
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Chartreuse
Maire
Mandat
Anne Lenfant
2020-2026
Code postal 73670
Code commune 73107
Démographie
Gentilé Entremondants
Population
municipale
643 hab. (2021 en diminution de 1,68 % par rapport à 2015)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 27′ 03″ nord, 5° 53′ 08″ est
Altitude Min. 755 m
Max. 1 934 m
Superficie 33,01 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Chambéry
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pont-de-Beauvoisin (Savoie)
Législatives Première circonscription
Localisation
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Entremont-le-Vieux
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Entremont-le-Vieux

Entremont-le-Vieux est une commune française, située dans le département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie modifier

 
Plan du territoire d'Entremont-le-Vieux.

Entremont-le-Vieux est une commune située dans le département de la Savoie. Elle a pour chef-lieu le village d'Épernay[1]. Le territoire communal se situe dans la vallée des Entremonts, dans le haut bassin du Cozon[2], un affluent du Guiers Vif. Cette vallée enclavée, dans le massif de la Chartreuse, est entourée par le mont Outheran (1650 m), à l'ouest, le mont Joigny (1556 m), au nord, le mont Granier (1933 m), à l'est[2]. Les principaux cols permettant d'accéder à la commune sont le col de la Cluse, le col du Cucheron au sud-ouest et le col du Mollard au nord-ouest, ainsi que le col du Granier.

La commune se situe à 22 km des Échelles et 24 km de Chambéry, la préfecture du département[3].

Les stations de ski du Désert d'Entremont et du Le Granier sont situées sur le territoire de la commune.

Principaux hameaux modifier

La commune est constituée de 26 hameaux ou lieux-dits[3] :

  • Les Bessons,
  • les Brancoz ou Brancaz,
  • Les Bruns,
  • La Coche,
  • Les Combes,
  • Les Curés,
  • Les Curialets,
  • Les Derbetans,
  • Le Désert,
  • (En) Tencovaz,
  • Épernay (chef-lieu),
  • Les Gandys,
  • Les Girouds,
  • Le Grand-Carroz,
  • La Grenery,
  • Les Martenons,
  • Les Minets,
  • Le Mollar,
  • Les Perrets,
  • Les Pins,
  • La Plagne,
  • Plan-Martin,
  • Pomet (Pomels),
  • La Reduire,
  • Les Rigauds,
  • Les Teppaz

Communes limitrophes modifier

Géologie et relief modifier

 
Vue sur le village depuis la RD 45.

La superficie de la commune est de 3 301 hectares ; son altitude varie de 755 à 1 933 mètres[4].

Sites géologiques remarquables modifier

L'« écroulement de la face nord du Mont Granier », est un site géologique remarquable de 66,31 hectares, sur les communes de Apremont, Chapareillan, Entremont-le-Vieux et Les Marches. En 2014, ce site d'intérêt géomorphologique est classé « trois étoiles » à l'« Inventaire du patrimoine géologique »[5].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 600 mm, avec 10,4 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « St-Pierre-les Egaux », sur la commune de Saint-Pierre-de-Chartreuse à 13 km à vol d'oiseau[8], est de 8,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 787,2 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Entremont-le-Vieux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chambéry, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (69 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (70,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64,6 %), prairies (27,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3,2 %), zones urbanisées (1,9 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,2 %)[17].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie modifier

Le toponyme Entremont-le-Vieux signifie « entre les montagnes », dérivé du latin Inter montes[18],[19]. Le toponyme est associé à vetus (« Vieux ») par opposition au village de Saint-Pierre-d'Entremont, dit « le neuf ». On peut trouver d'ailleurs la forme Château- Vieil[3]. En effet, en 1306, la famille d'Entremont doit céder son château vieux, situé à Entremont, en raison d'un acte de félonie envers le comte de Savoie, Amédée V, et transfert ainsi le centre de sa seigneurie dans un nouveau château appelé Château-Neuf d'Entremont ou d'Entremont-le-Jeune (Saint-Pierre-d'Entremont)[20].

On retrouve la mention de la paroisse Entremons dans un document daté de 1145, dans le Cartulaire de Grenoble[18],[19]. Le décanat de Savoie dépendait de l'évêché de Grenoble. La forme varie ensuite assez peu, Entremonts (1347), Intermontes (1488), si ce n'est l'ajout de la qualification vetus (« Vieux »), Intermons vetus (1531)[18],[19].

Le chef lieu porte le nom d’Épernay[3], dérivant du gaulois sparno-, traduit par « épine, aubépine »[21] ou d'un nom gallo-romain, Aspernacus[22]. La première mention de l'église paroissiale remonte au XIIe siècle, sous la forme Ecclesia de Aspernay[21],[22]. La forme évolue par la suite en Esperney (1344), Aspernay (1488), Epernay (1556) ou encore Epernex (1935)[21],[22]. Ce nom est toujours utilisé de nos jours pour désigner le village par les Entremondants.

En francoprovençal, la commune s'écrit Intreman selon la graphie de Conflans[23].

Histoire modifier

La paroisse d'Entremont relève des seigneurs de Montbel[24]. La vallée est un enjeu au cours de la période médiévale entre les comtes de Savoie et les Dauphins du Dauphiné[24].

L'église d'Entremont-le-Vieux, Notre-Dame d'Epernay, était sur la place du village depuis le Moyen Âge, à l'emplacement de l'école actuelle. Un incendie ravagea le bâtiment en 1653. Elle comportait des peintures remarquées sur la voûte. Son clocher fut arasé à la Révolution. Le curé Jacques Bovagnet trouve à son arrivée en 1838 un bâtiment vétuste mais surtout trop petit pour la population en augmentation (1 800 habitants), malgré une nef côté nord ajoutée en 1830. Une nouvelle église est édifiée de 1844 à 1850, financée par les habitants et un don du roi Charles-Albert. Une travée supplémentaire est construite en reculant la façade en 1897, financée par les pères Chartreux[25]. Ravagés en 1995, le clocher et les cloches (qui dataient de 1654) ont été entièrement refaits.

En 1934, le fruitière des Entremonts, réputée pour le lait, le fromage et des produits du terroir, est construite à Entremont-Le-Vieux.

En 1988, on découvrit à l'intérieur d'une grotte, sur le flanc du massif du Granier, l'un des plus importants sites archéologiques d'ours des cavernes. Cette découverte a conduit à des recherches approfondies sur l'existence de ces animaux dans la vallée.

Histoire administrative modifier

Lorsque le duché de Savoie est annexé à la France, en 1792, la commune relève du canton des Marches[3], au sein du département du Mont-Blanc, dans le district de Chambéry. Les réformes administratives la font passer au canton de Chambéry-Sud, en 1801, puis au canton des Échelles, jusqu'à la Restauration sarde (1815)[3]. Le duché de Savoie retourne dans le giron de la maison de Savoie. Le canton français des Échelles devient dans la nouvelle organisation de 1816 un mandement sarde auquel reste attachée la commune d'Entremont-le-Vieux[3]. Au lendemain de l'Annexion de 1860, le duché de Savoie est réunis à la France et retrouve une organisation cantonale, au sein du nouveau département de la Savoie (créé par décret impérial le 15 juin 1860)[26]. Entremons-le-Vieux reste dans le canton des Échelles, recréé. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014, la commune est unie au canton du Pont-de-Beauvoisin.

La commune adhère à la communauté de communes de la Vallée des Entremonts de 2002 à 2013. Depuis 2014, la commune appartient à la communauté de communes Cœur de Chartreuse.

Politique et administration modifier

 
La mairie
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1983 2020 Jean-Paul Claret DVG Conseiller général du canton des Échelles de 2008 à 2015 et président de la communauté de communes de la Vallée des Entremonts (2008-2013)
2020 En cours Anne Lenfant   Cadre de la fonction publique, Présidente de la Communauté de communes Cœur de Chartreuse

Population et société modifier

Démographie modifier

Ses habitants sont les Entremondantes et Entremondants[3],[27].


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].

En 2021, la commune comptait 643 habitants[Note 3], en diminution de 1,68 % par rapport à 2015 (Savoie : +3,33 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1846 1856 1861 1866
1 0511 4681 4371 5751 8051 8081 6251 5901 633
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
1 6771 6791 5671 5351 5041 3691 2621 1731 110
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
966907822766788626542495424
1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017 2021 -
416444517574582643649643-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

Entremont-le-Vieux est située dans l'académie de Grenoble. On note la présence d'une école primaire publique.

Manifestations culturelles et festivités modifier

Chaque année, à la fin du mois d'août se déroule à Entremont-le-Vieux la fête des paysans et des artisans. On remarque lors de cette festivité la présence de nombreux artisans de la vallée des Entremonts. La fête se déroule en général pendant une seule journée, souvent un dimanche.

Santé modifier

Les hôpitaux les plus proches se situent à Chambéry et Saint-Laurent-du-Pont.

Sports modifier

Sports d'hiver modifier

Sur la commune d'Entremont-le-Vieux sont situées deux domaines skiables : le Désert d'Entremont à l'ouest (ski alpin et activités nordiques) et le Granier au nord-est (ski alpin).

Cyclisme modifier

Le Tour de France est passé plusieurs fois à Entremont-le-Vieux par la RD 912.

Équipements sportifs modifier

La commune d'Entremont-le-Vieux possède un court de tennis extérieur.

