Villerville

commune française du département du Calvados

Villerville
Villerville
L'église Notre-Dame (XIIe siècle).
Blason de Villerville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Lisieux
Intercommunalité Communauté de communes Cœur Côte Fleurie
Maire
Mandat
Michel Marescot
2020-2026
Code postal 14113
Code commune 14755
Démographie
Gentilé Villervillais
Population
municipale
591 hab. (2021 en diminution de 14,72 % par rapport à 2015)
Densité 179 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 24′ 03″ nord, 0° 07′ 43″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 144 m
Superficie 3,30 km2
Unité urbaine Dives-sur-Mer
(banlieue)
Aire d'attraction Trouville-sur-Mer
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Honfleur-Deauville
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.villerville.fr

Villerville est une commune française, ancien village de pêcheurs, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 591 habitants[Note 1].

La commune a longtemps abrité un casino, en bois, situé devant l'estacade. Il est aujourd'hui transformé en hôtel-restaurant. Une moulière existe au large de la plage, sur le banc du Ratier, à environ 3 km.

Géographie modifier

La commune est située au nord du pays d'Auge, sur la côte de Grâce, littoral de la Manche entre Trouville-sur-Mer et Honfleur. Son bourg est à 5 km au nord-est de Trouville-sur-Mer, à 9 km à l'ouest de Honfleur et à 17 km au nord de Pont-l'Évêque[1].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 732 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Deauville à 6 km à vol d'oiseau[6], est de 0,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 0,0 mm[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Villerville est une commune urbaine[Note 2],[9]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Dives-sur-Mer, une agglomération intra-départementale regroupant 24 communes[12] et 36 564 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Trouville-sur-Mer, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

La commune, bordée par la baie de Seine, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[17]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[18],[19].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (75,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (60,7 %), zones urbanisées (19,7 %), forêts (14,7 %), terres arables (2,8 %), zones agricoles hétérogènes (1,4 %), zones humides côtières (0,7 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous la forme Willervilla en 1195[21].

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville dans son sens originel de « domaine rural » (le nom commun ville est issu du latin villa rustica « grand domaine rural »), et dont le premier élément est un anthroponyme[21] selon le cas général.

C'est pourquoi le premier élément du toponyme Viller- est un faux-ami : il représente non pas l'appellatif viller, mais un nom de personne germanique tel que Wil-hari[21] ou Vilhari[22].

Remarque : le composé Wil-hari d'Albert Dauzat devient Vilhari chez René Lepelley (comprendre Wilhari). En réalité, les noms de personnes germaniques continentaux bien attestés sont Williheri[23], Willarius, Wil[le]harius (formes latinisées)[24] et il existe un nom de personne anglo-saxon Wilhere[25]. Les noms de personnes anglo-saxons sont fréquents dans la toponymie normande[26] et Villerville se situe dans la zone de diffusion de la toponymie anglo-scandinave.

Le gentilé est Villervillais.

Histoire modifier

 
La Grosse Pierre de la Bergerie.

La commune a connu une occupation ancienne comme en témoignent sur les terrains de la ferme de la Bergerie d'un grand menhir de 2,50 m de haut appelé la Grosse Pierre et de deux autres plus petits mégalithes. Il s'agit de blocs de poudingue (pierre provenant d’un banc de pierre situé à 1 km de là). Sur ce site ont été découverts divers outils de pierre polie, ainsi que des ossements.

La légende locale veut que saint Roch (1295–1326) ait là fait reculer la peste, mais en attrapant lui-même cette maladie (la statuaire traditionnelle le représente avec son bâton et son chien lui léchant les plaies. Il figure (statue en bois du XIXe siècle) dans l'église Notre-Dame de Villerville : il est devenu le saint patron des Villervillais.

