Éméville

commune française du département de l'Oise

Éméville
Éméville
L’église Saint-Léger.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Senlis
Intercommunalité CC du pays de Valois
Maire
Mandat
Yvette Valun
2020-2026
Code postal 60123
Code commune 60207
Démographie
Gentilé Emévillois, Emévilloises
Population
municipale
285 hab. (2021 en diminution de 2,06 % par rapport à 2015)
Densité 155 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 16′ 50″ nord, 3° 01′ 43″ est
Altitude Min. 114 m
Max. 165 m
Superficie 1,84 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Crépy-en-Valois
Législatives 5e circonscription de l'Oise
Localisation
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Éméville
Liens
Site web https://www.emeville.com/

Éméville est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie modifier

Description modifier

Eméville est un village rural picard du Valois dans l'Oise, limitrophe du département de l'Aisne situé à 6 km au nord-ouest de Villers-Cotterêts, 12 km au nord-est de Crépy-en-Valois, 21 km au sud-est de Compiègne et 24 km au sud-ouest de Soissons.

Il est aisément accessible depuis la route nationale 2.

Louis Graves indiquait en 1836 qu'Eméville était une « petite commune à territoire découvert, touchant à la forêt de Retz. Elle avait été réunie en1827 à celle de Vez, de laquelle une ordonnance royale du quinze septembre 1835 l'a séparée de nouveau. Il n'y a pas d'eau oourante [de rivière] dans l'étendue du pays. Le village, presque central, est formé de trois rues parallèles, liées par une communication transversale; il est bâti sur le sable[1] ».

Communes limitrophes modifier

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 747 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Margny-lès-Compiègne à 22 km à vol d'oiseau[4], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 633,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Éméville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,8 %), zones agricoles hétérogènes (19,1 %), forêts (7,1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement modifier

En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 409, alors qu'il était de 399 en 2014 et de 378 en 2009[I 1].

Parmi ces logements, 85,3 % étaient des résidences principales, 10,2 % des résidences secondaires et 4,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 95,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,9 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Éméville en 2019 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (10,2 %) supérieure à celle du département (2,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 89,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (87,2 % en 2014), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Éméville en 2019.
Typologie Éméville[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 85,3 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 10,2 2,4 9,7
Logements vacants (en %) 4,5 7,1 8,2

Voies de communication et transports modifier

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 656, 657 et 6444 du réseau interurbain de l'Oise[14].

Toponymie modifier

La localité a été dénomée Emevilla, Demeville, Demesville[1].

Histoire modifier

Moyen Âge modifier

Selon Louis Graves, « Le duc d'Orléans était seigneur suzerain du lieu , mais il y avait des seigneurs fieffés dont l'un appelé Rolland, fonda en 1539, dans, la ville de Soissons, un établissement appelé le collège de Bauton, destiné à élever treize étudians ecclésiastiques ; la nomination aux bourses était dévolue aux seigneurs d'Eméville et de Vez, et à leur défaut aux abbés de Valsery ou du Lieu-Restauré, assistés des curés locaux[1] ».

Les habitants ont largement participé à la grande Jacquerie au XIVe siècle[1].

Époque contemporaine modifier

En 1836, la commune venait de disposer d'une école. Les habitants, essentiellement des bûcherons et des agriculteurs, jouissaient du droit de ramasser le bois mort dans la forêt de Retz et d'y faire paître les vaches et les ânes[1].

Les carrières modifier

La commune d'Éméville reste fortement marquée par toute l'activité liée à l'extraction de la pierre. qui commence au milieu du XIXe siècle à la carrière de la Bouloye. Cette carrière est rachetée en 1910 par Léon Civet pour le compte de la société Civet Pommier & Cie. De nombreuses carrières souterraines de pierre tendre sont exploitées dans la région pour en tirer de la pierre à bâtir. Deux Carrières ont été ouvertes à Éméville par deux carriers de Carrières-sur-Seine : Fréjus Daubin au tout début du XXe siècle et Georges Sarazin en 1920. La technique d'extraction pratiquée dans ces deux carrières est celle de « l'extraction à la lance », mise au point dans sa forme industrielle par Félix Civet (1829-1893) en 1860 à Saint-Maximin, technique qui a remplacé l'extraction au pic et qui permet d'extraire des blocs plus volumineux (jusqu'à 15 tonnes pour la carrière Daubin), tout en assurant un bien meilleur rendement. Cette méthode d'extraction a été ensuite largement diffusée dans les carrières de pierre tendre, aussi bien dans le bassin parisien que dans le Poitou en 1895. L'extraction industrielle de la pierre à la lance prend fin en 1963 à Bonneuil-en-Valois à la carrière des Trois-Fontaines.

Pour remonter les blocs de pierre des galeries la carrière Daubin a utilisé un treuil à manège mu par trois chevaux jusqu'en 1913, tandis que la carrière Sarazin a, depuis son origine en 1920, utilisé un treuil à moteur thermique. En 1913 un réseau de voie ferrée type Decauville, avec un locotracteur, a été construit pour relier différentes carrières de la vallée à la gare d'Éméville pour remplacer les fardiers qui défonçaient les routes. À cette époque, la carrière Daubin est devenue la « carrière du Chemin de Vez » ayant pour propriétaire la Société Civet-Pommier & Cie, qui a remplacé le treuil à manège par une bouche de cavage avec un accès direct par une descenderie au réseau Decauville. La « carrière du Chemin de Vez », actuellement propriété de la Société Rocamat cesse son activité d'extraction au mois de , tandis que la carrière Sarazin l'a fait dès 1935.

