Vielsalm

commune de Wallonie (Belgique)

Vielsalm
Vielsalm
Le village et son reflet dans le lac des Doyards
Blason de Vielsalm
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la Belgique Belgique
Région Drapeau de la Région wallonne Région wallonne
Communauté Drapeau de la Communauté française de Belgique Communauté française
Province Drapeau de la province de Luxembourg Province de Luxembourg
Arrondissement Bastogne
Bourgmestre Élie Deblire (cdH)
(Bourgmestre)
Majorité Liste du Bourgmestre
Sièges
ECOLO
BOURGMESTRE
COMM'VOUS
19
3
11
5
Section Code postal
Vielsalm
Bihain
Grand-Halleux
Petit-Thier
6690
6690
6698
6692
Code INS 82032
Zone téléphonique 080
Démographie
Gentilé Salmien(ne)
Population
– Hommes
– Femmes
Densité
7 891 ()
49,98 %
50,02 %
56,09 hab./km2
Pyramide des âges
– 0–17 ans
– 18–64 ans
– 65 ans et +
()
22,32 %
60,81 %
16,87 %
Étrangers 5,85 % ()
Taux de chômage 12,52 % (octobre 2013)
Revenu annuel moyen 18 294 €/hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 50° 17′ 10″ nord, 5° 55′ 05″ est
Superficie
– Terr. non-bâtis
– Terrains bâtis
– Divers
140,7 km2 (2021)
91,36 %
2,71 %
5,93 %
Localisation
Localisation de Vielsalm
Situation de la commune dans l'arrondissement de Bastogne et la province de Luxembourg
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Vielsalm
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Vielsalm
Liens
Site officiel vielsalm.be

Vielsalm (en wallon Li Viye Såm, en Luxembourgeois Sëm Gaanglef[1]/Zënt Gängelef, en allemand Altsalm) est une commune francophone de Belgique située en Région wallonne dans la province de Luxembourg, ainsi qu’une localité où siège son administration.

La commune fait partie de l'arrondissement administratif de Bastogne.

Géographie modifier

Le point culminant de la province de Luxembourg se trouve sur le territoire de Vielsalm à la Baraque de Fraiture (652 m).

L’altitude la plus haute est donc de 652 mètres (Baraque de Fraiture) alors que son altitude la plus basse est de 294 mètres (Grand-Halleux). Son altitude moyenne est alors de 473 mètres.

Sections de commune modifier

# Nom Superf.
(km²)[2]
Habitants
(2020)[2]
Habitants
par km²
Code INS
1 Vielsalm 36,16 4.328 120 82032A
2 Petit-Thier 30,69 619 20 82032B
3 Bihain 49,00 1.579 32 82032C
4 Grand-Halleux 24,83 1.360 55 82032D

Communes limitrophes modifier

La commune est délimitée au nord et à l’est par la province de Liège (dont la Communauté germanophone à l’est).

Climat modifier

Relevé météorologique de Vielsalm 1991-2020
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −1,6 −1,8 0,2 2,4 6,3 9,4 11,5 10,9 7,8 5,3 2,1 −0,6 4,3
Température moyenne (°C) 1 1,4 4,4 7,7 11,6 14,6 16,6 16,2 12,7 9 4,8 1,8 8,48
Température maximale moyenne (°C) 3,6 4,6 8,6 12,9 16,8 19,8 21,8 21,5 17,5 12,7 7,5 4,2 12,6
Précipitations (mm) 110 89 84 61 76 76 87 93 80 84 93 126 1 061


Étymologie modifier

Le village, comme celui de Salmchâteau, doit une part de son nom à un petit cours d'eau, la Salm (la région se nomme d'ailleurs le Val de la Salm, ou Pays de Salm). Le mot Salm viendrait du celtique salwa (noir, brouillé).

Vielsalm (Viye Såm en wallon) signifierait littéralement « Vieille Salm » car, à un moment donné, le seigneur déplaça son château, et ce devint le nouveau centre du bourg ; mais la roue tourna encore, et le centre redevint la « vieille » Salm, dès lors appelée ainsi, et qui éclipsa la « nouvelle » Salm (aujourd'hui Salm-Château).

Une étymologie populaire explique Salm et Vielsam par l'allemand Salm « saumon ». Les armoiries de l'ancienne maison de Salm ainsi que celles de l'actuelle commune, sont des armes parlantes basée sur cette interprétation.

Préhistoire modifier

Des pierre taillées en forme de fève de café, d’environ 40 cm. de longueur et destinées à servir de meules à broyer le grain ont été découvertes sur le banc d’arkose (roche gréseuse riche en feldspath) qui va des Quatre-Vents (Neuville) vers l’est, ainsi que près de Provedroux. Une longue série d’excavations pour l’extraction de la pierre d’arkose constitue un indice encore de cette époque. Partant des environs de Joubiéval, on la retrouve à l’est des Quatre-Vents, puis plus loin au-delà des Mauvaises-Pierres (Petit-Thier). On ne peut que lui donner un âge d’environ deux millénaires.