L'histoire religieuse a également retenu le nom de Thomas Jean Monsaint, né à la Ferme de la Bergerie, devenu prêtre et ayant refusé de renier ses convictions lors de la Terreur. Il fut pour cela emprisonné puis exécuté le à Paris. Il a été canonisé par Pie XI (en 1926) et une plaque commémore son souvenir dans la tour du clocher.

La commune a longtemps aussi été un village de pêcheurs qui, sur les « plattes de Villerville »[27] (barques à fond plat), allaient pêcher harengs, soles ou turbots. Une pêche dite « aux guideaux » se faisait au filet tendu sur la moulière. La pêche à pied était également pratiquée (moules, crabes, crevettes…), par les « picoteux » (femmes et enfants le plus souvent). Le produit de la pêche (moules notamment) était ramené à terre dans des charrettes dites « banneaux », tirées par des chevaux.

En 1893, une baleine s'échoue sur la plage. Elle est achetée par Nicolas-Marie Simon, dit Simon-Max, chansonnier et ténor à Paris (opéra bouffe), alors propriétaire du casino de Villerville. Après avoir vendu l'huile et la chair de la baleine, il utilise la peau pour y abriter un théâtre assez grand pour accueillir une petite centaine de spectateurs. Le caractère original de ce petit théâtre Baleine contribue à son succès. La baleine est déménagée au casino de Paris, mais elle y brûlera.

Le peintre Édouard Dantan y meurt accidentellement le  : la voiture dans laquelle il se trouve heurte violemment le mur de l'église du village après que son cheval se fut emballé[28].

Politique et administration modifier

La commune est un village fleuri (deux fleurs) au concours des villes et villages fleuris[29].

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1963[30] mars 1989 Jacques Grainville   Entrepreneur (père de Patrick Grainville)
mars 1989[31] En cours Michel Marescot[32] DVD Juriste

Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et quatre adjoints[32].

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34].

En 2021, la commune comptait 591 habitants[Note 4], en diminution de 14,72 % par rapport à 2015 (Calvados : +1,02 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Villerville a compté jusqu'à 1 091 habitants en 1901.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
859804940912890887882884876
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
8148158849149839869979781 052
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0911 0651 036855897835797728801
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
750728722733686676750771698
2018 2021 - - - - - - -
594591-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Tourisme modifier

Villerville est labellisée « commune touristique » depuis [37].

Villerville est labellisée « village de caractère du Calvados » depuis 2018.

Anciens titres de presse modifier

Journaux disparus, localisés à Villerville[38] :

  • Villerville-Gazette (1928-1939).

Culture locale et patrimoine modifier

Les lieux et monuments, notamment le patrimoine naturel, ont été décrits ou peints par de nombreux auteurs, peintres ou graveurs dont Valère Lefebvre, Gustave Nicolas Pinel et Émile Gaudrier (fin XIXe siècle).

Contre toute attente, aucun des édifices de la commune n'est fiché sur Mérimée.

Lieux et monuments modifier

  • Église Notre-Dame (en partie du XIIe). Elle abrite quatre tableaux classés à titre d'objets monuments historiques[39].
  • Château du Manoir (1875), dessiné par Charles Garnier, propriété de la famille Christofle à l'origine.
  • Calvaire (1888).
  • Château de Champ-Vert (XIXe siècle)
  • Sémaphore.
  • Hôtel Mahu (1928/1932)[40], « Grand Hôtel des Parisiens », rue du Maréchal-Foch, où séjournent, entre autres, Lord Alfred Bruce Douglas[41] et Oscar Wilde en 1897. Reconstruit en 1932 par l'architecte trouvillais René Morin, également à l'origine de l'hôtel Flaubert de Trouville. Deauvillais et Trouvillais s'y précipitent pour le « five o'clock » et s'attardent parfois jusqu'au dîner dans l'espoir de croiser Mistinguett ou un duc de Windsor en goguette[42].
  • Lavoir.
 
La plage à marée basse.

Patrimoine naturel modifier

  • Promenade aménagée le long de la plage de sable et de rochers et dans les Graves.
  • Point de vue sur Le Havre et le cap de la Hève.
  • Parc des Graves.