Deux associations de bénévoles relèvent le défi de réhabiliter ces deux carrières. Il est question des associations « Roches & Carrières » pour la carrière du Chemin de Vez et de « Carrières Patrimoine » pour la carrière Sarazin. La première reconstruit un treuil à manège et la seconde a restauré un treuil à moteur et travaille actuellement sur les piles du treuil et les margelles du puits d'extraction.

Les carrières constituaient avec l'agriculture et la forêt l'essentiel de l'activité économique. Éméville et les villages des alentours comptaient de grandes familles de carriers dont les descendants habitent encore sur place. Certaines carrières ont été reconverties avec succès en champignonnières ou à la culture d'endives ; mais il n'y en a plus aucune en activité. Dans la commune voisine de Bonneuil-en-Valois, l'extraction se poursuit encore, mais avec des moyens très modernes : haveuse à chaîne, bulldozers, etc[15].

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Rattachements administratifs modifier

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Senlis du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Crépy-en-Valois[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux modifier

Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 d'un nouveau canton de Crépy-en-Valois

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité modifier

Éméville est membre de la communauté de communes du Pays du Coquelicot, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1996 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[17]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
octobre 1989 En cours
(au 2 décembre 2021)
Yvette Valun   Fonctionnaire
Réélue pour le mandat 2020-2026[18],[19]

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[21].

En 2021, la commune comptait 285 habitants[Note 3], en diminution de 2,06 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
166196210172200213241188186
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
172184183162261174195201209
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
176175198206206172175184155
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
133142180226279276269293294
2019 2021 - - - - - - -
288285-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 148 hommes pour 140 femmes, soit un taux de 51,39 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[23]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
8,1 
75-89 ans
7,9 
17,6 
60-74 ans
20,7 
25,0 
45-59 ans
22,1 
15,5 
30-44 ans
19,3 
16,2 
15-29 ans
11,4 
17,6 
0-14 ans
18,6 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[24]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Éméville compte un monument historique sur son territoire :

  • Église Saint-Léger, rue de la Forêt (classée monument historique en 1937[25]) :
    C'est l'une des églises les plus petites du département. Bâtie sous une seule campagne à la fin du XIIIe siècle, elle fournit l'un des rares exemples d'une église de cette époque dans le Valois, et illustre l'adaptation du style gothique rayonnant alors en vigueur à l'économie des moyens d'une petite paroisse rurale. Les compromis stylistiques sont nombreux, et il n'y a que les chapiteaux du chœur pour indiquer l'époque de construction réelle, alors que les fenêtres en plein cintre évoquent une date d'un siècle antérieur.
    L'église est néanmoins soigneusement appareillée en pierre de taille, et possède un puissant clocher influencé par l'école gothique champenoise, qui n'a pas son pareil dans les environs.
    À l'intérieur, les restes de la polychromie architecturale retiennent l'attention, notamment dans la chapelle qui forme la base du clocher. Il y avait jadis une deuxième chapelle, légèrement différente, qui lui faisait pendant au sud[26],[27].
  • La carrière souterraine Sarazin, accessible par un puits de 20 m. de profondeur, est parfois ouverte au public par l'association Carrières Patrimoine[28],[29].

Personnalités liées à la commune modifier

Gastronomie modifier

En 2018, une bière brassée selon une ancienne recette de carrier local datant de 1920 a été réalisée par la brasserie de l'Etre, à Paris pour l'association Carrières Patrimoine[30].

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2019 à Éméville » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Éméville - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Éméville - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans l'Oise » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. a b c d et e Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Crépy-en-Vlois, arrondissement de Senlis (Oise) : Annuaire de l'Oise, 1836, Beauvais, Achille Desjardins, , 252 p. (lire en ligne), p. 118-119, sur Google Livres.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Éméville et Margny-lès-Compiègne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Transports en commun à Éméville », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  15. Site consacré de l'association Carrières Patrimoine
  16. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. « Les maires de Éméville », sur francegenweb.org (consulté le ).
  18. Réélue pour le mandat 2014-2020 : « Eméville », Cartes de France (consulté le ).
  19. « Compte-rendu du conseil municipal du 23 mai 2020 », sur emeville.com.
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Éméville (60207) », (consulté le ).
  24. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  25. « Église Saint-Léger », notice no PA00114677, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  26. Dominique Vermand, Églises de l'Oise, canton de Crépy-en-Valois : Les 35 clochers de la Vallée de l'Automne, Comité Départemental de Tourisme de l'Oise / S.E.P Valois Développement, , 56 p., p. 23-24.
  27. Dominique Vermand, « Eméville, église Saint-Léger : Diocèse : Soissons », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
  28. « Immergez-vous sous terre dans les carrières d'Emeville », Le Parisien; édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « 'est bien à 20 m sous terre que de 1920 à 1935 des carriers ont travaillé à l'extraction de pierres. La carrière d'Emeville, située en plein champ, appartenait autrefois à Jules-Constant Sarazin. Abandonné du jour au lendemain, le site est désormais entretenu par des passionnés de l'association Carrières Patrimoine ».
  29. « Voyage au centre de la carrière Sarazin d’Eméville », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. Cindy Belhomme, « Emeville : une bière tout droit sortie des carrières : L’association Carrières Patrimoine a retrouvé une vieille recette dans le journal d’exploitation de la carrière Sarazin. Une brasserie parisienne en a produit 1 000 litres », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).