Deux noms antiques de cours d’eau de la région témoignent aussi de la présence celtique. Il s’agit de « Glain » et « Salm », deux termes que l’on rencontre dans toute l’Europe. Termes hydronimiques. Glain se rapporte à « eau brillante » ; Salm à « eau un peu trouble ».

Le long de plusieurs des ruisseaux, particulièrement celui de Louxibou descendant vers Cierreux, celui de Bèchefa descendant vers Bèche, ainsi qu’aux sources du Salm, on constate la présence d’une quantité de tertres irréguliers et d’origine artificielle, appelés localement des « tambales ». Ils appartiennent à une bande qui va du plateau des Tailles jusqu’à la haute Amblève. Il s'agirait de résidus de délavages aurifères datant de l’âge du fer.

Histoire modifier

 
Vielsalm sur la carte de Ferraris, dressée dans les années 1770, quand Vielsalm faisait partie des Pays-Bas autrichiens.
 
Hôtel de ville qui associe les pierres locales, donnant une typicité régionale : moellons d'arkose beige, ouvertures en grès beige taillé, ardoises violettes.

Parmi les plus anciennes traces de présence humaine connues sur le territoire de la commune, le trou des Massotais, une ancienne mine d'or exploitée par les Celtes.

Le comté de Salm modifier

Le comté de Salm-en-Ardenne, dont Vielsalm faisait partie, est né vers l’an 1000. Son existence apparaît à ce moment du fait qu’un document daté de 1034-35, mentionne pour la première fois un comte de Salm, soit « comes Gisilbertus de Salmo ». Ce personnage appartenait à la famille des seigneurs fondateurs de la dynastie des comtes de Luxembourg. C’était l'une des plus illustres de l’époque et elle possédait de vastes domaines entre Meuse et Moselle.

Avant l’an mil, ce territoire, devenu terre de Salm, était un îlot entouré de tous côtés par des terres de Stavelot et sa constitution primitive reste assez obscure. Le comté de Salm a vécu environ huit siècles ; le (9 vendémiaire an IV), les provinces des Pays-Bas furent rattachées à la France par un décret de la Convention, ce qui mit fin à l’existence du comté de Salm.

Évolution de la situation administrative de Vielsalm[3] modifier

Vers 1900 une certaine bourgeoisie des milieux belges d'affaires et de la finance se retrouve à Vielsalm pour des séjours d'été et des parties de chasse. On y retrouve les familles Jacquier de Rosée, Desmanet de Biesme, de Jonghe d'Ardoye, de Spoelberghe, F. Brugmann, G. Nagelmackers, Saint-Paul de Sincay, del Marmol, Montfort. À l'exception notable de Jacquier de Rosée, Desmanet et Nyssens, ils ne s'impliquent pas dans l'industrie locale[4].

La paroisse de Salm/Vielsalm modifier

Il y a bien des siècles déjà qu’un centre paroissial s’est créé à l’endroit devenu Vielsalm ; mais on ne sait quand. Il s’agissait alors d’une grande paroisse régionale. Un document de 1131 mentionne l’existence de l’ « ecclesia de Salmes » ; c’est à propos de redevances dues par cette église à l’abbaye de Stavelot. Sans nul doute, cette église de Salm est l’ancienne paroisse de Salm qui a subsisté jusqu’en 1803. Ainsi signalée en 1131, elle existait alors déjà depuis longtemps, certainement, et sa création ne peut être due qu’au travail apostolique des moines de Stavelot. C’est vers 650 que l’abbé Remacle et ses compagnons s’installèrent à Stavelot et commencèrent sans tarder l’évangélisation de la région.

Cette paroisse de Salm était fort grande. Elle comprenait les territoires des anciennes communes de Grand-Halleux, Petit-Thier et Vielsalm, de même que les villages de Goronne, Cierreux et Commanster. Elle avait ainsi pris les limites de deux anciens domaines contigus. On ne sait quel a été son nom à son origine ; celui de « Salm » n’a pu lui être attribué qu’après la création du comté de même nom. Pendant longtemps, cette ancienne paroisse ne comporta qu’un seul édifice du culte, chapelle ou église, que tous les paroissiens rejoignaient en temps opportun.

