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Édouard François Zier

dessinateur, peintre, illustrateur et affichiste
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Édouard François Zier
Édouard Zier, gravure par Désiré Quesnel
Figures contemporaines tirées de l'Album Mariani
Naissance
Décès
(à 67 ans)
ThiaisVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Édouard Francis Zier
Nationalité
Activité
Père
Conjoint
Noémi Balleyguier (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

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Édouard François Zier, né à Paris le et mort à Thiais le [1],[2], est un peintre et illustrateur français.

Biographie modifier

Élève de son père, le peintre Victor Casimir Zier[3] et de Jean-Léon Gérôme, il expose sa première toile, Mort de Caton d'Utique, au Salon de 1874[4].

Édouard Zier a collaboré à de nombreux journaux tels que L'Illustration[4], Le Monde illustré[4], Le Courrier français, Le Journal de la jeunesse et Le Tour du monde. En 1917, il remplace le dessinateur Joseph-Porphyre Pinchon, mobilisé au front, pour dessiner deux histoires de Bécassine, dont Bécassine chez les Alliés, en collaboration avec Maurice Languereau, alias Caumery[5].

Il a également illustré de nombreux ouvrages, entre autres Les Trois Mousquetaires d'Alexandre Dumas,[6][2] Aphrodite de Pierre Louÿs,[7] Le Roman comique de Scarron[4], La cantiniére du XIIIe siècle de Georges Le Faure,[7] Les Trésors de la fable d'Auguste Louvet, Jeanne d'Arc de Marius Sepet,[8] Voyages et aventures du Capitaine Marius Cougourdan d'Eugène Mouton,[9] Seulette et Le Trésor de Madeleine de Pierre Maël,[9] A l'abordage d'Henry de Brisay,[10] ainsi que plusieurs ouvrages de Zénaïde Fleuriot[11], de Jeanne Schultz,[9]. En 1890, il illustre le roman Reconnaissance de Marie d'Agon de la Contrie.

Œuvres modifier

Galerie modifier

Notes et références modifier

  1. ↑ Acte de décès (avec date et lieu de naissance) à Thiais, n° 5, vue 3/22.
  2. ↑ a et b « Édouard ZIER (1856-19 janvier 1924) », Revue des lectures, vol. 12,‎ , p. 101
  3. ↑ Enregistré comme portraitiste, histoire aux salons de peinture, a réalisé des œuvres religieuses
  4. ↑ a b c et d Uzanne 1903
  5. ↑ Antoine Court, Regards populaires sur l'Anglo-Saxon : drôles de types, publications de l'université de Saint-Étienne, 2003, (ISBN 2-86272-273-1), p. 196
  6. ↑ Megías (2007), p. 57.
  7. ↑ a et b Megías (2007), p. 61.
  8. ↑ Megías (2007), p. 70.
  9. ↑ a b et c Megías (2007), p. 63.
  10. ↑ Megías (2007), p. 67.
  11. ↑ Megías (2007), p. 68.

Annexes modifier

Bibliographie modifier

Liens externes modifier

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