Verton

commune française du département du Pas-de-Calais

Verton
Verton
La mairie.
Blason de Verton
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Montreuil
Intercommunalité CA des Deux Baies en Montreuillois
Maire
Mandat
Joël Lemaire
2020-2026
Code postal 62180
Code commune 62849
Démographie
Gentilé Vertonnois
Population
municipale
2 537 hab. (2021 en augmentation de 6,82 % par rapport à 2015)
Densité 229 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 24′ 05″ nord, 1° 39′ 01″ est
Altitude Min. 2 m
Max. 53 m
Superficie 11,06 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Berck
(banlieue)
Aire d'attraction Berck
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Berck
Législatives 4e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Verton
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Verton
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Verton
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Verton
Liens
Site web http://www.verton-village.fr/

Verton est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Elle fait partie de la région naturelle du Marquenterre.

La commune fait partie de la communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois qui regroupe 46 communes et compte 65 940 habitants en 2019.

Géographie modifier

Localisation modifier

Petite commune du Pas-de-Calais dans la région Hauts-de-France, Verton fait partie du canton de Berck.

La commune est limitrophe des communes de Berck et de Rang-du-Fliers. La ville de Lille est située à 103 km au nord-est de la commune.

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :

Géologie et relief modifier

 
Borne de nivellement sur le mur de l'église - Altitude 12 m.

La superficie de la commune est de 11,06 km2 ; son altitude varie de 2 à 53 mètres[1].

Hydrographie modifier

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

Le territoire de la commune est traversé par le Fliers, appelé aussi Fliers Branche Droite, canal, chenal et cours d'eau d'une longueur de 9,91 km, qui prend sa source dans la commune d'Airon-Saint-Vaast[3], et par le ruisseau la course, cours d'eau d'une longueur de 3,45 km, qui prend sa source dans la commune de Verton et se jette dans le Fliers Branche Droite au niveau de la commune de Groffliers[4].

Paysages modifier

La commune est située à la jonction de deux paysages tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[5] :

  • le « paysage du val d’Authie », qui concerne 83 communes, se délimite : au sud, dans le département de la Somme par le « paysage de l’Authie et du Ponthieu, dépendant de l’atlas des paysages de la Picardie et au nord et à l’est par les paysages du Montreuillois, du Ternois et les paysages des plateaux cambrésiens et artésiens. Le caractère frontalier de la vallée de l’Authie, aujourd’hui entre le Pas-de-Calais et la Somme, remonte au Moyen Âge où elle séparait le royaume de France du royaume d’Espagne, au nord.
Son coteau Nord est net et escarpé alors que le coteau Sud offre des pentes plus douces. À l’Ouest, le fleuve s’ouvre sur la baie d'Authie, typique de l’estuaire picard, et se jette dans la Manche. Avec son vaste estuaire et les paysages des bas-champs, la baie d’Authie contraste avec les paysages plus verdoyants en amont.
L’Authie, entaille profonde du plateau artésien, a créé des entités écopaysagères prononcées avec un plateau calcaire dont l’altitude varie de 100 à 163 m qui s’étend de chaque côté du fleuve. L’altitude du plateau décline depuis le pays de Doullens, à l'est (point culminant à 163 m), vers les bas-champs picards, à l'ouest (moins de 40 m). Le fond de la vallée de l’Authie, quant à lui, est recouvert d’alluvions et de tourbes. L’Authie est un fleuve côtier classé comme cours d'eau de première catégorie où le peuplement piscicole dominant est constitué de salmonidés. L’occupation des sols des paysages de la Vallée de l’Authie est composé de 70 % en culture[6] ;
  • le « paysage des dunes et estuaires d’Opale », qui concerne 23 communes, s’étend le long de la côte sur environ 30 kilomètres, de la baie d’Authie à Équihen-Plage, et sur deux à quatre kilomètres de large. Les paysages des dunes et des estuaires cèdent la place aux abrupts des falaises, au niveau d’Equihen-Plage. Les dunes littorales se sont constituées récemment, depuis le Moyen Âge, et ont envahi le relief intérieur en constituant des dunes plaquées sur les falaises fossiles, spécificité locale. Les résurgences de sources au pied de ces falaises proviennent de la nappe de la craie et sont à l’origine de nombreux ruisseaux et zones humides dans les Bas-Champs, surtout visibles entre Étaples et Rang-du-Fliers.
Ce paysage des dunes et estuaires d’Opale est constitué : d’un peu plus de 40% de dunes et de plages, dont 28 % d’espaces dunaires, dont certains sont boisés comme à Hardelot-Plage et au Touquet-Paris-Plage ; de 22 et 25 % au niveau de la baie d’Authie et des Bas Champs, Bas Champs majoritairement en prairies ; de 20 % par les communes et d’un peu plus de 5 % par les cours d’eau et les marais arrière-littoraux, entre Merlimont et Rang-du-Fliers, comme le marais de Balançon défini réseau Natura 2000[7].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 842 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Touquet-Paris-Plage à 14 km à vol d'oiseau[10], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 888,8 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend quatre ZNIEFF de type 1[Note 2] : les bocages et prairies humides de Verton. Complexe bocager humide tout à fait original associant prairies mésotrophiles à eutrophiles de différents niveaux topographiques avec des mares et des chenaux de drainage[14]