Au cours des siècles, l’augmentation de la population notamment devait rendre l’église paroissiale trop petite, et d’accès trop éloigné pour bien des personnes. Aussi vit-on peu à peu des communautés villageoises en expansion s’efforcer d’avoir chez elles un édifice du culte également, avec un vicaire écolâtre, ce avec l’accord de l’autorité religieuse. Ainsi, Grand-Halleux eu sa chapelle déjà avant 1430, Goronne en 1691, Commanster en 1683, Salmchâteau en 1725, Burtonville en 1703, Petit-Thier en 1704, Cierreux en 1704, Ville-du-Bois en 1766.

La paroisse actuelle de Vielsalm est née en 1803, du démembrement de l’ancienne paroisse et à la suite du concordat napoléonien de 1801. La nouvelle organisation des paroisses fit aussi de Vielsalm le centre d’un doyenné du même nom. Cette nouvelle paroisse de Vielsalm ne comprit plus Cierreux, Goronne, Grand-Halleux, Petit-Thier, Salmchâteau. Plus tard, elle perdit encore Commanster en 1835, Ville-du-Bois en 1842, Neuville et Burtonville en 1913.

La paroisse de Vielsalm, ainsi que toutes celles du canton, sont passées le au diocèse de Namur, alors que précédemment, la région avait toujours fait partie du diocèse de Liège.

Héraldique modifier

 
La commune possède des armes parlantes correspondant à celles de la maison de Salm, Salm voulant dire saumon en allemand.
Blasonnement : De gueule à deux saumons adossés d'argent.
Source du blasonnement : Lieve Viaene-Awouters et Ernest Warlop, Armoiries communales en Belgique, Communes wallonnes, bruxelloises et germanophones, t. 2 : Communes wallonnes M-Z, Communes bruxelloises, Communes germanophones, Bruxelles, Dexia, .



Démographie modifier

Évolution démographique avant la fusion de 1977 modifier

  • Source: DGS, 1831 à 1970=recensements population, 1976= habitants au 31 décembre
  • 1856: Scission de Petit-Thier

Évolution démographique de la commune fusionnée modifier

En tenant compte des anciennes communes entraînées dans la fusion de communes de 1977, on peut dresser l'évolution suivante:

Les chiffres des années 1831 à 1970 tiennent compte des chiffres des anciennes communes fusionnées.

  • Source: DGS , de 1831 à 1981=recensements population; à partir de 1990 = nombre d'habitants chaque 1 janvier

Économie modifier

La ville a connu une importante exploitation de l'ardoise, et d'une pierre à aiguiser locale, le coticule.

La commune compte actuellement un zoning industriel à Burtonville, où sont implantées de petites et moyennes entreprises.

Géologie modifier

Le coticule extrait à Vielsalm doit la finesse exceptionnelle de ses propriétés abrasives à la spessartine, une variété particulière de grenat. Le coticule est un schiste métamorphique micro-cristallin à grain très fin, composé pour 35 à 40 % environ de petits cristaux de spessartine, de 5 à 20 microns de diamètre. Cette roche assez rare, dont les carrières d'extraction sont actuellement quasiment épuisées, était exploitée depuis le début du XVIe siècle pour en faire des pierres à rasoir très recherchées pour leur grande longévité.

Transports modifier

La commune est traversée du sud au nord par la route nationale 68 joignant Eynatten à Deiffelt (Belgique). La gare de Vielsalm se trouve sur la ligne 42 Rivage-Gouvy.

Jumelage modifier

Vielsalm est jumelée avec   Bruyères (France), une ville des Vosges (Lorraine).

Culture modifier

 
Les sonneurs de trompes de chasse du "Débuché de Vielsalm" en concert devant le rocher d'Homalius (ou roche à la Falize) de Durbuy[6] (11 octobre 2015).

Fête des myrtilles modifier

Chaque année, le , a lieu à Vielsalm la « fête des myrtilles » au cours de laquelle est organisé un défilé « carnavalesque » avec notamment ses fameuses macrales[7].

Débuché de Vielsalm modifier

Le « Débuché de Vielsalm », groupe de sonneurs de trompes de chasse, a animé durant plusieurs années la Foire de la Saint-Hubert de novembre à Theux, notamment à 14 h lors de la bénédiction des chevaux et des animaux de compagnie, rue Chaussée et place de l'Église, et le soir, à 18 h, pour la bénédiction et la messe dans l'église Saints-Hermès-et-Alexandre de Theux.

Le « Débuché de Vielsalm », auparavant nommé « Rallye Saint-Gengoux », a fêté le ses 50 ans d'existence et s'est vu remettre le titre de Société Royale[8].

Patrimoine modifier

 
La villa des Effâts (Grand-Halleux), vers 1918, rue de la Grotte, 11.