Villerville dans les arts modifier

 
Le restaurant Le Cabaret normand.
  • Un singe en hiver, film d'Henri Verneuil, y a été tourné en partie durant l'hiver 1961-1962. Villerville y apparaît sous le nom de Tigreville. Une association locale, créée en 2001, perpétue le souvenir du tournage. Depuis juin 2007, une grande photo du film représentant Jean Gabin et Jean-Paul Belmondo, les deux vedettes du film, a été accrochée sur un mur à l'entrée de la rue principale. En bas de cette rue se trouve le Cabaret normand, restaurant utilisé pour le tournage.

Activités et manifestations modifier

Jumelage modifier

Sports modifier

L'Union sportive villervillaise fait évoluer une équipe de football en division de district[43].

Personnalités liées à la commune modifier

Naissances modifier

Décès modifier

Autres modifier

 
École publique primaire Patrick-Grainville à Villerville.

Héraldique modifier

Les armes de la commune de Villerville se blasonnent ainsi :

D'azur à la bande d'or chargée de trois crevettes du champ, accompagnée en chef d'un bateau contourné d'argent et en pointe d'une coquille de moule du même, au chef cousu de gueules chargé d'un léopard aussi d'or[46].

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  6. « Orthodromie entre Villerville et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station météorologique Deauville, commune de Deauville - Normales pour la période 1991-2020 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Dives-sur-Mer », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  18. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. a b et c Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse,
  22. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éd. Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2), p. 269.
  23. Williheri sur Nordic Names
  24. Dom Martin Bouquet, Recueil des historiens des Gaules et de la France, Tome 5, Paris (lire en ligne) [1]
  25. Wilhere sur Nordic Names
  26. François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 48
  27. La platte de Villerville a été décrite dans la revue Chasse-marée (no 13).
  28. « Échos - Hors Paris », Le Figaro, 3e série, no 189,‎ , p. 1.
  29. « Palmarès du concours des villes et villages fleuris », sur villes-et-villages-fleuris.com (consulté le ).
  30. « La commune passe de deux à quatre adjoints », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  31. « Michel Marescot, candidat de Deauville », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  32. a et b Réélection 2020 : « Municipales à Villerville. Michel Marescot élu maire pour un sixième mandat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. « Préfecture du Calvados - Recueil des actes administratifs - 26 mars 2010 » [PDF] : page 463.
  38. Jean Quellien et Christophe Mauboussin, Journaux de 1786 à 1944, l'aventure de la presse écrite en Basse-Normandie, Cahiers du Temps, 1998 (ISBN 2911855132).
  39. « Œuvres mobilières à Villerville », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  40. Bâtiment pour M. (Abel) Mahu [2].
  41. a et b Lettre n° 873 du 22 juillet 1897 de lord Alfred Douglas à Oscar Wilde depuis le Grand Hôtel Des Parisiens de Villerville - source: Oscar Wilde and his literary circle – a catalogue of manuscripts and the letters in the William Andrews memorial library - University of California Press – Berkeley and Los Angeles et Librairie du Congrès 1958 : Grand Hotel des Parisiens, Villerville, Calvados. 22 July 1897 -- Dearest Oscar, I was very glad to get a letter from you at last. It is a week tomorrow since I left [Paris] and the time seems ages being here by myself. I really don't know what to do ... ".
  42. La côte fleurie d'antan: La côte fleurie à travers la carte ..., Muriel Maurice-Juhasz - 2005.
  43. « U. S. villervillaise », sur Site officiel de la Ligue de Basse-Normandie (consulté le ).
  44. a et b Laurent Ruquier propriétaire d'un manoir de 600 m2 en Normandie : Hugo Manos dévoile des images, un week-end au top
  45. « Libération.fr - Jean-Yves Dubois enterré à Villerville »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).
  46. « Villerville », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).