 
Carte de la ZNIEFF sur la commune.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Verton est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Berck, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[18] et 44 342 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[19],[20].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Berck dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[21],[22].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (84,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,7 %), prairies (33,7 %), zones urbanisées (13,5 %), zones humides intérieures (2,5 %), forêts (2,4 %), zones agricoles hétérogènes (2,1 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports modifier

Transport ferroviaire modifier

La commune disposait d'une gare sur l'ancienne ligne de chemin de fer Aire-sur-la-Lys - Berck-Plage inaugurée en 1893 et fermée en 1955.

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Vertunnum (856), Vertunum (877), Vertonnum (1042), Vertum (fin XIe siècle), Verton (1100), Verto (1219), Werton (1366), Verton-sur-la-Mer (1464), Verton-sur-Canche (1515)[24].

Il s’agit d'une formation toponymique celtique (gaulois) vert- signifiant « bonne terre, bonne ville »[25] ou de sens inconnu[26], sans qu'il soit possible d'exclure totalement un nom de personne gaulois *Vertus[26]. Toujours est-il qu'un élément Vert- se rencontre dans de nombreux toponymes : Vertaizon (Puy-de-Dôme) ; Vertault (Côte-d'Or) ; Verteuil (Charente) ; Vertou (Loire-Atlantique), etc.[26] Le second élément -unnum / -onnum > -on représente un suffixe gaulois[26].

Histoire modifier

 
Vieux saule de Verton, probablement vers 1900-1905.

La terre de Verton a été acquise par la fille de Philippe de Créqui de la châtellerie de Beaurain-sur-Canche. Son mariage avec Gilles de Soyecourt, grand-échanson de France, a transféré ces domaines vers la maison de Soyecourt. Cette famille a habité le château communal durant dix générations, de la fin du XIVe siècle à Charlotte de Soyecourt (fille de Charlotte de Mailly et de François III).

Selon une inscription autrefois visible sur le mur du chevet de l'église les troupes royales marchant au secours d'Étaples sont passées par la commune, sous la conduite du duc d'Epernon, le .

Un hameau de la commune, celui du Rang-du-Fliers, est curieusement érigé en commune distincte par décret impérial, le , deux jours avant la déclaration de guerre à la Prusse. Ce décret n'est jamais paru au journal officiel.

Verton est longtemps resté une commune rurale et littorale du Ponthieu.

Avec le développement du tourisme et d'autres activités sur la Côte d'Opale, facilités par le tortillard des voies ferrées d'intérêt local qui reliait Berck à Montreuil trois fois par jour, avec un arrêt en « gare de Verton-Rang-du-Fliers»[27], Verton a connu, au milieu des années 1960, grâce à ses différents maires (dont Bertrand Akar et Joël Lemaire), un essor économique et démographique.

Si Verton peut passer aujourd'hui pour une commune résidentielle, elle possède néanmoins des atouts importants en matière de développement économique. À commencer par sa situation à l'entrée de la communauté de communes Opale Sud dont elle fait partie. Verton se situe à une minute de la gare du chemin de fer Paris-Calais, deux minutes d'un accès à l'A16. Rien d'étonnant à ce que la communauté de communes pré-citée ait aujourd'hui acquis la plupart des terrains du Champ Gretz, une zone commune à Verton et Rang du Fliers pour y établir son nouveau poumon économique et d'habitat. Un futur ensemble d'infrastructures routières devrait voir très prochainement le jour.

Politique et administration modifier

Découpage territorial modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités modifier

La commune est membre de la communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois.

Circonscriptions administratives modifier

La commune est rattachée au canton de Berck.

Circonscriptions électorales modifier

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
v. 1953   Émile Wallet    
mars 1965 mars 1983 Bertrand Akar Rad. puis MRG Cadre de l'industrie
mars 1983 mars 1989 Jean Morel   Agriculteur
mars 1989 juin 1995 Bertrand Akar MRG Cadre de l'industrie
juin 1995 mars 2001 Joël Lemaire DVG Instituteur
mars 2001 mars 2008 Denis Féron DVD[28] Ancien assistant parlementaire
mars 2008 En cours
(au 23 mai 2020)
Joël Lemaire DVG Instituteur retraité
Réélu pour le mandat 2014-2020
Réélu pour le mandat 2020-2026[29],[30],[31],[32]

Équipements et services publics modifier

→ Conseils pour la rédaction de cette section.

Eau et déchets modifier

Espaces publics modifier

Enseignement modifier

La commune administre une école élémentaire.

Postes et télécommunications modifier

Santé modifier

Justice, sécurité, secours et défense modifier

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].