Personnalités modifier

  • Jean Bertholet (1688-1755), historien du Luxembourg, est né à Vielsalm
  • Guillaume Joseph Dupaix (1746-1817), capitaine du régiment des dragons du Mexique, pionnier de l'archéologie précolombienne au Mexique
  • Alfred Janssen, ingénieur, né à Cologne le , époux de Marguerite Battaille, née à Liège le , habitaient la villa Les Effâts à Vielsalm
  • Norbert Diderrich (1867-1925), ingénieur des mines, membre de l'expédition d'Alexandre Delcommune au Congo
  • Léopold Le Maire, juge de paix, administrateur des Ardoisières de la Salm en 1889[10]
  • Jos Lemaire (1891-1972), peintre belge, y est né
  • Jean Englebert (né en 1928 à Vielsalm), architecte, professeur à l'Université de Liège
  • Olivier Werner (né le ), joueur de football du RAEC Mons

Particularités de Vielsalm en images modifier

Illustrations du début du XXe siècle modifier

Sécurité et secours modifier

La commune fait partie de la zone de police Famenne-Ardenne pour les services de police, ainsi que de la zone de secours Luxembourg pour les services de pompiers. Le numéro d'appel unique pour ces services est le 112.

Bibliographie modifier

  • Georges Benoit, La Renaissance en terre de Salm, 2014.
  • Gaston Remacle, Vielsalm et ses environs, Vielsalm, 1957 ; ré-édition 1968.
  • Robert Nizet, Do timps di m'grand-mère, (La vie quotidienne au début du siècle dans la région de Vielsalm, illustrée par des cartes postales anciennes.)
  • Robert Nizet, Binamé Payis d'Sâm. Photographies d'autrefois de la région de Vielsalm, 1983.
  • Robert Nizet, Vieilles images sur toits de chèrbins, 1986.
  • Olivier Graulich, « Les deux principales exploitations d'ardoises de Vielsalm au XXe siècle », Revue Glain et Salm - Haute Ardenne, no 28, , p. 22-30.
  • Revue Glain et Salm Haute Ardenne depuis 1974.

Notes et références modifier

  1. Zesummegestallt vum Henri Leyder - Lëtzebuerger Marienkalender 1997 - iwwerschaft 3/2011
  2. a et b https://statbel.fgov.be/fr/open-data/population-par-secteur-statistique-10
  3. TANDEL E. Les Communes Luxembourgeoises, IV Bastogne, AIALUX, 1891, pp. 636-658.
  4. Annuaire des châteaux de Belgique, 2e année, Bruxelles 1899. Administration communale de Vielsalm. Archives communales. Impôt sur la fortune présumée, portefeuille I-713 Cité par Olivier Graulich (1988) p. 30.
  5. https://view.officeapps.live.com/op/view.aspx?src=https%3A%2F%2Fstatbel.fgov.be%2Fsites%2Fdefault%2Ffiles%2Ffiles%2Fdocuments%2Fbevolking%2F5.1%2520Structuur%2520van%2520de%2520bevolking%2FPopulation_par_commune.xlsx&wdOrigin=BROWSELINK
  6. Ouvrage collectif, Bulletin, vol. 32, Bruxelles, Association belge de photographie, (lire en ligne), p. 383.
  7. Photos : fête des myrtilles
  8. « Le Débuché fête ses 50 ans », sur vielsalm.be, Vielsalm.be (consulté le ).
  9. Villa des Effâts, située 11 rue de la Grotte, il s'agit d'une demeure éclectique [Patrimoine monumental de la Belgique, 1993, tome 17, p. 307.] datant de la seconde moitié du XIXe siècle bâtie par Lucien Beaupain (1837-1900), devint ensuite propriété et demeure de l'ingénieur Alfred Janssen-Battaille. Concernant Albert Janssen-Battaille lire: Albert-Édouard Janssen, "Généalogie de la famille Janssen", dans: La Noblesse Belge, annuaire de 1913, première partie, Bruxelles, 1913, p. 267, ainsi que Albert-Édouard Janssen, Livre de Raison de la famille Janssen de Mouland - quatre siècles de notes et souvenirs (1500 - 1925): Marguerite Marie Charlotte BATTAILLE, née à Liège le 30 août 1881 et décédée à Liège le 16 juin 1962, munie des secours de la religion (adresse: 19, boulevard d'Avroy), épousa à Liège (Ougrée), le 14 mars 1900, Alfred Charles Hubert Jules JANSSEN, ingénieur, né à Cologne le 11 octobre 1864, décédé le 29 juillet 1921, (ils habitaient Les Effâts à Vielsalm). Veuve elle épousa en secondes noces Albert COURARD, décédé à Vielsalm le 13 juillet 1961 aux Effats. (Cette villa caractéristique est transformée en hôtel.)
  10. Olivier Graulich. Les deux principales exploitations d'ardoises de Vielsalm au XXe siècle. p. 25; Revue Glain et Salm - Haute Ardenne, no 28, avril 1988, p. 22-30.

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