Médias modifier

Chaînes de télévision modifier

La chaîne de télévision locale TV8 Mont-Blanc diffuse des émissions sur les pays de Savoie. Régulièrement l'émission La Place du village expose la vie locale. Régulièrement, TV8 Mont-Blanc, expose la vie locale, de même que France 3 Alpes avec l'édition locale (une agence est à Chambéry) et régionale. France 3 et sa station régionale France 3 Alpes, peuvent parfois relater les faits de vie de la commune.

Stations de radio modifier

La commune est couverte par des antennes locales de radios dont France Bleu Pays de Savoie, Radio ISA et Radio Couleur Chartreuse.

Presse et magazines modifier

Les titres de la presse quotidienne sont le Dauphiné libéré, l'Essor savoyard ou encore la Vie Nouvelle.

Économie modifier

Le commune fait partie de l'aire géographique de production et transformation du « Bois de Chartreuse », la première AOC de la filière Bois en France[32],[33].

La coopérative fruitière d'Entremont produit plusieurs fromages locaux de qualité (Chartreux, Délice de Chartreuse, Estival de Chartreuse) qui sont vendus au magasin d'Entremont et sur divers marchés locaux. Le lait est issu d'élevages locaux.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
Façade de l'église
  • L'église Notre-Dame d'Epernay.

Patrimoine culturel modifier

Patrimoine naturel modifier

Entremont-le-Vieux fait partie du parc naturel régional de la Chartreuse, et comprend trois ZNIEFF de type I :

Personnalités liées à la commune modifier

  • ...

Héraldique modifier

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • Michèle Brocard, Lucien Lagier-Bruno, André Palluel-Guillard, Histoire des communes savoyardes : Aix-les-Bains et ses environs - Les Bauges - La Chartreuse - La Combe de Savoie - Montmélian (vol. 2), Roanne, Éditions Horvath, , 463 p. (ISBN 978-2-7171-0310-6), p. 175-179. ([PDF] lire en ligne)

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références modifier

  1. « Carte IGN classique » sur Géoportail..
  2. a et b Histoire des communes savoyardes, 1982, p. 175-177, « Le pays cartusien ».
  3. a b c d e f g et h Histoire des communes savoyardes, 1982, p. 175, « Présentation ».
  4. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  5. Inventaire du patrimoine géologique : résultats, Ministère de l'Environnement, de l'Énergie et de la Mer - DREAL Auvergne-Rhône-Alpes, 24 janvier 2014 (mis à jour le 31 mars 2015), accès le 23 septembre 2016.
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Entremont-le-Vieux et Saint-Pierre-de-Chartreuse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « St-Pierre-les Egaux », sur la commune de Saint-Pierre-de-Chartreuse - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Station Météo-France « St-Pierre-les Egaux », sur la commune de Saint-Pierre-de-Chartreuse - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Chambéry », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  18. a b et c Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé, (réimpr. 2004, 2021) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 174..
  19. a b et c Henry Suter, « Entremont », sur « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté le ).
  20. Bernard Demotz, Le comté de Savoie du XIe au XVe siècle : Pouvoir, château et État au Moyen Âge, Genève, Slatkine, , 496 p. (ISBN 2-05-101676-3), p. 276.
  21. a b et c D'après Henry Suter, « Épernay », Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs, sur henrysuter.ch, Henry Suter, 2000-2009 (consulté le ).
  22. a b et c Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé, (réimpr. 2004, 2021) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 212..
  23. Lexique Français - Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 21
    préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
    .
  24. a et b Histoire des communes savoyardes, 1982, p. 177-178, « Château et seigneurs ».
  25. Yves Dal Bello, Suzy Rey et Gérard Martenon, La petite histoire de la grande église Notre-Dame d’Épernay, Le Dauphiné libéré, .
  26. Jules-Joseph Vernier, Étude historique et géographique sur la Savoie, Paris, Le Livre d'Histoire - Res Universis, (réimpr. 1993) (1re éd. 1896), 185 p. (ISBN 978-2-7428-0039-1 et 2-7428-0039-5, ISSN 0993-7129), p. 147-154.
  27. « Arvillard », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté le ), Ressources - Les communes.
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Information Presse du 5 novembre 2018 : Le Bois de Chartreuse obtient la première AOC Bois en France. Une première dans la filière bois !, site officiel du Bois de Chartreuse.
  33. Cahier des charges de l’appellation d’origine « Bois de Chartreuse », homologué par l’arrêté du 23 octobre 2018 publié au JORF du 31 octobre 2018, Bulletin officiel du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, n° 2018-46 (.PDF).
  34. Site du musée de l'ours des cavernes
  35. Guide pratique 2013-2014 : la Chartreuse, p. 19 et 38