En 2021, la commune comptait 2 537 habitants[Note 5], en augmentation de 6,82 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0351 1401 1031 4501 4081 5091 5801 6061 646
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6471 6721 7501 0091 017888868895889
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
826896902884854840911802795
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
7607469541 5701 9472 1232 1452 2232 269
2015 2020 2021 - - - - - -
2 3752 5102 537------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,0 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 176 hommes pour 1 296 femmes, soit un taux de 52,43 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
0,8 
4,0 
75-89 ans
6,5 
25,1 
60-74 ans
25,0 
20,3 
45-59 ans
20,9 
17,3 
30-44 ans
17,3 
14,2 
15-29 ans
12,8 
18,6 
0-14 ans
16,7 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Économie modifier

→ Conseils pour la rédaction de cette section.

Revenus de la population et fiscalité modifier

Emploi modifier

Entreprises et commerces modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Verton a conservé :

  • plusieurs maisons picardes anciennes.
  • une église du XIVe/XVe siècle[pas clair] dédiée à saint Michel, église à trois nefs dominées par une tour carrée surplombant le portail. Elle a autrefois servi de phare pour guider les marins jusqu'au port de Verton[38].
  • une chapelle, plus récente, vers laquelle converge un pèlerinage rétabli en 1838.
  • plusieurs sépultures remarquables, dans l'ancien cimetière attenant à l'église : celles des seigneurs de Verton, les de La Fontaine Solare, dont la commune a fait siennes les armoiries ; celle d'Émile Defosse, enfant du pays, conseiller municipal, homme de lettres qui, en 1899, publiait avec Léon Plancouard, un autre érudit picard, un très intéressant ouvrage sur Verton, une référence bien connue des historiens de la région intitulée Étude pour servir à l'histoire du Ponthieu, "Verton-Bourg" (Montreuil-sur-Mer, imprimerie Paul Lefort, 1899).
  • la pierre tombale d'Émile Defosse a ceci de particulier qu'elle révèle une épitaphe curieuse, à la mode du XIXe siècle : « ci dort, au port, un mort, qu'à tort, le sort, a fort embarrassé, en lui donnant la vie ».
  • Le monument aux morts[39].

Cartes postales anciennes modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
Bandé échiqueté d'or et de gueules et d'azur.
Devise
Tel fiert qui ne tue pas.
Détails
Armes de la famille De La Fontaine-Solare, seigneurs de la commune aux XVe et XVIe siècles[40].

Adopté par la municipalité le 23 octobre 1995.

Pour approfondir modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

  • Émile Defosse et Léon Plancouard, Étude pour servir à l'histoire du Ponthieu, "Verton-Bourg", Montreuil-sur-Mer, imprimerie Paul Lefort, 1899.

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fliers Branche Droite (E5500860) » (consulté le )
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - ruisseau la course (E5501300) » (consulté le )
  5. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  6. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du val d’Authie », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  7. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysage des dunes et estuaires d’Opale », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Verton et Le Touquet-Paris-Plage », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Le-Touquet » (commune du Le Touquet-Paris-Plage) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Le-Touquet » (commune du Le Touquet-Paris-Plage) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  14. « ZNIEFF 310013318 - Bocages et prairies humides de Verton », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Unité urbaine 2020 de Berck », sur insee.fr (consulté le ).
  19. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Berck », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  24. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 384.
  25. Albert Carnoy, L'Antiquité Classique, Tome 6, fasc. 1 - L'élément sentimental dans les noms de lieux gallo-romains de Belgique, (lire en ligne), p. 30.
  26. a b c et d Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 709a.
  27. Vidéo présentant le tracé du tortillard, qui a fonctionné, à environ 20 km/h jusqu'au 1er mars 1955 (7 passages par jour entre Berck et Rang-du-Fliers)
  28. [1]
  29. Sylvain Delage, « Le bilan du maire de Verton : « Se préoccuper de toutes les générations, c’est ma politique » : Après deux mandats – non consécutifs – à la mairie de Verton, Joël Lemaire se verrait bien poursuivre six ans de plus, histoire d’accompagner jusqu’au bout ses derniers chantiers en germination. En attendant, il évoque son bilan méthodiquement, avec la pédagogie et la rigueur de l’instituteur qu’il fut », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Verton : un 3e mandat pour Joël Lemaire : Dimanche matin, le conseil municipal élu le 23 mars était réuni pour élire son maire et ses adjoints. Au premier tour, la liste de Joël Lemaire, maire sortant, avait obtenu quinze sièges avec 57 % des voix, celle conduite par Jérémie Poincet trois sièges et Xavier Gay était le seul élu de sa liste », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. Sylvain Delage, « Les projets du maire de Verton : « Les enfants doivent pouvoir travailler dans de bonnes conditions » », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. David Bonfy, « Verton : l’élection du maire marquée par un petit couac : Joël Lemaire et sa liste « Verton 19 pour tous » avaient remporté l’élection municipale haut la main. Le conseil d’installation s’est tenu, avec une petite surprise pour la majorité... », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Seul candidat à sa succession, Joël Lemaire fut réélu premier magistrat de sa commune avec 16 voix, correspondantes au nombre de sièges remportés par sa liste (les 3 autres postes étant partagés entre la liste de Romain Gabet et celle de Guislaine Lebas) ».
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
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