École privée
Les écoles privées sont des écoles qui ne sont pas administrées par leur gouvernement local, étatique ou national et qui conservent donc le droit de sélectionner leurs élèves et sont financées, en tout ou en partie grâce aux frais de scolarité qu'elle demande à ses élèves, plutôt qu'entièrement par des fonds gouvernementaux. La plupart des écoles privées offrent des bourses d'études qui permettent de rendre la fréquentation plus abordable pour des étudiants possédant un talent quelconque, généralement au niveau académique ou sportif.
Le terme école privée désigne habituellement une école primaire ou secondaire et n'est que très rarement utilisé pour désigner une université[réf. nécessaire].
Afrique
modifierLes écoles privées en Afrique aident les différents pays à accueillir plus d'apprenants. Les établissements publics sont insuffisants à l'inscription des écoliers et écolières qui augmentent chaque année.
Les écoles françaises aussi sont présentes en Afrique et elles donnent l'opportunité à ceux qui adhère de recevoir des cours parallèles au programme français, comme l'école française en Afrique du sud[1]. Au Togo loveth international schools est l'une des écoles privées Bilingue du pays. Elle accueille les élèves du programme français et anglais.
Le British schools aussi est une école privée des anglais qui sont présents dans les pays africains comme le Nigeria et l'Afrique du sud[2]. Le British schools accompagne ses élèves dans le programme anglais et favorise aux étudiants de continuer leur étude en Angleterre.
Afrique du Sud
modifierTunisie
modifierAmérique du Nord
modifierCanada
modifier- Collège Saint-Vlad de Vanier
- Québec : École Jésus-Marie de Beauceville, Séminaire de Sherbrooke, Campus Notre-Dame-de-Foy de Saint-Augustin-de-Desmaures, Collège de Champigny de Ste-foy, Collège Jésus-Marie de Sillery, Séminaire Saint-François, Vision Sillery Inc., École Vision Saint-Augustin, La petite école Vision Lac-Beauport, Collège Stanislas, Juvénat Notre-Dame du Saint-Laurent, École Vision Rive-Sud, Saint-Jean Eudes, École Marie-Clarac.
États-Unis
modifierLes écoles privées aux États-Unis sont généralement réservées aux enfants issus de la bourgeoisie en raison des coûts d’inscription souvent très élevés. Ces établissements tendent à creuser les inégalités en procurant à des élèves déjà favorisés de meilleurs conditions d'enseignement. Ces derniers sont ensuite surreprésentés dans les universités et accaparent l’accès aux bourses les plus prestigieuses[3]. Le modèle de financement des écoles privées, reposant sur les aides de l’État et des dons défiscalisés, fait l'objet de critiques[4].
Amérique centrale
modifierAmérique du Sud
modifierAsie
modifierInde
modifierEurope
modifierAllemagne
modifierBelgique
modifierUne distinction est faite entre l'enseignement privé reconnu par les Communautés de Belgique (autorités compétentes pour l'enseignement), plus généralement désigné comme l'enseignement libre ou subventionné, et les établissements d'enseignement pleinement privés dont les formations et diplômes ne sont pas reconnus.
En règle générale, les établissements d'enseignement privé reconnus sont assimilés à l'enseignement public : depuis le pacte scolaire de 1958, ils sont soumis aux mêmes lois et décrets, tiennent les mêmes frais de scolarité – ainsi que la gratuité dans le cas de l'enseignement obligatoire – et leurs diplômes sont émis par les Communautés de Belgique de la même manière que les écoles publiques. La majorité des établissements d'enseignement belges sont ainsi des établissements privés reconnus et subventionnés. À leur tour, l'écrasante majorité de ces établissements sont des écoles catholiques et – à moindre mesure – des écoles relevant d'autres confessions.
Face à cela, des écoles pleinement privées qui ne sont pas reconnues par les autorités existent mais demeurent une part marginale de l'enseignement, à la fois en nombre d'établissements et surtout en nombre d'étudiants. On parle alors généralement d'école privée, en opposition aux écoles libres subventionnées qui sont assimilées aux écoles publiques. L'existence de ces écoles est garantie par la liberté d'enseignement inscrite dans la Constitution. Cependant, un élève inscrit à un établissement privé non reconnu n'est – par exemple – pas nécessairement considéré comme respectant l'obligation scolaire, ou portant le statut d'étudiant. De surcroît, certaines règles juridiques encadrent l'existence de ces établissements, tel que – en Fédération Wallonie-Bruxelles – l'obligation de préciser sur toutes les communications de l'établissement privé qu'il s'agit d'enseignements et de diplômes non reconnus.
Supérieur
modifierDans l'enseignement supérieur, certaines écoles non reconnues ni subventionnées sont également des institutions de droit public, ou de droit privé fondé par des autorités publiques.
France
modifierIrlande
modifierPays-Bas
modifierPortugal
modifierRoyaume-Uni
modifierSuède
modifierSuisse
modifierOcéanie
modifierAustralie
modifierPhilippines
modifierNotes et références
modifier- Hein, David (4 January 2004). What has happened to Episcopal schools? The Living Church, 228, no. 1, 21-22.
- Porter Sargent Staff, The Handbook of Private Schools: An Annual Descriptive Survey of Independent Education 1914-. Porter Sargent Handbooks, Boston. (ISSN 0072-9884).
- « écoles françaises », sur www.zaambafrance.org
- « British Afrique international school », sur www.britishafriqueintschool.org.
- « Éducation. Le modèle “indéfendable” des écoles privées aux États-Unis », sur Courrier international,
- Story by Caitlin Flanagan, « Private Schools Have Become Truly Obscene », The Atlantic, (lire en ligne)
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifier- Convention concernant la lutte contre la discrimination dans le domaine de l'enseignement (article 5)
- Liberté d'enseignement
- Enseignement du fait religieux
Liens externes
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- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :